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Bric à brac
Auteur : Aigle 
2057/2232

Date :    11-02-2025 07:00:32


Afrique du Sud
malaise des nationalistes afrikaners invités à l’exil par Donald Trump
En réaction à une loi sur l’expropriation, le président américain a proposé l’asile aux descendants des premiers colons européens.
Une offre dont les leaders de la minorité blanche, qui représente 7 % de la population, se seraient bien passés.
Auteur : Aigle 
2058/2232

Date :    11-02-2025 07:12:43


A l'occasion du Sommet pour l'action sur l'intelligence artificielle
qui se déroule à Paris lundi et mardi,
France 2 dédie une soirée spéciale à l'IA, avec la diffusion d'un documentaire sur la face cachée de ce processus technologique.

Cette révolution offre des opportunités prometteuses,
notamment pour la recherche scientifique et médicale,
mais dans le même temps menace de mettre en péril certains emplois et fait craindre un usage détourné au service de la désinformation, de la manipulation politique et de la criminalité

Le documentaire dévoile la face sombre, notamment les u]coûts énergétiques et environnementaux colossaux[/u] des centres de données qui abritent ces nouvelles technologies.
Dans des pays du Sud. Venezuela, Argentine, Brésil, Liban, Syrie, Kenya... là où les géants de la tech ou leurs sous-traitants recrutent, le chômage est souvent massif, les salaires très bas et le droit du travail inexistant.
Auteur : Mel_C  
2059/2232

Date :    11-02-2025 17:53:07


TOULOUSE – LE SYNDICAT ÉTUDIANT D’EXTRÊME DROITE U.N.I. DÉNONCE L’ATTAQUE DE SES MILITANTS PAR DES INDIVIDUS CAGOULÉS A TOULOUSE

>>> Selon le syndicat étudiant d’extrême droite, « des antifas et racailles armés » ont pris à partie leurs militants qui tractaient ce mardi matin devant l’université de Toulouse.

« Nos militants ont été violemment agressés », affirme ce mardi l’UNI de Toulouse (Haute-Garonne). Le syndicat étudiant d’extrême droite assure sur X que « des antifas et racailles armés » ont pris à partie certains de leurs membres ce mardi matin alors qu’ils distribuaient des tracts en vue des élections étudiantes.
La publication est accompagnée d’une vidéo montrant des échauffourées entre jeunes gens, devant la station de métro Mirail-Université, indique La Dépêche du Midi. Durant quelques secondes, les images montrent plusieurs dizaines de personnes échanger des coups de poing et de pied.

>>> ‘‘3 BLESSÉS GRAVES’’

« On a tracté dès 7h30 devant le métro et des individus cagoulés et masqués sont venus nous arracher nos tracts, a expliqué au quotidien régional Chloé Saint-Albin, représentante de l’UNI Toulouse. Selon elle, la police a tenté d’apaiser la situation avant que « les individus cagoulés » ne reviennent « en grand nombre ». La militante déplore « trois blessés graves dont un qui est encore à l’hôpital ».
« Une plainte va être déposée. Tout notre soutien aux militants blessés », réagit le syndicat sur Twitter.
La députée européenne Marion Maréchal a commenté de son côté félicitant que les jeunes militants d’extrême droite aient « tenu bon ». Pour l’élue d’extrême droite, « ces violences répétées sont inacceptables ».
« On est dans un engrenage de la violence. Ils sont prêts à tout pour faire en sorte que l’on se taise, parce que nos idées ne sont pas de gauche », a réagi sur CNews Yvenn Le Coz, délégué national de l’UNI.
Selon lui, la semaine dernière à l’université de Strasbourg (Bas-Rhin), « des militants de la Jeune Garde (un mouvement d’extrême gauche) armés de couteau » s’en étaient pris à certains membres de l’UNI. Mais dit-il : « Ce qu’ils n’ont pas compris c’est que cela renforce nos convictions ».
Auteur : Mel_C  
2060/2232

Date :    11-02-2025 17:53:50


TÉLÉVISION / MEDIAS - « ILS S’EN FOUTENT DE LA RÉPUBLIQUE » : le chroniqueur de CNews Jean-Claude Dassier condamné pour des propos anti-musulmans

>>> En 2022, l‘ancien président de l’Olympique de Marseille avait déclaré : « Les musulmans, ils s’en foutent de la République. » Le tribunal correctionnel de Paris l’a reconnu coupable ce lundi d’« injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion ».

La justice a condamné le chroniqueur de CNews Jean-Claude Dassier à 1.000 euros d’amende avec sursis pour des propos anti-musulmans tenus à l’antenne en décembre 2022, selon un jugement consulté par l’AFP, confirmant une information de Mediapart.
« LES MUSULMANS, ILS S’EN FOUTENT DE LA RÉPUBLIQUE. ILS NE SAVENT MEME PAS CE QUE LE MOT VEUT DIRE », avait déclaré l’ancien dirigeant de la chaîne LCI et EX-PRÉSIDENT DU CLUB DE FOOT DE L’O.M. (2009-2011), lors d’un débat sur la délinquance juvénile, suscitant un tollé. L’UNION DES MOSQUÉES DE FRANCE (UMF) AVAIT ANNONCÉ PORTER PLAINTE en janvier 2023.
Ce sont des « propos outrageants et méprisants (…) venant rabaisser et jeter le discrédit sur toutes les personnes de confession musulmane », a estimé le tribunal correctionnel de Paris dans son jugement daté du 10 février. Il a reconnu le chroniqueur coupable « d’injure publique en raison de l’origine, l’ethnie, la nation, la race ou la religion ».
Absent de son procès le 4 décembre, et non représenté par un avocat, Jean-Claude Dassier doit verser à la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme), partie civile, 1 000 euros « en réparation de son préjudice moral », et 1 000 euros pour les frais de justice.
Fin 2022, la présentatrice de CNews Barbara Klein S’ÉTAIT DÉSOLIDARISÉE, AU NOM DE LA CHAINE ET DE SA RÉDACTION, des propos tenus deux jours plus tôt par le chroniqueur et non contredits en plateau.

>>> DASSIER AVAIT RECONNU « UNE ERREUR »

De retour à l’antenne en février 2023, ce dernier avait reconnu « une erreur » : « Parfois dans la passion du moment on a tendance à généraliser, à globaliser (…) il faut s’excuser toujours quand on commet des inexactitudes ». Le rapporteur indépendant saisi par l’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, a estimé depuis qu’il n’y avait pas matière à ouvrir une procédure de sanction contre CNews.
La chaîne d’info, dans le giron du milliardaire conservateur Vincent Bolloré, est régulièrement accusée par la gauche de véhiculer des idées d’extrême droite. En 2021, le régulateur lui avait infligé une amende de 200 000 euros pour « incitation à la haine » et « à la violence » après des propos d’Éric Zemmour qualifiant les migrants mineurs isolés de « voleurs », d’« assassins » et de « violeurs ». UNE SANCTION CONFIRMÉE EN JANVIER par la Cour européenne des droits de l’homme.
Ces propos ont par ailleurs valu à l’homme politique d’extrême droite une condamnation en appel à 10 000 euros d’amende pour provocation à la haine raciale, en septembre 2024. Sollicitée par l’AFP, CNews n’avait pas donné suite dans l’immédiat.
Auteur : Mel_C  
2061/2232

Date :    11-02-2025 17:57:17


YVELINES - Vol de 200 rouleaux de laine de verre au Point P :

Qu’allaient-ils faire ce toute cette laine de verre ? Ce matériau d’isolation était dans le viseur d’un groupe de voleurs, en début d’année, au Point P de Sartrouville (Yvelines). Un homme de 35 ans vient d’être déféré dans cette affaire qui implique au moins quatre autres personnes.
Les faits remontent à la nuit du 6 au 7 janvier. Vers 3 heures du matin, les voleurs escaladent les grilles de ce magasin situé route de Cormeilles, et font main base sur 212 rouleaux de laine de verre. Le préjudice est estimé à environ 7 000 euros.
Grâce aux caméras de vidéosurveillance, trois véhicules sont identifiés : une BMW et deux fourgons. Lesquels sont contrôlés par les policiers peu après le vol.
À ce moment-là, les malfrats ont de la chance, les fonctionnaires n’ont pas encore été avertis des faits, et ils repartent avec leurs véhicules chargés. Mais les enquêteurs du commissariat de Sartrouville parviennent plus tard à identifier l’un des suspects contrôlés. Un homme de 35 ans, domicilié à Bondy (Seine-Saint-Denis) mais retenu au centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne).
Les perquisitions chez lui ainsi que l’exploitation de sa téléphonie ont permis de confirmer sa présence au Point P au moment des faits et de mettre au jour les contacts téléphoniques avec plusieurs suspects, utilisées elles aussi à Sartrouville la même nuit. Surtout, des croisements sont constatés avec quatre autres affaires de vols de laine de verre, en particulier dans cette enseigne du groupe Saint-Gobain.
Auteur : Mel_C  
2062/2232

Date :    11-02-2025 18:02:31


‘‘UNE PSYCHOSE NAISSANTE’’ - Le frère d’un terroriste du Bataclan assigné à résidence en Haute-Saône, le maire de la commune alerte

>>> Le frère de Foued Mohamed-Aggad est assigné à résidence en Haute-Saône depuis l’été dernier. Le maire de la commune où il réside demande une « rotation » de cette assignation, en vain.

Il est en attente de son expulsion du territoire. La présence de Karim Mohamed-Aggad, le frère de l’un des terroristes du Bataclan, crée l’émoi dans une ville de Haute-Saône. Fiché S, le trentenaire est assigné à résidence depuis l’été dernier à Lure, une commune de 8 000 habitants, mais son maire déplore une « psychose naissante » parmi ses citoyens et réclame une « rotation » des lieux de résidence.
Karim Mohamed-Aggad, 34 ans, est le frère de Foued Mohamed-Aggad, l’un des tueurs du Bataclan, mort lors de l’attentat du 13 novembre 2015 à Paris. « Je demande d’organiser une rotation (entre plusieurs lieux de résidence, NDLR) en attendant que l’expulsion soit validée par les pays d’accueil », appelle Éric Houlley, maire socialiste de Lure.
Karim Mohamed-Aggad avait été condamné en mai 2017 à neuf ans de prison par la cour d’appel de Paris pour « association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste », après avoir passé plusieurs mois en Syrie en 2013 et 2014, selon le quotidien régional L’Est Républicain. Après avoir purgé sa peine, il a de nouveau été condamné à six mois de prison pour le non-respect des mesures de surveillance qui lui étaient imposées.

>>> PAS DE LAISSEZ-PASSER CONSULAIRE

Il a été déchu de sa nationalité en novembre 2023 et placé au centre de rétention administrative de Metz, puis assigné à résidence à Lure fin juin 2024 par arrêté du ministre de l’Intérieur, selon le journal. De père algérien et de mère marocaine, la mesure d’éloignement le visant n’a pas abouti : ni l’Algérie ni le Maroc n’ont délivré le laissez-passer consulaire indispensable à son expulsion, selon la même source.
« Tout n’a pas été fait au niveau de l’État central (…) pour aboutir à un résultat et éviter qu’on ait cette psychose naissante », estime l’élu socialiste.
« Il faut changer les règles », a réagi auprès de l’AFP le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, en marge d’un déplacement à Strasbourg. « On doit changer les règles de droit. Je suis pour un État de droit mais l’état du droit, actuellement, est en train de nous paralyser. C’est pour ça que je plaide auprès de la Commission (européenne) pour changer la politique retour, la politique des éloignements », a-t-il ajouté.

>>> « J’ETAIS SUR QUE ÇA FINIRAIT PAR SE SAVOIR »

« J’ai été prévenu dès le début par le préfet, qui m’a demandé la plus grande discrétion, explique le maire de Lure aux Dernières nouvelles d’Alsace. J’ai respecté, mais je lui ai dit mon désaccord total avec cette mesure d’assignation à résidence, car j’étais sûr que ça finirait par se savoir et que ça inquiéterait la population. Je lui ai donc demandé d’organiser des rotations, de le changer d’endroit régulièrement pour qu’il n’ait pas le temps d’être reconnu. Je suis aussi intervenu auprès du ministère de l’Intérieur, mais il ne s’est rien passé. »
Selon Éric Houlley, qui dit s’être « heurté à l’inertie de l’État », « des inquiétudes (…) commencent à remonter depuis plusieurs semaines » à Lure en raison du profil de l’homme. « Il y a eu des alertes sur les réseaux sociaux, des salariés dans les grandes surfaces, de la CPAM qui se sont inquiétés », a-t-il ajouté, précisant que l’homme « pointe régulièrement » et « respecte son contrôle judiciaire ».
Auteur : Mel_C  
2063/2232

Date :    11-02-2025 18:04:02


DISPARITION MYSTERIEUSE DE 2 SŒURS EN ÉCOSSE : Les 2 corps retrouvés et formellement identifiés

>>> Henrietta et Eliza Huszti, 2 sœurs hongroises âgées de 32 ans, avaient disparu dans la nuit du lundi 06 au mardi 07 janvier dernier.

L’espoir était plus que mince, il est désormais réduit à néant. Henrietta et Eliza Huszti, deux sœurs hongroises âgées de 32 ans disparus dans la nuit du lundi 06 au mardi 07 janvier dernier à Aberdeen, en Écosse, ont été officiellement déclarés comme mortes par la police écossaise.
Les deux corps, retrouvés non loin de la rivière Dee où elles ont été aperçues pour la dernière fois en vie, ont été formellement identifiés par les autorités locales, dans un communiqué. Les deux cadavres avaient été découverts le 31 janvier dernier et correspondaient aux descriptions de la police dans leur avis de recherche : « femmes blanches, minces et aux longs cheveux bruns ».

>>> ‘‘TOUT ALLAIT BIEN’’

Pour le moment, il n’y a toujours aucune circonstance suspecte concernant leur mort. Les deux femmes ont simplement été aperçues longeant un sentier non loin d’Aberdeen. La raison de leur disparition reste encore un mystère.
« Elles ont écrit un message à leur propriétaire, disant qu’elles voulaient résilier immédiatement leur contrat de location. Nous n’avons aucune information à ce sujet », s’était étonné fin janvier leur frère Joszef auprès de la BBC, ajoutant que leur mère leur avait parlé le samedi avant leur disparition, et que « tout allait bien ».
Edit, la troisième sœur des triplées, a elle aussi indiqué qu’elle leur avait parlé le soir du Nouvel An, lors d’un appel vidéo durant lequel elles semblaient « heureuses et joyeuses ». Elles ne se reverront plus jamais.
Auteur : Mel_C  
2064/2232

Date :    11-02-2025 18:04:48


IMMIGRATION IRREGULIERE : Qu’est-ce que la « directive retour » de l’U.E. que Bruno Retailleau veut reformer ?

>>> La directive retour de 2008 a pour but d’harmoniser les conditions de rétention et d’expulsion des immigrés illégaux dans l’Union. Elle fait l’objet d’une volonté de réforme de la part du ministre de l’Intérieur qui la qualifie de directive « anti-retour ».

Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau souhaite une réforme de la « directive retour » de l'Union européenne. LP/Olivier Lejeune LCI proposera une émission spéciale "La Grande Confrontation - Face aux Français" présentée par David Pujadas.
« Adoptée en 2008, la directive Retour devrait plutôt être qualifiée de directive anti-retour. Il est essentiel de la réformer. C’est l’un des objectifs de ma visite à Strasbourg », a déclaré le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau ce lundi soir sur le réseau social X.
Ce sujet est l’un des mantras du locataire de la place Beauvau depuis plusieurs mois. Mais en quoi consiste réellement cette directive européenne qui fait l’objet de l’attention du ministre ?
La « directive retour » de 2008 a pour but d’harmoniser les conditions de rétention et d’expulsion des immigrés illégaux dans l’Union. Elle fixe ainsi des normes minimales afin que les étrangers en situation irrégulière soient traités de la même manière dans les 27 États membres.
Sur la question de la reconduite aux frontières, son article 7 prévoit par exemple qu’une décision de reconduite d’un étranger doit laisser un délai approprié, allant de 7 à 30 jours, pour permettre le « départ volontaire » de l’étranger concerné. Ce n’est qu’à l’expiration de ce délai que la mesure d’éloignement peut être exécutée.
En outre, précise le Conseil d’État français, le quatrième paragraphe de ce même article aménage des possibilités de réduction, voire de suppression de ce délai dans certaines hypothèses (risque de fuite, demande de séjour régulier rejetée comme manifestement non fondée ou frauduleuse, danger pour l’ordre public, la sécurité publique ou la sécurité nationale). Il fixe un maximum de 180 jours de rétention dans le cadre de cette procédure. En France, il est de 90 jours au maximum hors cadre de « terrorisme » (210 jours).

>>> ‘‘DIRECTIVE ANTI-RETOUR’’ POUR RETAILLEAU

Par ailleurs, les étrangers en situation irrégulière bénéficient, grâce à cette directive, d’un droit à l’aide judiciaire et d’un droit de recours, qui n’existaient pas dans tous les pays de l’Union au moment de sa mise en place. Des mesures d’assistance comme la mise à disposition d’interprètes ou la fourniture de soins médicaux sont également prévues dans ce cadre législatif.
Si le ministre de l’Intérieur a fait de cette directive, qu’il qualifie de directive « anti-retour » son cheval de bataille, c’est notamment en raison d’un consensus au niveau de certains partis européens qui se dessine sur l’échiquier transnational, comme l’ancien sénateur LR de Vendée l’a martelé en novembre dernier. Mais malgré une rencontre de plusieurs acteurs de la question au niveau européen ce mardi au Parlement de Strasbourg, le cabinet du ministre a fait savoir au Parisien qu’aucune annonce n’était prévue pour le moment.
En effet, cette réforme passe obligatoirement par un vote au parlement qui n’est pas acquis d’avance, malgré une représentation penchant largement à droite depuis les dernières élections. En 2019, la refonte de la directive avait été bloquée par la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE), faute d’accord inter-groupes.

>>> ‘’UN PARAPLUIE LEGISLATIF’’

Du côté des spécialistes du droit des étrangers en France, on s’inquiète de cette offensive, pour l’instant médiatique, du ministère de l’Intérieur, qui vient déjà de subir plusieurs revers sur le fond dans la procédure d’expulsion de l’influenceur algérien Doualemn.
« Cette directive est un parapluie législatif. Elle revient sur les limites à l’éloignement, sur les délais de rétention et sur des décisions d’expulsion qui doivent être motivées », rappelle l’avocate Lucie Simon, spécialiste du droit des étrangers en France, qui souligne que cela pose un cadre que le droit national est tenu de le respecter.
« Cela m’arrive de l’invoquer mais c’est loin d’être une directive hyperfavorable aux étrangers », continue-t-elle. Pour cette avocate chevronnée, « cette attaque contre la directive retour tient d’une construction intellectuelle un peu fausse selon laquelle le problème serait européen, alors même que cette directive permet déjà beaucoup d’éloignements ». « Cela va dans le sens d’une stratégie globale ayant pour but de définir le séjour irrégulier comme étant un délit en France (NDLR, une loi qui a pourtant été supprimée en 2012), dans la droite ligne de son discours faisant de la figure de l’étranger un délinquant », critique l’avocate.

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