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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 19:46:36


BELGIQUE - Une action collective en débaptisation suite aux propos du pape sur l’IVG :
La visite du pape en Belgique, et surtout les propos qu’il a tenus, sur les femmes et sur l’avortement, ont profondément choqué l’ancien ministre socialiste Rudy Demotte. "Intolérable", assène-t-il. Il a demandé à se faire débaptiser et appelle les autres citoyens à faire de même.
Dans un post sur Facebook, celui qui fut aussi bourgmestre de Flobecq et de Tournai évoque les propos "absolument infâmes et profondément réactionnaires" du souverain pontife, et il explique sa démarche : "Rester sans agir reviendrait à cautionner une attitude qui ne correspond plus à mes valeurs. C’est pour cette raison que j’ai décidé de demander officiellement mon débaptême."
Pourquoi en faire une déclaration publique ? Rudy Demotte nous explique qu’en tant que personnalité publique, il ressentait le devoir de parler. "Je pense qu’entendre cette voix-là peut être utile à des gens qui attendent d’être réconfortés par rapport au malaise éprouvé face à ces propos."
Il assure pour autant ne pas partir en croisade contre l’Église, dont il perçoit aussi les courants plus progressistes. Une Église dont il s’était par ailleurs, il le reconnaît, déjà distancié depuis longtemps. "Je suis un agnostique militant. J’ai toujours prôné le libre examen, je suis issu de l’ULB. Je suis aujourd’hui quelqu’un d’engagé dans la cause laïque, mais ça n’empêche que j’étais aussi l’héritier, par ma mère, de cette partie positive des valeurs héritées de l’Église catholique et de ces courants progressistes."
Rudy Demotte ne s’arrête pas là. Dans son texte, il lance un appel à ceux qui, comme lui, "ne peuvent plus tolérer les dérives actuelles de l’Église" : "Je vous invite à vous débaptiser." Et il propose même un modèle de lettre de débaptisation.
Il sait que la débaptisation n’est que symbolique. L’Église ne débaptise pas, elle considère cet acte comme irréversible. Il s’agit simplement d’une sorte de mention de contestation dans le registre des baptêmes. Mais pour l’homme politique aujourd’hui retraité, cet acte symbolique pourrait avoir un impact très concret. "En Belgique, les cultes sont financés par les pouvoirs publics. En vous débaptisant, vous créez un débat sur la légitimité de ce financement. […] Chaque débaptême pourra avoir un impact direct sur une institution qui perpétue des discours inacceptables."
"La démarche de débaptisation ne sert qu’à une seule chose, c’est satisfaire la personne qui l’entreprend. Elle n’a aucun autre impact" réagit Caroline Sagesser, historienne, chargée de recherches au sein du secteur sociopolitique du CRISP (Centre de recherche et d’information socio-politiques), et spécialiste notamment du financement des cultes.
Le financement des cultes n’est pas lié au nombre de croyants qui y adhèrent. "Il dépend surtout du nombre de prêtres. Le financement du SPF Justice va diminuer au fur et à mesure que les prêtres décèdent ou atteignent l’âge de la retraite." L’autre volet du financement, essentiellement via les communes et les provinces, concerne les églises au sens des bâtiments, il dépend donc là du nombre d’églises reconnues.
Le débaptême n’a même aucun impact sur une quelconque statistique, affirme encore Caroline Sagesser, "puisque nous ne disposons pas en Belgique d’un décompte de toutes les personnes qui sont baptisées. La seule chose que l’on a, c’est le nombre de baptêmes administrés sur une année, mais nous ignorons aujourd’hui combien de personnes sont baptisées en Belgique."
Cela n’empêche pas que cette démarche soit régulièrement remise en lumière, comme à la suite de LA DIFFUSION DU DOCUMENTAIRE "GODVERGETEN", SUR LES ABUS SEXUELS AU SEIN DE L’ÉGLISE, QUI AVAIT SECOUE LA FLANDRE. "Je me souviens même que LORS DE LA VISITE EN BELGIQUE DU PAPE JEAN-PAUL II EN 1985, il y a eu une première vague de démarches de ce type-là, raconte l’historienne. Ce sont les propos du pape condamnant l’usage du préservatif au moment de l’épidémie de sida qui a généré cette opposition. Donc, il y avait eu une première vague au milieu des années 80, puis ça s’était un peu calmé. Et ensuite, effectivement, périodiquement, ça revient."

> Chaque année, on dénombre un peu plus de mille débaptêmes. En 2021, le nombre de Belges qui ont demandé à être " débaptisés " a même atteint 5.237.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 19:48:15


U.S.A. - Pour le procureur Jack Smith, Donald Trump ne devrait pas bénéficier de l’immunité pour l’assaut du Capitole :
Dans un document de 165 pages publié malgré les tentatives des avocats trumpistes d’en bloquer la diffusion, le procureur spécial estime, contre la décision de la Cour suprême, que nombre d’actes commis par l’ancien chef d’Etat le 6 janvier 2021 ne relèvent pas de sa fonction présidentielle
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 19:53:35


GISELE PELICOT - Des vidéos des viols de Mazan ont été montrées au public pour la première fois :
Le procès emblématique des violences faites aux femmes se poursuit. Pour la première fois ce vendredi, des vidéos et des photos des viols de Mazan ont été diffusées dans le tribunal d’Avignon. Elles n’ont pas fait évoluer la position des accusés. Ils ont presque tous maintenu qu’ils pensaient participer au «scénario» libertin d’un couple échangiste.
A la mi-journée, après un débat de près de deux heures entre les parties, la cour criminelle de Vaucluse a décidé de revenir sur la décision initiale de son président, Roger Arata, et de diffuser les vidéos des viols, soigneusement archivées par Dominique Pelicot, en présence de la presse et du public.
Neuf vidéos et quelques photos ont donc été montrées. Toutes concernaient les sept accusés dont les cas étaient examinés cette semaine. Au total, 51 hommes sont jugés, parmi lesquels Dominique Pelicot, le mari de Gisèle, qui a reconnu avoir drogué son épouse à son insu à de nombreuses reprises entre 2011 à 2020, afin de la violer et de la faire violer par des dizaines d’hommes qu’il avait recrutés sur internet.
Pendant près d’une heure et demie, ces images ont été diffusées sur les écrans de la salle d’audience, où tout le monde retenait son souffle, et sur ceux d’une salle annexe où une soixantaine de membres du public avaient pris place.
Sur le banc des parties civiles, Gisèle Pelicot est restée la plupart du temps penchée sur son téléphone portable. En face d’elle, dans le box des accusés, son ex-mari se cachait les yeux d’une main ou détournait le regard.
Les autres accusés ont adopté des attitudes variées: sans broncher, certains se sont regardé s’affairer autour de la victime qui gisait sur le lit de la chambre conjugale à Mazan, dans le Vaucluse. D’autres ont préféré regarder le sol.
Brièvement interrogés, tous ont toutefois maintenu leur ligne de défense. Jean, 52 ans, affirme qu’il n’a «toujours aucun souvenir» de cette soirée. Redouane assure qu’il était «terrorisé» par Dominique Pelicot, même si «ça ne se voit pas». Un troisième explique ne pas avoir entendu les ronflements de Gisèle Pelicot ou avoir «espéré qu’elle se réveille à la fin».
Le 20 septembre, après la diffusion de premières vidéos et photos, le magistrat avait décidé d’exclure la presse et le public pour les projections ultérieures, en raison de leur caractère «indécent et choquant». Gisèle Pelicot et ses avocats avaient alors décidé de contester cette mesure. Ce vendredi matin, ils ont reçu le soutien du ministère public. Après le revirement de la cour, ils ont immédiatement parlé de «victoire».
«Pour Gisèle Pelicot, il est trop tard, le mal est fait. Les 200 viols qu’elle a subis par ces dizaines d’hommes qui sont venus la violer dans sa chambre à coucher alors qu’elle était inconsciente, la brutalité des débats qui se tiennent dans cette salle, elle devra vivre avec pour le restant de sa vie», a déclaré Me Babonneau.
Pour son autre avocat, Me Antoine Camus, ces vidéos «font s’écrouler la thèse du viol accidentel» et montrent qu’il «était en réalité question de haine de la femme»: «Aucun n’a dénoncé les faits, chacun a contribué à sa petite échelle à cette banalité du viol, à cette banalité du mal».
> «La justice n’a pas besoin de ça pour passer, à quoi bon ces projections nauséabondes?», avait en revanche plaidé Me Olivier Lantelme, l’un des avocats de la défense, opposé, comme plusieurs de ses collègues, à ces diffusions. L’audience rependra lundi avec l’examen d’un nouveau groupe de cinq accusés. Le verdict est attendu à la mi-décembre;
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 19:57:19


SHEIN - Le plagiaire plagié (ou l’arroseur arrosé)
Le géant chinois de l’ultra- «fast fashion», lui-même coutumier du plagiat, accuse son concurrent Temu de non-respect de la propriété intellectuelle. Une pratique qui semble indissociable de ces modes de production très rapides
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:02:32


PROTECTION DE LA BIODIVERSITE - Le canton de Vaud (Suisse) intensifie la lutte contre le frelon asiatique :
Le Canton de Vaud intensifie sa lutte contre le frelon asiatique. Il fait appel à un spécialiste et à la protection civile pour limiter la prolifération de l’insecte sur le territoire cantonal. De nouvelles techniques de repérage ont pu être testées et quelque 80 nids ont été détruits depuis cet été, indique-t-il vendredi.
«Afin de monter en puissance dans la lutte contre le frelon asiatique, la Protection Civile Vaudoise a été engagée dès cet été afin d’appuyer les équipes dans la recherche de nids sous la conduite de Daniel Cherix, professeur honoraire de l’Université de Lausanne, mandaté par la Direction Générale de l’Environnement. Cette collaboration est une première suisse dans la lutte contre cette espèce invasive», écrit le Canton.
Après avoir reçu une formation et effectué des repérages, les membres de la PCi sont intervenus au mois d’août dans le secteur Prangins/Nyon, en septembre dans le secteur Mies/Tannay et Gland, puis à Cheseaux-Noréaz. Deux vols de nuit de drone pour un essai de reconnaissance thermique de nids se sont également tenus fin août et mi-septembre. Au total, 35 membres de la PCi ont été engagés dans ces différentes opérations, est-il détaillé dans un communiqué.
Une nouvelle technique d’identification des nids, mise à disposition par la HEIG-VD et cofinancée par la Région Nyon, a été testée pour la première fois dans le secteur de Gland. Un certain nombre de frelons ont été équipés de puces, afin d’effectuer des relevés permettant d’identifier plus précisément l’emplacement des nids.
Les équipes d’apiculteurs bénévoles du professeur Cherix ont ensuite procédé à la destruction des nids, identifiés avec l’aide de spécialistes formés. Quelque 80 nids ont ainsi été détruits depuis le début de l’année.
«Ces travaux de détection et de destruction contribuent à la préservation de l’écosystème local et à la limitation de la prolifération d’espèces exotiques envahissantes sur le territoire cantonal», explique encore le Canton de Vaud.
Provenant d’Asie, le frelon asiatique est une espèce très invasive, capable de se reproduire très rapidement, qui s’attaque aux vergers et aux abeilles, impactant la biodiversité locale et l’économie agricole. Il peut représenter un risque pour les personnes souffrant d’allergie ou dérangeant un nid.
Venu de France, le frelon asiatique a atteint la Suisse en 2017. Il s’est d’abord propagé progressivement puis de manière accélérée durant la saison apicole 2023 le long de l’Arc jurassien et en Suisse romande. On comptait dans le canton de Vaud quatre nids en 2022, 40 en 2023 et une centaine cette année, alors que la saison du frelon asiatique n’est pas encore arrivée à son terme, selon la Direction Générale de l’Environnement.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:06:24


FIEVRE OVINE :
Michel Barnier laisse tomber des centaines d’éleveurs. En visite au Sommet de l’élevage près de Clermont-Ferrand vendredi 4 octobre, le premier ministre a précisé le budget débloqué en réponse à l’épidémie qui décime les troupeaux de brebis depuis cet été. Laissant de côté une bonne partie des exploitations touchées.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:07:59


NORD
Humiliations, travail forcé et violences : des « familles d’accueil » illégales ont abusé de dizaines d’enfants pendant sept ans. Des violences de toutes sortes, dont sexuelles : c’est ce que révèlent avoir vécu des dizaines d’enfants placés par l’aide sociale à l’enfance du Nord chez des familles d’accueil qui ne disposaient pas d’agrément. Dix-neuf personnes doivent être jugées pour ces faits prochainement.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:09:05


MIGRATIONS :
Bruno Retailleau veut prolonger la rétention administrative : une idée populiste contredite par les chiffres. Le ministre de l’intérieur souhaite doubler la durée d’enfermement des étrangers en situation irrégulière dans les centres de rétention administrative. Sa position est pourtant démentie par la réalité : la durée de rétention n’a pas d’impact sur le taux d’éloignement.

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