Auteur : Mel_C  

Affaire Mbappé :
L'avocate de l'attaquant des Bleus a indiqué mardi 15 octobre sur TF1 que son client, cité dans une affaire de viol en Suède, n'était jamais seul pour éviter de se retrouver dans des situations dangereuses. Plus globalement, les stars du sport et du showbiz sont de plus en plus nombreuses à prendre leurs précautions.

Auteur : Mel_C  

Samuel Paty :
la sœur de Samuel Paty redoute qu'un autre enseignant "soit tué un jour ou l'autre"
Le 16 octobre 2020, l'inconcevable arrivait aux abords d'un collège de Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines. Samuel Paty, un professeur d'histoire-géographie de 47 ans, était brutalement tué par l'un de ses élèves pour avoir montré une caricature du prophète Mahomet issue de Charlie Hebdo pendant un cours sur la liberté d’expression. Quatre ans après ce drame qui a marqué tout le pays, la sœur de la victime estime que "rien n'a changé".
"Les faits relatés dans la presse montrent que rien n'a changé. Il y a l'attentat de Dominique Bernard qui a été un évènement foudroyant. Tous les jours, toutes les semaines, les professeurs sont victimes d'agressions", déplore Mickaëlle Paty, invitée sur RTL. "Le monde enseignant est convaincu qu'un autre enseignant sera tué un jour ou un autre. (…) Je ne vois pas pourquoi cela ne pourrait pas arriver de nouveau", dit-elle.
Cette crainte d'un nouveau passage à l'acte a motivé Mickaëlle Paty à attaquer l'État en justice. "Il faut leur imposer puisqu'ils ne ne font pas d'eux-mêmes. Il faut qu'il reprenne son rôle, celui qui l'a fait naitre, c'est-à-dire défendre son peuple", poursuit-elle, regrettant l'inaction de l'État. "Il y a une forme de déni qui n'est plus acceptable à l'heure actuelle. Il faut que les uns et les autres prennent conscience de la gravité de la situation. C'est le nombre qui va permettre de faire reculer ceux qui nous menacent", ajoute-t-elle avant de conclure : "On ne peut plus se cacher derrière nos peurs".

Auteur : Mel_C  

PARIS :
Mardi 15 octobre, une dispute banale entre un cycliste et un automobiliste a complètement dégénéré aux abords de la place de la Madeleine, dans le VIIIe arrondissement de Paris.Vers 18h, après une altercation, le cycliste, un jeune homme âgé de 27 ans, a frappé le capot de la Mercedes de l'automobiliste avant de tenter de repartir. C'est à ce moment-là qu'il a été renversé et écrasé par le conducteur du SUV entre la route et la piste cyclable. "C'est très récurrent, pratiquement tous les jours. Mais alors, aller jusqu'à l'extrême, de renverser un cycliste alors qu'on n'a pratiquement aucune protection, c'est de la débilité humaine", attaque Laurent, un cycliste parisien. Il a lui-même déjà été renversé par une voiture. "Comme personne ne veut s'arrêter et en venir aux mains, je tape sur le capot, je m'en vais. Il y a des automobilistes qui s'en foutent tout ça. Le vélo, je crois que je vais le laisser parce que chaque fois que je le prends, à un moment donné, il va m'arriver quelque chose", témoigne-t-il.
> Selon lui, les disputes sont de plus en plus fréquentes. Le conducteur de la Mercedes a été interpellé hier soir puis emmené au commissariat du VIIIe arrondissement. Il était au volant aux côtés de sa fille de 17 ans qui était sur le siège passager. L'enquête devra désormais déterminer si l'automobiliste a renversé le cycliste volontairement ou par accident.

Auteur : Mel_C  

Abbé Pierre :
Après les révélations d'agressions sexuelles, l'Église catholique a décidé d'ouvrir ses archives concernant l'Abbé Pierre. Les documents révèlent que plusieurs membres de l'institution étaient au courant des agissements du prêtre. "Grand malade mental", "perte de tout contrôle de soi"...

Auteur : Mel_C  

Meurtre de Philippine :
Le jeune homme soupçonné d’avoir tué le mois dernier cette étudiante en France avait été interpellé le 24 septembre à Genève. Ce Marocain, âgé de 22 ans, a été convoqué ce mercredi après-midi dans les locaux du Ministère public genevois. Comme la France demande son extradition, le prévenu devait dire s’il s’opposait à cette requête. Ce qui équivaut à retarder de plusieurs mois son transfert. Durant l’audience, le prévenu, représentée par une avocate genevoise, a fait savoir qu’il refusait son extradition, nous révèle l’Office fédéral de la justice. La victime, prénommée Philippine et âgée de 19 ans, était étudiante à l’Université de Paris-Dauphine. Son corps avait été retrouvé, le 21 septembre, enterré dans les bois, lors d’une battue organisée par la police. Une enquête pour homicide volontaire a été ouverte et confiée à la brigade criminelle de la police judiciaire de Paris.Selon une source policière, des témoins avaient raconté avoir vu un homme muni d’une pioche dans le secteur.
Selon BFMTV, le suspect était arrivé en France depuis l’Espagne, alors qu’il avait 17 ans. Par la suite, il a été condamné à 7 ans de prison pour le viol d’une étudiante de 23 ans en 2019 dans le Val-d’Oise. Le 3 septembre, il a été relâché en vue de son expulsion vers le Maroc. Il ne s’est jamais présenté aux autorités. La veille du meurtre, un avis de recherche avait été émis contre lui pour ne pas avoir respecté «son obligation de pointage.» Les enquêteurs français auraient retrouvé sa trace grâce à la géolocalisation de son téléphone portable.

Auteur : Mel_C  

Mort de Lina :
Le procureur de la république a indiqué ce mercredi 16 octobre 2024 que le corps de la jeune a été retrouvé. Elle avait disparu au mois de septembre 2023. Plus d’un an après, le corps de la jeune Lina a été retrouvé à Nevers, ville située dans la Nièvre, a indiqué le procureur de la République de Strasbourg, selon les informations de BFMTV. Selon le parquet, le corps aurait été retrouvé "immergé dans un cours d’eau situé en contrebas d’un talus".

Auteur : Mel_C  

POLITIQUE - Le discours du sénateur Gilbert Boucher bouleverse l’hémicycle :
En fauteuil roulant et très affaibli physiquement, le sénateur (Les Républicains) du Drôme atteint de la terrible maladie de Charcot à tenu à être présent devant le Sénat pour défendre son texte. Un moment émouvant où il remercie ses confrères d’avoir fait adopter son texte plaidant pour une meilleure prise en charge des patients touchés par la même maladie que lui. "Cela me fait plaisir qu’il y ait des signatures de tout le monde […]. De plus en plus, on parle de cette maladie. Mais il faut absolument plus de moyens, plus de communication, car c’est une maladie qui peut tomber sur tout le monde", déclare l’élu au Sénat.
Son témoignage bouleversant a entraîné un élan d’émotion et de forts applaudissements dans les rangs de la chambre haute, où unanimement tous les groupes politiques ont parlé d’une seule et même voix pour saluer le courage de leur collègue.

> La maladie de Charcot, également nommée sclérose latérale amyotrophique, est une maladie neurodégénérative qui affecte les cellules nerveuses responsables du contrôle des muscles volontaires, condamnant ainsi les patients touchés à une paralysie progressive qui gagne l’ensemble du corps et aboutit au décès en quelques années : deux à cinq ans en moyenne. Cette maladie dégénérative et irréversible touche 6 000 à 7 000 personnes en France. Chaque année en France, plus de 1 000 personnes sont atteintes par cette maladie neurodégénérative, le plus souvent âgées de 40 à 70 ans, selon l'Association Belharra. Les hommes sont tout de même plus susceptibles d’être touchés que les femmes. Espérons qu’après avoir fait adopter le texte au Sénat, l’Assemblée nationale fasse de même permettant ainsi de faire évoluer les législations sur les personnes en situation de handicap.

Auteur : Mel_C  

SANTE - Scandale des eaux minérales / 1 :
Les conclusions de la mission d'information "flash" lancée par le Sénat en avril 2024, afin de comprendre les failles de l'affaire des eaux en bouteille, viennent d'être publiées ce mercredi. L'information rapportée par FranceInfo et Le Monde fait état d'un double scandale, à la fois industriel et politique.
En janvier 2024, une enquête menée par Radio France et Le Monde avait révélé que plusieurs industriels, notamment des marques du groupe Nestlé Waters, avaient illégalement purifié de l'eau contaminée pendant plusieurs années. Vendue sous l'étiquette "minérale naturelle" ou "de source", l'eau était traitée pour être vendue ensuite.