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Faits divers
Auteur : Mel_C  
2537/6107

Date :    13-12-2024 22:40:36


PROCES DES VIOLS DE MAZAN / 3 :
Or, «il n’y a pas de crime sans intention: l’intention c’est quoi? C’est la volonté et la conscience de commettre un crime», a énoncé Me El Bouroumi, demandant à la cour «d’acquitter ces hommes».
Elle a également évoqué les difficultés de la défense. «C’est très dur pour nous de parler, car on a une partie civile qui est une icône et que toute parole est une atteinte à la femme», a expliqué l’avocate.
Remarquant que la cour était sous «la pression du public» mais aussi «médiatique» (166 médias sont accrédités dont 76 étrangers), elle lui a demandé de «garder la tête froide» lors de son verdict pour «revenir aux fondamentaux».
Auteur : Mel_C  
2538/6107

Date :    13-12-2024 22:40:55


PROCES DES VIOLS DE MAZAN / 4 :
Lundi, Dominique Pelicot et ses coaccusés, des hommes auront la possibilité de s’exprimer une dernière fois avant que les juges de la cour criminelle de Vaucluse ne se retirent pour trancher sur leur culpabilité ou pas et sur les peines à infliger.
Le verdict est attendu jeudi prochain. L’accusation, qui a requis des peines de quatre à vingt ans de réclusion criminelle, a demandé à la cour d’envoyer par sa décision «un message d’espoir aux victimes de violences sexuelles». «Vous signifierez que le viol ordinaire n’existe pas, que le viol accidentel ou involontaire n’existe pas», avait déclaré Laure Chabaud, l’une des deux représentantes du ministère public.
Auteur : Mel_C  
2539/6107

Date :    13-12-2024 22:47:51


FRANÇOIS BAYROU PREMIER MINISTRE – Un Himalaya de difficultés :
Il se dit devant «un Himalaya de difficultés»: après d’intenses tractations, François Bayrou a été nommé vendredi à Matignon par Emmanuel Macron, mais le plus dur débute alors que le pays reste englué dans une crise politique majeure et peine à se doter d’un budget.
Depuis la cour de Matignon, aux côtés de son prédécesseur Michel Barnier, resté trois mois en poste avant d’être renversé, François Bayrou l’a assuré: «Nul plus que moi ne connaît la difficulté de la situation».

>>> LA DETTE ET LES DEFICITS D'ABORD :
Au cours de ses 10 minutes d’allocution lors de la traditionnelle passation de pouvoir, le patron du MoDem a répété ses mantras. La dette et les déficits d’abord, qu’il avait placés au cœur de sa campagne présidentielle en 2007, «une question qui pose un problème moral, pas un problème financier seulement», a-t-il dit, alors que la France a atteint des records en la matière en 2024.
Autres promesses, s’attaquer au «mur de verre qui s’est construit entre les citoyens et le pouvoir», et surtout «rendre des chances à ceux qui n’en ont pas». «Un devoir sacré», a lancé M. Bayrou, rappelant qu’il s’agissait là d’une promesse originelle d’Emmanuel Macron, en 2017.

>>> UNE ALLIANCE QUI AURAIT PU VOLER EN ECLAT :
Un temps où les deux hommes venaient de sceller leur alliance. Celle-ci aurait pu voler en éclats vendredi tant la nomination de M. Bayrou a tardé alors que les coulisses bruissaient de rumeurs contradictoires.
La décision n’a été finalement acquise qu’au prix d’un bras de fer joué en deux temps vendredi matin. D’abord un entretien de près de deux heures, durant lequel M. Macron aurait d’abord signifié à son plus ancien allié son intention de nommer le ministre des Armées Sébastien Lecornu, selon plusieurs sources au sein du camp présidentiel. Colère de M. Bayrou, menaces de rupture, quitte à «brûler les vaisseaux», selon une fidèle du chef de l’État, et revirement de M. Macron qui a officialisé sa décision à la mi-journée.
À 73 ans, comme son prédécesseur Michel Barnier renversé le 4 décembre par l’Assemblée nationale lors d’une censure inédite depuis 1962, M. Bayrou devient le sixième locataire de Matignon depuis la première élection d’Emmanuel Macron en 2017.
Il doit maintenant s’atteler sans tarder à la composition de son gouvernement, qu’il veut compact et dominé par des personnalités d’expérience.
Car une tâche redoutable attend rue de Varenne le maire de Pau. Avec pour priorité le budget pour 2025, laissé en suspens par la censure.
En attendant, un projet consensuel de loi spéciale permettant d’éviter une paralysie de l’État sera examiné lundi par l’Assemblée nationale.
Cette nomination intervient trois jours après une réunion inédite des dirigeants des partis, hors Rassemblement national et La France insoumise, sous l’égide du chef de l’État.
Où se sont esquissés les contours d’un «accord de coopération démocratique», selon la formule de M. Bayrou mardi: le gouvernement s’engagerait à ne pas recourir au 49.3 pour imposer ses lois, les opposants à ne pas le censurer, Emmanuel Macron évoquant de son côté son intention de ne pas dissoudre à nouveau l’Assemblée nationale.

>>> «GOUVERNEMENT D’INTERET GENERAL»
Le nouveau Premier ministre, qui «s’est imposé» comme «le plus consensuel», «aura pour mission de dialoguer» avec ces mêmes partis, des communistes à la droite, «afin de trouver les conditions de la stabilité et de l’action», a déclaré l’entourage du président. Ce dernier l’a chargé de former un «gouvernement d’intérêt général», «resserré».
Auteur : Mel_C  
2540/6107

Date :    13-12-2024 22:50:36


AUSTRALIE :
Les défenseurs des droits humains dénoncent une loi australienne qui permettra d’infliger à des enfants de 10 ans les mêmes peines d’emprisonnement qu’à des adultes dans le but d’enrayer «la criminalité infantile».
Cette législation, approuvée jeudi par l’assemblée de l’État du Queensland dans le nord-est du pays, supprime le principe selon lequel l’emprisonnement ne doit être qu’un ultime recours pour les mineurs. Elle prévoit que les enfants, dès l’âge de 10 ans, seront passibles des mêmes peines que les adultes pour 13 infractions graves allant de la conduite dangereuse au meurtre.

>>> ENFANTS ABORIGENES EN PREMIER LIGNE :
Cette évolution «constitue la première riposte à la crise de la criminalité juvénile» pour «commencer à rétablir la sécurité», a déclaré le Premier ministre conservateur du Queensland, David Crisafulli. Certes, son administration a reconnu que la loi était «incompatible» avec les droits humains et qu’elle aurait probablement un «impact plus important» sur les enfants aborigènes, mais a décidé de passer outre, en raison d’une criminalité «exceptionnelle». Cette législation a également été soutenue par les parlementaires travaillistes de l’opposition de centre gauche.
Selon les statistiques officielles, le nombre d’enfants délinquants âgés de 10 à 17 ans au Queensland a augmenté de 6% sur un an entre juin 2022 et juin 2023.
Ce virage législatif a suscité un tollé parmi les défenseurs des droits: le Centre juridique indépendant des droits de l’homme d’Australie redoute qu’il conduise à incarcérer un plus grand nombre d’enfants dans des maisons de surveillance peu sûres, ou des prisons pour jeunes délinquants. Tout en pénalisant de manière disproportionnée les enfants aborigènes, population dont les taux d’incarcération sont plus élevés que ceux des autres Australiens.

>>> CONSTERNATION :
«Ces politiques ne s’attaquent en rien aux causes profondes de la criminalité juvénile: traumatismes intergénérationnels, pauvreté, racisme systémique, accès insuffisant à des services de soutien sûrs», a souligné le directeur national de l’organisation, Blake Cansdale.
Ann Skelton, présidente du Comité des droits de l’enfant des Nations unies, a affiché sa «consternation»: «Nous ne pensons pas que de soi-disant circonstances exceptionnelles justifient ce mépris flagrant des droits de l’enfant, ni que cela rendra le Queensland plus sûr», s’est-elle indignée.
Elle a jugé «ahurissant» que le procureur général du Queensland lui-même ait reconnu que les peines les plus sévères du texte violeraient plusieurs dispositions du droit international. Le procureur général avait cependant estimé, dans un avis aux parlementaires, que «la situation exceptionnelle en matière de criminalité juvénile» permettait «d’ignorer» une loi australienne de 2019 sur les droits de l’homme.
Auteur : Mel_C  
2541/6107

Date :    13-12-2024 22:55:21


ANTISEMITISME / 1 – La Suisse veut renforcer l’arsenal contre les sigles nazis :
Face à la montée de l’antisémitisme, la Suisse veut renforcer l’interdiction de la croix gammée, du salut hitlérien et des autres signes de ralliement des nazis, a annoncé vendredi le Conseil fédéral.
Le gouvernement «considère que l’interdiction des symboles liés au Troisième Reich a pris une urgence particulière du fait de la forte recrudescence des incidents antisémites en Suisse», précise-t-il dans un communiqué.
Il propose d’interdire «sans attendre l’utilisation de symboles nazis en public» et d’assortir l’interdiction d’une amende pour quiconque enfreindrait la future loi. Elle sera de 200 francs.
Il s’agit de combler une lacune du Code pénal, qui permet de punir quiconque utilise «un symbole raciste, extrémiste, nazi ou faisant l’apologie de la violence de manière à propager l’idéologie qu’il représente», mais qui ne fait encourir aucune peine à «une personne qui exhiberait un tel symbole sans intention de propager activement une idéologie».


Auteur : Mel_C  
2542/6107

Date :    13-12-2024 22:55:45


ANTISEMITISME / 2 – Les signes plus cryptiques aussi :
Outre les symboles nazis les plus connus, Berne veut aussi s’attaquer à des signes de reconnaissance plus cryptiques utilisés par les partisans de l’idéologie nazie.
Ainsi le «18» (première et 8ᵉ lettres de l’alphabet pour Adolf Hitler) ou encore le «88» (pour «Heil Hitler») tomberont également sous le coup de la loi.
«Le contexte jouera en ce cas un rôle décisif», souligne le gouvernement.
Des exceptions sont prévues à fins éducatives, scientifiques, artistiques ou journalistiques mais «dans les limites de ce qu’autorise la liberté d’expression». Quant aux symboles religieux existants qui sont identiques ou semblables à des symboles nazis, ils ne sont pas concernés par l’interdiction proposée, ajoute encore le Conseil fédéral.
La consultation sur ce projet de loi est ouverte jusqu’au 31 mars 2025 et le Conseil fédéral a aussi annoncé qu’il étendrait «cette interdiction à d’autres symboles extrémistes dans une deuxième phase du projet
Auteur : Mel_C  
2543/6107

Date :    13-12-2024 22:56:03


ANTISEMITISME / 3 – Fortes hausse des incidents :
Comme ailleurs en Europe, les incidents à caractère antisémite ont fortement augmenté en Suisse ces dernières années et encore plus après le début de la guerre menée par Israël contre le Hamas à Gaza en riposte à l’attaque sans précédent du groupe islamiste en territoire israélien le 7-Octobre.
En 2023, la Coordination intercommunautaire contre l’antisémitisme et la diffamation a recensé 944 actes antisémites en Suisse francophone, soit un bond de presque 70% sur un an.
«Cette augmentation considérable est en grande partie due à l’importation du conflit Israël-Hamas, qui a servi et continue de servir de prétexte au déferlement de l’antisémitisme», note l’organisation dans son rapport annuel.
En Suisse allemande et italienne, l’augmentation est un peu moins forte, passant de 910 actes recensés en 2022 à 1130 l’année dernière, selon la Fédération suisse des communautés israélites (FSCI) et la Fondation contre le racisme et l’antisémitisme (GRA).
Auteur : Mel_C  
2544/6107

Date :    13-12-2024 22:58:18


MEXIQUE :
Au moins cinq corps humains coupés en morceaux ont été découverts jeudi à bord d’une camionnette dans le Guanajuato, État du centre du Mexique où fait rage une guerre sanglante entre cartels, selon les autorités.
D’après le gouvernement local, les cadavres étaient enveloppés dans des sacs en plastique et entassés les uns sur les autres à l’arrière d’une camionnette abandonnée, découverte par des policiers à Cupareo, dans la municipalité de Salvatierra.
Le nombre de corps est estimé entre cinq et sept, ont indiqué à l’AFP des sources proches de l’enquête. Selon des images publiées par les médias locaux, un message écrit sur une bâche près des cadavres a revendiqué le massacre au nom du cartel de narcotrafiquants Jalisco Nueva Generacion (CJNG). Ce cartel, un des plus puissants du Mexique, mène une sanglante guerre territoriale dans le Guanajuato contre la mafia locale Santa Rosa de Lima.
Le Guanajuato, un centre industriel prospère où se trouvent plusieurs destinations touristiques prisées, est l’État du Mexique qui a connu le plus d’homicides en 2023 (3746, soit plus de 12% du total national), selon des statistiques officielles.

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