ALES
Accident de chasse : un blessé
L’homme de 40 ans a été héliporté en direction de l’hôpital Carémeau de Nîmes.

ALES-NIMES
Accident de la route sur le RN 106 entre Alès et Nîmes :
le trafic fortement perturbé ce lundi 16 décembre suite à un accident impliquant deux véhicules.

Auteur : Mel_C  

Quel perroquet !!! Pauvre femme !!

Auteur : Mel_C
4988/5026
Date : 15-12-2024 23:46:30


SAINT-PAUL-LA-COSTE (ouest d'Alès) - Accident de chasse :
Les sapeurs-pompiers du Gard sont intervenus pour un accident de chasse sur la commune de Saint-Paul-la-Coste. Le détachement des sapeurs pompiers composé d’une ambulance, d’une équipe Grimp (secours en milieu périlleux) et d’un véhicule de commandement a pris en charge un homme âgé de 40 ans, blessé dans le dos. La victime a été transportée sur le CHU Carémeau par l’hélicoptère du Samu. La gendarmerie était présente sur les lieux de l’intervention pour effectuer les constatations d’usage.



Auteur : Aigle
5026/5026
Date : 16-12-2024 08:08:51

ALES
Accident de chasse : un blessé
L’homme de 40 ans a été héliporté en direction de l’hôpital Carémeau de Nîmes.

Auteur : Mel_C  

SKI ALPIN
Lara Gut-Behrami se fait souffler la victoire au super-G de Beaver Creek.
Au lendemain de sa 3e place en descente, la Tessinoise a terminé 2e du premier super-G de la saison, dans le Colorado. Seule l’Italienne Sofia Goggia l’a devancée.

Auteur : Mel_C  

BRESIL - Projet de coup d’État :
Un ex-ministre de la Défense du président d’extrême droite Jair Bolsonaro, soupçonné d’avoir «dirigé» un projet présumé de coup d’État et d’avoir tenté de faire entrave à l’enquête, a été arrêté samedi au Brésil.
Ministre en 2021-2022, le général Walter Braga Netto fut le colistier de Jair Bolsonaro à l’élection présidentielle d’octobre 2022, perdue face à l’actuel chef de l’État de gauche, Lula.
L’arrestation a été ordonnée par le juge Alexandre de Moraes du Tribunal suprême fédéral (STF), en raison de la «participation très grave» du général au projet de coup d’État, «dans un véritable rôle de direction, organisation et financement, en plus d’indices pertinents indiquant qu’il a agi de manière répétée pour faire obstacle à l’enquête». Le général Walter «Braga Netto a été arrêté», a confirmé à l’AFP une source policière.
Fin novembre, la police fédérale (PF) avait recommandé d’inculper Jair Bolsonaro, 69 ans, et plusieurs de ses proches, pour leur implication présumée dans ce projet de coup d’État visant à empêcher l’investiture de Lula, dont le général Braga Netto.
Selon les éléments de l’enquête, Walter Braga Netto a eu une «participation active» dans la tentative de faire pression sur des commandants des forces armées brésiliennes pour «rejoindre le projet de coup d’État».
Le général serait aussi impliqué dans l’obtention et la remise de fonds pour des opérations de surveillance, et pour «la planification d’enlèvements et, possiblement, d’homicides de personnes dépositaires de l’autorité publique».
Il aurait aussi agi pour avoir des informations protégées par le secret judiciaire sur le déroulement de l’enquête et aurait fait pression pour que «la participation des personnes faisant l’objet d’une enquête ne soit pas entièrement divulguée».
Le général avait déjà été l’objet d’une opération policière en février dans le cadre de l’enquête sur «l’organisation criminelle qui a agi dans la tentative de coup d’État», mais n’avait pas alors été incarcéré.
La police estime que Jair Bolsonaro et 36 de ses proches devraient être poursuivis pour «les crimes d’abolition violente de l’État de droit, de coup d’État et d’organisation criminelle».
Elle a rassemblé des preuves pendant deux ans et rédigé un rapport de 884 pages, désormais entre les mains du procureur de la République Paulo Gonet, qui doit décider s’il donne suite aux demandes d’inculpation.
Selon les enquêteurs, Jair Bolsonaro avait «pleinement conscience» des «actes clandestins visant à abolir l’État de droit» et y avait «participé activement». Il avait en outre «pleinement conscience» d’une opération visant à assassiner Lula.
Outre le leader de gauche, les assassinats d’autres personnes étaient également prévus, notamment Geraldo Alckmin, alors vice-président élu, et le juge de Moraes.
Appelé «Poignard vert et jaune», le projet de tuer Lula aurait été discuté dans la maison même du général Braga Netto. Et le plan en a été imprimé au Planalto, le palais présidentiel, selon les enquêteurs.
Parmi les preuves réunies par la PF figure aussi un manuscrit saisi au siège du Parti libéral (PL) de Jair Bolsonaro, dans les affaires d’un conseiller de Walter Braga Netto.
Sous le nom de code «Opération 142», le document mentionne des options comme «interruption du processus de transition», «annulation des élections» et «prorogation des mandats».
Lula l’avait emporté d’une courte marge au second tour de la présidentielle, fin octobre 2022, et avait entamé son troisième mandat le 1er janvier 2023. Il avait déjà été président de 2003 à 2010.
Le coup d’État n’a pas eu lieu, mais le 8 janvier 2023, quelques jours après l’investiture de Lula, des milliers de partisans de Jair Bolsonaro avaient envahi et vandalisé à Brasilia les bâtiments abritant la présidence, le STF et le Parlement.
Jair Bolsonaro, qui était parti quelques jours avant aux États-Unis, fait l’objet d’une autre enquête pour déterminer s’il était à l’origine de ces émeutes.

Auteur : Mel_C  

NICE :
Dans le cadre de l’enquête publique en cours, le groupe ViVA! a réaffirmé son opposition historique à l’extension de l’aéroport de Nice-Côte d’Azur. Ce projet, qui prévoit une augmentation du trafic aérien et du nombre de passagers à hauteur de 21 millions en 2034, suscite de nombreuses inquiétudes. Selon ViVA!, il générera une hausse des émissions de gaz à effet de serre (GES), des nuisances sonores accrues et des pollutions atmosphériques supplémentaires. Cela affecterait directement les populations riveraines, notamment les plus fragiles.
Le rassemblement dénonce également les incohérences des autorités locales qui, tout en prétendant lutter contre le dérèglement climatique, soutiennent un projet favorisant l’usage d’énergies fossiles. Cette extension contredit l’objectif de réduction des émissions de GES de 55 % d’ici 2030, annoncé par la métropole.
ViVA! pointe des lacunes majeures dans l’étude d’impact présentée par les promoteurs du projet. Les effets des polluants ultrafins, particulièrement nocifs pour la santé, ne sont pas évalués. Les nuisances sonores, déjà problématiques, s’aggraveraient avec une augmentation de 28 000 vols par an. Cela exposerait davantage de personnes à des risques de troubles du sommeil, de stress, de maladies cardiovasculaires…
Selon eux, le projet ne prend pas non plus en compte les risques liés au changement climatique, comme les inondations ou la submersion progressive des sols de l’aéroport. Enfin, aucune mesure sérieuse n’est prévue pour protéger la biodiversité, malgré la proximité d’un site Natura 2000.
Pour ViVA!, cette extension reflète une fuite en avant vers le sur-tourisme, avec ses conséquences sur la crise du logement et la saturation du territoire. L’association appelle à des choix économiques et touristiques plus respectueux de l’environnement et des populations locales.
En 2019, plus de 13 000 citoyens avaient signé une pétition contre ce projet. Aujourd’hui encore, ViVA! invite à se mobiliser pour refuser cette extension.

MAOTTE :
Kawéni, le plus grand bidonville de France, rayé de la carte
MAIS, QUI a laissé ces bidonvilles sinstaller ??....Quels élus ont-ils lutter en programmant des constructions d'HLMM par exemple ???

Sur les 20 000 habitants ""estimés"" de ce quartier en périphérie de Mamoudzou, seuls 5 000 auraient rejoint des abris avant le passage du cyclone Chido, samedi, qui a balayé les habitats informels......De nombreeux autres étant des "illégaux"

Cyclone CHIDO à Mayotte :
les vingt-cinq premières évacuations sanitaires ont été effectuées de Mayotte vers la Réunion,
assure la ministre de la santé démissionnaire
« Plusieurs vols ont eu lieu dans la journée pour rendre possible ces évacuations », a affirmé Geneviève Darrieussecq,
qui entend poursuivre les actions visant « à acheminer les renforts humains et matériels en fonction de l’évolution de la situation et des besoins sanitaires de nos compatriotes Mahorais ».