Auteur : Mel_C  

Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 4 :Achat d’armes et repéragess :
Il résulte des premières investigations que, dans les semaines précédant les faits, il avait acquis une arme de poing et procédé à diverses recherches internet sur des synagogues de la région, les fêtes juives et la période du shabbat. Il avait enfin effectué des repérages plus ciblés sur la synagogue de La Grande-Motte.
C’est dans ces circonstances que, dans la nuit du 23 au 24 août 2024, il s’est rendu, seul, à proximité de la synagogue Beth Yaacov de La Grande-Motte, avec sa voiture, dans laquelle il a dormi une partie de la nuit. À 8 h 21, muni de plusieurs bouteilles en plastique remplies de carburant, d’une hache comportant des mentions écrites de sa main, relatives à la Palestine, à Gaza et au sang des musulmans, et porteur d’une arme de poing, il a franchi, en l’escaladant, le mur d’enceinte de la synagogue.

Auteur : Mel_C  

Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 5 : Il allume plusieurs foyers :Achat d’armes et repérages :
Il portait un keffieh sur la tête et un drapeau palestinien à la taille. II s’est rendu dans différents points de l’emprise de la synagogue et a allumé plusieurs foyers : au niveau des portes d’entrée du bâtiment principal, porte de la salle de culte et porte de la salle commune.
Sur le parking, il a mis le feu à un premier véhicule avant de se diriger, hache et arme de poing à la main, vers une armoire de climatisation derrière laquelle il s’est dissimulé. Après une trentaine de secondes, il a incendié une paillote située le long d’un mur du parking et un second véhicule stationné à proximité.
Il dit avoir déclenché involontairement un incendie dans sa voiture
Dans l’enceinte, se trouvaient des bouteilles de gaz dont une a explosé lors de l’intervention des premiers secours, occasionnant de légères blessures à un policier municipal. Cinq personnes dont le rabbin se trouvaient lors des faits à leurs domiciles, situés au premier étage du bâtiment.
L’attaque commise, El Hussein Khenfri enjambait à nouveau le mur d’enceinte de la synagogue et repartait avec son véhicule. II y déclenchait involontairement un début d’incendie et l’abandonnait à quelques dizaines de mètres de la synagogue.

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Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 6 : Ramené à Nîmes par une connaissance .. :
Il rejoignait alors l’une de ses connaissances sur un marché du Grau-du-Roi (30). Ce dernier acceptait de le reconduire à Nîmes dans l’après-midi avant de regagner son logement du quartier Pissevin, où il retrouvait un autre de ses proches avec lequel il avait antérieurement échangé sur un éventuel passage à l’acte. De même individu l’informait un peu plus tard de la présence d’effectifs de police. Lors de l’arrivée des forces de l’ordre face à l’appartement occupé par le principal suspect, celui-ci s’est saisi de son arme de poing, qu’il savait chargée de munitions à blanc et donc non létales, et tirait à cinq reprises dans leur direction.

Auteur : Mel_C  

Suite à l'Incendie à la synagogue de La Grande-Motte / 7 : Blessé par un tir de riposte .. :Il était blessé en retour par un tir de riposte au niveau du bras et du thorax et présentait une plaie au visage consécutive à l’action d’interpellation. Après avoir été pris en charge au plan médical, le trentenaire a reconnu les faits dès sa première audition. II a expliqué avoir agi pour soutenir la cause palestinienne, contestant toute intention homicide mais concédant avoir eu l’intention de faire peur. Il entendait, par son action à forte portée symbolique, faire réagir les autorités israéliennes.
> La mise en examen d’El Hussein Khenfri a été requise de l’ensemble des chefs visés par le réquisitoire introductif, à l’exception du recel de malfaiteur terroriste. Son placement en détention provisoire a été requis.

Auteur : Mel_C  

Cœur d’Hérault :
Après les vols en série concernant des cuves de récupération d’eau de 1.000 litres qui avaient défrayé la chronique en avril dernier. Voilà que ce sont désormais les systèmes d’arrosage des agriculteurs, et plus particulièrement des viticulteurs du Cœur d’Hérault, qui sont pris pour cible par des malfrats, ces dernières semaines. Le phénomène se concentre sur le ressort des communautés de brigades de gendarmerie de Clermont-l’Hérault et de Gignac, qui chapeautent plusieurs communes. Avec un pic enregistré dans la nuit de dimanche à lundi 26 août.

Auteur : Mel_C  

Ecole nationale de police de Nîmes :
Un incendie de grande ampleur est en cours à l’école nationale de police de Nîmes. Le feu s’est déclaré aux alentours de 16 heures a-t-on appris ce mercredi 28 août. L’incendie dont l’origine n’est pas encore précisée aurait pris dans un bâtiment administratif de deux niveaux. Les locaux étaient en travaux. Selon nos informations, la toiture des bâtiments serait en flammes. Les pompiers ont déclenché un important dispositif d’extinction avec plusieurs véhicules d'intervention dont une grande échelle déployée pour arroser abondamment le bâtiment en flammes.

Auteur : Mel_C  

Canaules-et-Argentières :
L’éleveuse de chien qui a tué l’ancienne maire de Canaules-et-Argentières demandait à la cour d’appel de Nîmes de la libérer ce mercredi 28 mai. Elle est incarcérée depuis sa mise en examen du 30 mai dernier. Elle est suspectée d’homicide involontaire et de modification de scène de crime. L’affaire remonte au 28 mai quand une ancienne élue (93 ans) avait été attaquée dans le cimetière alors qu’elle venait se recueillir sur la tombe d’un défunt.

Auteur : Mel_C  

Vol de "rangs d’oignon entier à Décines-Charpieu (près de Lyon) et meurtre en Belgique :
Depuis plusieurs mois, les membres d’un jardin associatif de Décines-Charpieu subissaient des vols répétés de leurs fruits et légumes. Fatigués par ces intrusions, ces jardiniers amateurs ont décidé de prendre les choses en main. "Il volait des rangs d’oignon entier, certains en ont eu ras le bol", a confié l’un des maraîchers au Figaro, déterminé à mettre fin a ces vols. C’est ainsi que, certains soirs, plusieurs d’entre eux ont surveillé depuis leur jardin, espérant attraper le coupable sur le fait. Leur patience a fini par payer lorsque, ce vendredi 23 août 2024 soir, ils ont surpris un homme en train de franchir la clôture du jardin à l’aide d’un coussin pour éviter les piqûres. "On l’a vu arriver avec son vélo volé qu’il a pris soin d’attacher, ce qui nous a fait rire pour un voleur", raconte Brigitte, dont le mari a participé a l’arrestation.