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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-10-2024 21:24:00


Cabaret "Chez Michou" (PARIS) repris par Gad Elmaleh :

L’acteur et humoriste Gad Elmaleh a été choisi par la justice pour racheter le fonds de commerce de l’emblématique cabaret transformiste parisien «Chez Michou», en liquidation judiciaire, selon le jugement consulté mardi par l’AFP. En reprenant ce lieu iconique de Montmartre et du Paris touristique, Gad Elmaleh «en fera un lieu de comédie et d’humour, tout en gardant l’âme des lieux», a expliqué à l’AFP le service de communication de l’acteur, qui n’a cependant pas racheté la marque «Chez Michou».
> Le fondateur de l’établissement, surnommé Michou, est décédé début 2020. Le cabaret transformiste a ensuite connu des difficultés financières, et a été mis en liquidation judiciaire mi-juillet.
> Gad Elmaleh, 53 ans, a été choisi par le tribunal de commerce de Paris pour reprendre les lieux, fermés depuis la fin juin avant leur 68e anniversaire, et dont les 23 salariés, artistes et personnel de salle, ont été licenciés.
> Pour Catherine Catty-Jacquart, la nièce de Michou, «Gad Elmaleh va continuer à faire vivre le «80 rue des Martyrs» tombé entre de bonnes mains comme Michou l’aurait aimé. On aurait été malheureux que le lieu devienne autre chose qu’un cabaret».
> Avec le fonds de commerce de "Chez Michou", Gad Elmaleh s’offre une adresse internationalement connue, dont l’emblématique fondateur, surnommé «le prince bleu de Montmartre», a inspiré dans les années 1970 «La Cage aux folles»
Auteur : Mel_C  
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Date :    08-10-2024 21:24:33


AUX PAYS-BAS, UN EMPLOYÉ DE MUSÉE CONFOND UNE ŒUVRE AVEC UN DÉCHET …. ET LA JETE PAR ERREUR AUX ORDURES :

Pensant jeter deux simples canettes de bière vides à la poubelle, c'est en fait une œuvre d'art qu'un employé de musée a mis aux ordures selon l'AFP. Plus précisément, Tous les bons moments que nous avons passés ensemble réalisée par l'artiste français Alexandre Lavet. Cette œuvre exposée dans une cage d'ascenseur en verre, conservée au musée LAM de Lisse représente deux canettes de Jupiler, l'une vide, l'autre écrasée.


Auteur : Mel_C  
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Date :    08-10-2024 21:24:58


DÉCÉS DE EDNA TEPAVA, MISS FRANCE 1974 :
Cindy Fabre, directrice du comité Miss France depuis 2022, a partagé une triste nouvelle ce lundi 7 octobre: le décès d'Edna Tepava, Miss France 1974. L'ancienne reine de beauté, qui s'est éteinte à 69 ans, avait mené «un long et héroïque combat contre la maladie», selon les déclarations de sa famille. Edna Tepava, atteinte d’un cancer, suivait un traitement par chimiothérapie depuis deux ans. Élue à seulement 18 ans, Edna, représentante de Tahiti, avait marqué l'histoire en devenant la première Polynésienne à remporter la couronne de Miss France. Son héritage familial se perpétue, puisque sa nièce, Mareva Georges, a également été couronnée Miss France en 1991.
Auteur : Mel_C  
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Date :    09-10-2024 10:46:26


LOT-ET-GARONNE : une cavalière renversée et laissée inconsciente, son cheval poignardé sept fois
Une promenade à cheval, qui se transforme en drame. Alors qu’Audrey et Champion se baladent ce vendredi dans le Lot-et-Garonne, à Bon Encontre près d’Agen, une voiture arrive vite dans son dos. La cavalière de 26 ans voit deux hommes sortir et son cheval, effrayé, s’est mis à cabrer, raconte France 3 Nouvelle-Aquitaine.
Le dernier souvenir d’Audrey sera sa chute. La suite, c’est la propriétaire du lieu qui accueillait le cheval Champion en pension. C’est elle qui a découvert l’animal. "Audrey a dû rester inconsciente. Quand elle s’est relevée, elle ne trouvait pas son cheval. Il y avait du sang partout sur le chemin".
Finalement l’animal est retrouvé un peu plus loin, mort. "Il a été tué à coups de couteau, de manière gratuite. C’est de la barbarie", dénonce-t-elle.
La cavalière, elle, a été prise en charge par les secours. Elle reste très choquée par ce qui est arrivé mais ne présente pas de blessures. Il semble que les agresseurs s’en soient essentiellement pris au cheval. Dans un post publié sur Facebook, la pension équine dénonce l’acte "barbare et lâche" des criminels qui ont tué Champion. "L’endroit des coups portés ne lui laissant aucune chance, ils savaient ce qu’ils faisaient".Une théorie que rejoint un couple présent au moment où le cheval a été retrouvé. Interrogés par France 3, ils ont estimé que "seules des personnes connaissant bien les chevaux ont pu commettre cet acte". La gérante de la pension, interrogée par La Dépêche abonde. "Un pur-sang anglais comme Champion pèse à peu près 500 kg ! Et avec un animal qui se cabre, dans l’énervement, il a fallu que les coups soient portés avec beaucoup de précision".

> Une enquête a été ouverte. La police technique et scientifique a été dépêchée et les investigations sont diligentées par le parquet d’Agen.
Auteur : Mel_C  
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Date :    09-10-2024 10:49:15


Drame à Millas :
"On a vu le bus pousser tranquillement la barrière" du passage à niveau, ont affirmé mardi deux témoins de l'accident mortel de car scolaire de Millas (Pyrénées-Orientales), au procès en appel de la conductrice, mettant à mal la défense de cette dernière.
En début de journée, Nadine Oliveira, la prévenue, avait commencé son audition par ces mots : "J'ai fait appel parce que les barrières étaient levées". La conductrice de car de 55 ans n'a jamais changé de version depuis sa première garde à vue: selon elle aucun signal, ni sonore, ni lumineux, ni aucune barrière ne l'ont dissuadée de s'engager sur le passage à niveau de Millas.
Le 14 décembre 2017, le car ramenant 23 collégiens chez eux après les cours s'était trouvé au milieu des rails lorsqu'un TER l'avait percuté à 75 km/h, une collision qui a fait six morts et dix-sept blessés, dont certains grièvement. Nadine Oliveira, qui avait dû être hospitalisée après 4 jours d'audience lors du premier procès, avait été condamnée en son absence à 5 ans de prison dont un an ferme.
Mardi matin, elle a été capable de retracer, minute après minute, le déroulé de la journée du drame, ne fondant en larmes qu'à l'évocation de son issue, quand elle s'est réveillée au milieu "des cris et des pleurs des enfants".
La journée du 14 décembre 2017 avait commencé "comme d'habitude", par un état des lieux de son car. Nadine Oliveira était dans un état "normal" selon ses dires. Pour son dernier trajet de la journée, elle n'était "pas pressée", et connaissait par cœur ce parcours qu'elle empruntait quatre fois par jour.
Mais sa version des faits a été largement contredite par l'enquête, et par les différents témoignages des personnes présentes sur les lieux.
Tout d'abord celui d'un employé de la Saur, une entreprise d'assainissement, qui, voyant les barrières du passage à niveau se fermer, attendait avec son collègue de l'autre côté de la route lorsqu'il a vu que "le bus a poussé tranquillement la barrière, comme si on ouvrait une porte".
"On était sidérés avec mon collègue, on s'est demandé 'Qu'est-ce-qu'elle fait, mais qu'est-ce-qu'elle fait?'". Interrogé à plusieurs reprises sur la certitude de ses souvenirs, le témoin a assuré que ce jour était "gravé à jamais" dans sa mémoire : "on était sous le choc, c'est à cause des cris des enfants qu'on a réagi". "Peut-être qu'elle ne l'a pas vue, le bus est tellement haut", a envisagé ce témoin.
Un autre automobiliste, lui aussi arrivé sur les lieux au moment de la fermeture du passage à niveau, a validé cette version : "le bus a poussé la barrière tout doucement, il n'y a pas eu de choc". Le directeur d'enquête, interrogé mardi matin, a confirmé qu'après l'accident, la barrière a été retrouvée "tordue, en position fermée" et qu'aucune défaillance du passage à niveau n'avait été constatée.
Pour expliquer le geste de Mme Oliveira, il a évoqué "la force de l'habitude" : la conductrice avait emprunté ce passage à niveau 400 fois et ne l'avait jamais trouvé fermé. Mais aussi "l'hyperconcentration dont elle a fait preuve pendant sa manœuvre", une manœuvre décrite par tous comme "compliquée" pour aborder le virage devant le passage à niveau, et que la conductrice a détaillé minutieusement aux enquêteurs.
Sept ans après les faits, ce major de gendarmerie plus habitué aux enquêtes criminelles a décrit "une scène de guerre". L'employé de la Saur, "marqué à vie", se souvient toujours d'"une fille blessée à la tête et d'un petit garçon au poignet écrasé, ils pleuraient sans s'arrêter".
Auteur : Mel_C  
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Date :    09-10-2024 10:52:00


Marseille :
À Marseille, la sidération a laissé place à l’émotion et aux questions. Plusieurs centaines de personnes se sont rassemblées, ce mardi, dans le 14e arrondissement, pour les obsèques de Nessim Ramdane, chauffeur VTC de 37 ans, froidement abattu vendredi dernier par un tueur à gages de 14 ans.
Ce père de famille "faisait l’unanimité", a expliqué Boualem Kathir, imam et directeur de la mosquée, au micro de BFMTV.
"Il s’agit d’une victime qui, ni de près ni de loin, a un quelconque lien avec le trafic de stupéfiants", a souligné le procureur.
Selon le parquet, le chauffeur VTC aurait pris en charge, en effet, le tueur comme client. Il a été abattu parce qu’il refusait de l’attendre, pendant qu’il allait exécuter son contrat.
L’affaire a relancé le débat sur le trafic de stupéfiant qui gangrène la cité phocéenne. Mais, surtout, l’âge du tueur présumé interpellé. Cet adolescent, placé en détention provisoire, fait partie des plus jeunes tueurs à gages recrutés par les gangs, selon une enquête du Parisien.
Mais il est loin d’être un cas isolé. Un mineur de 15 ans recruté par le même commanditaire présumé, un détenu de Luynes, près d’Aix-en-Provence, pour intimider un rival d’un autre gang de dealers, a d’ailleurs été placé sous contrôle judiciaire avec obligation de résider dans un centre éducatif fermé loin de Marseille.
Un autre jeune de 15 ans mandaté pour cette opération d’intimidation a, lui, été tué, poignardé d’une cinquantaine de coups de couteau puis brûlé vif.
Le procureur de la République de Marseille, Nicolas Bessone, a pointé, dimanche, "un ultra-rajeunissement" des auteurs d’homicides en lien avec le milieu marseillais. Il y a "une perte totale de repères qui va faire que des jeunes garçons vont répondre à des annonces, pour aller ôter la vie d’autrui sans aucun remords, sans aucune réflexion".
Et le "rôle des réseaux sociaux commence à nous questionner", a observé le magistrat, soulignant, au passage, l’"amateurisme effrayant" de ces jeunes.
"Ce sont des jeunes issus en majorité des quartiers populaires, en décrochage scolaire, dont les familles sont pour beaucoup monoparentales", analyse Laëtitia Linon, figure de la lutte contre le narcotrafic marseillais, citée par La Dépêche.
"La plupart du temps, ils débutent au bas de l’échelle, souvent comme guetteurs, puis ils gravissent les échelons. Depuis quelques années, on voit aussi des filles s’impliquer dans le milieu, même si ça reste marginal", explique-t-elle.
L’embrigadement de ces jeunes commence souvent par "des choses simples". "Les gérants des réseaux remarquent les mômes fragiles et s’engouffrent dans la brèche. Ça va commencer par des “Va me chercher un sandwich”, “prends-moi des clopes au tabac”, et puis, c’est la spirale", décrypte Laëtitia Linon, qui plaide pour un renforcement de la prévention, dès l’école primaire.
Auteur : Mel_C  
687/2351

Date :    09-10-2024 11:03:25


Plantier/Proust :
La question n’est pas de savoir si ces deux protagonistes s’uniront, mais quand ils le feront... Sacré redémarrage ! La saison 3 du Club Objectif Gard a débuté, lundi soir, sur les chapeaux de roues. Notre invité : Julien Plantier, premier adjoint à la ville de Nîmes et candidat putatif aux Municipales 2026. Après la relaxe de Franck Proust dans l’affaire de la Senim, voilà les ambitions du jeune homme contrariées. Le président de Nîmes métropole a désormais les mains libres pour prendre le pouvoir à la ville et à l’Agglo. Sur notre plateau, Julien Plantier dégaine punchlines et éléments de langage, soigneusement préparés. En « transparence et sincérité », il explique avoir proposé au locataire du Colisée un partage du pouvoir, laissant l’Agglo à Franck Proust et lui, la mairie. En bon commercial, il se vend. Habilement, d’ailleurs. On peut aisément supputer que le maire, Jean-Paul Fournier, - qui pour l’instant les laisse se mettre d’accord - a savouré l’entretien. À écouter Julien Plantier, sa qualité serait sa jeunesse. Ses 38 printemps lui permettent de « s’inscrire dans une vision du territoire sur les 20 prochaines années ». Franck Proust, lui ? « Il est père, grand-père… En 1989 quand il a été élu pour la première fois, j’avais trois ans, je rentrais en maternelle ». Et vlan ! Prend toi ça le boomer ! Avec Julien Plantier, papi Proust ira faire sa résistance en maison de retraite. Alors aujourd’hui, la Droite brandit comme un épouvantail le « traumatisme » de la division Bousquet/Lapierre qui a conduit à la victoire de la Gauche en 1995. L’histoire ne bégayera pas avec le couple Plantier/Proust. Après tant d’années passées en politique, leurs mandats deviennent un moyen de subsistance. Qu’elle soit financière, mais aussi sociale et professionnelle. Ce n’était pas le cas de Camille Lapierre, chirurgien reconnu. Du coup, la question n’est pas de savoir si ces deux protagonistes s’uniront, mais quand ils le feront. La vraie division serait celle de Renaissance, leur partenaire de Gouvernement, incarnée à Nîmes par Valérie Rouverand. Face à une Gauche unie et une extrême-Droite plus puissante que jamais, pas une voix de la Droite et du Centre ne doit manquer si l’équipe sortante veut gagner. C'est juste une question de survie.
Auteur : Mel_C  
688/2351

Date :    09-10-2024 11:05:25


FOISSAC :
Un moment suspendu. Du haut de ses 27 ans, Élodie Fougerol s’est accrochée à son rêve et ne l’a jamais lâché, comme une dépendance, comme ensorcelée au milieu de son cerceau. Tout est parti d’une révélation au travail, par le plus grand des hasards pour la jeune femme originaire de Grasse, alors que son binôme de danse de salon avait décidé de voler de ses propres ailes pour poursuivre ses études. “J’ai travaillé dans un magasin de rideau et j’ai beaucoup apprécié le tissu. C’était anecdotique au début, mais cela a pris son importance car par la suite, je suis rentrée dans une école de Pole Dance. La matière de la barre ne m’a pas spécialement plu. À côté, j’ai vu qu’il y avait des cours de tissus. J’ai commencé et c’est devenu une grande histoire d’amour”, raconte empreinte de nostalgie, la danseuse aérienne.
Au fil des enchaînements, le cerceau est devenu son dada. Souple, fluide, rayonnante, la brune au carré est vite rentrée dans le moule pour dévoiler tout son potentiel, dans les airs, tout en gardant les pieds sur terre. “Il y a des choses pour lesquelles on se dit que l’on est doué. J’ai senti pendant les premiers cours que c’était fait pour moi.” Aujourd’hui, elle s’est associée au club de cirque Équilibre 30 à Foissac pour proposer des cours d’aériens.
Le 1er octobre dernier, vers 16h, la danseuse avait revêtu sa combinaison violette, prête à faire des figures ou plutôt à guider des apprentis danseuses circaciennes. À 17h30, une dizaine d’adolescentes arrivent sur les tapis pour le début d’un des cours qu’elle propose depuis cette année. L’entente se fait naturellement avec la professeure lorsque les passions s’allient.
Après l’échauffement, elles effectuent des excercices soit sur tissus ou cerceaux pour les plus téméraires. Sous le regard attentif d’Élodie qui observe tous les détails pendant 1h30, en les conseillant pour les faire progresser : “La première faculté, c’est d’être motivée. Il faut se fixer un objectif et être déterminé à le réussir. Peu importe le temps que ça prendra.”
Son rôle de professeur de voltive aérienne, la virtuose le prend à bras-le-corps. “Le fait de donner des cours m’a apporté une discipline pour moi-même m’améliorer”, confie-t-elle quelques minutes avant de débuter le cours.
Sachant que la discipline enseignée émerge progressivement sur le territoire : “Dans le Gard, il y a une bonne accessibilité à l’apprentissage du cirque, ici à Foissac, à Alès, à Nîmes. Je trouve que nous avons une bonne proposition de spectacles et que nous avons facilement la posssibilité d’en voir avec les différents festivals. Donc une personne qui n’a aucun contact avec le cirque peut se retrouver devant quelqu’un qui fait de l’aérien.”
Inspirée par Jennifer Grey de Dirty Dancing, Élodie Fougerol suit à présent sa propre trajectoire et montre la voie à la nouvelle génération. Avec la passion dans ses yeux, il n’y a aucune façon de cacher son âme d’artiste.

> Élodie Fougerol propose des cours d’aériens, en particulier de tissu, hamac et cerceau, à l’école de cirque Équilibre de Foissac, les mardis de 17h30 à 19h00, des créations de chorégraphies pour une ouverture de bal, un anniversaire ou pour tout autre projet qui vous passe par la tête sur la zone d’Uzès et d’Alès.

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