Auteur : Mel_C  

USAM :
Hier samedi, la Green Team se déplaçait dans la capitale pour l'ouverture du championnat 2024-2025. Et aurait pu renouveler l'exploit de l'an dernier avec une victoire à la clé. Durant une première période solide, les Nîmois ont eu de nombreuses occasions de revenir au score et rentrent aux vestiaires avec 4 buts de retard seulement (18-14). De retour sur le terrain, Nîmes tente le tout pour le tout pour rattraper son adversaire, mais doit faire face à des Parisiens dotés d'un bon répondant. Le Paris Saint-Germain a tenu bon tout au long de la seconde partie et s’impose au terme d’une partie maîtrisée, 36-33.

Auteur : Mel_C  

NIMES :
Sur la base d'un témoignage ce samedi soir, les policiers nîmois ont démarré leur enquête après des soupçons de tirs dans la rue Vincent Faïta. Appelés pour des coups de feu à trois reprises dans le secteur de la rue Vincent Faïta, les policiers sont arrivés rapidement sur place hier samedi dans la soirée. Après les premières constatations, aucune victime n'est identifiée. Aucune arme n'est retrouvée. Aucun élément susceptible de corroborer le témoignage reçu. L'enquête se poursuit ce dimanche matin...

Auteur : Mel_C  

GARD - La gauche manifeste contre « le coup de force » de la nomination de Michel Barnier :
Les forces du Nouveau Front populaire appelaient à manifester ce samedi suite à la nomination cette semaine de Michel Barnier au poste de Premier ministre, à l’occasion d’une journée de mobilisation nationale, qui a trouvé écho dans le Gard notamment à Nîmes, Alès et Bagnols. La date était déjà cochée avant la nomination de Michel Barnier, membre de Les Républicains, cette semaine. Une nomination qui, loin d’apaiser les forces de la gauche réunies dans le Nouveau Front populaire, n’a fait qu’attiser les colères, avec l’arrivée d’un Premier ministre de droite à Matignon.

Auteur : Mel_C  

BEAUCAIRE :
La police de Beaucaire vient de boucler une enquête éclair après l’agression ultra violente d’une employée municipale qui s’est déroulée vendredi 6 septembre vers cinq heures du matin. La dame marchait dans une zone résidentielle quand elle a expliqué avoir été très violemment attaquée par-derrière. Un homme l’aurait empoignée par le cou pour la faire chuter au sol ou il aurait continué à la frapper.

Auteur : Mel_C  

BEAUCAIRE - suite :
Selon nos informations, la quinquagénaire aurait réussi à se débattre et à porter des coups à son agresseur. En dépit de cette tentative pour se dégager, l’individu aurait tenté d’exercer des gestes à caractère sexuels tout en maintenant des gestes violents sur la victime. Elle serait parvenue à se dégager et à prendre la fuite et à trouver refuge au poste de police municipale de Beaucaire où la police nationale était prévenue de même que les pompiers pour prendre en charge les blessures de la victime. Elle présenterait des traces de coups notamment sur le visage. Elle aurait été transportée au CHU de Nîmes vendredi matin. Dans la foulée, les policiers du commissariat de Beaucaire-Tarascon ont tenté immédiatement de récolter des éléments sur le signalement de l’agresseur présumé mais aussi de récupérer des images du système de vidéosurveillance de la Ville.

Auteur : Mel_C  

U.S.A. / ENVIRONNEMENT : Elle place des Airtags dans ses poubelles pour suivre leur parcours :
Brandy, une écologiste texane, a utilisé des AirTags pour suivre le parcours de ses déchets. Elle les a placés dans des sacs plastiques en direction de la décharge de Houston, une ville qui prétend être à la pointe du recyclage.
Selon Newsweek, sur douze AirTags, neuf ont été localisés dans une décharge à ciel ouvert gérée par Wright Waste Management, une entreprise censée recycler les plastiques. Mais, cette société, dont la demande de certification pour le recyclage est en attente depuis deux ans, se contente d’accumuler les déchets sans les traiter.
Une enquête conjointe de CBS News et Inside Climate News a confirmé ces résultats. Des images capturées par drone montrent "des piles de déchets plastiques atteignant trois mètres de hauteur". Ces déchets, censés être recyclés, s’entassent depuis fin 2022, sans traitement.
Interrogé sur ces révélations, Mark Wilfalk, responsable des déchets solides de Houston, a reconnu que plus de 250 tonnes de déchets avaient été collectées sur ce site. Il a affirmé que ces plastiques étaient "mieux à Wright que dans une décharge classique". Wright Waste Management a, de son côté, expliqué qu’elle accumulait les plastiques en vue du lancement de sa production.
Brandy, coordinatrice de la justice climatique pour Air Alliance Houston, a quant à elle alerté sur le "risque d’incendie énorme" posé par cette accumulation de déchets alors qu’un quartier résidentiel se trouve à proximité. "Nous allons le stocker pour l’instant. Nous verrons ce qui se passe", a déclaré Wilfak.

Auteur : Mel_C  

Refus d'obtempérer près de Sète :
Soirée agitée sur le bassin de Thau dans la soirée du mardi 3 au mercredi 4 septembre. Tout cela à cause d’une course-poursuite ayant impliqué à peu près toutes les forces de l’ordre de la zone : la bac de Sète, la police municipale, le Psig, la brigade de gendarmerie de Balaruc-les-Bains et des militaires de la compagnie de gendarmerie de Pézenas. Tous étaient aux trousses d’une voiture avec six occupants à bord.
C’est la présence de ce nombre de passagers dans l’habitacle qui a mis la puce à l’oreille à la bac de Sète lors d’une patrouille dans la soirée de mardi dans le quartier de l’Île de Thau. Il est alors demandé au conducteur de ce véhicule immatriculé en Espagne de s’arrêter. Ce qu’il ne fait pas. À la suite de ce refus d’obtempérer, l’automobile trace sans demander son reste.
La course-poursuite fera le tour du bassin de Thau via Balaruc-les-Bains ou encore Mèze. Le véhicule arrivant toujours à trouver un chemin de traverse pour échapper aux poursuivants. Finalement, la folle équipée s’arrêtera du côté de Saint-Pargoire. Interpellés, les six occupants ont été placés en garde à vue au commissariat de Sète. Et ils se sont expliqués.

Auteur : Mel_C  

GRENOBLE - Mort pour un acte de citoyenneté :
Ce dimanche matin vers 07h30, un agent municipal grenoblois a été tué par balles. Cet employé du service de propreté de la ville a tenté d’arrêter un automobiliste ivre qui venait de provoquer un accident de la route et prenait la fuite.
> Que s'est-il passé ? Vers 07h30, aujourd'hui, une Audi RS3 avec une plaque d’immatriculation polonaise, selon le parquet, et roulant « à grande vitesse », a percuté une voiture arrêtée à un feu rouge à Grenoble, a indiqué à l’AFP une source policière. Le chauffeur de l’Audi, ivre, selon le parquet, tentait alors de s’enfuir. Un passant essayait de le maintenir sur place et un agent de propreté de la ville est sorti de son véhicule pour lui prêter main-forte, selon cette même source. Le responsable de l’accident faisait alors feu à deux reprises sur l’employé municipal, a précisé le procureur de Grenoble, Eric Vaillant, confirmant une information du journal local Le Dauphiné Libéré. Deux douilles de calibre 9 mm ont été retrouvées sur place, a ajouté une source policière.
> L’employé municipal avait 49 ans, selon le quotidien régional, et était père de deux enfants. Il est décédé des suites de ses blessures dans la journée, a annoncé le procureur en début d’après-midi. Il avait reçu deux balles dans le thorax.> La conductrice du véhicule percuté, une femme âgée, n’était que légèrement blessée, selon une source policière. Elle bénéficiera de six jours d’interruption temporaire de travail, a indiqué le parquet.

Le parquet a saisi de l’enquête les policiers du Service local de police judiciaire de Grenoble, qui « recherchent activement le tireur », selon Eric Vaillant. Son identité restait inconnue en fin d’après-midi, dimanche, selon le procureur.