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Faits divers
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 18:02:30


Assassin's Creed, rumeurs de rachat : pourquoi les salariés d'Ubisoft sont-ils dans la rue ?
La sortie du jeu Assassin's Creed Shadow sera-t-elle à nouveau décalée ? Alors que l'entreprise Ubisoft s'apprête à sortir, en février prochain, le nouvel opus de la franchise mondialement connue, les salariés ont manifesté, ce jeudi 12 décembre, pour dénoncer leurs conditions de travail et les récentes suppressions de postes.
L'avenir de l'entreprise semble bien incertain. Avec une capitalisation en bourse à son plus bas depuis dix ans, Ubisoft traverse une mauvaise passe. Depuis 2020, l'image de la marque est écornée par des scandales de harcèlement moral et sexuel au sein de l'entreprise, notamment au département chargé de la supervision créative des jeux vidéo. La direction est pointée du doigt pour son inaction face au climat toxique qui a poussé le syndicat Solidaires informatique, a déposé une plainte collective.
En parallèle, l'entreprise a multiplié les échecs commerciaux en 2024 avec l'accueil timoré des jeux Skull & Bones et XDefiant. La sortie de Star Wars Outlaws, en août dernier, supposé donner un second souffle à l'éditeur de jeux vidéos, n'a pas non plus obtenu le succès escompté. L'avenir d'Ubisoft repose désormais sur la sortie prochaine d'Assassin's Creed, mais le jeu souffre déjà de retards. Son lancement, initialement prévu le 12 novembre 2024 a été décalé au 14 février 2025.
Toujours pas disponible, le jeu fait déjà polémique chez les fans. La bande d'annonce, publiée en mai dernier, à susciter de nombreux commentaires puisque les fans ont pu découvrir l'identité d'un nouveau personnage principal : Yasuke, un samouraï noir inspiré d'un guerrier historique du 16ᵉ siècle. Un choix jugé trop "woke" par certains joueurs.
En septembre 2024, l'entreprise annule son stream prévu pour le Tokyo Game Show 2024, en prétextant des "circonstances diverses". De nombreuses théories circulent alors sur leur absence et le 25 septembre le couperet tombe, Ubisoft annonce que la sortie de Assassin's Creed Shadow. Ce report entraîne ainsi sa chute de 18% en bourse.
Face à ces revers commerciaux et plus généralement à la crise qui touche le secteur du jeu vidéo, Ubisoft est contraint supprimer des postes. Après avoir annoncé en octobre dernier être obligé de se séparer de 69 employés, soit 20% de la masse salariale française, l'éditeur de jeux vidéo a déclaré début décembre fermer ses antennes à San Francisco et Osaka. Une fermeture qui entraîne la suppression de 277 postes à l'étranger.
Dans ce contexte particulièrement délicat, des rumeurs de rachats viennent confirmer les peurs des salariés, réunis ce jeudi 12 décembre pour un piquet de grève devant les locaux parisien de l'entreprise française.
En plus d'être vent debout contre les récentes suppressions de postes, le syndicat des travailleurs du jeu vidéo (STJV) dénonce un dialogue de sourds avec la direction concernant notamment la fin du télétravail. Les salariés qui disposaient de la possibilité de travailler à 100 % depuis la crise du Covid, ont été contraints de revenir travailler en présentiel au minimum deux jours par mois.
Un changement qui remet en question les conditions de travail et l'organisation de nombreux salariés. Les syndicats ont dénoncé une absence de dialogue entre la direction et les salariés. Selon eux, 25% des salariés d’Ubisoft envisageraient de quitter l’entreprise si elle actait la fin du 100% télétravail, a assuré les syndicats dans un communiqué, lundi dernier. Des départs qui impacteront inévitablement les prochaines sorties.
Auteur : Mel_C  
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Date :    12-12-2024 18:04:59


JO de Paris 2024 : pourquoi sont-ils plus écologiques que les dernières éditions ?
Les Jeux olympiques de Paris 2024 ont été une réussite sur le plan sportif, économique et désormais écologique. Après l'annonce d'un budget en excédent de près de 27 millions d'euros, c'est le bilan des émissions de carbone qui donne le sourire. Elles ont été réduites par deux par rapport aux émissions des éditions des Jeux précédentes.
Les infrastructures ont joué un rôle prépondérant dans la réduction des émissions de carbone. 95% des sites olympiques existaient déjà. À part le Village des athlètes, sorti de terre en Seine-Saint-Denis et transformé en logements, il y a eu peu de constructions nouvelles. Les piscines olympiques, le skate-park de la Concorde, tout ça a été démonté pour être réinstallé ailleurs.
Par ailleurs, l'énergie utilisée pendant toute la compétition provient d'une électricité décarbonée à 98% et peu de groupes électrogènes ont été utilisés comme c'est habituellement l'usage. Les spectateurs ont également très majoritairement emprunté les transports en commun pour se rendre aux épreuves.
Paris 2024 est aussi parvenu à diviser par deux l'usage du plastique grâce aux consignes sur les verres, deux euros le gobelet. Fin novembre, France Nature Environnement a tout de même déposé plainte contre Coca-Cola pour "greenwashing". Même la cantine était écologique : 40% des plats étaient végétariens avec des ingrédients locaux
L'avion est le point noir de ce bilan écologique positif. La pollution aérienne a pesé plus lourd que prévu parce qu'il y a eu plus de spectateurs qu'anticipé et que 12% d'entre eux sont venus d'autres continents avec des vols long courrier. Résultat, les déplacements en avion pèsent pour la moitié de l'empreinte carbone de Paris 2024, quand le Comité olympique visait un tiers.
Ces Jeux de Paris au cœur de la ville restent un modèle viable pour les prochaines grandes compétitions sportives à l'international. En plus de faire de la publicité pour la capitale, les Jeux ont permis de réduire la pollution. Les chiffres parlent d'eux-mêmes : 1,6 million tonnes d'équivalent CO2 pour ces Jeux. C'était 3,5 millions pour ceux de Rio en 2016 et Londres en 2012.
Auteur : Mel_C  
2515/6152

Date :    12-12-2024 18:06:34


CHAUFFAGE : la revanche des chaudières à gaz sur les pompes à chaleur :
Les installations de chaudières à gaz sont en hausse en 2024 alors que les pompes à chaleur se vendent moins bien. La faute au prix mais aussi à la difficulté d'obtenir la subvention de MaPrimeRénov'. Si les chaudières à gaz restent plus polluantes que les pompes à chaleur, l'utilisation d'un nouveau gaz pourrait changer la donne.
Auteur : Mel_C  
2516/6152

Date :    12-12-2024 18:10:49


Suspension des demandes d’asile des réfugiés syriens :
Le chef du gouvernement fédéral BELGE a insisté sur l’importance d’une « transition pacifique » dans le pays et appelé au respect de son intégrité territoriale à l’heure où l’aviation israélienne bombarde de nombreuses cibles en Syrie.
Auteur : Mel_C  
2517/6152

Date :    12-12-2024 18:13:47


SUISSE - Accusés d’avoir frappé un homme à terre, les policiers sont acquittés :
«Ce n’est pas facile de faire votre métier, et vous allez continuer votre carrière de policier. Je vous invite à faire bon usage de cet acquittement, et à réfléchir à cette problématique des violences qui se posera encore.» C’est sur ces paroles que le président du Tribunal de police de l’arrondissement de Lausanne a clos, ce jeudi, la lecture de son jugement à l’encontre de deux policiers accusés par une collègue d’avoir frappé un jeune homme à terre et menotté au Flon. Ils ont été acquittés.
Les faits remontaient à avril 2023, peu après minuit à la sortie du bar Barberousse. Les deux prévenus étaient intervenus pour interpeller un jeune homme ivre et particulièrement agressif. Selon l’acte d’accusation du Ministère public, basé sur les déclarations d’une autre policière, le policier alors en formation avait notamment saisi la tête de l’individu par les cheveux et l’avait tapée deux ou trois fois contre le sol en goudron avec un certain élan. Il avait encore donné deux ou trois petits coups de poing fermé sur l’épaule ou sur le dos.
La responsable de patrouille aurait elle aussi donné des coups au jeune homme menotté à terre, au niveau des jambes. Elle l’aurait encore frappé alors qu’il était dans la voiture de police qui le conduisait au poste. Les deux accusés devaient répondre d’abus d’autorité.
Pour le président du Tribunal, les déclarations de la dénonciatrice n’ont pas suffi, à elles seules, à démontrer la réalité des faits. D’autant que plusieurs éléments sont venus semer le doute: les autres policiers présents n’avaient pas vu de coups donnés, pas plus que l’agent de sécurité du bar, l’interpellé ne s’était pas souvenu avoir été frappé, et au lendemain des faits, il ne portait aucune trace de blessures.
Toute la scène avait été filmée par un badaud. «La police se savait filmée, ce qui était de nature à empêcher une action illicite de sa part. De plus, la foule n’a eu aucune réaction particulière, ce qui aurait été vraisemblablement le cas en cas de coups inutilement portés par les policiers», a estimé le président.
Les deux prévenus ont été libérés du chef d’accusation d’abus de pouvoir. Un verdict particulièrement redouté par l’accusé, son actuel contrat de policier dans une autre ville vaudoise étant subordonné au résultat de son procès.
À l’audience, les deux prévenus ont déclaré ne pas comprendre pourquoi leur collègue les avait dénoncés. L’avocat du policier a déposé une plainte pénale pour dénonciation calomnieuse contre la policière.
Auteur : Mel_C  
2518/6152

Date :    12-12-2024 18:15:35


SUISSE – Élection à la Confédération :
La présence russe à Berne déclenche des tensions diplomatiques .... Les ambassadeurs occidentaux boycottent la tribune diplomatique en raison de la présence russe et iranienne, ce que l’UDC nomme un «manque de sens diplomatique».
Auteur : Mel_C  
2519/6152

Date :    12-12-2024 18:19:57


U.S.A. -
Trois frères ont été inculpés de «trafic sexuel», accusés de s’être servi de leurs connections dans le monde de l’immobilier de luxe pour violer et agresser des dizaines de femmes pendant des années, a annoncé mercredi le parquet de New York.
Les jumeaux Alon et Oren Alexander, 37 ans, ainsi que leur frère Tal Alexander, 38 ans, sont accusés d’avoir «seuls et ensemble» et «avec d’autres personnes» s’être «livrés à l’exploitation sexuelle, notamment en droguant, agressant sexuellement et violant de manière répétée des dizaines de victimes féminines», selon un communiqué du parquet du district sud de New York.
D’après les médias américains, Oren et Tal Alexander sont les fondateurs de la société immobilière Official, qui a des bureaux à Miami, en Floride et à New York. Alon Alexander travaillait pour l’entreprise de sécurité privée de la famille.
Les frères Alexander sont accusés de «s’être servi de leur richesse et de leur statut» pour s’en prendre à leurs victimes, «les contraignant à se livrer à des actes sexuels», poursuit le communiqué, qui appelle d’éventuels autres victimes ou témoins à se faire connaitre.
Il y a deux ans, Tal et Oren Alexander avaient fait l’objet d’un article dans le «New York Times» décrivant leur réussite professionnelle, y compris la vente d’un penthouse de plus de 2000 m2 à Manhattan pour plus 234 millions de dollars. Selon la presse américaine, outre New York, ils négociaient des ventes sur des marchés de luxe en Floride ou à Aspen, station de ski chic du Colorado.
«Les frères Alexander ont fait miroiter des expériences, des voyages et des hébergements de luxe pour attirer et séduire les femmes à ces événements, puis – à plusieurs reprises – ont violé et agressé sexuellement les femmes qui y participaient», selon le parquet.
Ils sont accusés de s’être procuré divers types de drogue, GHB, champignons ou cocaïne pour soumettre leurs victimes avant de les agresser.
Susan Necheles, avocate d’Oren Alexander, a déclaré dans un communiqué que son client était innocent et que «les éléments de preuve (allaient) démontrer que ni lui ni ses frères n’ont commis de crime».
Les trois frères sont inculpés de complot aux fins de «trafic sexuel par la force et la tromperie» et encourent jusqu’à la perpétuité.
Auteur : Mel_C  
2520/6152

Date :    12-12-2024 18:28:31


U.S.A. - Une maman de 22 ans tuée par son fils de 2 ans :
Un drame de plus impliquant un enfant qui a eu accès à une arme à feu, comme cela arrive souvent aux États-Unis. Dans ce cas, l'âge du bambin interpelle, puisqu'il n'avait que 2 ans. Les faits se sont produits vendredi 6 décembre. La police de Fresno, en Californie, a été appelée en fin d'après-midi pour une victime par arme à feu.
Arrivés sur place, les agents ont découvert Jessinya Mina, 22 ans, atteinte d'une balle dans le haut du corps. Transportée à l'hôpital, elle est décédée peu après, selon WCSC. Une enquête a été ouverte.
Celle-ci a conclu que le tueur était le fils de Jessinya. L'enfant de 2 ans aurait trouvé une arme de poing 9 mm, «entreposée négligemment» dans la chambre du couple, selon les termes du rapport, par Andrez Sanchez, 18 ans, qui était le compagnon de la victime. En jouant avec, le coup serait parti, touchant la jeune femme qui était étendue sur son lit, se reposant avant une soirée perdue.
Selon la sœur de Jessinya, Andrez Sanchez n'aurait pas respecté les demandes de la jeune femme, qui ne voulait pas d'arme à feu chez elle. «À cause de l'insouciance de son petit ami, de son arrogance, de son irresponsabilité et de son manque de respect envers le souhait de ma sœur de ne jamais avoir d'arme à feu chez elle, elle est partie pour toujours. Elle ne méritait pas ça.»
La jeune femme était également la maman d'un bébé de 8 mois. Une campagne de récolte de fonds a été lancée pour aider la famille. Le compagnon de la victime a été incarcéré pour mise en danger d'enfant et pour détention d'arme à feu avant d'être libéré sous caution. Selon la police, son arme ne comportait pas de dispositif de sécurité extérieur. «Cela nous rappelle l'importance de pouvoir ranger correctement son arme et de le faire de manière à ce que les enfants n'y aient pas accès», a déclaré le lieutenant de police de Fresno, Paul Cervantes.
> Les cinquante Etats fédérés ont la compétence politique pour durcir ou assouplir la législation sur la question des armes, en vertu du dixième amendement de la Déclaration des droits. Ils ont le pouvoir d’imposer le permis pour porter ou acheter une arme, de contrôler les antécédents des acheteurs et d’interdire certains types d’armes à feu. ....... Concernant le permis pour détenir une arme, huit Etats fédérés (la Géorgie, l’Indiana, la Louisiane, l’Ohio, l’Alabama, la Floride, le Nebraska et le Dakota du Nord) ont décidé de ne plus l’imposer au cours de ces deux dernières années. Au total, vingt-sept Etats fédérés autorisent la possession d’armes à feu sans licence.

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