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Anniversaires...
Auteur : Aigle 
265/330

Date :    20-05-2025 06:56:58


Né le 20 mai 1913
William (dit Bill) Hewlett
est un ingénieur américain en électronique,
cofondateur de la société multinationale HP en 1939 avec David Packard.
Auteur : Aigle 
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Date :    20-05-2025 06:59:46


né le 20 mai 1944 à Sheffield
John Robert Cocker, dit JOE COCKER
est un chanteur de blues-rock britannique

Sa voix rauque et ses gestes spasmodiques sur scène, qui sont sa marque durant toute sa carrière, le rendent célèbre dans le monde entier.
Il est également, dans une moindre mesure, acteur et compositeur.

Auteur : Mel_C  
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Date :    20-05-2025 19:38:09


née le 20 mai 1973 à Paris 18e
Elsa Lunghini
Chanteuse et actrice française

Chanteuse et actrice française, née le 20 mai 1973 à Paris 18e arrondissement, Elsa Lunghini, ou simplement Elsa, a exercé, De 1986 à 2007, son métier de chanteuse sous le mononyme Elsa. En 2008, elle reprend son nom complet avec la parution de son album intitulé Elsa Lunghini.
Elsa Lunghini est la fille de Georges Lunghini (compositeur, comédien et photographe) et de Christiane Jobert (artiste peintre et sculptrice). Elle est la nièce de Marlène Jobert et la cousine germaine d'Eva Green et de sa sœur jumelle Joy Green ainsi que de Joséphine Jobert
Âgée de sept ans, Elsa Lunghini interprète en 1981 son premier rôle au cinéma dans le film Garde à vue de Claude Miller, aux côtés de Romy Schneider, Lino Ventura et Michel Serrault.
En 1986, elle tourne plusieurs films dont La Femme de ma vie. C'est à l'occasion de ce film qu'elle s'essaie à la chanson en chantant le titre T'en va pas. Cet essai est couronné de succès puisqu'il lui permet d'être, à l'âge de treize ans, la plus jeune artiste no 1 du Top 50. Le titre reste huit semaines no 1 des ventes de singles et s'écoule à 1 300 000 exemplaires.
En 1988, elle sort son premier album, Elsa, qui rencontre un grand succès (plus de 800 000 albums vendus) avec notamment les tubes Quelque chose dans mon cœur, Un roman d'amitié en duo avec Glenn Medeiros (no 1 durant six semaines), Jour de neige, À la même heure dans deux ans et Jamais nous en duo avec Laurent Voulzy
En janvier 2017, elle intègre la quatrième saison de la série policière de France 2, Cherif, incarnant le rôle de Justine, la compagne de Cherif.
Le 11 février 2018, elle remporte le Prix de la meilleure interprétation féminine du Festival de Luchon pour Parole contre parole.
En 2019, la comédienne monte sur les planches pour la première fois dans 2+2 de Cyril Gély et Éric Rouquette, mise en scène de Jeoffrey Bourdenet, au Théâtre Tristan-Bernard.
Depuis novembre 2020, Elsa Lunghini incarne Clotilde Armand dans la série quotidienne de TF1, Ici tout commence.
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-05-2025 17:22:39


né le 21 mai 1914 à Vilnius
Romain GARY[/b], alias [b]Émile AJAR
écrivain français d'origine russe et de culture juive

Romain Gary, né Roman Kacew le 21 mai 1914 à Vilnius (alors dans l’Empire russe) et mort le 02 décembre 1980 à Paris, est un écrivain français d'origine russe et de culture juive, de langues française et anglaise. Homme aux multiples activités, il a été aviateur et résistant (fait compagnon de la Libération), romancier, diplomate, scénariste et réalisateur. Sa vie et son œuvre sont marquées par un refus opiniâtre de céder devant la médiocrité humaine.
Écrivain français de la seconde moitié du XXe siècle, il est notamment connu dans les années 1970 pour la mystification littéraire qui le conduit à signer plusieurs romans sous le nom d'emprunt Émile Ajar, tout en masquant son identité réelle : il est ainsi le seul auteur à avoir reçu le prix Goncourt à deux reprises, grâce à un roman écrit sous pseudonyme.

Durant toute sa vie d'adulte, dans ses œuvres, dont la relecture montre le « jeu picaresque de ses multiples identités », mais aussi dans des déclarations aux médias, ainsi que dans des déclarations officielles, Romain Gary donne des versions diverses de ses origines, faisant varier : son nom (Kacew, de Kacew, prononcé [kat͡sɛf]) ; son lieu de naissance (région de Koursk en Russie, Vilno en Lituanie) ; la nationalité de son père (russe, géorgien, tatar, mongol) ; celle de sa mère (juive, russe, française) ; informations elles-mêmes souvent déformées par les médias (« Kiev », « en Russie près de la frontière polonaise »). Il va jusqu'à renier son père — se présentant comme un « bâtard juif russe, mâtiné de Tartar » — ou encore laisse entendre, et courir la légende, dans divers écrits et entretiens, qu'il est le fils du comédien russe Ivan Mosjoukine.
En réalité, Roman Kacew (« boucher » en yiddish, de l'hébreu katsav, prononcé en polonais [kat͡sɛf]), issu de deux lignées juives ashkénazes, est né, suivant le calendrier julien, le 08 mai 1914 (21 mai 1914 dans le calendrier grégorien) à Vilna (Bильнa), chef-lieu du gouvernement de Vilna dans l'Empire russe — ville devenue pendant l'entre-deux-guerres Wilno en Pologne[9], puis l'actuelle Vilnius, capitale de la Lituanie. Ceci est attesté par un certificat du « rabbinat du gouvernement de Vilnius » rédigé en hébreu et en russe en date du 8 mai 1914 (calendrier julien), établissant qu'il est le fils d'Arieh-Leïb Kacew (1883-1942) et de Mina Owczyńska (1879-1941), mariés à Wilno le 28 août 1912.
Son père, Arieh-Leïb (« lion » en hébreu et en yiddish, d'où la francisation en « Léon ») Kacew, est né en 1883 à Vilnius ; en 1912, il est associé dans l'atelier et magasin de fourrures familial (rue Niemecka / Daïtsche Gas = ruelle allemande) et fait partie de la Deuxième Guilde des marchands. Il est aussi administrateur de la synagogue de la rue Zawalna. Il fait donc partie de la moyenne bourgeoisie de Vilnius.
Sa mère, Mina Owczyńska, fille de Josel (Joseph) Owczyński, est née en 1879 à Święciany ou Švenčionys en lituanien, petite ville à 80 km de Vilnius, où elle a fait des études secondaires en yiddish et en russe dans un établissement de la communauté juive et où elle a participé à un groupe de jeunesse d'orientation socialiste, le « cercle Yehoash ». Elle est d'abord mariée à Reouven Bregstein, originaire de Kaunas comme sa propre mère, mais elle en divorce à une date indéterminée. On ne sait pas grand-chose de ce premier mariage sinon qu'en est issu un fils du nom de Joseph Bregstein, né en 1902, et qui semble avoir habité avec le jeune Roman de mars 1922 à avril 1923 avant de mourir de maladie peu après.
Parmi les frères de la mère de Roman Kacew, le plus important pour la vie du romancier est Eliasz. Il a émigré en France, et il est le père de Dinah (1906), qui épousera Paul Pavlowitch (1893-1953) et donnera naissance à Paul-Alex Pavlowitch (1942-).

En 1937 Romain Gary écrit un premier roman, Le Vin des morts, qui est refusé par plusieurs éditeurs (il sera publié pour la première fois en 2014). En 1945, il écrit Éducation européenne et le publie aux éditions Calmann-Lévy. Le livre est distingué par le prix des Critiques, et sa carrière est lancée. Il publie plusieurs romans mais c'est avec Les Racines du ciel, récompensé du prix Goncourt en 1956, qu'il rencontre le grand public. Il reçoit le prix Durchon-Louvet de l’Académie française pour l'ensemble de son œuvre la même année. À partir de la publication de La Promesse de l'aube, en 1960, il se consacre de plus en plus à son activité d'écrivain, écrivant également sous divers pseudonymes, dont l'ultime et le plus connu, Émile Ajar, marque la fin de sa carrière avec quatre romans. Fait unique, il obtient pour La Vie devant soi un second prix Goncourt le 17 novembre 1975, déclenchant à la fin des années 1970 « l'affaire Émile Ajar » lorsque Gisèle Halimi, l'avocate de Gary, annonce le choix initial de son client Ajar de refuser le prix, ce qui incite la presse à enquêter sur celui qu'elle croit être le véritable auteur, Paul Pavlowitch. « Ce que l'on appelle “l'affaire Ajar” cache en fait une véritable tentative de renouvellement identitaire et artistique ».
Dès l’immédiat après-guerre, entre 1946 et 1956, la figure littéraire du rescapé de la Shoah hante l’œuvre romanesque de Romain Gary qui s'interroge sur la question : comment vivre après Auschwitz ? C’est Tulipe, dans l'œuvre homonyme (1946), qui au sortir de Buchenwald s’installe dans le « nouveau monde » de Harlem ; c’est Vanderputte, dans Le Grand vestiaire (1948), qui a dénoncé un réseau de résistants ; c’est le compagnon de la Libération, Jacques Rainier, dans Les Couleurs du jour (1952), qui voit l’idéal de la France Libre se déliter et s’engage comme volontaire en Corée ; c’est Morel, dans Les Racines du ciel (1956), qui a survécu à l’expérience concentrationnaire en imaginant des troupeaux d’éléphants battre la savane. Ce n'est qu'avec l'œuvre d'Émile Ajar qu'une réponse viendra sublimer ses premiers écrits : « Celle d'un altruisme désintéressé, d'une banalité du bien qui contraste avec la banalité du mal d'un Eichmann. »
L'œuvre littéraire de Romain Gary est marquée par un refus opiniâtre de céder devant la médiocrité humaine. Ses personnages sont fréquemment en dehors du système parce que révoltés contre tout ce qui pousse l'homme à des comportements qui lui font perdre sa dignité. Ils oscillent entre la souffrance de voir leur monde abîmé, et la lutte pour garder coûte que coûte l'espérance. Romain Gary vit lui-même ces combats, mêlant admirablement le dramatique et l'humour. Ainsi, dans Chien blanc (1970), récit autobiographique écrit dans le contexte de la lutte pour les droits civiques aux États-Unis dans les années 1967-1968, il écrit : « ll est soûl, affirma solennellement Saint-Robert, et c'était un peu vrai, bien que je ne touche jamais ni à l'alcool, ni à la marijuana, ni au LSD, parce que je suis trop acoquiné avec moi-même pour pouvoir tolérer de me séparer d'une aussi agréable compagnie par le truchement de la boisson ou de la drogue. Mais je me soûle d'indignation. C'est ainsi d'ailleurs que l'on devient écrivain. » Puis : « J'écris pendant une heure ou deux : cette façon d'oublier… Lorsque vous écrivez un livre, mettons, sur l'horreur de la guerre, vous ne dénoncez pas l'horreur, vous vous en débarrassez… ».

En 1978, lors d'un entretien avec la journaliste Caroline Monney, lorsque celle-ci lui pose la question : « Vieillir ? », Romain Gary répond : « Catastrophe. Mais ça ne m'arrivera pas. Jamais. J'imagine que ce doit être une chose atroce, mais comme moi, je suis incapable de vieillir, j'ai fait un pacte avec ce monsieur là-haut, vous connaissez ? J'ai fait un pacte avec lui aux termes duquel je ne vieillirai jamais ».
Romain Gary se suicide le 2 décembre 1980 avec son Browning GP, se tirant une balle dans la bouche. Il laisse une lettre mystérieusement datée « Jour J » et dans laquelle est notamment écrit : « Aucun rapport avec Jean Seberg » (l'actrice se serait elle-même suicidée le 30 août 1979). Compagnon de la Libération, il a droit aux honneurs militaires français suivis d'une mélopée russe lors de ses obsèques à l'église Saint-Louis des Invalides le 09 décembre 1980. Le 15 mars 1981, sa dernière compagne Leïla Chellabi disperse ses cendres, selon son vœu, en mer Méditerranée au large de Menton.

Dans un recueil de confidences sous la forme d'entretiens livrés à la radio en 1980, Romain Gary fait cette déclaration : « La seule chose qui m'intéresse, c'est la femme, je ne dis pas les femmes, attention, je dis la femme, la féminité ».
L'une des premières histoires importantes est celle nouée avec une jeune journaliste suédoise qu'il rencontre à Nice en juillet 1937, Christel Söderlund. Jeune mère de famille, déjà mariée, elle suit Romain quand il va étudier à Paris. Elle envisage de divorcer ; après quelques mois elle rentre en Suède y retrouver son mari.
Ilona Gesmay est une autre femme importante dans la vie de Roman Kacew. Jeune femme d'origine hongroise de quatre ans son aînée, elle inspire l'auteur de La Promesse de l'aube, de La nuit sera calme et d'Europa. Comme sa famille lui coupe les vivres, elle rentre à Budapest en mars 1940 ; elle survit à la guerre frappée de schizophrénie. Ils ne se reverront plus jamais. Romain Gary raconte dans la nouvelle À bout de souffle qu'elle est la seule femme qu'il ait jamais aimée et qu'il admirait ses yeux « gris angora ». Il y explique également qu'il continue à recevoir des lettres d'elle à partir de 1953, toutes identiques. Il lui répond, il reçoit toujours la même réponse. Un jour, il apprend qu'Ilona est internée dans un hôpital psychiatrique en Belgique et qu'elle lui écrit inlassablement la même lettre pendant les quelques dizaines de minutes de lucidité qu'elle a par jour. Les lettres qu'elle reçoit de Romain Gary sont interceptées par les médecins qui ne souhaitent pas provoquer un choc à la jeune femme. La sœur de cette dernière expliquera à Romain Gary qu'Ilona, lorsqu'elle est lucide, demande toujours des nouvelles de « son Romain ».
En avril 1945, bien que l'amour d'Ilona continue à le hanter, Roman Kacew épouse Lesley Blanch, femme de lettres britannique rencontrée l'année précédente.
En 1959, il fait la connaissance de l’actrice américaine Jean Seberg dont il tombe amoureux et avec qui il entame une liaison. En 1963, il divorce et se marie avec l'actrice. Leur fils, Alexandre Diego Gary, nait en 1962 mais Romain, grâce à ses relations, réussit à faire établir un acte de naissance daté de 1963 pour sauvegarder les apparences. Un acte de mariage secret est retrouvé dans les années 2010 en Corse, ainsi qu'un témoin photographe de l'époque. Entre 1964 et 1970, Romain Gary se rend souvent à Majorque, où il possède une villa, près d'Andratx.
En 1968, lorsque Romain Gary apprend que sa femme entretient une liaison avec Clint Eastwood pendant le tournage de La Kermesse de l'Ouest, il prend l'avion et provoque l'acteur en duel au revolver ; le « cow-boy américain » se défile. Romain Gary et Jean Seberg se séparent et divorcent en 1970. En 1978, il rencontre Leïla Chellabi, danseuse puis mannequin, animatrice de radio et parolière.
Auteur : Aigle 
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Date :    23-05-2025 12:19:02


et plus rien après sa rencontre en 1978 ?? ... c'est unpeu court ..
Auteur : Aigle 
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Date :    23-05-2025 12:22:20


née le 23 mai 1908 à Paris 14e
Hélène BOUCHER,
est une aviatrice française
qui a battu plusieurs records du monde de vitesse au début des années 1930.
Elle meurt le 30 novembre 1934 lors d'un vol d'entraînement sur l'aérodrome de Guyancourt
Auteur : Aigle 
271/330

Date :    24-05-2025 17:05:58


Né le 24 mai 1686 à Dantzig en Pologne-Lituanie,
Gabriel Fahrenheit
est un physicien allemand
à l'origine de l'échelle de température qui porte son nom.
Auteur : Aigle 
272/330

Date :    24-05-2025 17:08:26


né le 24 mai 1952 à Vitry-sur-Seine,
Marc CERRONE
est un compositeur et musicien français.
Il est considéré comme le pilier du disco en France et en Belgique.

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