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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    24-08-2024 19:50:45


UKRAINE - RUSSIE :
En décidant de tenir les territoires russes capturés, l’Ukraine va se retrouver dans la position délicate de la force occupante, sans être parvenue à contraindre la Russie à ralentir ses avancées dans le Donbass.
Auteur : Mel_C  
394/1366

Date :    24-08-2024 19:51:52


FUNERAILLES D'ALAIN DELON :
Alain Delon a été enterré dans la chapelle privée de sa propriété de Douchy ce samedi. Dès 16 heures, les obsèques officiées par Monseigneur Di Falco se sont déroulées dans la plus stricte intimité. Parmi la quarantaine de personnalités proches présentes, Vincent Lindon, Paul Belmondo et Rachida Dati.
Auteur : Aigle 
395/1366

Date :    25-08-2024 06:39:29


Pavel Durov, le patron de Telegram,
interpellé à l’aéroport du Bourget
Le milliardaire franco-russe de 39 ans faisait l’objet d’un mandat de recherche émis par des enquêteurs français visant diverses infractions de sa messagerie cryptée. Il devrait être présenté à la justice dimanche.
Auteur : Aigle 
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Date :    25-08-2024 06:48:40


#MeToo :
Ibrahim Maalouf écarté du jury du Festival de Deauville
Ibrahim Maalouf avait été accusé il y a plusieurs années d’agression sexuelle sur mineure, une affaire dans laquelle il a été relaxé en 2020.
Auteur : Aigle 
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Date :    25-08-2024 09:11:21


Le 25 août 1944,
Paris était libérée de l'Occupant nazi par les forces alliées lors de la Seconde Guerre mondiale, au terme de quatre années d'occupation.
Cette année, la capitale célèbre donc les 80 ans de cette libération.
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-08-2024 11:54:47


Incendie devant la synagogue de la Grande-Motte : un suspect interpellé au quartier de Pissevin :
Il était 23h30 ce samedi soir lorsque des tirs ont retenti au quartier de Pissevin. Les forces d'élite du RAID, de la BRI et de la police judiciaire sont intervenues pour déloger et interpeller un homme suspecté d'être l'auteur de l'incendie de la synagogue Beth Yaacov de La Grande-Motte dans l'Hérault ce samedi matin...
Un policier municipal de la cité héraultaise a été blessé près d'une porte de l'édifice, mais il n'y avait pas de cérémonie religieuse dans la synagogue au moment de cet acte criminel. Le rabbin et cinq autres personnes qui étaient à l'intérieur de la synagogue n'ont pas été blessés. Une voiture contenant une bouteille de gaz a explosé devant l'édifice religieux et des portes de la synagogue ont été incendiées.
Depuis samedi matin, la traque de cet individu aperçu sur les caméras à la Grande-Motte en train de quitter les lieux avec un drapeau palestinien, a duré plusieurs heures et a impliqué de nombreux services d'enquête. Une enquête qui est devenue une priorité nationale avec la venue à la grande-Motte ce samedi après-midi du premier ministre. C'est le parquet national antiterroriste qui est saisi de ce dossier.
Selon nos renseignements plusieurs appartements, locaux et caves de la cité sensible de Pissevin ont été perquisitionnés. L'homme interpellé aurait ouvert le feu sur les forces de l'ordre, indique le site "Actu 17" qui révèle l'information. Il serait blessé par balle, mais son pronostic vital ne serait pas engagé. Le suspect serait âgé de 33 ans et serait de nationalité algérienne, selon les informations de BFMTV.
Sur X, le ministre de l'intérieur Gérald Darmanin souligne : "l’auteur supposé de l’incendie criminel de la synagogue a été interpellé. Merci aux effectifs des forces de l’ordre, et principalement du RAID, qui sont intervenus avec beaucoup de professionnalisme malgré ses coups de feu".
Une enquête est ouverte pour "tentative d'assassinats en relation avec une entreprise terroriste", "destructions par moyen dangereux en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste en vue préparer des crimes d'atteinte aux personnes".
Auteur : Mel_C  
399/1366

Date :    25-08-2024 11:59:15


Il y a 80 ans, le GARD était libéré du joug allemand
Il y a des cauchemars qui n’en finissent pas. Celui vécu par les Français lors de la Seconde Guerre mondiale a duré de 1939 à 1945. À la défaite subie en juin 1940 a succédé une douloureuse période d’Occupation par l’armée allemande. Le Gard, d’abord situé en zone libre, est occupé à partir de 1942, le 11 novembre à Nîmes, le 6 décembre à Alès et le 1ᵉʳ janvier 1943 à Anduze. La période connaît son cortège d’horreurs et 10.700 soldats de la Wehrmacht s’installent dans le Gard, dont plus de 2.158 à Nîmes. Vient alors le temps des restrictions et du marché noir.
« À une situation économique désastreuse, s’ajoute une politique collaborationniste menée par Angelo Chiappe, préfet du Gard. En 1940, le Gard a une réputation de département difficile de par la forte implantation du Front populaire et du Parti communiste français », rappellent les archives départementales du Gard dans la publication « La Libération dans le Gard ». Le préfet procède à la dissolution de 63 conseils municipaux, dont ceux d’Alès, Beaucaire, Bessèges, La Grand'Combe et Nîmes. Alors, la résistance s’organise dans les Cévennes au début de l’année 1943, avec quatre réseaux.
À Nîmes, c’est René Rascalon, un artisan plombier, qui crée le maquis dans le quartier de « L’eau bouillie ». Mais après cette longue nuit, les prémices de la Libération sont perceptibles à partir de l'été 1944 avec des actions de la Résistance qui se font plus nombreuses. De son côté, l’aviation alliée bombarde Nîmes le 27 mai. Le bilan est lourd avec 271 morts et 289 blessés. Les centaines de bombes lâchées sur la ville détruisent 443 immeubles et font plus de 5 000 sinistrés. D’autres bombardements, qui ont lieu les 6 et 22 août, touchent des ponts de la Vallée du Rhône. Pont-Saint-Esprit (15 août) et Roquemaure (18 août) sont aussi victimes des bombardements.
Dans les Cévennes, les combats sont terribles entre la milice, créée dans le Gard le 2 mars 1943, et les maquisards. Face à la Résistance, le régime de Vichy est impitoyable. À Nîmes, le 2 mars 1944, 15 otages sont pendus sous les arches de la voie ferrée. En juin, 29 résistants sont exécutés et jetés dans le puits de la mine désaffectée de Célas (commune de Mons). Malgré ces horreurs, l’Histoire est en marche. Le 6 juin, les alliés débarquent sur les plages normandes, puis en Provence le 15 août. La déroute allemande approche. Alès est libérée au matin du 21 août où les affrontements ont surtout lieu route de Montpellier et en direction de Saint-Christols-lès-Alès.
Si les Cévennes se libèrent, Nîmes souffre une dernière fois avec un troisième bombardement dans la nuit du 22 au 23 août. Le lendemain, des maquisards investissent la caserne Montcalm sans opposition. Les FTP (Francs-tireurs et partisans) installent leur poste de commandement sur le boulevard Gambetta tandis que 2 000 membres FFI (Forces françaises de l’intérieur) sont acclamés par les Nîmois. « Nous habitions route d’Alès, et le jour de la Libération, des maquisards sont venus s’installer à nos fenêtres, avec des mitraillettes pour tirer sur les Allemands qui pourraient fuir la ville. Dans la journée, j’étais dans le centre-ville avec ma mère et nous avons vu des collaborateurs qui étaient attachés aux grilles des arènes. Ils ont fini par être abattus », se souvient Jean-Claude qui avait 5 ans à l'époque.
C’est le 25 août que la cité des Antonins est enfin libérée. Le lendemain, c’est autour de Bagnols-sur-Cèze de retrouver sa liberté, sans combat puisque les Allemands ont déjà quitté la ville. Mais alors que la population fait la fête, les alliés, croyant voir un colonne allemande, bombardent le pont de la Cèze. La terrible méprise ne fait heureusement que des dégâts matériels. Un incident similaire, mais plus dramatique, a déjà eu lieu à Aigues-Vives, dans le nuit du 23 au 24 août. Les villageois sentant la Libération arriver, organisent un bal place du Temple.
Mais la fête tourne au drame puisqu’un avion (dont l’origine n’a jamais été identifiée) bombarde le village, faisant 12 morts. Dions, La Madelaine et Salinelles sont aussi bombardés par l’aviation alliée. Alors que les troupes du Général De Lattre de Tassigny défilent dans les rues de Nîmes (25 août), des combats ont encore lieu dans le Gard. Le lieu-dit « Les Barraques », sur la commune d'Euzet-les-Bains, est le théâtre d’un violent affrontement entre une colonne allemande et la 7207e compagnie FTP. Une dizaine de maquisards y perd la vie. Le sang coule à nouveau le 27 août à Saint-Just-et-Vacquières.
Les combats sont féroces et les Allemands envahissent le village pour s’y livrer à diverses exactions sur les habitants. Un massacre est évité puisque des otages parviennent à s’enfuir. Le village est libéré le 28 août par des blindés alliés venus d’Uzès. Ce jour-là, le Gard est définitivement libéré. Au lendemain du conflit, la préfecture du Gard annonce que 231 civils ont été tués par fait de guerre, 295 personnes assassinées par les Allemands, la milice et la Gestapo, 5 670 déportés ou requis au Service du travail obligatoire, dont 258 morts en déportation. Quant aux bombardements des alliés, ils ont coûté la vie à 343 civils et détruit 5 000 immeubles.


Auteur : Mel_C  
400/1366

Date :    25-08-2024 12:04:29


Val-de-Reuil dans l’Eure /
Depuis plusieurs années, le magasin Auchan de Val-de-Reuil, dans l’Eure, fait face à de nombreux vols de chariots. Pour y remédier, depuis juillet 2024, les chariots ne sont plus en libre-service sur le parking. Les clients doivent désormais se rendre à l’accueil du magasin pour en obtenir un en échange de leur carte d’identité, qu’ils récupèrent après avoir rapporté le chariot, rapporte France Bleu Normandie.
Cette mesure vise à contrer "la forte disparition" des chariots. Certains jours, il n’y a aucun chariot de disponible pour les clients."On a acheté 600 chariots l’année dernière et je n’en ai plus du tout. J’en ai fait revenir 150 d’un autre magasin en début d’année et j’en ai de nouveau plus", explique Laurine Dauget, la directrice auprès de nos confrères.
Les habitants de Val-de-Reuil ont reperé des chariots abandonnés dans la ville, au bord des routes ou encore dans la rivière. "En promenant le chien, mon mari en voit plein par là-bas. Ils trainent partout dans la ville, les gens font n’importe quoi", se désole Nicole, une habitante de la commune.
Ces chariots servent parfois "de barbecues ou sont endommagés par des jeunes", reconnaît la directrice. Si certains clients ramènent leur chariot après avoir transporté leurs courses à domicile, beaucoup ne le font pas.
Malgré l’achat de chariots d’occasion, le coût reste élevé pour l’entreprise, entre 80 et 130 euros par chariot. Cette nouvelle procédure, bien qu’efficace, a surpris certains clients, notamment les personnes âgées comme Josiane et Lydie."C’est fatigant de faire ces allers-retours entre le magasin et la voiture. L’ennui c’est que tout le monde est pénalisé, même ceux qui respectent les règles !", regrettent-elles.

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