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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
2505/2600

Date :    27-05-2025 18:08:50


MORBIER - Ils foncent encagoulés au volant de belles voitures volées en Suisse

Il y a deux semaines, on apprenait qu’un Grenoblois avait été condamné pour avoir volé une grosse voiture à Genève. Même si c’était la troisième fois qu’il dérobait de belles carrosseries en Suisse, ce jeune Français avait manifestement agi seul. Mais cette fois, les autorités ont eu affaire à quatre hommes, soit ce qui ressemble à un gang. L’un d’eux a été arrêté puis condamné dans la foulée. Les trois autres sont recherchés.
L’histoire a débuté le dimanche 18 juin à Morbier, dans le département français du Jura, non loin de la frontière vaudoise, relate «Le Progrès». Des gendarmes repèrent alors un cortège peu discret composé de trois BMW et d’une Mercedes. Toutes ces voitures portent des plaques suisses et chacune est conduite par un homme encagoulé…
Les gendarmes somment les conducteurs de s’arrêter pour procéder à un contrôle, mais ils accélèrent, prennent la fuite puis accumulent les «dépassements dangereux», en direction des Rousses.
La suite? Les forces de l’ordre vont peu à peu retrouver trois des quatre voitures de luxe, mais pas leurs occupants. Une première a été abandonnée au bord de la route dans la montée vers les Rousses. Une deuxième est dénichée plus tard dans la journée dans l’Ain, à Saint-Genis-Pouilly, à deux pas de la frontière genevoise. Et une troisième sur le parking d’un supermarché des Rousses.
Le conducteur de ce dernier bolide s’est enfui à pied, mais il a été identifié. Il a été vite retrouvé et arrêté. Cet individu de 24 ans a été jugé jeudi de la semaine dernière en comparution immédiate, à Lons-le-Saunier. Il s’agit d’un homme de la région, de Saint-Claude. Il a un casier chargé, raconte le quotidien français, et même un passage de 4 mois à la prison de Fleury-Mérogis.
Pour le procureur, il appartient en fait certainement à un gang qui sévit en Suisse, ou, selon les termes rapportés, évolue «dans un contexte d’association de vols de véhicules de luxe commis en Suisse», rapporte «Le Progrès». La valeur totale des trois BMW et de la Mercedes volées est estimée à un demi-million d’euros.
Ce jeune homme a finalement écopé de 18 mois de prison, dont 6 mois avec un sursis probatoire de 2 ans. En clair: un an ferme. Il a été incarcéré. Les voitures récupérées seront rendues à leurs propriétaires en Suisse. Les trois individus qui ont réussi à prendre la fuite sont toujours recherchés.
Auteur : Mel_C  
2506/2600

Date :    27-05-2025 18:10:43


FRANCE - Quelque 300 écrivains dénoncent un «génocide» à Gaza :

Quelque 300 écrivains francophones, dont deux prix Nobel de littérature, Annie Ernaux et Jean-Marie Gustave Le Clézio, dénoncent dans une tribune parue mardi le «génocide» de la population à Gaza et demandent «un cessez-le-feu immédiat».
«Tout comme il était urgent de qualifier les crimes commis contre des civils le 7 octobre 2023 de crimes de guerre et contre l’humanité, il faut aujourd’hui nommer le «génocide»», écrivent-ils dans cette tribune publiée par le quotidien français Libération.
«Plus que jamais, exigeons que soient imposées des sanctions à l’État d’Israël, demandons un cessez-le-feu immédiat − qui garantisse la sécurité et la justice pour les Palestiniens, la libération des otages israéliens, celle des milliers de prisonniers palestiniens détenus arbitrairement dans les prisons israéliennes, et qui mette un terme, sans délai, à ce génocide», ajoutent-ils.
On retrouve parmi ces signataires des auteurs récemment prix Goncourt, comme Hervé Le Tellier, Jérôme Ferrari, Laurent Gaudé, Brigitte Giraud, Leïla Slimani, Lydie Salvayre, Mohamed Mbougar Sarr, Nicolas Mathieu ou Éric Vuillard.
En réponse à l’attaque sans précédent menée le 7 octobre 2023 dans le sud d’Israël par des commandos du Hamas infiltrés depuis la bande de Gaza voisine, l’armée israélienne mène depuis plus de 19 mois une offensive sur ce territoire palestinien assiégé, affamé et dévasté.
Depuis le 17 mai, Israël a intensifié son offensive pour libérer les derniers otages israéliens, prendre le contrôle de tout Gaza et anéantir le Hamas, mouvement islamiste au pouvoir depuis 2007.
Le terme de «génocide», vivement récusé par Israël, divise les observateurs de cette guerre. Les accusations se multiplient, venant de l’ONU, de groupes de défense des droits humains, et de pays de plus en plus nombreux.
Cette qualification «n’est pas un slogan», estiment les signataires de la tribune, qui refusent de «faire montre d’une empathie générale et sans objet, sans qualifier cette horreur, ni préciser de quoi il s’agit».
L’attaque du Hamas le 7 octobre 2023 a entraîné la mort de 1.218 personnes côté israélien, en majorité des civils, selon un décompte de l’AFP basé sur des données officielles. Sur les 251 personnes alors enlevées, 57 sont toujours retenues en otage, dont 20 vivantes «avec certitude», selon le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.
Les représailles israéliennes ont fait au moins 53.977 morts à Gaza, en majorité des civils, selon les dernières données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l’ONU.
Auteur : Mel_C  
2507/2600

Date :    27-05-2025 18:12:32


CARNET NOIR - L’ancien maire de Paris Jean Tiberi est décédé :

Jean Tiberi, maire RPR de Paris de 1995 à 2001, dernier édile de droite de la capitale, est décédé à 90 ans, a annoncé mardi la maire du 5e arrondissement dont il était élu.
«J’apprends avec beaucoup de tristesse la disparition de Jean Tiberi qui fut quatre mandats durant le maire engagé du 5e arrondissement», a écrit la maire Horizons Florence Berthout sur le réseau X.
«Paris, sa ville, lui rendra hommage», a annoncé la maire socialiste Anne Hidalgo.
«Je veux saluer la mémoire de cet homme qui a consacré une part immense de sa vie à Paris et au 5ème arrondissement, qui perd l’un des siens. Je garderai le souvenir d’un homme chaleureux, avec qui j’avais tissé des relations cordiales et respectueuses.», a-t-elle dit dans un message transmis à l’AFP.
Jean Tiberi avait succédé en 1995 à Jacques Chirac, dont il était un grand fidèle, à la tête de la capitale, qu’il a dirigée jusqu’en 2001 avant d’être battu par le candidat du Parti socialiste Bertrand Delanoë.
Sa carrière politique a été éclaboussée par les affaires. Il avait ainsi été condamné en 2013 en appel, comme en première instance, à dix mois de prison avec sursis, 10願 euros d’amende et trois ans d’inéligibilité pour l’inscription de faux électeurs sur les listes de sa mairie du 5e arrondissement de Paris en vue des élections municipales de 1995 et législatives de 1997.
Son épouse Xavière, décrite comme «omniprésente» à la mairie du 5e, avait elle été condamnée à neuf mois de prison avec sursis et 5000 euros d’amende.
Auteur : Mel_C  
2508/2600

Date :    27-05-2025 18:15:22


ROYAUME-UNI - Voiture-bélier à Liverpool :

Quatre personnes sont toujours hospitalisées dans un état grave mardi après qu’une voiture a foncé sur la foule qui célébrait la victoire du club de foot de Liverpool en première division anglaise lundi soir, faisant près de 50 blessés au total. «Il y a encore quatre personnes qui sont hospitalisées dans un état grave et nous espérons qu’elles s’en sortent très, très rapidement», a déclaré mardi Steve Rotheram, le maire de la région de Liverpool, au lendemain de ce drame, que la police ne considère pas comme terroriste. Quatre enfants figurent parmi les blessés, dont l’un est dans un état grave, selon le dernier bilan des services ambulanciers. «Horreur» est le mot qui s’étale mardi en Une des quotidiens britanniques. Toutes affichent en grand des photos des blessés évacués portant l’écharpe rouge du club de la ville et les images effroyables saisies par des témoins du véhicule sombre qui a percuté la foule.
Les termes employés sont souvent les mêmes pour résumer le sentiment général: «Horreur quand une voiture percute des supporters» titre le tabloïd The Sun, «Horreur à la parade de Liverpool» pour le Times, «L’euphorie puis l’horreur» pour le Daily Mirror, «Carnage à la parade» pour le Daily Mail, «La gloire de Liverpool tourne à l’horreur» pour le Telegraph... Le journal local, le Liverpool Echo, reprend le bilan de la soirée: «Au moins 47 blessés blessés dans l’horreur de la parade des Reds», le surnom des joueurs du club.
Malgré une pluie battante, des centaines de milliers de personnes, beaucoup en famille, s’étaient rassemblées lundi pour célébrer le triomphe de Liverpool FC en Premier League. Les joueurs du club, dont les stars Mohamed Salah et Virgil van Dijk, ont défilé dans un bus à impériale pendant environ quatre heures, ralenti par la foule festive. Tout a basculé vers 18h locales, alors que la parade, s’étendant sur 16 kilomètres, touchait à sa fin. Des images circulant sur les réseaux sociaux montrent une voiture sombre entourée d’une foule de gens, dont certains tapent sur l’habitacle, qui fait marche arrière puis fonce dans le public. On y voit des gens projetés sur les côtés et sur le capot du véhicule, puis des dizaines de personnes s’en prendre à la voiture, probablement pour la stopper ou arrêter le conducteur.
La police a rapidement précisé avoir arrêté «un homme blanc britannique de 53 ans de la région de Liverpool». «Nous pensons qu’il s’agit d’un incident isolé, et nous ne cherchons actuellement personne d’autre. L’incident n’est pas traité comme un acte de terrorisme», a déclaré Jenny Sims, la cheffe de la police du Merseyside, lors d’une conférence de presse tard dans la nuit. Elle a appelé le public à «ne pas faire de spéculation ou répandre de la désinformation sur les réseaux sociaux».
Un témoin cité par l’agence britannique PA a dit avoir vu la voiture, «extrêmement rapide», percuter la foule puis «des gens allongés par terre, des gens inconscients». «C’était horrible. Tellement horrible», a dit ce témoin, Harry Rashid, 48 ans, à la parade avec ses deux filles et son épouse.
«J’ai réussi à attraper ma fille qui était avec moi et à me jeter sur le côté», a raconté Matt Cole, un journaliste de la BBC présent avec sa famille,
«Les scènes qui se sont déroulées à Liverpool sont épouvantables», a réagi le Premier ministre Keir Starmer dans un communiqué, assurant la ville de la solidarité du «pays tout entier».
L’émotion est vive dans le monde du football, plusieurs clubs rivaux de Liverpool, comme Manchester United, Manchester City ou Everton, adressant leurs «pensées» aux victimes, le président de la Fifa Gianni Infantino faisant part lui aussi de ses «pensées et prières à tous ceux qui ont été affectés». Il n’y avait pas eu de parade lors de la dernière victoire du club, en 2020, en raison du Covid-19. C’était la première fois en 35 ans que les fans pouvaient célébrer ensemble un titre de Premier League. Les supporters de foot à Liverpool ont déjà connu un drame, qui continue de marquer la ville portuaire.
En 1989, 97 supporters du club étaient morts dans une bousculade lors d’un match dans le stade de Hillsborough à Sheffield. Plus de 760 personnes ont également été blessées dans cette catastrophe, la plus meurtrière de l’histoire du sport britannique.
Auteur : Mel_C  
2509/2600

Date :    27-05-2025 18:18:03


FRANCE - Les députés votent sur la création d’un droit à l’aide à mourir .....

°°° Réforme sociétale majeure du second quinquennat d’Emmanuel Macron, la création d’un droit à l’aide à mourir pourrait franchir mardi une étape cruciale.

Réforme sociétale majeure du second quinquennat d’Emmanuel Macron, la création d’un droit à l’aide à mourir pourrait franchir mardi une étape cruciale, en étant adoptée en première lecture à l’Assemblée nationale.
Les députés voteront en fin d’après-midi sur deux textes: une proposition de loi d’Annie Vidal (Renaissance) relative à l’accompagnement et aux soins palliatifs, et une autre d’Olivier Falorni (groupe MoDem) créant un «droit à l’aide à mourir», après des explications de vote communes.
Si la première devrait être approuvée à l’unanimité, le vote de la seconde est plus incertain, même si la ministre de la Santé Catherine Vautrin «s’attend à ce qu’elle soit adoptée», selon son entourage.
Une dichotomie illustrée par François Bayrou, historiquement réticent à l’aide à mourir: sur RMC et BFMTV mardi matin, le Premier ministre a affirmé avoir toujours des «interrogations» sur le texte de M. Falorni et indiqué que s’il était député, il «s’abstiendrai(t)".
«J’ai confiance dans la démarche parlementaire pour que toutes les interrogations soient levées», a-t-il ajouté, évoquant le passage du texte au Sénat, dominé par la droite et le centre et nettement moins acquis à cette réforme.
A l’Assemblée, chaque groupe laissera la liberté de vote à ses membres, mais l’hémicycle devrait grosso modo se partager entre d’un côté la gauche et le «bloc central», favorables au texte, de l’autre la droite et l’extrême droite, qui y sont hostiles.
La proposition de loi de M. Falorni crée un «droit à l’aide à mourir» consistant à «autoriser et à accompagner une personne qui a exprimé la demande à recourir à une substance létale», qu’elle devra s’administrer ou se faire administrer «lorsqu’elle n’est pas en mesure physiquement d’y procéder».
Elle définit cinq critères cumulatifs, dont le fait d’être atteint «d’une affection grave et incurable» qui «engage le pronostic vital, en phase avancée» ou «terminale», et présentant «une souffrance physique ou psychologique constante».
Mme Vautrin a défendu ce week-end dans La Tribune Dimanche une loi ouvrant la voie à un «modèle français» d’aide à mourir, «strict et encadré».
Le gouvernement a obtenu au cours des débats l’approbation d’un certain nombre d’amendements, de sorte que «le texte est revenu dans son esprit originel», se félicite l’entourage de la ministre.
La proposition de loi de M. Falorni est en effet issue d’un projet de loi dont les grandes lignes avaient été présentées par Emmanuel Macron en mars 2024. Défendu à l’Assemblée par Mme Vautrin, son examen avait été interrompu par la dissolution.
Soumis à une forte pression des députés, François Bayrou a remis l’ouvrage sur le métier, scindant le texte en deux de manière à laisser la liberté aux députés de voter pour un texte mais pas pour l’autre.
Un amendement du gouvernement a refait de l’auto-administration du produit létal la règle, et de l’administration par un médecin ou un infirmier l’exception, alors que la commission des Affaires sociales avait décidé de laisser le libre choix au patient.
Le gouvernement a aussi fait préciser un des critères d’éligibilité. Tenant compte d’un avis de la Haute Autorité de Santé, le texte affirme désormais que la phase «avancée» d’une maladie se caractérise par «l’entrée dans un processus irréversible marqué par l’aggravation de l’état de santé de la personne malade qui affecte sa qualité de vie».
Les députés ont également approuvé un amendement du président de la commission des Affaires sociales, Frédéric Valletoux (Horizons), renforçant la collégialité de la procédure, et un autre du gouvernement rétablissant un délai minimum de deux jours pour que le malade confirme sa décision.
«C’est un texte qui est profondément équilibré» avec des «critères strictement définis», a défendu devant la presse mardi M. Falorni, soulignant que certains parlementaires avaient pu trouver pendant les débats la loi «trop restrictive» et d’autres «trop permissive».
Auteur : Mel_C  
2510/2600

Date :    27-05-2025 18:20:39


POLEMIQUE / ARDISSON COMPARE GAZA A AUSCHWITZ – Léa Salamé se dit «mortifiée» :

Deux semaines après une séquence vivement critiquée, Léa Salamé a pris la parole en ouverture de son émission «Quelle époque!», samedi 24 mai, pour revenir sur les propos polémiques tenus par Thierry Ardisson, et sa propre décision de ne pas couper la scène au montage.
«Je sais que cette séquence a choqué, je sais qu’elle a blessé des gens», a-t-elle reconnu. L’animateur, invité du programme, avait comparé la situation actuelle à Gaza à celle d’Auschwitz, affirmant: «C’est Auschwitz, voilà, c’est tout ce qu’il y a à dire.» Des propos qui ont immédiatement suscité une vague d’indignation.
L’équipe de l’émission avait déjà publié un message sur X, le 11 mai, dans lequel elle insistait sur le fait que «la Shoah ne saurait être banalisée». Mais avec une semaine de décalage, liée à la diffusion de l’Eurovision, Léa Salamé a voulu apporter sa propre explication et faire part de son ressenti personnel.
«Cela me mortifie parce que je rejette toute banalisation de l’abomination ultime que fut la Shoah», a-t-elle affirmé, visiblement émue. Pour appuyer ses propos, la journaliste a rappelé son engagement de longue date contre l’antisémitisme: «Je n’ai cessé ici et dans tout mon parcours de journaliste de rappeler le mal absolu que fut le génocide nazi, et de faire témoigner les derniers rescapés.»
Elle a également évoqué son histoire familiale: «Tout ce que je suis, mes origines, l’histoire de ma famille – du génocide arménien dans ma famille maternelle aux guerres du Proche-Orient de mon enfance (…) – je me suis battue contre les haines entre les peuples et entre les religions.»
Et de conclure avec détermination: «Je continuerai toute ma vie à essayer de faire entendre une voix de paix et d’apaisement, c’est mon combat.»
Dans un souci d’apaisement, Léa Salamé a aussi défendu Thierry Ardisson, niant toute intention antisémite dans ses propos. «On comprend quand on a écouté l’intégralité de ces propos que Thierry Ardisson laisse éclater son émotion et son indignation à la fois devant la souffrance des Juifs de France comme la souffrance des civils de Gaza.»
Pour rappel, Thierry Ardisson avait présenté ses excuses dès le 11 mai: «L’émotion était sans doute trop forte et mon propos exagéré», avait-il écrit dans un communiqué adressé à «ses amis juifs». Enfin, Léa Salamé a reconnu que la séquence aurait dû être retirée du montage, tout en soulignant que sa reprise partielle sur les réseaux sociaux avait amplifié le malaise. Un épisode qui, selon elle, interroge sur les limites de la technique face aux «dérapages» à l’antenne.
Auteur : Mel_C  
2511/2600

Date :    27-05-2025 18:22:42


CAPRICES DE STAR - Les requêtes impossibles de Meghan Markle à «Vogue» .....

Elle rêvait de faire la une de «Vogue UK» en septembre 2022. À la clé: une couverture retentissante et une mise en lumière de sa participation au sommet One Young World à Manchester. Mais selon des révélations de «Page Six», Meghan Markle a vu ses ambitions contrariées, malgré une proximité ancienne avec Edward Enninful, alors rédacteur en chef du magazine britannique.
À l’origine, le numéro en question devait contenir un article sur Meghan Markle, mais la duchesse de Sussex voulait bien plus: être en couverture, rien de moins. Et pas n’importe laquelle.
«Meghan a demandé à avoir le contrôle sur le photographe, le rédacteur, le montage final, les photos, les textes des couvertures, et elle voulait une couverture mondiale», raconte le média américain. Cela signifie qu'elle espérait apparaître simultanément sur «Vogue UK» et «Vogue US». «Presque personne n’a droit à un tel privilège. Pas même Beyoncé.»
Jusqu’ici, Adele est la seule à avoir obtenu cet honneur, en octobre 2021.
Mais Edward Enninful avait déjà fait son choix: Linda Evangelista, icône des podiums, devait illustrer la une de ce numéro. Et du côté américain, Serena Williams était déjà prévue en couverture. Cela n’a pas freiné Meghan, qui aurait pris contact personnellement avec Anna Wintour.
«Anna n’était pas intéressée», rapporte le journal. «Meghan a demandé à Anna Wintour de lui accorder un appel Zoom pour rediscuter du sujet. Elle a accepté, mais seulement par politesse.»
Déçue par ce double refus, Meghan Markle aurait décliné l’offre d’un long article intérieur, pourtant proposée par Edward Enninful en guise de compromis. «La duchesse et son équipe avaient de grandes attentes et s’attendaient à ce qu’elle obtienne une couverture imprimée ou au moins une couverture numérique, mais Enninful n’a pas été en mesure de répondre à ces attentes», explique encore la source. «Il avait déjà une couverture de magazine en poche pour ce mois-là. (...) Il lui a proposé un long article à l’intérieur du magazine, mais cela ne suffisait pas à Meghan Markle. Elle a refusé le projet. Le rédacteur en chef était furieux.»
Auteur : Mel_C  
2512/2600

Date :    27-05-2025 18:24:04


IRAN - Panahi accueilli par ses soutiens à Téhéran après sa Palme d’or

Le cinéaste iranien Jafar Panahi a été accueilli par ses partisans sans être inquiété lundi à l’aéroport de Téhéran, après avoir remporté la palme d’Or du Festival de Cannes, selon des vidéos publiées sur les réseaux sociaux.
Après des années pendant lesquelles il a été empêché de quitter l’Iran, réalisé des films clandestins et passé plusieurs séjours en prison, le cinéaste a obtenu samedi l’une des plus prestigieuses récompenses du cinéma mondial pour son dernier film «Un simple accident».
Alors que certains de ses soutiens craignaient des difficultés à son retour en Iran, il est arrivé sans encombre, à l’aube lundi, à l’aéroport international de Téhéran, qui porte le nom du fondateur de la révolution islamique de 1979, l’ayatollah Ruhollah Khomeini.
«Il est bien arrivé tôt ce matin à Téhéran» et «il est rentré chez lui», a déclaré à l’AFP le producteur français de cinéma Philippe Martin, qui n’a pas parlé directement au réalisateur mais a pu joindre son entourage.
«Il a même appris qu’il avait obtenu un visa pour aller à un festival à Sydney (en Australie) dans une dizaine de jours», a assuré cette source.
Jafar Panahi a été acclamé en descendant l’escalier roulant jusqu’aux tapis de récupération des bagages, selon des vidéos publiées par l’observateur des droits de l’Homme Dadban sur les réseaux sociaux.
Le cri «Femme. Vie. Liberté !», slogan du mouvement de protestation en 2022-2023 envers les autorités iraniennes, a été entendu dans une vidéo.
À sa sortie de l’aéroport, il a été salué par une dizaine de partisans, selon des vidéos publiées sur Instagram par le réalisateur iranien Mehdi Naderi et diffusées par Iran International Channel, un média en persan basé à l’étranger.» Du sang neuf dans les veines du cinéma indépendant iranien», a salué Mehdi Naderi.
Cet accueil contrastait avec la froide réaction des médias d’État iraniens et des dirigeants du pouvoir à cette première Palme d’or iranienne depuis «Le goût de la cerise», du défunt Abbas Kiarostami en 1997.
«Dans un geste de résistance contre l’oppression du régime iranien, Jafar Panahi emporte une Palme d’or qui ravive l’espoir pour tous les combattants de la liberté, partout dans le monde», a écrit sur X le chef de la diplomatie française, Jean-Noël Barrot.
Téhéran a, en réponse, convoqué le chargé d’affaires français à Téhéran, dénonçant des «propos insultants et (...) allégations infondées», selon l’agence officielle iranienne Irna.
«Je ne suis pas un expert en art, mais nous pensons que les événements artistiques et l’art en général ne doivent pas être exploités (ou utilisés de manière abusive) pour poursuivre des objectifs politiques», a fait valoir lundi le porte-parole de la diplomatie iranienne, Esmaïl Baghaï.
Cette convocation du chargé d’affaires «a été motivée par les propos de bas niveau tenus par des partis français qui ont profité d’un événement international pour proférer des déclarations mensongères et provocatrices contre l’Iran».
Le film de Panahi raconte l’histoire de cinq Iraniens confrontant un homme qu’ils croient les avoir torturés en prison, une histoire inspirée par la propre période du cinéaste en détention.
Après avoir remporté le prix, Jafar Panahi a lancé un appel à la liberté en Iran. «Mettons de côté tous les problèmes, toutes les différences. Ce qui importe le plus en ce moment, c’est notre pays et la liberté de notre pays».

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