◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄245246247248249250251252253►►

Bric à brac
Auteur : Mel_C  
1985/2232

Date :    31-01-2025 20:42:47


MORBIHAN - Explosion d’une boîte aux lettres ET ouverture d'enquête pour tentative d’assassinat :

Le pronostic vital d’un homme (47 ans), grièvement blessé mercredi soir à Gourin (Morbihan) par l’explosion d’une bombe artisanale placée dans sa boîte aux lettres, n’est plus engagé ce vendredi matin, selon nos informations.
« La boîte aux lettres piégée a explosé et a mis en urgence vitale le locataire des lieux qui venait relever son courrier », avait déclaré le maire de Gourin, Hervé Le Floc’h. L’engin renfermait visiblement des vis et des clous et a explosé vers 21 heures. La détonation a été « énorme » et entendue dans un large périmètre. « J’ai cru que c’était un tremblement de terre ou une météorite », a témoigné un voisin auprès du Télégramme.
À leur arrivée sur les lieux, les gendarmes ont découvert un éparpillement de clous et vis sur la chaussée. Un véhicule de la gendarmerie a même crevé un pneu. Les démineurs de Brest avaient été également appelés sur les lieux. « La rue était jonchée de tire-fonds et j’ai vu que la boîte aux lettres, en bas à gauche, était pulvérisée » , a décrit un riverain à nos confrères. Le quartier a ensuite été entièrement bouclé.
Très grièvement blessé par les projectiles, un homme âgé de 47 ans, retrouvé en arrêt cardio-respiratoire à l’arrivée des secours, avait été transporté au CHU de Brest. Ce vendredi matin, le pronostic vital de la victime n’est plus engagé mais elle n’est pas encore en état d’être entendue.
Les premières investigations s’orientent vers un problème de voisinage avéré mais l’enquête devra le confirmer. Ce vendredi, un individu est recherché par les services de gendarmerie.
L’enquête avait été ouverte jeudi pour tentative d’assassinat et fabrication d’engin explosif. Cette enquête a été confiée « à la brigade de recherches de Pontivy, avec l’appui de la section de recherches de gendarmerie de Rennes », indique le procureur de la République de Lorient, Stéphane Kellenberger.
Auteur : Mel_C  
1986/2232

Date :    31-01-2025 20:45:56


Chèque énergie :
Créé en 2015 puis généralisé en 2018, le chèque énergie est destiné aux ménages les plus modestes, permettant de bénéficier d’une aide financière pour faire face à la hausse des prix de l’énergie. Le Sénat a adopté le mardi 21 janvier dernier un amendement pour modifier son mode d’attribution, révèle Public Sénat. Une évolution qui pourrait en entraîner une seconde, concernant le montant attribué.
Allant de 48 à 277 euros selon le revenu fiscal de référence (moins de 11 000 euros par unité de consommation), le chèque énergie était attribué automatiquement, entre 2018 et 2023, lors du règlement de la taxe d’habitation. Cette automatisation a été supprimée pour son envoi en 2024, obligeant les nouveaux bénéficiaires, à hauteur d’un million de foyers, à effectuer des démarches pour recevoir l’aide. Cependant, une large partie d’entre eux ne l’a pas réclamée sur la plateforme numérique Chequeenergie.gouv.fr.
Auteur : Mel_C  
1987/2232

Date :    31-01-2025 20:51:48


Chèque énergie / 2 - La baisse du chèque énergie, conséquence du Budget 2025 ?
Le gouvernement prévoit en effet une réduction de 180 millions d’euros le dispositif du chèque énergie, selon la ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin, qui s’est exprimée sur BFMTV. Une réduction de budget qui verrait alors une baisse du chèque énergie, d’environ 20 %. C’est alors tout le débat qui se jouera durant la semaine du 3 février à l’Assemblée nationale, où les députés trancheront.
La gauche est notamment opposée à cette coupe budgétaire, comme l’affirme Public Sénat. Ces derniers avaient notamment milité pour le "rétablissement du budget de l’an passé, à hauteur de 900 millions d’euros". Plus encore, le sénateur écologiste Yannick Jadot proposait même de rehausser le plafond d’éligibilité au niveau du SMIC. "Le plafond actuel est bien trop bas, il ne permet pas de toucher toutes les personnes qui vivent en dessous du seuil de pauvreté, ou les personnes au-dessus du plafond mais qui vivent dans des passoires thermiques" a défendu l’élu.
Auteur : Mel_C  
1988/2232

Date :    31-01-2025 20:58:13


NIMES - Braquage dans un commerce :
Deux jeunes hommes, âgés de 17 ans et 19 ans, ont été interpellés mardi 28 janvier suite à une enquête pour braquage. Le 4 janvier dernier un bureau de tabac, le Crocodile, situé vers le square du Colisée à Nîmes, était braqué par deux individus.
Deux suspects ont été interpellés et placés en garde à vue avec des investigations du commissariat de Nîmes qui se poursuivent....
Auteur : Mel_C  
1989/2232

Date :    31-01-2025 21:00:47


GARD - La société Benne Rieffel en difficulté .... suite à des vols à répétition :
Après plusieurs cambriolages, la société Benne Rieffel a de nouveau été victime de deux vols de bennes cette semaine, dans la nuit du 27 au 28 janvier à Redessan et ce jeudi 30 janvier aux alentours de 22 heures à Saint-Chaptes. “Ce n’est pas possible de travailler dans ces conditions. Ces voleurs me prennent mon travail et mon argent !”, peste David Bensoussan, directeur de Benne Rieffel. Depuis 12 ans, cette entreprise loue des bennes à déchets de Orange à Béziers en passant par Arles et Alès.
Ces conteneurs sont munis d’un traceur. “Nous fournissons toujours un traceur afin de donner une traçabilité complète du suivi des déchets à nos clients”, soutient le dirigeant. En octobre dernier, le chef d’entreprise a vécu un épisode particulièrement choquant pour lui. “Aux alentours de 21 heures, des individus ont cassé le portail de la société Ordisys, pour voler la benne. J’ai reçu une notification sur mon téléphone, donc je suis sorti pour les retrouver, dans les rues de Nîmes", explique-t-il. Le gérant a retrouvé les voleurs. Commence alors une course poursuite ! “Ils ont même fait une marche arrière en plein périph”, ajoute-t-il.
Finalement, les délinquants se sont sauvés. Le lendemain, à 3 heures du matin, la police a contacté David Bensoussan car sa benne avait été retrouvée. Sur neuf vols, c’est la seule qu'il a réussi à récupérer, malgré les plaintes. Le préjudice total s’élève à 45 000 €. “Ces vols mettent notre société en péril. On me vole mon outil de travail. Ils cassent les traceurs exprès. Si ça continue, je me demande comment je vais pouvoir gérer ces dépenses”, confie à bout le gérant.
Une benne vaut 5 000 €, tandis qu'une tonne de déchets coûte environ 280 €. Ces prix sont particulièrement conséquents. De ce fait, un marché parallèle illégal s’est créé. Ainsi, une benne de 10 m³ peut être revendue pour 300 €, avant d’être déversée dans la garrigue. “C’est un fléau. Tous les dépôts sauvages sont issus des bennes volées. Aujourd’hui, je souhaite sensibiliser les Gardois. Si on vous propose une benne à 300 euros en espèce, elle a tout simplement été volée. Il faut les dénoncer !”, affirme David Bensoussan.
Il reprend : “Il est aussi nécessaire que la police contrôle tous les petits camions qui sont équipés d’un bras de chargement pour monter les bennes sur leur dos.” Face à cette situation difficile, David Bensoussan et son équipe appellent les autorités locales à intensifier la surveillance et à prendre des mesures plus strictes contre ce marché parallèle illégal qui nuit non seulement aux entreprises, mais aussi à l’environnement.
Auteur : Mel_C  
1990/2232

Date :    31-01-2025 21:03:01


NIMES - Elle dépose plainte contre son petit ami qui conduit mal et l'abandonne dans la voiture............

Deux femmes et un enfant à l'arrière d'un véhicule ont été abandonnés au milieu de la route. Lundi après-midi, la police municipale de Nîmes a été surprise par l'attitude d'un conducteur... Les policiers ont voulu le contrôler, mais ce dernier a accéléré avant de stopper son automobile à hauteur du quartier du Chemin-Bas-d'Avignon à Nîmes. Deux hommes à l'avant de l'automobile sont parvenus à prendre la fuite en courant.
À l'arrière, deux femmes et un enfant n'ont pas pu quitter l'habitacle. Une des femmes a précisé être la propriétaire de cette automobile qui n'était pas assurée. Elle a donné deux noms dont on ne sait pas encore s'ils correspondent à la véritable identité des fuyards. Elle a également indiqué, furieuse, qu'elle déposait plainte contre le conducteur, c'est-à-dire son compagnon, pour mise en danger de la vie d'autrui. En effet, cette jeune mère de famille venue d'un département voisin était très en colère contre le malotru qui a osé l'abandonner.
Auteur : Mel_C  
1991/2232

Date :    31-01-2025 21:04:43


NIMES :
Les soldats du feu ont été sollicités, jeudi en soirée, rue Felix Eboué dans le quartier du Chemin-Bas-d'Avignon à Nîmes, pour un feu de cave. Rapidement sur les lieux, le premier détachement est en présence d'un feu dans une cave de 70 m² complètement embrasée. Un sinistre qui est survenu dans un immeuble de cinq étages, mais l'incendie a été limité à la cave. "Pendant l'intervention il n'y a pas eu de relogement et pas de blessé. La police nationale et ERDF, présents sur les lieux, ont sécurisé le site le temps de l'intervention (...) Un détachement composé de deux fourgons incendie, une grande échelle, une ambulance, une équipe paramédicale et un échelon de commandement des sapeurs-pompiers de Nîmes sont immédiatement engagés", selon les pompiers gardois.
Auteur : Mel_C  
1992/2232

Date :    31-01-2025 21:07:21


GRAU-DU-ROI - Un commerçant condamné pour avoir exploité un "salarié" non déclaré :

« Il m’a dit je dors dehors sur le sable. Il s’agit d’un échange de bon procédé », certifie devant le tribunal correctionnel de Nîmes le patron d’un hôtel-restaurant du Grau-du-Roi. « Il avait une chambre et il mangeait avec nous. En contrepartie il effectuait du nettoyage ». Le patron de cet établissement ne voit pas le problème sauf que la justice appelle ce « service rendu » du "travail dissimulé" d'autant que son employé travaillait en permanence dans l'établissement et servait des clients.
L’avocat du plaignant, maître Thomas Autric, va beaucoup plus loin : « Vous avez devant votre tribunal un négrier », qui se « servait d’une boniche ». Car le responsable de cet hôtel-restaurant est accablé par de nombreux témoignages, y compris ses salariés, indiquant que celui qui était en situation irrégulière sur le territoire national était un serveur quotidien depuis plusieurs années.
Le plaignant est même capable d'indiquer le prix du menu le plus bas dans l’établissement qui s’élevait au moment du début du conflit entre les parties à 14,90 euros. Des déclarations précises qui prouvent à l'audience qu'il connaît très bien l'établissement. Des témoins estiment que « l’employé » travaillait à temps plein depuis 2 à 3 ans.
« Il travaillait, ce n’était pas un coup de main ponctuel », relance le procureur. Même la police municipale du Grau-du-Roi affirme qu’il s’agissait d’un serveur de cet établissement. Pourtant, le patron n’a fait aucune déclaration aux administrations et n’a pas cotisé pour son salarié.
« Ça lui allait très bien de ne pas être déclaré (...) des témoignages permettent de dire qu’il n’y avait pas de lien de subordination », plaide maître Christelle Lextrait pour le commerçant traduit en Justice.
Le tribunal estime que le lien était pourtant bien établi. Le commerçant doit maintenant passer à la caisse avec une peine à hauteur de 6 mois avec sursis, accompagnée de 10 000 euros d’amende et 1 000 euros à payer à la partie civile. Le conflit n'est pas terminé car maintenant la juridiction sociale est saisie.

◄◄245246247248249250251252253►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »