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Faits divers
Auteur : Mel_C  
3177/6069

Date :    15-01-2025 20:06:34


JUGEMENT EN NORVEGE - Air France déclarée coupable de discrimination sexuelle...

La compagnie aérienne Air France a été reconnue coupable de discrimination sexuelle en Norvège après avoir demandé à un passager de changer de siège afin de ne pas être assis à côté de mineurs non accompagnés. Le risque d’agression sexuelle a été évoqué et la demande n'aurait pas été faite si le passager avait été une passagère.
Dominique Sellier a saisi le Diskimineringsnemnda, la Commission norvégienne de lutte contre les discriminations. L’équipage d’un vol Oslo-Paris le 27 octobre 2022 lui a demandé, avant le décollage, d’échanger son siège avec une passagère au motif qu’il ne pouvait être assis à côté de deux enfants voyageant seuls.
Lors de l’examen de l’affaire, l’avocat de la compagnie française a justifié ce changement de sièges par le règlement intérieur du transporteur et argué que les hommes représentaient 97,93% des auteurs des crimes et délits sexuels suspectés.
«C’était une situation pas très agréable», a témoigné M. Sellier mardi auprès de l’AFP. «Les passagers autour me regardaient, car ils attendaient que le changement de places soit effectué pour qu’on puisse décoller».
«Il y a peut-être une part de projection, mais j’ai interprété certains regards comme disant "ce gars n’est pas net"», a-t-il expliqué.
Selon la décision de la Commission anti-discrimination dont l’AFP a obtenu copie, le règlement intérieur d’Air France stipule qu’en cas de vol complet, ce soit «de préférence» une femme qui soit assise aux côtés de mineurs non accompagnés.
Sollicitée par l’AFP, Air France, par la voix de son avocat, n’a pas souhaité faire de commentaire à ce stade.
Selon le compte rendu d’audience, la compagnie a tenté de remettre en question la compétence de l’instance norvégienne dans cette affaire, faisant valoir que l’épisode s’était produit à bord d’un appareil qui n’était pas immatriculé en Norvège.
À titre subsidiaire, elle a aussi affirmé qu’il s’agissait d’une différence de traitement légale, justifié par la nécessité d’assurer la sécurité de mineurs non accompagnés contre le risque de «trafic et autres formes de violences et agressions».
«Comment peut-on accepter ce type de suspicion parce qu’on appartient au genre masculin? C’est une essentialisation des hommes qui me semble aller un peu trop loin», réagit Dominique Sellier.
Bien qu’ayant obtenu gain de cause devant le Diskrimineringsnemnda constitué de trois juristes, le plaignant dit n’avoir reçu ni dédommagement ni excuses.
Pendant le vol, «j’ai juste eu un verre de champagne dans un gobelet en carton», a-t-il confié.
Auteur : Mel_C  
3178/6069

Date :    15-01-2025 20:09:49


PARIS - Policier poursuivi pour avoir frappé à mort un homme menotté ...
Un policier a été mis en examen le 11 janvier, soupçonné d’avoir mortellement frappé à coups de poings au visage un homme de 48 ans, qui était menotté, lors de son interpellation après une rixe en août 2023 à Paris.
Le gardien de la paix, Théo M., 28 ans désormais, est poursuivi pour violences volontaires ayant entrainé la mort sans intention de la donner, a indiqué lundi le parquet de Paris, confirmant une information de «Libération».
Il a été placé sous contrôle judiciaire «avec interdiction d’entrer en contact avec ses co-auteurs ou complices, les témoins de l’infraction et la famille de la victime et d’exercer son activité de fonctionnaire de police sur la voie publique», a précisé le parquet.
Contacté, son avocat Me Laurent-Franck Liénard n’a pas donné suite.
Tamer M., né en Israël et Palestinien, selon «Libération», avait été interpellé par des policiers le 17 août 2023, vers 3 h 30, à proximité de la gare de l’Est après une rixe avec plusieurs personnes.
Selon l’exploitation des caméras de vidéosurveillance, il avait tenté de frapper les protagonistes de la rixe avec un tournevis. Un premier homme, non identifié, «l’avait saisi par le cou pour l’écarter brutalement», un deuxième «avait porté un coup de poing au côté gauche de Tamer M. et un troisième homme, manifestement armé lui-même d’un couteau, lui avait porté un coup au niveau des jambes».
Tamer M. avait été maitrisé par des agents de sûreté de la RATP. Il «avait été amené au sol après clef de bras de l’un des agents, selon plusieurs témoins qui n’avaient pas constaté de blessures apparentes sur sa personne», a détaillé le parquet.
À l’arrivée de la patrouille de police, «virulent», et «manifestement ivre, il avait été menotté et installé à l’arrière du véhicule de police», selon le parquet.
Le policier avait expliqué que Tamer M., assis à côté de lui, «lui avait porté un coup de tête, lui occasionnant quatre jours d’ITT» (incapacité totale de travail). Il l’avait «repoussé puis lui (avait) porté plusieurs coups de poing au visage», selon la même source.
Selon le parquet, lors de son audition, «une autre membre de l’équipage» avait soutenu que Tamer M. «s’était frappé la tête contre la portière, et avait tenté (de) porter des coups au gardien de la paix assis à côté de lui ; elle l’avait repoussé de la main».
Les deux policiers l’avaient ensuite conduit au commissariat du 10e arrondissement et, selon leurs déclarations, «Tamer M. s’était endormi et avait ronflé pendant le trajet».
Il ne s’était pas réveillé à son arrivée au poste de police et présentait «des plaies saignantes» au visage. «Il avait été conduit à l’hôpital Lariboisière, où un état de coma avait été constaté», a poursuivi le ministère public.
Son état avait empiré et il est mort une semaine plus tard, le 24 août 2023. «L’autopsie avait conclu à un «décès par traumatisme crânio-facial grave», selon le parquet.
Le parquet de Paris avait ouvert une enquête puis une information judiciaire le 31 août 2023, confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN).
Les témoins entendus dans le cadre de cette information judiciaire «ont confirmé l’absence de violences commises par les agents RATP», a précisé le parquet.
Selon «Libération», la famille ou les proches de la victime n’ont pas été retrouvés.
Plusieurs affaires de violences policières ont été révélées ces dernières années, notamment lors des manifestations des «gilets jaunes».
La mort du jeune Nahel, 17 ans, tué le 27 juin 2023 par un policier lors d’un contrôle routier à Nanterre (Hauts-de-Seine) avait relancé en France le débat sur les violences policières et causé plusieurs nuits de graves violences urbaines dans de nombreuses villes.
Dans un autre dossier devenu emblématique, celui de la mort de Cédric Chouviat, des juges d’instruction ont ordonné le 17 décembre que trois policiers soient jugés par le tribunal correctionnel de Paris pour homicide involontaire. Ils sont accusés d’avoir eu un «comportement non adapté, négligent et imprudent» menant à la mort du livreur, qui avait pourtant répété «J’étouffe» lors de son interpellation en janvier 2020.
Auteur : Mel_C  
3179/6069

Date :    15-01-2025 20:12:33


BELGIQUE :
On ignore toujours ce qui a déclenché ce drame jeudi dans un élevage familial de Quévy, en Blegique. Alors que la propriétaire nourrissait ses Malamutes de l'Alaska avec son fils de 7 ans, qui avait pourtant l'habitude de faire cela avec sa maman, cinq des chiens se sont précipités sur lui et l'ont grièvement blessé. La mère est parvenue à reprendre le contrôle, mais son enfant est décédé de ses blessures en arrivant à l'hôpital, écrit DH.
Les cinq animaux concernés, qui ont moins d'un an, ont été vus par deux vétérinaires comportementalistes, qui ont estimé qu'ils présentaient un danger pour la sécurité publique. Avec l'accord de la famille, ils ont été euthanasiés samedi.
L'enquête sur les circonstances de la mort se poursuit. Une cérémonie en mémoire de l'enfant a eu lieu ce lundi dans son école et un compte bancaire de soutien à la famille a été ouvert.
Auteur : Mel_C  
3180/6069

Date :    15-01-2025 20:14:34


DROME - AUTOROUTE A7 :
Samedi soir vers 21 h 30, une voiture a été contrôlée à 180 km/h sur l'autoroute A7, à hauteur d’Étoile-sur-Rhône (Drôme), près de Valence.
Des gendarmes d’une Équipe rapide d'intervention (ERI) sont intervenus, mais le chauffard a refusé d'obtempérer et a continué sa course folle. Vingt-cinq kilomètres plus loin, il a même fait une pointe à 250 km/h.
Finalement, le fuyard n’a pas vraiment été rattrapé, mais a été «trahi» par son réservoir. Il a été interpellé «suite à... une panne de carburant», relate «Le Dauphiné».
L’homme a été placé en garde à vue pour «excès de grande vitesse et refus d'obtempérer aggravé». Son permis a été retiré et sa voiture, une Audi, a été placée en fourrière.
Auteur : Mel_C  
3181/6069

Date :    15-01-2025 20:17:01


LONDRES - Des écologistes s'attaquent à la tombe de Darwin à Westminster :

Des militants de Just Stop Oil ont peint lundi des inscriptions sur la tombe du célèbre naturaliste Charles Darwin dans l’abbaye de Westminster, à Londres, pour dénoncer l’inaction politique face au réchauffement climatique.
Sur une vidéo mise en ligne par le groupe sur X, on voit deux militantes écrire à la peinture orange «1.5 is dead» (1,5 est mort), en référence à la limite de 1,5°C de réchauffement fixée par l’accord international de Paris sur le climat.
Vendredi, l’Observatoire européen Copernicus a indiqué que la température moyenne des deux dernières années avait dépassé 1,5°C.
Cette action vise à demander «que le gouvernement britannique travaille avec d’autres pays pour mettre fin à l’extraction et à l’utilisation d’énergies fossiles d’ici 2030», a indiqué Just Stop Oil dans un communiqué.
«Darwin se retournerait dans sa tombe s’il savait que nous sommes au milieu d’une sixième extinction massive», déclare l’une des deux manifestantes, Alyson Lee, 66 ans, dans la vidéo mise en ligne par le groupe, connu pour ses actions choc pour dénoncer l’exploitation d’hydrocarbures.
La police a indiqué avoir arrêté deux femmes, soupçonnées d’avoir causé des dommages «avec ce qui semble être de la peinture en poudre à l’abbaye de Westminster».
Par le passé, le groupe a particulièrement ciblé des lieux de culture, comme la National Gallery où des militants avaient aspergé de soupe les «Tournesols» de Vincent Van Gogh, ainsi que des évènements sportifs très médiatisés, comme le grand prix de Formule 1 de Silverstone ou le tournoi de Wimbledon.
Plusieurs de ses militants ont été condamnés à des peines de prison après avoir pris part à de telles opérations.
Auteur : Mel_C  
3182/6069

Date :    15-01-2025 20:19:05


BOUCHES-DU-RHÔNE :
Deux étudiants ont été condamnés à des amendes avec sursis vendredi en France, l’un pour avoir mangé une souris vivante, l’autre pour avoir filmé la scène ensuite diffusée sur les réseaux sociaux lors d’une soirée d’intégration en 2023.
Accusé d’avoir mâché une souris avant de la recracher puis de la remettre dans sa bouche, jusqu’à la tuer, Lucas B., alors étudiant en deuxième année de classe préparatoire scientifique, a été condamné à une amende de 1500 euros avec sursis par le tribunal de Marseille. Son camarade qui avait filmé la scène, Cédric V., a été condamné à une amende de 1000 euros avec sursis.
Tous deux ont été, en outre, condamnés à verser 1 euro de dommages-intérêts aux associations parties civiles, dont la Fondation 30 millions d’amis et la Société protectrice des animaux (SPA), qui avaient demandé plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Leurs peines ne seront pas inscrites sur leurs casiers judiciaires, comme l’avaient réclamé les avocats de la défense. «On ne fera pas appel», a indiqué à l’AFP Me Céline Dangauthier, avocate de Lucas B. Un troisième étudiant, poursuivi pour avoir diffusé la scène sur Instagram en «story privée», a été relaxé.
Mi-décembre, la procureure, Marie-Aude Fichet, avait requis des travaux d’intérêt général à l’encontre des trois étudiants, dont jusqu’à 105 heures pour le principal accusé, poursuivi pour maltraitance animale.
«Cette décision est une honte et un permis de tuer», a fustigé Me Xavier Bacquet représentant la Fondation 30 millions d’amis, pour qui le «message envoyé, c’est: Bourrez-vous la gueule, maltraitez les animaux et vous ne serez pas condamnés».
Auteur : Mel_C  
3183/6069

Date :    15-01-2025 20:20:15


PAS-DE-CALAIS :
Un bébé de 8 mois se trouve entre la vie et la mort en France depuis mercredi dernier, après avoir été percuté par un automobiliste mineur au volant d'une voiturette, rapporte le site franceinfo.
Le jeune homme est âgé de 14 ans. Le mercredi 8 janvier, il a percuté à Avion, dans le Pas-de-Calais, une mère et son bébé dans une poussette qui se trouvait sur un passage piéton. Après le choc, le conducteur a pris la fuite. Le bébé a été transporté en urgence absolue au centre hospitalier de Lille. Son pronostic vital était encore engagé jeudi soir.
Le jeune garçon a été retrouvé et placé en garde à vue pour blessures aggravées, délit de fuite et non-assistance à personne en danger. Sa passagère a été remise en liberté dans la soirée de jeudi. Âgée de 15 ans, elle est poursuivie pour non-assistance à personne en danger.
Le mineur conduisait une Citroën Ami, une petite voiture sans permis. Il s'agit d'un modèle 100% électrique dont la vitesse est limitée à 45 km/h. En France, les personnes nées après 1988 peuvent la conduire en étant titulaire d'un permis cyclomoteur.
L'accident a provoqué une vive émotion, en particulier sur les réseaux sociaux. Interrogé par franceinfo, Pierre Chasseray, porte-parole de l’association 40 millions d’automobilistes, évoque un «drame ignoble» causé par «un gamin de 14 ans». L'état de la mère qui poussait le landau n'est pas précisé.
Auteur : Mel_C  
3184/6069

Date :    15-01-2025 20:22:43


JUSTICE :
Des méthodes très discutables. Certains voyous profitent des limites du système judiciaire pour se faire libérer. Le phénomène est apparu pendant les fêtes de fin d'année sur les réseaux sociaux.
Un message intitulé : "Attends ton vice de procédure", avait fait le tour du réseau social Snapchat, relayé en masse. Il encourageait à déposer massivement des demandes de remise en liberté, tous à la même date, sans que l'on sache qui est à l'origine de ce mouvement.
À la cour d'appel, c'était le branle-bas de combat. Le procureur général, Marc Cimamonti, a doublé le nombre d'audiences et a lancé un SOS à toutes les équipes qui ont finalement réussi à faire face aux 70 demandes arrivées en même temps.
"Il aurait suffi qu'on soit confronté à 150 ou 200 appels pour être hors capacité de les traiter dans les délais utiles. La crainte, c'est de voir ce mouvement réitéré. Un mouvement qui serait suivi massivement pourrait nous exposer à une saturation et donc à devoir remettre en liberté des individus poursuivis pour des atteintes aux personnes graves", a-t-il expliqué au micro de RTL.

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