Auteur : Mel_C  

Morte depuis près de 9 mois, elle est retrouvée momifiée dans son logement :
Elle était connue dans le centre-ville de Nîmes pour se rendre tous les jours au supermarché "Monoprix" avec son petit sac de course. Une dame, âgée de 56 ans, a été découverte décédée dans son logement mardi en début d'après-midi. Les pompiers ont cassé la porte de cet appartement et ont retrouvé le corps momifié de la malheureuse. Une victime morte depuis près de 9 mois, car des produits périmés depuis décembre dernier auraient été retrouvés dans le frigo. Une dame qui vivait seule et qui ne recevait personne selon un habitant de cette rue. Un "voisin" attristé qui confirme qu'il n'a pas aperçu "cette dame depuis de longs mois. Je ne me souviens pas l'avoir croisée cette année. Mais il s'agissait d'une dame seule qui ne cherchait pas à entrer en contact avec les autres. Je pensais qu'elle était partie de ce logement pour vivre ailleurs", poursuit le même témoin. C'est le propriétaire qui a alerté les secours car il n'avait plus de nouvelles de sa locataire depuis plusieurs mois. Il s'agirait d'un terrible drame de la solitude. Une autopsie doit se dérouler à l'institut médico-légal du CHU de Nîmes et une enquête pour "rechercher les causes de la mort est en cours"...
Quel monde d'individualisme !?!?

Auteur : Mel_C  

JUSTICE :
Il est 11h30 le 15 juillet dernier. Une mère de famille sort d'un supermarché de Beaucaire. Elle ouvre son coffre et range les couches des enfants. Puis elle prend dans ses bras son bébé né trois semaines plus tôt pour l'installer à l'arrière du véhicule. Son autre fils, 3 ans est également dans la voiture. La maman fait ensuite le tour de son automobile lorsqu'elle voit apparaître un individu qui s'installe sur le siège passager avant. " Vous vous êtes trompé de voiture monsieur", dit innocement la mère de famille qui a du mal à cacher ses larmes à l'audience de ce lundi 26 août au tribunal correctionnel de Nîmes. Car cette dame n'imagine pas un seul instant qu'elle va être victime d'un enlèvement qui va durer quelques minutes. La conductrice voit apparaître une lame de couteau et comprend qu'elle va vivre des minutes de peurs et d'angoisse pour elle... et pour ses enfants. L'agresseur est en panne et a décidé de voler un véhicule identique au sien pour "partir en vacances avec sa fille adolescente" ! Un suspect au profil inquiétant qui pleure à deux reprises dans la voiture et qui demande à l'infirmière en psychiatrie de démarrer. Elle et ses enfants seront abandonnés un peu plus tard en rase campagne. "Est-ce qu'il voulait nous découper le monsieur avec son couteau", demande depuis les faits le petit garçon de trois ans qui ne comprend pas la situation. Difficile en effet de savoir encore aujourd'hui qu'elles sont les réelles motivations de cet homme, âgé de 56 ans, et connu pour 6 mentions sans rapport avec un enlèvement ou une séquestration. "J'ai craqué, je ne dormais pas, je ne sais pas pourquoi j'ai fait ça. Je n'ai pas compris que je faisais autant peur à cette famille", déclare le mis en cause dans le box du tribunal correctionnel. "Elle était persuadée de ne pas sortir vivante de ce véhicule. Et puis il faut imaginer l'angoisse pour une maman que cet homme s'en prenne à ses enfants. Il y avait un bébé de trois semaines dans la voiture avec un enfant de trois ans", dénonce l'avocate de la famille. "C'était la bonne victime, une maman seule avec ses deux enfants", ajoute la procureure Estelle Meyer. Le prévenu bien énigmatique à l'audience est défendu par Maître Flrorence De Prato qui essaie de renvoyer une image plus humaine de son client. un homme qui a été arrêté en Aquitaine en vacances avec sa fille et avec la voiture volée dans le Gard. Il avait seulement changé les plaques d'immatriculation.
> Un prévenu reconnu coupable de cet enlèvement et cette séquestration et qui écope de 4 ans de prison dont deux années avec un sursis probatoire.

Auteur : Mel_C  

NIMES :
Le 23 août, il casse la vitre d'un véhicule en stationnement dans les rues de Nîmes, puis se rend au commissariat de la ville pour revendiquer son geste. Un homme, âgé de 45 ans, qui est déjà connu de la Justice avec 23 mentions sur son casier judiciaire. Il est aussi suivi médicalement pour des problèmes psychiatriques.
"Il a volontairement cassé la vitre de ce véhicule pour être interné", estime son conseil Maître Lauriane Dellenseger. "Il est prêt à tout pour être incarcéré ou interné", estime la procureure Estelle Meyer qui demande que le prévenu soit maintenu en détention en attendant l'expertise psychiatrique et son jugement sur le fond en octobre prochain.
Un homme qui après avoir cassé la vitre est parti au CHU. Mais l'établissement hospitalier a estimé qu'il pouvait rentrer chez lui. Quelques minutes après le quadragénaire est de retour au commissariat où il dégrade une voiture de Police toujours pour obtenir son internement au mas Careiron d'Uzès où il a déjà été soigné à plusieurs reprises. Une demande qui n'a pas été accordée puisque le mis en cause a été placé en garde à vue puis en détention provisoire.
Le tribunal correctionnel de Nîmes, présidé par Jean-Michel Perez a décidé de le maintenir en détention jusqu'à son procès. C'est un médecin de la maison d'arrêt qui décidera s'il doit être suivi dans un établissement psychiatrique...

Auteur : Mel_C  

NORD DU GARD :
La gendarmerie nationale en parle sur ses réseaux sociaux ! Dimanche 25 août, dans l’après-midi, les motards de la gendarmerie de la brigade motorisée d’Alès, dans le Gard, ont procédé à une opération de contrôle de la vitesse des véhicules sur la RD 6110, à proximité de Lédignan. Quinze excès de vitesse compris entre 20 et 40 km/h au-dessus de la limite légale ont été relevés. Surtout, les militaires ont intercepté deux motards qui circulaient à 170 km/h sur cette portion de route où la vitesse est limitée à 80 km/h.

Auteur : Mel_C  

ARIEGE :
Alors qu’ils randonnaient en Ariège vendredi 23 septembre, un père et son fils ont vécu un véritable cauchemar. Ils se trouvaient à 1 800 mètres, en direction du lac de Fontargente, lorsqu’ils s’accordent une pause pour pique-niquer.
La suite, c’est le père de cet enfant de 10 ans, qui la raconte à nos confrères de France 3. Son fils s’est penché en direction d’un ruisseau pour observer une grenouille, lorsqu’il l’entend crier. "Ça a été très violent, très, très violent. Il a hurlé de douleur. Je suis arrivé tout de suite parce que j’étais à trois mètres de lui. Et quand j’ai vu les deux traces de crochets dans les doigts, j’ai compris que c’était une morsure de serpent".
Les conséquences ne se font pas attendre, le papa comprend rapidement qu’une vipère a mordu son fils, à cause des gonflements. Julien a très mal et il faut agir vite. Son père se met en direction de la descente, tandis que son état se détériore. Sur la route, un autre randonneur va les aider.
Il faudra une heure au petit groupe pour regagner la voiture. Entre-temps,"il commençait à perdre connaissance, à être inanimé, il vomissait… Je l’ai vu mourir, quoi", raconte son père, encore sous le choc.
Après avoir rejoint les pompiers, qui prodiguent les premiers soins, le Samu prend le relais et permet d’hospitaliser en urgence le garçon de 10 ans, qui présente tous les symptômes d’un choc anaphylactique.
Habitué aux randonnées en montagne, le papa de Julien alerte à titre préventif sur les risques qui accompagnent les sorties en pleine nature, "il faut rester attentif, vigilant. Sans arrêt, sans arrêt. Et garder en tête qu’on n’est pas dans notre habitat", rappelle-t-il à France 3. Et d’ajouter que son fils, désormais tiré d’affaire, qu’il a régulièrement sensibilisé, lui a même dit dans la voiture, malgré son état : "ce n’est pas la faute du serpent. J’ai mis la main devant sa maison, c’est ma faute."

Auteur : Mel_C  

Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 1 :
> À la suite de l’incendie de la synagogue Beth Yaacov de La Grande-Motte, le 24 août 2024, le parquet national antiterroriste a ouvert, ce jour, une information judiciaire étayée sur six chefs d’accusation.
En l’occurrence, une association de malfaiteurs terroriste en vue de la préparation d’un ou plusieurs crimes d’atteinte aux personnes visés au 1º de l’article 421-1 du code pénal. Tentative d’assassinats, commise en raison de la race ou la religion, en relation avec une entreprise terroriste. Dégradations par incendie ou moyen dangereux pour les personnes, ayant entraîné une incapacité totale de travail inférieure à 8 jours, commises en raison de la race ou la religion, en relation avec une entreprise terroriste. Détention et transport de produit incendiaire en vue de la préparation de dégradations dangereuses pour les personnes, en relation avec une entreprise terroriste. Violences sur fonctionnaires de la police nationale sans incapacité totale de travail, aggravées par l’usage d’une arme, en relation avec une entreprise terroriste. Recel de malfaiteur terroriste.

Auteur : Mel_C  

Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 2 : Quatre gardes à vue :
Au cours des investigations, conduites dans le cadre de l’enquête de flagrance, quatre personnes ont été interpellées. La garde à vue de l’une d’elles, mise hors de cause, a été levée dès le 26 août 2024. Trois personnes ont été présentées au magistrat instructeur ce mercredi après-midi : El Hussein Khenfri, mis en cause pour l’attentat contre la synagogue ainsi que deux personnes de son entourage, deux hommes, âgés respectivement de 28 ans et de 30 ans.

Auteur : Mel_C  

Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 3 : Une haine des Juifs :
El Hussein Khenfri est un homme âgé de 33 ans, né à Blida en Algérie, de nationalité algérienne, en situation régulière sur le territoire national car il est bénéficiaire d’un récépissé de demande de carte de séjour, sans emploi, sans revenu et occupant sans titre un logement du quartier Pissevin à Nîmes (30). II a été condamné à une reprise en octobre 2022 pour des faits de conduite en état alcoolique. Il est inconnu des services spécialisés.
De diverses auditions et de ses publications sur les réseaux sociaux, il apparaît que le Nîmois s’est radicalisé dans la pratique de sa religion depuis plusieurs mois et nourrit également, de longue date, une haine des juifs, plus spécifiquement localisée sur la situation en Palestine. II a enfin fait part à certains de ses proches de son intention d’aller combattre à Gaza.