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Bric à brac
Auteur : Mel_C  
689/2592

Date :    22-10-2024 10:01:26


Eléction présidentielles américaines 2024 :
La course à la Maison-Blanche reste extrêmement serrée à un mois du scrutin. Si la démocrate Kamala Harris creuse son avance dans les sondages nationaux, son rival républicain Donald Trump garde l’avantage dans plusieurs Etats pivots.
Auteur : Mel_C  
690/2592

Date :    22-10-2024 10:03:56


GRANDE-BRETAGNE - Le Royaume-Uni se prépare à un exode de ses grandes fortunes
Le prochain budget britannique, annoncé fin octobre, frappera durement les étrangers fortunés basés au Royaume-Uni. Plusieurs ont déjà choisi de partir. La Suisse est l’une de leurs destinations préférées ...
Auteur : Mel_C  
691/2592

Date :    22-10-2024 10:06:59


ELECTION PRESIDENTIELLE AMERICAINE 2024 - Kamala Harris, Donald Trump: et ..... la bataille du McDo

Ce n’est pas la surprise d’octobre, mais l’apparition improbable de la chaîne de fast-food dans la course à la Maison-Blanche révèle à quel point les questions économiques et le pouvoir d’achat de l’Américain moyen sont au cœur de la campagne électorale. Dans la dernière ligne droite de la course à la Maison-Blanche, les stratèges démocrates et républicains étaient loin de penser que la chaîne de fast-food McDonald’s allait entrer dans la danse. C’est pourtant bien ce qui s'est passé dimanche dans un Etat pivot qui pourrait décider de qui sera le 47e président des Etats-Unis. Donald Trump a fait une halte dans une franchise de la fameuse chaîne en périphérie de Philadelphie en Pennsylvanie. Il y a enfilé un tablier, s'est occupé de frire des frites et a servi des repas à des clients. Motif de cet arrêt: saper le narratif de son adversaire Kamala Harris.
Auteur : Mel_C  
692/2592

Date :    22-10-2024 10:10:59


U.S.A. :
Chez Mike McCarter, la déco c’est ambiance winchesters et colts au mur, passages de la Bible encadrés et bouilloire qui chauffe sur le poêle. Devant la maison de bois au style wild west, un détail attire l’œil averti. À côté de l’indétrônable " bannière étoilée ", le drapeau américain, flotte aussi le drapeau de l’État de l’Idaho. " Même si on est encore dans l’Oregon, je préfère mettre ce drapeau " , explique le sexagénaire au bouc grisonnant.
Mike McCarter est le leader du Greater Idaho movement, un groupe qui milite depuis 2020 pour redessiner les frontières entre l’Oregon et l’Idaho, deux États voisins du nord-ouest des États-Unis. " Notre objectif, c’est que les dix-sept comtés les plus à l’est de l’Oregon rejoignent l’Idaho " , explique le retraité de l’agronomie, une tasse ornée d’un sticker montrant l’État de ses rêves à la main. Depuis 2020, les citoyens de treize comtés ont voté pour rejoindre l’Idaho, quand ceux de trois autres ont décliné la proposition.
Auteur : Mel_C  
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Date :    22-10-2024 10:13:45


COP16 - les indigènes d’Amazonie :
« Sauver l’Amazonie, c’est nous sauver nous-mêmes » : les peuples indigènes d’Amazonie ont besoin d’un « financement direct » pour protéger leurs territoires, a plaidé lundi 21 octobre 2024 l’un de leurs chefs, à l’occasion de l’ouverture officielle de la COP16 sur la biodiversité dans la ville colombienne de Cali.
« En tant que mouvement autochtone amazonien, nous voulons participer à l’élaboration des documents, tant sur le plan technique que politique, mais nous voulons aussi parler de l’aspect financier » de cette COP16, a déclaré à la presse le président de l’Organisation des peuples indigènes de l’Amazonie colombienne, Oswaldo Muca Castizo.
« Nous avons besoin d’un mécanisme de financement direct pour les peuples indigènes, afin qu’ils puissent continuer à conserver, à protéger ces territoires », a expliqué M. Muca lors d’une conférence de presse, y voyant notamment « une compensation pour les soins apportés depuis des milliers d’années par les peuples indigènes » à la forêt amazonienne.
« Aujourd’hui nous pouvons parler de territoires, de biodiversité, de changement climatique […]. Mais pour pouvoir continuer à protéger (l’Amazonie), nous avons besoin d’étendre nos territoires », face aux « acteurs extérieurs qui continuent à nuire », a-t-il estimé. « Si nos terres cessent d’être des réserves, d’autres personnes de l’extérieur viendront les exploiter, les détériorer. »
« Nous ne pouvons pas seulement parler des arbres, de l’eau, des animaux. Il y a des peuples indigènes, des gens qui prennent soin de ces territoires en permanence », a-t-il martelé
« Le monde entier cherche à savoir comment sauver l’Amazonie. Je leur réponds qu’il ne s’agit pas de sauver l’Amazonie, car c’est l’Amazonie qui sauve les peuples frères, qui sauve l’humanité ». « Il est temps de faire la paix avec la nature », a plaidé M. Muca, reprenant l’un des slogans phares de cette COP16.
« Nous, nous faisons la paix avec la nature parce que nous y sommes nés, nous y avons grandi, nous vivons d’elle, mais nous la protégeons aussi », dans une « interaction équitable… C’est pourquoi nous continuons à dire que nous allons protéger cette grande région amazonienne et notre diversité culturelle », avec les autres peuples du Brésil, du Pérou, de l’Équateur, du Surinam…
Le président de l’Organisation des peuples indigènes de l’Amazonie colombienne s’exprimait devant des représentants de plusieurs communautés autochtones de ces pays du bassin amazonien, le visage pour certains maquillés de symboles traditionnels, d’autres avec de spectaculaires coiffes de plumages multicolores. En Colombie, les peuples amazoniens sont au nombre de 64 sur 115 peuples indigènes, et leur territoire s’étend sur près de la moitié du pays.
« Nous appelons donc le monde entier à savoir, à reconnaître que nous, mouvement indigène, nous jouons un rôle important pour sauver l’humanité. Nous demandons aux gouvernements, au niveau mondial, de prendre des mesures réelles et efficaces. Et je suis de ceux qui disent que pour pouvoir mener ces actions, nous avons besoin de mécanismes de financement direct pour les peuples qui s’en occupent », a répété M. Muca.
Ces représentants indigènes s’exprimaient lors l’inauguration d’une « maloca » (maison communautaire) dans la « zone verte », en plein centre de Cali, où des dizaines de stands en bois ont été montés et de nombreux événements et manifestations seront organisés pendant les deux semaines de la COP, avec l’idée d’une plus grande participation du public et de diverses communautés à ce forum international sur la planète.
Auteur : Mel_C  
694/2592

Date :    22-10-2024 10:15:13


COP16 - les indigènes d’Amazonie demandent des financements directs :
« Sauver l’Amazonie, c’est nous sauver nous-mêmes » : les peuples indigènes d’Amazonie ont besoin d’un « financement direct » pour protéger leurs territoires, a plaidé lundi 21 octobre 2024 l’un de leurs chefs, à l’occasion de l’ouverture officielle de la COP16 sur la biodiversité dans la ville colombienne de Cali.
« En tant que mouvement autochtone amazonien, nous voulons participer à l’élaboration des documents, tant sur le plan technique que politique, mais nous voulons aussi parler de l’aspect financier » de cette COP16, a déclaré à la presse le président de l’Organisation des peuples indigènes de l’Amazonie colombienne, Oswaldo Muca Castizo.
« Nous avons besoin d’un mécanisme de financement direct pour les peuples indigènes, afin qu’ils puissent continuer à conserver, à protéger ces territoires », a expliqué M. Muca lors d’une conférence de presse, y voyant notamment « une compensation pour les soins apportés depuis des milliers d’années par les peuples indigènes » à la forêt amazonienne.
« Aujourd’hui nous pouvons parler de territoires, de biodiversité, de changement climatique […]. Mais pour pouvoir continuer à protéger (l’Amazonie), nous avons besoin d’étendre nos territoires », face aux « acteurs extérieurs qui continuent à nuire », a-t-il estimé. « Si nos terres cessent d’être des réserves, d’autres personnes de l’extérieur viendront les exploiter, les détériorer. »
« Nous ne pouvons pas seulement parler des arbres, de l’eau, des animaux. Il y a des peuples indigènes, des gens qui prennent soin de ces territoires en permanence », a-t-il martelé
« Le monde entier cherche à savoir comment sauver l’Amazonie. Je leur réponds qu’il ne s’agit pas de sauver l’Amazonie, car c’est l’Amazonie qui sauve les peuples frères, qui sauve l’humanité ». « Il est temps de faire la paix avec la nature », a plaidé M. Muca, reprenant l’un des slogans phares de cette COP16.
« Nous, nous faisons la paix avec la nature parce que nous y sommes nés, nous y avons grandi, nous vivons d’elle, mais nous la protégeons aussi », dans une « interaction équitable… C’est pourquoi nous continuons à dire que nous allons protéger cette grande région amazonienne et notre diversité culturelle », avec les autres peuples du Brésil, du Pérou, de l’Équateur, du Surinam…
Le président de l’Organisation des peuples indigènes de l’Amazonie colombienne s’exprimait devant des représentants de plusieurs communautés autochtones de ces pays du bassin amazonien, le visage pour certains maquillés de symboles traditionnels, d’autres avec de spectaculaires coiffes de plumages multicolores. En Colombie, les peuples amazoniens sont au nombre de 64 sur 115 peuples indigènes, et leur territoire s’étend sur près de la moitié du pays.
« Nous appelons donc le monde entier à savoir, à reconnaître que nous, mouvement indigène, nous jouons un rôle important pour sauver l’humanité. Nous demandons aux gouvernements, au niveau mondial, de prendre des mesures réelles et efficaces. Et je suis de ceux qui disent que pour pouvoir mener ces actions, nous avons besoin de mécanismes de financement direct pour les peuples qui s’en occupent », a répété M. Muca.
Ces représentants indigènes s’exprimaient lors l’inauguration d’une « maloca » (maison communautaire) dans la « zone verte », en plein centre de Cali, où des dizaines de stands en bois ont été montés et de nombreux événements et manifestations seront organisés pendant les deux semaines de la COP, avec l’idée d’une plus grande participation du public et de diverses communautés à ce forum international sur la planète.
Auteur : Mel_C  
695/2592

Date :    22-10-2024 10:19:58


DROGUE - député LFI Andy Kerbrat :
> « Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. »
« Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. »
Le député La France Insoumise (LFI) de Nantes réagit en ces termes aux révélations de Valeurs actuelles, ce lundi 21 octobre. Ce journal fait savoir qu’Andy Kerbrat a été surpris, à Paris, jeudi 17 octobre, alors qu’il achetait de la drogue dans le métro, dans le XVIIIe arrondissement, à la station Lamarck-Caulaincourt.
Il s’agissait d’une petite quantité, un peu plus d’un gramme, de 3-MMC, une drogue de synthèse souvent appelée « la nouvelle cocaïne ».
Andy Kerbrat a reconnu les faits devant les policiers, vendredi, sans faire l’objet d’une garde à vue. Puis, la justice a décidé de convoquer le député de 34 ans pour une ordonnance pénale, voie alternative au procès pénal qui peut souvent se traduire par une amende.
« Ces révélations viennent de l’extrême droite… C’est un fait, soupire le candidat, qui fait état de nombreuses menaces homophobes reçues ce lundi soir. Pour autant, ça n’empêche que les faits reprochés sont réels. J’y apporterai une réponse en tout point, pour les Nantais notamment. »
« L’addiction est un problème de santé publique »
Peu après cet échange téléphonique, Andy Kerbrat a envoyé un communiqué de presse. Il s’explique. « Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse et suis pleinement conscient de leurs effets sur la santé et notamment la mienne. Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique, qui doit être traité tel quel. »
Il poursuit : « Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs, ainsi qu’à mon groupe parlementaire. »

> « Je ne veux pas qu’on dise qu’Andy Kerbrat refuse de répondre aux questions. Je suis harcelé d’appels et de messages ce soir, mais tout le monde peut comprendre que je prenne le temps de peser ma réponse, mes explications, avec la responsabilité nécessaire. Cela prendra un certain temps. Mais je dirai tout. Je ne nie pas. Ce sont des faits reconnus. » Le député La France Insoumise (LFI) de Nantes réagit en ces termes aux révélations de Valeurs actuelles, ce lundi 21 octobre. Ce journal fait savoir qu’Andy Kerbrat a été surpris, à Paris, jeudi 17 octobre, alors qu’il achetait de la drogue dans le métro, dans le XVIIIe arrondissement, à la station Lamarck-Caulaincourt. Il s’agissait d’une petite quantité, un peu plus d’un gramme, de 3-MMC, une drogue de synthèse souvent appelée « la nouvelle cocaïne ». « J’y apporterai une réponse en tout point » Andy Kerbrat a reconnu les faits devant les policiers, vendredi, sans faire l’objet d’une garde à vue. Puis, la justice a décidé de convoquer le député de 34 ans pour une ordonnance pénale, voie alternative au procès pénal qui peut souvent se traduire par une amende. « Ces révélations viennent de l’extrême droite… C’est un fait, soupire le candidat, qui fait état de nombreuses menaces homophobes reçues ce lundi soir. Pour autant, ça n’empêche que les faits reprochés sont réels. J’y apporterai une réponse en tout point, pour les Nantais notamment. » « L’addiction est un problème de santé publique » Peu après cet échange téléphonique, Andy Kerbrat a envoyé un communiqué de presse. Il s’explique. « Face à des problèmes personnels et des fragilités psychologiques, j’ai pu consommer des drogues de synthèse et suis pleinement conscient de leurs effets sur la santé et notamment la mienne. Au-delà de ma personne, l’addiction est un problème de santé publique, qui doit être traité tel quel. » Il poursuit : « Je présente mes excuses à mes électrices et électeurs, ainsi qu’à mon groupe parlementaire. » Contenus Sponsorisés Ailleurs sur le web Installer une douche sénior, combien ça coute ? Portail de Comparaison par Taboola « Je vais suivre un protocole de soins » Il semble envisager une mise en retrait. « Je vais suivre un protocole de soins. Il me permettra de reprendre mon activité parlementaire. Dans l’intervalle, mon équipe est à la disposition des habitants de ma circonscription. »
Auteur : Mel_C  
696/2592

Date :    22-10-2024 10:26:09


ALERTE ENLEVEMENT POUR UN BEBE PREMATURE DE 17 JOURS – Ses parents recherchés :

Ce mardi 22 octobre 2024, peu avant 8 h, le ministère de la Justice a déclenché le dispositif alerte enlèvement pour Santiago, un nouveau-né de 17 jours, enlevé dans une maternité d’Aulnay-sous-Bois. Ses parents sont activement recherchés. Voici ce que l’on sait.

[b]> Enlevé à la maternité :[/b] Le nouveau-né, âgé de seulement 17 jours, a été enlevé entre 23 h 00 et 23 h 30 à la maternité de l’hôpital Robert Ballanger d’Aulnay-sous-Bois, Seine-Saint-Denis, annoncent les autorités ce matin.
Santiago, âgé de 17 jours, a les cheveux blonds, est habillé d’un t-shirt marron de taille 6 mois et d’un pyjama blanc en velours épais. Le nourrisson, né prématuré et hospitalisé en néonatologie, nécessite une prise en charge médicale constante. En l’absence de suivi médical, l’espérance de vie du nourrisson est limitée à une douzaine d’heures, selon une source à l’AFP.

[b]> Les premiers éléments de l’enquête :[/b] Les parents ont quitté l’hôpital en possession d’un sac à main, dans lequel les enquêteurs soupçonnent qu’ils ont dissimulé le bébé, indique l’agence de presse. Des recherches ont été menées au domicile des parents à Noisy-le-Sec, ainsi qu’à l’adresse de plusieurs membres de leur famille, sans résultat. L’enquête est confiée à la police judiciaire de Seine-Saint-Denis.

[b]> Le profil des parents :[/b] Selon l’alerte enlèvement, les parents de l’enfant sont activement recherchés. « Les suspects sont ses parents, un homme âgé de 23 ans, habillé d’un jean sombre, d’un T-shirt blanc, d’un blouson en jean bleu clair et d’un sur-blouson noir et une femme âgée de 25 ans, habillée d’un pull blanc, d’un blouson sans manche bleu clair et d’une jupe verte », indiquent-ils.

[b]> L’alerte enlèvement, un dispositif d’urgence :[/b] Selon le ministère de la Justice, l’alerte enlèvement a pour « envoyer de façon massive à la population un message en cas d’enlèvement d’enfant. Son déclenchement permet la diffusion rapide, sur l’ensemble du territoire national, d’informations précises dans le but de retrouver l’enfant le plus rapidement possible ». Quatre critères justifient son déclenchement : Il s’agit d’un enlèvement avéré et non d’une disparition, même inquiétante, la victime est mineure, la vie ou l’intégrité physique de l’enfant est en danger et enfin, le procureur dispose d’informations dont la diffusion peut permettre la localisation de l’enfant et/ou de son ravisseur.

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