Auteur : Mel_C  

quota

Auteur : Mel_C  

in absentia (*)

(*) Définition et Signification :
1. Dans un contexte juridique : désigne une situation où une décision ou un jugement est rendu sans la présence de la personne concernée.
2. En général : fait référence à une action ou un événement se produisant en l’absence de la personne.
(*) Origines (étymologie) : Le terme "in absentia" provient du latin, où “in” signifie “dans” et “absentia” signifie “absence”. Littéralement, cela se traduit par “dans l’absence”.
(*) Analyse des utilisations littérales et figuratives :
1. Littéralement : Utilisé souvent dans des contextes juridiques, comme dans le cas de jugements rendus par défaut, lorsque l’accusé ne se présente pas devant le tribunal.
2. Figurativement : Peut être utilisé pour décrire des événements qui ont lieu sans la personne concernée, par exemple, une remise de prix effectuée au nom de quelqu’un qui n’est pas présent.

Isba *
* Habitation du paysan russe

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PizzeriA (*)

(*) Restaurant où l'on sert des pizzas et des spécialités italiennes.

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GADOULKA ///// C'est un instrument à cordes frottées originaire de Bulgarie. Il en existe diverses formes et tailles selon les régions (Thrace, Dobrujan, Gabrovo) mais ce sont des variantes de la famille des vièles lyras et kemençes répandus dans le monde byzantin et ottoman. Elle a un corps piriforme en murier avec un manche intégré terminé par un chevillier complexe. La fine table d'harmonie est percée de deux ouïes en forme de D. Elle comporte trois ou quatre cordes en boyau, plus éventuellement 2 à 10 cordes sympathiques. L'instrument, muni d'une bandoulière, est tenu quasiment à la verticale, sur la poitrine gauche. Comme sur une vièle, la main gauche exécute la mélodie tandis que la main droite manie l'archet, mais la première corde de jeu est touchée par le côté (comme pour le sarangi) et les deux autres sont pressées par le dessus. L'accord est La - Ré - La, ou La - La - Ré ou encore La - Mi - Ré. On en joue en solo ou accompagné de la gaida et du kaval.

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TSIGULKA /// C'est un instrument à cordes frottées originaire de Bulgarie. Il en existe diverses formes et tailles selon les régions (Thrace, Dobrujan, Gabrovo) mais ce sont des variantes de la famille des vièles lyras et kemençes répandus dans le monde byzantin et ottoman. Elle a un corps piriforme en murier avec un manche intégré terminé par un chevillier complexe. La fine table d'harmonie est percée de deux ouïes en forme de D. Elle comporte trois ou quatre cordes en boyau, plus éventuellement 2 à 10 cordes sympathiques. L'instrument, muni d'une bandoulière, est tenu quasiment à la verticale, sur la poitrine gauche. Comme sur une vièle, la main gauche exécute la mélodie tandis que la main droite manie l'archet, mais la première corde de jeu est touchée par le côté (comme pour le sarangi) et les deux autres sont pressées par le dessus. L'accord est La - Ré - La, ou La - La - Ré ou encore La - Mi - Ré. On en joue en solo ou accompagné de la gaida et du kaval.

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GJOLA /// C'est un instrument à cordes frottées originaire de Bulgarie. Il en existe diverses formes et tailles selon les régions (Thrace, Dobrujan, Gabrovo) mais ce sont des variantes de la famille des vièles lyras et kemençes répandus dans le monde byzantin et ottoman. Elle a un corps piriforme en murier avec un manche intégré terminé par un chevillier complexe. La fine table d'harmonie est percée de deux ouïes en forme de D. Elle comporte trois ou quatre cordes en boyau, plus éventuellement 2 à 10 cordes sympathiques. L'instrument, muni d'une bandoulière, est tenu quasiment à la verticale, sur la poitrine gauche. Comme sur une vièle, la main gauche exécute la mélodie tandis que la main droite manie l'archet, mais la première corde de jeu est touchée par le côté (comme pour le sarangi) et les deux autres sont pressées par le dessus. L'accord est La - Ré - La, ou La - La - Ré ou encore La - Mi - Ré. On en joue en solo ou accompagné de la gaida et du kaval.

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KOPANKA /// C'est un instrument à cordes frottées originaire de Bulgarie. Il en existe diverses formes et tailles selon les régions (Thrace, Dobrujan, Gabrovo) mais ce sont des variantes de la famille des vièles lyras et kemençes répandus dans le monde byzantin et ottoman. Elle a un corps piriforme en murier avec un manche intégré terminé par un chevillier complexe. La fine table d'harmonie est percée de deux ouïes en forme de D. Elle comporte trois ou quatre cordes en boyau, plus éventuellement 2 à 10 cordes sympathiques. L'instrument, muni d'une bandoulière, est tenu quasiment à la verticale, sur la poitrine gauche. Comme sur une vièle, la main gauche exécute la mélodie tandis que la main droite manie l'archet, mais la première corde de jeu est touchée par le côté (comme pour le sarangi) et les deux autres sont pressées par le dessus. L'accord est La - Ré - La, ou La - La - Ré ou encore La - Mi - Ré. On en joue en solo ou accompagné de la gaida et du kaval.