Auteur : Mel_C  

NIMES :
Après l'adjoint à la Sécurité de la Ville de Nîmes, le préfet du Gard, c'est à présent la procureure de la République de Nîmes qui s'exprime ce mercredi 21 août sur la situation dans les quartiers nîmois après le décès d'un homme dimanche dans la nuit et l'incendie à proximité du nouveau poste de police de Pissevin.
"La lutte contre le trafic de stupéfiants demeure une priorité réelle et affichée du parquet de Nîmes. Au-delà des propos de circonstance visant régulièrement à remettre en cause le niveau de la réponse pénale, la procureure de la République et l’ensemble des magistrats du parquet et de la juridiction de Nîmes sont plus que jamais mobilisés avec les services enquêteurs, les autres services de l’État, les forces de sécurité intérieure et les collectivités territoriales afin de faire reculer cette délinquance" explique la procureure.
Dès son arrivée en septembre 2022, la procureure de la République mettait en place un cabinet spécialisé en criminalité organisée et travaillait à un renforcement des liens avec la JIRS de Marseille, mais également à la coordination des moyens à travers les groupes locaux de traitement de la délinquance stupéfiants – GLTD – qu’elle dirige à Nîmes et Bagnols-sur-Cèze. "À compter de septembre 2024, à moyens constants en magistrats, une permanence spécialisée « criminalité organisée » sera effective au sein du parquet de Nîmes afin de poursuivre encore la montée en puissance de la lutte contre cette criminalité organisée."
La procureure rappelle par ailleurs que "ce travail de fond, et l’investissement exemplaire des services d’enquêtes de police et gendarmerie, a conduit à la déstabilisation régulière de points de deal et à l’élucidation de nombreux faits et à de nombreuses interpellations. Le tribunal correctionnel apporte quant à lui des réponses pénales fermes à ces faits. À titre d’exemple, sont exposés ci-après des éléments circonstanciés constatés et condamnations rendues dans l’année écoulée. Chaque semaine, le tribunal correctionnel de Nîmes juge plusieurs dossiers de trafics de stupéfiants sur le ressort du tribunal, et prononce des peines d’emprisonnement fermes assorties de mandats de dépôt allant de plusieurs mois à plusieurs années. Régulièrement, des dossiers de trafics de stupéfiants, association de malfaiteurs, blanchiment, acquisition et détention d’armes conduisent à l’ouverture d’informations judiciaires devant les magistrats instructeurs. Les enquêtes, contrôles et investigations menées par les enquêteurs nîmois au quotidien ont conduit par ailleurs en une année à de fortes saisies : plus de 50 kilogrammes de résine de cannabis, de 10 kilogrammes de cocaïne, plus de 110 000 euros d’argent, 39 armes à feux et près de 500 munitions. En outre, le tribunal correctionnel de Nîmes a prononcé depuis deux ans la condamnation de plusieurs prévenus ayant le rôle de « guetteurs » sur les lieux de deal, et assorti les condamnations de peines allant jusqu’à de la prison ferme assortie de mandats de dépôt à l’audience."
Enfin, ces réponses sont complétées par la politique pénale premier niveau incluant notamment les amendes forfaitaires délictuelles et stages de sensibilisation à l’usage des stupéfiants instaurés pour les consommateurs de drogue. "Des groupes de travail de partages d’informations judiciaires avec les autorités compétentes sur les différents bassins géographiques de narco délinquance au-delà du seul département du Gard, dont les procureurs et les enquêteurs spécialisés d’Avignon et Carpentras -84-, sont aussi réunis sous l’égide du parquet de Nîmes."
Sans compter, un travail renforcé avec le préfet du Gard qui permet parallèlement de travailler et cibler les réseaux visibles, mais également souterrains, notamment dans le cadre d’instances de lutte contre la fraude, en cumulant les compétences judiciaires et administratives telles que les fermetures de nombreux commerces aux activités illicites pouvant être en lien avec le narco banditisme. "La détermination de la justice nîmoise reste ferme et indéfectible, au soutien des habitants de ces quartiers et au côté des autres acteurs de la prévention."

Auteur : Mel_C  

JUSTICE :
Une femme de 37 ans a été jugée ce mercredi 21 août devant le tribunal de Nîmes pour harcèlement sur son ex-conjoint après s’être rendue sur son lieu de travail à plusieurs reprises. Elle l’a également appelé à 2 000 reprises.
> La femme de 37 ans a été condamnée à six mois de prison avec sursis avec une obligation de soins, de travail et l’interdiction de rentrer en contact avec la victime et de paraître aux abords de son domicile.

Auteur : Mel_C  

LUSSAN :
Les sapeurs-pompiers du Gard sont intervenus ce mardi à la mi-journée pour porter secours à une famille, deux adultes et deux enfants, qui s'est égarée dans le secteur des Gorges des Concluses à Lussan et s'est retrouvée dans un secteur difficile d'accès et dépourvu de tout sentier.
Un détachement composé d'une ambulance, d'une équipe GRIMP et drone a été engagé sous le commandement d'un chef de groupe. L'appui aérien de l'avion de surveillance "Horus 30" a permis de localiser précisément ces victimes et d'engager les personnels afin de rapatrier toute la famille saine et sauve vers des chemins praticables.

Auteur : Mel_C  

MONTPELLIER :
Entendant des bruits suspects dans son abri de jardin, un Montpelliérain, habitant à Celleneuve, a surpris un individu qui avait pénétré chez lui, ce mardi 20 août, et était en train de lui dérober des outils. Lorsque la victime lui a dit de ne pas bouger, le mis en cause, alcoolisé, a sorti une bombe lacrymogène et l’a aspergé. Ce qui n’a pas empêché l’hôte des lieux de lui sauter dessus, de le maîtriser et de faire appeler la police par un des membres de sa famille.

Auteur : Mel_C  

TOULOUSE :
Ce mercredi soir, vers 22 heures, un adolescent autiste de 13 ans a été retrouvé mort au pied de son immeuble après une chute du 10e étage, indique La Dépêche.
Les secours, arrivés rapidement sur place, n’ont pu que constater le décès. Accident, imprudence ou geste désespéré ? Les circonstances de ce terrible drame restent encore à établir.
Selon une source interrogée par nos confrères, l’adolescent vivait seul avec son père depuis peu de temps. "C’était mon bébé", hurlait-il, inconsolable ce mercredi soir. D’après un autre voisin, le père de famille "s’occupait merveilleusement du garçon".

Auteur : Mel_C  

HAUTE-LOIRE :
Un homme septuagénaire a tué son voisin mercredi après-midi avant de se donner la mort à Saint-Geneys-près-Saint-Paulien, un village de Haute-Loire, a-t-on appris auprès du parquet du Puy-en-Velay. Peu avant 14h30, cet homme âgé de 78 ans a tué son voisin de 72 ans qui était en train de couper du bois avant de rentrer à son domicile et de retourner le revolver contre lui, a indiqué la procureure de la République du Puy-en-Velay Cathy Pajon, confirmant une information du quotidien régional La Montagne.

Auteur : Mel_C  

LODEVOIS :
En cette période estivale, les pompiers de l’Hérault sont sur tous les fronts. Comme dans la nuit de ce mercredi 21 au jeudi 22 août, où ils ont dû s’attaquer à un feu de pinède sur la commune de Saint-Privat à l’est de Lodève. Il a débuté vers 18 h 30 ce mercredi 21 août, au lieu-dit La Bruyère des Salces, un endroit peu facile d’accès. Immédiatement, cinq canadairs, un Dash et un Trush 710 ont débuté des largages en multipliant leurs trajets vers le lac du Salagou pour récupérer l’eau. Durant la nuit, 180 sapeurs-pompiers ont été engagés sur place afin de lutter contre les flammes. Le terrain étant difficile et accidenté, leur progression était ralentie. Vers 3 heures du matin, ce jeudi 22 août, les pompiers ont réussi à circonscrire le feu. Des équipes restent sur place pour éviter toute reprise. La cellule drone intervient ce matin pour faire le tour des points chauds de l’incendie. Il semblerait que le feu se soit propagé sur une surface estimée à environ 17 hectares.
> Fort heureusement, la zone touchée n’était pas habitée. Et le feu n’ayant pas pu progresser, aucune victime n’est à déplorer.

Auteur : Mel_C  

PARIS / ILE-DE-FRANCE :
La RATP aurait imposé des manipulations douteuses pour passer le contrôle technique de ses bus et ainsi éviter leur immobilisation, révèle le Parisien ce 21 août 2024.