◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄281282283284285286287288289►►

Bric à brac
Auteur : Mel_C  
2273/2312

Date :    20-03-2025 19:37:48


ECONOMIE - Perte nette record pour 2024 pour la Banque de France

C’est le coût de la lutte contre l’inflation: la Banque de France a publié mercredi une perte nette record pour l’année 2024, de 7,7 milliards d’euros, conséquence des taux élevés fixés par la Banque centrale européenne (BCE) l’an dernier. Ce niveau de montant «n’a pas existé dans l’histoire de la Banque de France», a commenté son gouverneur François Villeroy de Galhau lors d’une conférence de presse, et «n’existera plus non plus dans l’avenir prévisible», a-t-il assuré.
C’est la conséquence de l’enchaînement de la crise Covid et de l’invasion de l’Ukraine. Ces deux événements, déflationniste pour le premier et inflationniste pour le second, ont entraîné deux politiques monétaires très différentes de la BCE. Son objectif est de maintenir la hausse des prix à 2% par an.
Villeroy de Galhau s’attend à un retour à des bénéfices «d’ici à un nombre limité d’années». L’état actionnaire devra cependant être patient avant de retrouver une contribution sonnante et trébuchante de la Banque de France à son budget, tant en impôts sur les sociétés qu’en dividendes: les pertes 2024 et à venir devront d’abord être compensées par autant de bénéfices dans le futur.
Auteur : Mel_C  
2274/2312

Date :    20-03-2025 19:39:03


ALLEMAGNE

L’industriel allemand Siemens a annoncé mardi son intention de supprimer plus de 6000 postes dans le monde. Pour l’essentiel, c'est sa division phare de numérisation des usines qui sera touchée. Le groupe explique devoir ajuster sa capacité de production à la baisse de la demande.
«La baisse de la demande, essentiellement sur les marchés clés que sont la Chine et l’Allemagne, associée à une pression concurrentielle accrue, a considérablement réduit les commandes et les revenus dans le secteur de l’automatisation industrielle», a déclaré le groupe dans un communiqué.
Le plan d’économies porte sur 2% des effectifs de Siemens qui emploie 313願 personnes dans le monde. Dans l’activité des technologies de recharge pour véhicules électriques, Siemens va par ailleurs supprimer 450 emplois.

> La moitié pour les sites allemands

Les sites allemands vont supporter plus de la moitié de ces réductions d’effectifs prévues alors que «depuis deux ans, le marché allemand, en particulier, est en déclin», souligne le groupe qui assure qu’il privilégiera d'autres mesures que des licenciements.
Malgré les ajustements prévus, «l’effectif total de Siemens en Allemagne devrait rester stable grâce à des embauches dans d’autres domaines en croissance», assure le groupe.
C’est néanmoins un nouveau coup dur pour la première économie européenne, enlisée dans la récession depuis deux ans et où s’enchaînent les annonces de plans sociaux dans le secteur industriel.

> Contrastés selon les activités

Le vaste conglomérat de Munich, dont les activités s’étendent des turbines au matériel médical en passant par les logiciels et les locomotives, avait terminé son exercice 2024 sur des résultats record, mais contrastés selon les activités.
Moteur de la croissance du groupe ces dernières années, les ventes de la division «industrie numérique» ont chuté de 8% au cours de l’exercice, notamment à cause de la chute des commandes en Chine, un marché clé pour Siemens.
Les prévisions ne sont pas optimistes pour 2025, avec un recul des revenus dans cette division qui pourrait atteindre 6%, selon Siemens.
Auteur : Mel_C  
2275/2312

Date :    20-03-2025 19:41:06


ALLEMAGNE - 2

>>> Le constructeur évoque «des conditions économiques, la pression de la concurrence et les incertitudes politiques» pour justifier la restructuration.

Le constructeur Audi (groupe Volkswagen) a annoncé lundi un plan de suppression de 7500 emplois d'ici à 2029 en Allemagne.
Ce plan qui prévoit de supprimer 13,5% de ses effectifs en Allemagne, vise a «renforcer à la fois la compétitivité et les perspectives d’Audi», a indiqué le PDG de la marque allemande Gernot Döllner dans un communiqué. Il évoque «des conditions économiques se durcissant de plus en plus, la pression de la concurrence et les incertitudes politiques (qui) posent d’énormes défis à l’entreprise».
Audi s’engage à mener une «réduction d’effectifs socialement acceptable», ce qui devrait exclure les départs contraints. En contrepartie, la garantie de l’emploi, qui exclut les licenciements économiques, sera prolongée de quatre ans jusqu’en 2033, indique le constructeur dans la présentation de cet accord conclu avec le comité d’entreprise.

> Plus compétitive

Le but est de rendre la marque aux quatre anneaux plus compétitive en simplifiant son organisation, avec «une réduction de la bureaucratie» et des «structures de gestion», précise le communiqué
Le fabricant de véhicules haut de gamme emploie 87願 personnes, dont 55願 sur ses sites allemands.
Les deux plus grosses implantations de la marque, à Ingolstadt et Neckarsulm, dans le sud de l’Allemagne, vont bénéficier d’environ huit milliards d’euros d’investissements d'ici à 2029 pour soutenir leur transition vers la mobilité électrique, indique encore Audi.
Baisse de la demande, inflation, perte de compétitivité, passage à l’électrique... L’industrie automobile européenne traverse une période particulièrement difficile avec des programmes de réduction de coûts annoncés par plusieurs poids lourds du secteur.
Dans la galaxie Volkswagen, dont fait partie Audi, la marque historique VW va tailler dans ses effectifs et supporter l’essentiel des 35願 suppressions d’emplois d'ici à 2030.
Auteur : Mel_C  
2276/2312

Date :    20-03-2025 19:44:14


FRANCE - 800願 livres de «La Belle et la Bête» revisitée annulés

Une version modernisée, mais jugée trop adulte du conte «La Belle et la Bête» a heurté l’Éducation nationale française, qui a annulé une commande de 800願 livres illustrés destinés à des élèves de primaire, a dénoncé l’auteur mercredi.
Cet auteur, Jul, connu comme scénariste de Lucky Luke ou dessinateur de «Silex and the City», a déploré une «décision politique» de «censure», pour des «prétextes fallacieux» selon lui. Le texte original est conservé, il n'a fait que l'illustrer.
Julien Berjeaux, de son vrai nom, avait été choisi pour l’opération annuelle «Un livre pour les vacances», grâce à laquelle 800願 élèves de CM2 de 10 à 11 ans obtiennent un classique de la littérature française revisité. Il illustrait «La Belle et la Bête», conte traditionnel dans la version de Jeanne-Marie Leprince de Beaumont en 1756.

>>> Un roi ivre chantant du Sardou

Quand le père de la Belle boit «quelques coups de vin», Jul le représente ivre, bouteille à la main, en train de chanter «Les Lacs du Connerama» de Michel Sardou. Téléphones portables et réseaux sociaux sont par ailleurs très présents au fil des 80 pages.
Cette version n’a pas semblé adaptée au ministère, qui l’a expliqué à l’auteur dans une lettre datée de lundi, signée de la directrice générale de l’enseignement scolaire, Caroline Pascal. «L’ouvrage finalisé», selon elle, ne permet «pas une lecture en autonomie, à domicile, en famille et sans l’accompagnement des professeurs pour des élèves âgés de 10 à 11 ans», et «pourrait susciter nombre de questions chez les élèves qui ne trouveraient pas nécessairement de réponse adaptée. En effet, les deux illustrations de l’ouvrage abordent des thématiques qui conviendraient à des élèves plus âgés, en fin de collège ou en début de lycée, telles que l’alcool, les réseaux sociaux, ou encore des réalités sociales complexes», ajoute-t-elle.
Selon Jul, le problème est ailleurs. «Les prétextes fallacieux et pour partie mensongers invoqués pour justifier la censure ne tiennent pas la route une seconde devant l’examen du livre en question, espiègle, tendre et féerique», écrit-il dans un communiqué. «La seule explication semble à chercher dans le dégoût de voir représenté un monde de princes et de princesses qui ressemble un peu plus à celui des écoliers d’aujourd’hui, avance l’auteur. Le grand remplacement des princesses blondes par des jeunes filles méditerranéennes serait-il la limite à ne pas franchir pour l’administration versaillaise du ministère?», s’interroge-t-il.

>>> Elisabeth Borne préface, mais recule…

Le paradoxe est que le livre a visiblement plu au cabinet de la ministre, Elisabeth Borne. Celle-ci écrit en préface: «Vous découvrirez dans cette version, dessinée pour vous, la touche malicieuse et le regard affûté de Jul, qui insufflent à ce conte une modernité nouvelle.»
Mais elle a réagi ce jeudi matin en donnant raison à la directrice de l'enseignement. «Jul a beaucoup de talent, il manie l’ironie, le second degré. Mais sans accompagnement pédagogique, je pense que ça n’est pas adapté. Mais c’est un très beau livre qui pourra être utilisé dans un autre cadre», a commenté Elisabeth Borne sur Cnews/Europe 1.
«L’argent n’a pas été dépensé, les livres n’ont pas été tirés. C’est certainement un ouvrage intéressant, mais pas pour ce cadre pédagogique», a conclu Mme Borne, qui a précisé ne «finalement pas avoir préfacé» cet ouvrage.
Le budget de l’opération «Un livre pour les vacances», lancée en 2018 avec les Fables de La Fontaine et reconduite chaque année depuis, n’est pas connu. Les livres devaient être édités par la filiale édition de la Réunion des musées nationaux-Grand Palais. D’après l’auteur, l’annulation a eu lieu «la veille du lancement de l’impression». Les délais nécessaires risquent de ne pas permettre aux CM2 de 2025 de recevoir un autre livre.
La lettre de Mme Pascal rappelle que le ministère avait émis des «réserves» devant de premières illustrations qui lui avaient été soumises en décembre. Mais dans un commentaire de cette lettre, transmis à l’AFP, Jul indique au contraire que «les éléments qui ont soulevé des critiques ont été pris en compte».
Auteur : Mel_C  
2277/2312

Date :    20-03-2025 19:45:53


NORVEGE - Il survit sept heures sous une avalanche !!.....

Un touriste pris dans une avalanche dans le nord de la Norvège a été secouru après avoir passé sept heures sous la neige, une durée de survie exceptionnelle, ont rapporté mercredi les médias norvégiens.
Décrit comme un homme de 40 à 50 ans, il a été retrouvé, conscient, à environ 1,5 mètre de profondeur dans la neige dans la municipalité de Lyngen peu après minuit.
Pris dans une avalanche, il avait alors passé près de sept heures dans une poche d’air d’où il avait pu appeler la police. «C’était très surprenant qu’il soit encore vie», a déclaré à TV2 Kristian Midtgård, le secouriste qui, avec son chien Whiskey, l’a retrouvé. «Toutes les statistiques et l’expérience disent que ce n’est pas possible quand on reste enfoui si longtemps», a-t-il ajouté.
Le maire de Lyngen, Erik Larsen, cité par la radiotélévision NRK, a quant à lui salué «un miracle». «Les personnes qui survivent à une avalanche s’asphyxient en l’espace de dix minutes», a commenté un chercheur de l’université de Tromsø, Audun Hetland, auprès du journal «iTromsø». «Quelques-unes survivent plus longtemps. Mais sept heures, c’est presque unique dans l’histoire», a-t-il ajouté.
L'un a fini dans les eaux du fjord
L’homme faisait partie d’un groupe de trois touristes étrangers qui faisaient une randonnée à ski dans une région où, ont prévenu les autorités, les risques d’avalanche sont élevés. Un autre membre du trio, pris dans la coulée de neige, a été emporté jusque dans les eaux d’un fjord en contrebas. Revenu sur terre, il a pu donner l’alerte.
Les recherches se poursuivent pour retrouver une femme, toujours portée disparue. La nationalité des touristes n’est pas connue à ce stade.
Auteur : Mel_C  
2278/2312

Date :    20-03-2025 19:48:11


PÔLE SUD - Bloqués en Antarctique avec un collègue harceleur ....

>>> Condamnés à passer 13 mois ensemble, des scientifiques appellent à l'aide face à un des leurs qui fait régner un climat de peur.

Neuf scientifiques sud-africains sont arrivés le 1er février sur la base Sanae IV, en Antarctique. Ils doivent y rester, isolés, durant 13 mois. Dans ces conditions, mieux vaut bien s'entendre et de sérieux examens psychologiques sont menés sur les participants avant leur départ. Mais parfois, cela ne suffit pas.
L'un des membres de l'équipe a adressé récemment un mail au journal sud-africain «Sunday Times». Il parle d'un grave incident survenu le 27 février, accusant l'un de ses collègues: «Son comportement a atteint un niveau profondément inquiétant. Il a agressé physiquement l’un des nôtres, ce qui constitue une grave violation de la sécurité personnelle et des normes du lieu de travail. Son comportement est devenu de plus en plus flagrant et j’éprouve de grandes difficultés à me sentir en sécurité en sa présence. Il est impératif que des mesures soient prises immédiatement pour assurer ma sécurité et celle de tous les employés».
Il n'y a pas que les médias qui ont été alertés. Le ministère sud-africain en charge de la mission en Antarctique est au courant de la situation et dit qu'il s'en occupe. Il s'entretient presque quotidiennement avec les membres de l'équipe. Celui qui est accusé d'avoir agressé un collègue l'avait fait suite à un différend avec le chef d'équipe qui voulait changer l'horaire d'une mission dépendant des conditions météorologiques. Le ministère a en revanche nié une agression sexuelle évoquée par le «Sunday Times», même si une accusation de harcèlement sexuel demeure.
L'intéressé se serait par la suite soumis volontairement à un examen psychologique plus approfondi et aurait exprimé des remords. Il a écrit des excuses à sa victime et serait prêt à s'excuser verbalement auprès des autres membres de l'équipe, selon la BBC.
Il y a tout intérêt à ce que la situation s'apaise, car un navire partant du Cap mettrait entre 10 et 15 jours pour rejoindre la base, davantage ces jours où la météo n'est pas bonne. La base SanaeIV, qui est à plus de 4000 km de l'Afrique du Sud et est en outre située sur une falaise, à 170 km du bord de la banquise. L'équipe vit dans trois baraquements alignés les uns à côté des autres. Cela peut vite tourner au cauchemar.
Auteur : Mel_C  
2279/2312

Date :    20-03-2025 19:52:35


PYRENEES - Chasseur jugé pour avoiabattu une femelle plantigrade protégée

«L’ourse m’a attaqué». Le chasseur jugé pour avoir abattu une femelle plantigrade, espèce protégée, lors d’une battue au sanglier dans les Pyrénées, s’est défendu mardi, assurant au tribunal ne pas avoir eu d’autre choix que de tirer.
«Elle m’a attrapé la cuisse gauche, j’ai paniqué et j’ai tiré un coup de carabine. Elle a reculé en grognant, elle m’a contourné et m’a mordu le mollet droit, je suis tombé, elle me bouffait la jambe, j’ai réarmé ma carabine et j’ai tiré. Elle est morte cinq mètres plus bas», a déclaré le prévenu, aujourd’hui âgé de 81 ans.

> Premier jour du procès

Au premier jour de son procès devant le tribunal correctionnel de Foix, le chasseur a raconté avoir vu dans sa lunette deux oursons sortir du bois alors qu’il se trouvait en position de tir au cours de la battue.
«Je les ai regardés avec admiration. (...) Je me suis fait tout petit. Puis la mère m’a vu. Nos regards se sont croisés, elle a chargé», a-t-il déclaré à la présidente du tribunal qui lui demandait de résumer la scène de ce 20 novembre 2021.
L’octogénaire est jugé pour chasse dans une zone interdite et «destruction d’espèce protégée», l’ours étant une espèce en voie d’extinction dans le massif pyrénéen, malgré un programme de restauration de la population initié dans les années 1990.
Etait-il au courant «de la présence de l’ours dans le secteur», lui demande Julie Rover, avocate d’associations écologistes constituées partie civile. «Dans ce secteur (où nous chassons), non. Dans la réserve oui», répond le prévenu.
Autre avocat de la partie civile, François Ruffier pointe le risque de cette méthode de chasse, dans une zone de présence potentielle de l’ours.

> Quinze autres chasseurs poursuivis

Quinze autres chasseurs ayant également participé à la battue ce jour-là sont poursuivis pour diverses infractions, notamment chasse non autorisée dans la réserve naturelle du Mont-Valier, sur les hauteurs du village de Seix.
«Ce n’est pas le procès des anti-ours ou des pro-ours, ni de la pro-chasse ou de l'anti-chasse», avait dit en préambule la présidente du tribunal Sun Yung Lazare.
Les chasseurs avaient-ils organisé la battue dans la réserve domaniale du Mont Valier ? La question est au centre des débats.
«La limite est mal marquée (…) on ne sait jamais vraiment où on est», s’est défendu à la barre l’un des deux responsables de la battue.
«Votre obligation de chasseur est de savoir où vous chassez», a rétorqué le procureur Olivier Mouysset. L’enquête a mis en évidence que le plantigrade a été tué à 400 mètres à l’extérieur de la zone de chasse autorisée.
La consigne – rappelée ce jour-là «comme à chaque fois» – est d’arrêter la chasse en cas de présence de l’ours, a ajouté l’autre chef de battue. Mais les chasseurs n’avaient pas connaissance de la présence de l’ours «à cet endroit-là».
Des photos diffusées à l’audience montrent une signalisation de la réserve à peine visible: des R pour réserve de couleur rouge sur fond blanc peints sur des arbres.
«Dans l’ordonnance de renvoi, un agent de l’OFB a qualifié de "biscornue" la signalisation», plaide l’avocat de la défense Charles Lagier.

> À 1.300 mètres d'altitude

L’accident de chasse a eu lieu près du Rocher de l’aigle, dans une zone difficile d’accès à 1300 m d’altitude.
Le blessé en état de choc a été secouru par une chasseuse, également pompier volontaire, qui a réussi à contenir une hémorragie et à donner l’alerte, pour qu’il soit héliporté depuis une clairière, puis hospitalisé.
L’affaire a fait des remous en Ariège, où des chasseurs avaient manifesté devant la gendarmerie de Saint-Girons, durant les gardes à vue des prévenus.
«Les parties civiles veulent faire passer un message. Elles ne sont pas opposées à la chasse, mais pour qu’elle ne nuise pas à l’environnement, il faut faire respecter ses règles», souligne Julie Rover. «Les ours sont menacés d’extinction, la disparition d’une femelle reproductrice, c’est grave et préjudiciable» pour la survie de l’espèce.
Auteur : Aigle 
2280/2312

Date :    21-03-2025 07:12:43


États-Unis
Donald Trump
entame le démantèlement du ministère de l’éducation
Le président américain a signé, jeudi, un décret visant ce ministère, cible récurrente des conservateurs. Faute de pouvoir le supprimer purement et simplement sans l’aval du Congrès, il entend restreindre drastiquement ses prérogatives au profit des Etats.

◄◄281282283284285286287288289►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »