Auteur : Mel_C  

Les réactions des élus de Nîmes après l’incendie qui a touché le poste de police et des commerces :
Plusieurs élus et représentants de partis politiques nîmois ont tenu à réagir après l’incendie de la nuit de mardi 20 à mercredi 21 août qui a touché des commerces et le poste de police ouvert la veille.

> Franck Proust (Nîmes Métropole) : Le président de Nîmes Métropole évoque l’incendie et la lutte contre le trafic de drogue. Le président de l’Agglo Nîmes Métropole Franck Proust compte sur la poursuite de l’action des multiples partenaires pour redonner espoir à la population de Pissevin : "La priorité est que, dans ce quartier comme ailleurs, les différentes composantes de la puissance publique, État et collectivités continuent à agir groupées, coordonnées et sans pitié contre ceux qui tentent de bâtir une société parallèle régie par la violence et les trafics. Nous devons parler d’une seule voix et agir d’une même volonté, chacun à son niveau, pour libérer la population de l’oppression du crime et de la délinquance qui affecte l’ordre public dans ces quartiers."

> Yoann Gillet (député RN du Gard) : Le député RN du Gard, déplore le fait que rien n’a changé à Pissevin depuis la mort du petit Fayed. Il déploe le fait que rien n’a changé à Pissevin depuis la mort du petit Fayed. Le député Rassemblement national de la 1re circonscription du Gard Yoann Gillet s’est exprimé sur plusieurs plateaux TV nationales et sur les réseaux sociaux un an après la mort du jeune Fayed et après l’incendie à Pissevin qui a touché le poste de police : "Un an après, rien n’a changé. La raison ? Un manque de moyens, une réponse pénale qui n’a pas évolué et un ministre de l’Intérieur qui ne fait que des coups de com". Après le feu, il a commenté ainsi : "Pendant ce temps-là, Gérald Darmanin tente de faire croire que le quartier n’est plus une zone de non-droit. […] Si les forces de l’ordre font un travail remarquable, le quartier Pissevin reste gangrené par le trafic de stupéfiants et la violence en raison d’un manque de volonté politique".

> Vincent Bouget (PCF du Gard) : L’élu communiste nîmois Vincent Bouget déplore ce nouveau fait-divers à Pissevin. L’élu municipal, premier fédéral du PCF du Gard, Vincent Bouget, revient lui aussi sur l’incendie de Pissevin : "S’il faut attendre les résultats de l’enquête pour connaître les raisons de cet incendie, la proximité du nouveau poste de police, qui a par ailleurs partiellement touché, fait naître bon nombre d’interrogations. Elles doivent être levées rapidement. C’est un nouvel incident important dans ce quartier de la ville. Quoi qu’il en soit, les habitants de Pissevin, comme tous les Nîmois, ont le droit de vivre dans la tranquillité. Les pouvoirs et services doivent renforcer encore leur présence, leur coopération, leurs moyens en concertation avec la population de ce quartier."

Cyberespionnage
META
bloque des comptes WhatsApp
liés à un groupe iranien de piratage informatique
Des responsables politiques proches du président américain, Joe Biden, ou de son prédécesseur, Donald Trump, auraient été la cible d’approches de la part du groupe APT42.

Laurent Wauquiez
a démissionné de la présidence de la région Auvergne-Rhônes-Alpes
Le chef des Républicains à l’Assemblée nationale, élu député le 7 juillet,
a dû quitter la présidence de la région en vertu de la loi sur le non-cumul des mandats. La personne qui lui succédera sera désignée le 5 septembre.

Décès
La chanteuse Catherine Ribeiro est morte à l’âge de 82 ans.
Rock, révoltée, radicale, l’artiste française est morte dans la nuit de jeudi à vendredi,

Tennis :
le numéro un mondial Jannik Sinner
se dit "soulagé" d'avoir été blanchi après des accusations de dopage
Contrôlé positif au clostébol en mars dernier, le numéro 1 mondial a été innocenté par l'Agence internationale pour l'intégrité du tennis (ITIA).

Auteur : Mel_C  

Attaque contre la synagogue de la Grande-Motte :
Quelques heures après l’incendie criminel qui a visé la synagogue de La Grande-Motte (Hérault) samedi matin, un suspect est toujours en fuite et le parquet antiterroriste s’est saisi du dossier. Le point sur l’enquête.
Entre 08h00 et 08h30, samedi, deux véhicules sont incendiés dans l’enceinte de la synagogue Beth Yaacov de La Grande-Motte, dans un quartier résidentiel de la station balnéaire proche de Montpellier, explique le Parquet national antiterroriste dans un communiqué. Deux départs de feux supplémentaires sont relevés au niveau de deux portes d’accès du bâtiment, ajoute le Pnat.
«Plusieurs départs de feu ont été signalés à la gendarmerie par des riverains, à 08h21», a précisé à l’AFP une source préfectorale, en soulignant que dans ce bâtiment logent le rabbin de la synagogue mais aussi d’autres personnes «sans lien avec la communauté juive».
Selon cette source, ces feux ont visé deux voitures stationnées dans une cour intérieure du bâtiment, une pergola servant d’espace de convivialité avec un barbecue, ainsi que la porte même de la synagogue et celle d’une salle de réunion. Un cinquième départ de feu a été mentionné, sur une voiture stationnée à l’extérieur du bâtiment.
Selon le Pnat, une bombonne de gaz présente dans un des véhicules incendiés a explosé. De source préfectorale, quatre autres bonbonnes de gaz, deux grandes et deux petites, se trouvaient sous la pergola, près du barbecue, dont une aurait également explosé.
La synagogue Beth Yaacov Atlan, installée dans un bâtiment d’un étage, dans une zone résidentielle de La Grande-Motte, a été inaugurée il y a douze ans, à l’initiative de deux frères, rapatriés d’Algérie.
Lors des faits, cinq personnes se trouvaient dans le bâtiment, dont le rabbin, mais aucune n’a été blessée. Le seul blessé léger est un policier municipal, touché par «le blast» de l’explosion.
Ce samedi, jour de shabbat, l’office était prévu à 09h00 du matin, selon le site internet de la synagogue. «Il y a eu une vraie volonté d’avoir des victimes, de tuer», a affirmé Perla Danan, présidente du Conseil représentatif de institutions juives d’Occitanie, à l’AFP: «Ca aurait pu être l’heure de l’office si nous étions en hiver».
«C’est une très bonne synagogue, il y a des Parisiens qui viennent célébrer des mariages ici, et surtout l’été il y a énormément de vacanciers à la Grande-Motte et sur le littoral qui viennent prier ici», a insisté Mme Danan.
Sur les images des caméras de surveillance de la synagogue, un homme, relativement jeune, est filmé en train de quitter les lieux en courant, après l’incendie et l’explosion. Le visage découvert, un keffieh rouge sur la tête, un drapeau palestinien autour de la taille, vêtu d’un polo bleu et d’un pantalon, il tient dans chaque main une bouteille d’eau minérale en plastique contenant un liquide jaunâtre.
A la ceinture, la crosse d’une arme de poing semble dépasser. Possiblement un 9 mm, selon une source proche du dossier. «Les forces de sécurité traquent le suspect», a assuré le Premier ministre démissionnaire Gabriel Attal, arrivé à La Grande-Motte en fin d’après-midi. «Tout est fait pour retrouver l’auteur», a ajouté le chef de l’Etat, Emmanuel Macron.
L’enquête : tentative d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste
Le Pnat s’est saisi des faits à 11h00, ouvrant aussitôt une enquête pour tentative d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste, destructions par moyen dangereux en relation avec une entreprise terroriste, et association de malfaiteurs terroriste en vue de préparer des crimes d’atteinte aux personnes.
L’enquête est menée par la sous direction antiterroriste de la police judiciaire, la direction zonale de la police nationale sud et la direction générale de la sécurité intérieure.

Auteur : Mel_C  

INTEMPERIES EN SUISSE :
Pluies torrentielles, violents orages de grêle, voies ferrées inondées, torrents d’eau sur les rails, routes recouvertes d'éboulis, devenues impraticables. Lundi soir, de fortes intempéries se sont abattues sur la Suisse.
À Brienz, dans le canton de Berne, 70 personnes ont dû être évacuées de leurs maisons pour se rendre dans un gymnase. Deux d’entre elles ont été légèrement ou moyennement blessées, a indiqué mardi matin l'Organe régional de conduite du lac de Brienz (ORC). Aucun porté disparu, ajoute le communiqué.
Ce même lundi soir, une coulée de boue a endommagé des bâtiments, des véhicules stationnés, des routes ainsi que l'infrastructure des transports publics. Vers 18 h 30, le Milibach est sorti de son lit à Brienz. Des blocs de pierre et débris de bois ont rempli un collecteur en amont du village. Les matériaux se seraient écoulés de manière incontrôlée dans différentes parties du village de la commune de l'Oberland bernois. Pour des raisons de sécurité, l'ORC a recommandé de faire bouillir son eau potable.
Les liaisons ferroviaires et lacustres de et vers Brienz restent interrompues. Des bus de remplacement ont été mis en place. La traversée du village est en outre interdite dans les deux sens. La zone de Brienz Änderdorf est également fermée jusqu'à nouvel ordre en raison du danger persistant. Au lever du jour, un spécialiste a évalué la situation sur place. L'ORC décidera ensuite de la marche à suivre.
Un habitant de la région, qui vit depuis quinze ans à Brienz, a déclaré qu’il s’agit pour lui «de l'événement du siècle». Le lit du ruisseau est étroit dans sa partie supérieure. «Le fait qu'il y ait autant de bois charrié m'a fortement surpris.»
Le canton d'Argovie a également dû faire face aux conséquences d'un violent orage lundi soir. Comme l'a indiqué le Touring Club Suisse, la route entre Brugg et Hausen a été ensevelie par un glissement de terrain. En raison d'une forte inondation, la route entre Veltheim et Wildegg a été fermée, a-t-on ajouté. On ne savait pas en fin de journée quand les deux voies principales seraient à nouveau praticables de bout en bout.

Auteur : Mel_C  

PARIS :
Un piéton à l’hôpital, un cycliste et deux autres piétons légèrement blessés… Le refus d’obtempérer d’un homme qui avait grillé un feu rouge et roulait en contresens a eu des conséquences sérieuses, mais elles auraient pu être bien plus graves. Les faits se sont en effet produits en plein centre de Paris vers 14 heures. Des policiers avaient alors repéré un véhicule roulant à contresens. Tandis qu’ils voulaient procéder à un contrôle, le conducteur, né en 1982, a pris la fuite. L’homme a refusé « le contrôle d’une patrouille de police après avoir grillé un feu rouge », a précisé le parquet de Paris.