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Faits divers
Auteur : Mel_C  
4201/4727

Date :    02-11-2024 18:30:33


GUERRE A GAZA / 2 -Banalisation dénoncée :

«Ces lettres ne nous absolvent pas, mais elles sont le minimum qu’on puisse faire», confie Guy. Témoin de l’enfer du centre de détention de Sde Teiman, où des cas de torture et d’abus contre les prisonniers gazaouis ont été rapportés, il raconte la banalisation d’une violence extrême pour laquelle personne n’est puni: «Des détenus ont été passés à tabac par des soldats. Certains en sont sortis blessés, l’un en est mort. J’ai vu des détenus amputés d'un membre à cause de menottes trop serrées. J’ai vu de la négligence médicale, des soignants qui ne donnaient pas d’antidouleurs… De la cruauté à l’état pur.»
Son passage à Sde Teiman et les images de Gaza le bouleversent: «Il ne s’agit plus seulement d’actions moralement condamnables, mais de crimes de guerre. Je ne peux pas participer à ça.»
C’est cette même atmosphère de vengeance que dénonce Michael Ofer-Ziv. Officier de contrôle, ce salarié de la tech à Tel-Aviv a vécu la guerre par écrans interposés. Depuis une salle de commande, il est chargé de gérer les combats du centre de la bande de Gaza. Les yeux rivés sur les images enregistrées par les drones, il guette mouvements et actions pour actualiser ses cartes interactives: «Je voyais les bombardements et les destructions en direct. En noir et blanc. Ça paraissait irréel, lointain. C’est en regardant les nouvelles internationales que je comprenais que ces frappes avaient des conséquences», témoigne le réserviste de 29 ans, qui dit avoir eu un déclic en décembre, après la mort de trois otages tués par un sniper israélien alors qu’ils avaient les bras en l’air et que l’un d’eux agitait un tissu blanc.
Auteur : Mel_C  
4202/4727

Date :    02-11-2024 18:31:33


GUERRE A GAZA / 3 - Impunité des soldats :

«J’ai compris que la pression militaire mettait en danger les otages, et qu’on avait créé une réalité où tuer des personnes qui tiennent un drapeau blanc peut arriver», déplore Michael avant de détailler: «On partait simplement du principe que tout individu était armé, dans une forme de négligence par rapport aux vies palestiniennes. Ça crée donc cette situation où les soldats peuvent faire ce qu’ils veulent.» Le réserviste affirme n’avoir vu aucun document relatif aux règles d’engagement circuler.
Michael se confie peu sur ses dilemmes auprès des autres soldats. «L’opinion dominante était qu’il n’y a pas d’innocents à Gaza.» En avril, il signe la première lettre de refus. À l’époque, ils étaient 40: «Un an après le début de la guerre, il y a une forme de désillusion qui gagne du terrain.»
Max Kresh fait partie des nouveaux signataires. Secouriste dans une unité d’élite mobilisée dans la région du mont Hermon, il s’estime «trahi» par un gouvernement radical contre lequel il proteste depuis 2023. «Dès le premier jour, Netanyahou a fait du traumatisme du 7 octobre une arme. Il a encouragé un climat de vengeance et de racisme», dénonce ce longiligne étudiant en biologie qui a écrit à son commandant après la mort d’Hersh Goldberg-Polin et de cinq autres otages, probablement exécutés par le Hamas fin août: «Je lui ai dit que je ne voulais pas continuer à sacrifier ma vie pour ce gouvernement, un gouvernement qui abandonne les otages.»
Arrivé en Israël en 2014, cet Américain de 28 ans décrit l’ambiance revancharde dont il fait aussi les frais: «Certains disaient que c’était un commandement de tuer tout le monde à Gaza, même les enfants, car ils deviendraient des terroristes.» Le 12 octobre, il partage ses pensées sur Facebook: «Il est temps d’embrasser nos voisins arabes et palestiniens. […] Je ne renonce pas à la paix.» Son texte circule dans son unité. «J’ai été critiqué, ostracisé et isolé, ça a été très difficile. Le discours dominant est celui de la vengeance. Mais il était impossible pour moi de ne pas m’exprimer.»
Sommée par le gouvernement de gérer la rébellion de ses soldats, l’armée a appelé les signataires de la lettre pour leur demander de retirer leurs propos, et les congédier en cas de refus. Si des réservistes «refuzniks» ont pu être sanctionnés par le passé, c’est beaucoup moins le cas aujourd’hui, expose Max: «On a servi. On a fait notre devoir. C’est aussi ce qui donne une légitimité à notre parole.»
Auteur : Mel_C  
4203/4727

Date :    02-11-2024 18:33:46


PRESIDENTIELLE AMERICAINE - Ces élus suisses qui préfèrent une victoire de Donald Trump :

En Europe et en Suisse, Donald Trump n’a pas bonne presse. Mégalo, macho, facho, mytho sont quelques-uns des épithètes qu’on lui colle. Alors quand le conseiller fédéral Albert Rösti a déclaré lors d’une soirée qu’il penchait pour Trump plutôt que pour Harris, cela a fait quelques vagues. «C’est vraiment la honte nationale pour la Suisse», a commenté le conseiller national Vert Raphaël Mahaim sur le réseau social X.
Honte ou pas, la probabilité que Donald Trump devienne le prochain président des États-Unis augmente, si l’on en croit les sondages. Une large majorité des élus suisses voient cela d’un mauvais œil et préfèrent l’élection de Kamala Harris. Mais plusieurs conseillers nationaux estiment que Trump est clairement le meilleur choix pour la Suisse. Ils nous ont expliqué pourquoi.

«L’Amérique était crainte et respectée»

«Je préfère clairement Donald Trump, lâche Roger Golay du Mouvement citoyens genevois, affilié à l’UDC à Berne. Il a une envergure politique, il se bat pour le pouvoir d’achat et pour donner la priorité à ses concitoyens. Sous sa précédente présidence, l’Amérique était crainte et respectée à l’étranger, plus que sous l’ère Biden. Et il était moins belliqueux que les Démocrates.»
Pour autant, Roger Golay n’est pas un fan inconditionnel du Républicain. «Je n’aime pas quand il traite l’Europe comme la Chine, en la menaçant de taxes, alors que nous partageons les mêmes valeurs occidentales.» Et d’ajouter qu’il appréciait beaucoup Barack Obama, alors que Kamala Harris «est une candidate difficile à cerner».

Les attaques de l’ambassadeur démocrate

Pascal Schmid (UDC/TG), tout comme le président du parti, Marcel Dettling, explique sa préférence pour Trump de façon simple: «Nous sommes plus proches des Républicains que des Démocrates qui sont de gauche. Contrairement à la gauche, nous sommes pour la liberté, la sécurité, la limitation de l’immigration et le contrôle aux frontières.» Et il ajoute qu’une administration Trump ne ferait pas des pressions constantes sur la Suisse comme l’ont souvent fait les administrations démocrates.
C’est cet argument qui joue un grand rôle pour le PLR Christian Wasserfallen (BE). «Trump et Harris sont très éloignés de mes opinions politiques. Mais une administration Trump est meilleure pour la Suisse. On voit qu’actuellement l’ambassadeur américain à Berne attaque constamment notre pays. Et c’était le cas aussi avec les précédentes administrations démocrates. On se souvient de toutes les pressions sur notre place financière.»

Retour des Ukrainiens dans leur pays

Qu’en pense l’élu le plus à droite du parlement fédéral, à savoir Erich Hess (UDC/BE)? Lui estime que l’élection de Trump serait une bonne chose pour faire reculer l’immigration… en Suisse. «Avec Trump, la guerre en Ukraine n’aurait pas eu lieu ou serait déjà terminée. Son premier mandat a montré qu’il était très actif avec des chefs d’État comme Poutine. Avec Trump, on peut donc espérer que la guerre en Ukraine prenne fin. Ce qui stopperait l’immigration ukrainienne en Suisse et permettrait aux Ukrainiens accueillis provisoirement de retourner dans leur pays.»
Et les conseillères nationales? Y en a-t-il une qui verrait d’un bon œil le retour de Donald Trump au détriment de Kamala Harris? Nous avons cherché… sans succès. «Je ne vais pas commenter des élections à l’étranger, tout comme je n’aimerais pas que des élus français ou allemands disent pour qui il faut voter en Suisse», lâche Céline Amaudruz (UDC/GE).

Martullo-Blocher muette

Magdalena Martullo-Blocher (GR), qui n’a d’ordinaire pas sa langue dans la poche, reste aussi muette. «Elle est en voyage d’affaires et c’est pourquoi elle ne peut pas vous répondre», nous écrit son conseiller personnel, Julian Räss. Barbara Steinemann (UDC/ZH), elle, n’a pas de problème à décrocher son téléphone. Mais elle n’est pas fan de Trump. «Il n’a pas le format ni les aptitudes pour être président. Quant à Harris, elle est sympathique mais a des positions d’extrême gauche. Avec un choix pareil, ce n’est pas vraiment une démocratie.»
Auteur : Mel_C  
4204/4727

Date :    02-11-2024 18:35:45


ELECTIONS AMERICAINES - La Russie dément être à l’origine d’une fausse vidéo sur la présidentielle :
La Russie a nié samedi être à l’origine de fausses vidéos liées aux élections américaines, après que les services de renseignement américains l’ont accusée d’être responsable d’une fausse vidéo montrant un immigré affirmant avoir voté plusieurs fois.
«Nous avons pris connaissance de la déclaration des services de renseignement américains accusant notre pays de diffuser des vidéos fabriquées de toutes pièces sur des violations électorales aux États-Unis. Nous considérons que ces allégations sont sans fondement», a déclaré l’ambassade de Russie aux États-Unis dans un communiqué publié sur Telegram.
Auteur : Mel_C  
4205/4727

Date :    02-11-2024 18:40:04


SECTE - TRISTE ANNIVERSAIRE DES MASSACRES DE L'O.T.S. - Les traîtres à Cheiry, les élus à Salvan :

>>> Vingt-trois corps ont été retrouvés à Fribourg, vingt-cinq en Valais. Entre exécutions et suicides, retour sur les morts suisses de l’Ordre du Temple solaire.

Le mercredi 5 octobre 1994 au petit matin, la Suisse et le monde découvraient les massacres de l’Ordre du Temple solaire. À Cheiry, 23 cadavres sont découverts dans une salle secrète de l’OTS, dans la ferme La Rochette. La grande majorité portent des capes rituelles et sont disposés de façon à former une étoile, ce qui marquera les enquêteurs. Vingt personnes ont reçu une ou plusieurs balles dans la tête, trois sont mortes étouffées, un sac plastique sur le visage. Une véritable exécution, plusieurs adeptes étant considérés comme des traîtres. L’enquête établira qu’à Cheiry, les victimes sont mortes entre deux et trois jours avant. Les incendies ont été déclenchés à distance.
À Granges-sur-Salvan, les personnes retrouvées dans les décombres, qui se considéraient commes «des élus», savaient qu’elles allaient mourir. Elles avaient accepté le principe du «transit vers Sirius» prôné par les gourous de la secte, Jo Di Mambro et Luc Jouret, qui comptent parmi les victimes. Tout comme le principal tueur du mouvement, Joël Egger.
L’OTS a également fait des victimes à l’étranger. Quelques jours avant les massacres en Suisse, un couple d’anciens adeptes, qui avait dénoncé les artifices et les supercheries de la secte, et leur bébé de 3 mois, sont assassinés à Morin-Heights, au Canada. Un an plus tard, «la réplique du Vercors» fera 16 victimes, déçues de ne pas avoir fait partie du premier transit et elles aussi criblées de balles, dans une clairière en France. Enfin, en mars 1997, cinq autres membres se suicident à Saint-Casimir, au Québec, avec là encore la volonté de rejoindre Sirius.
Auteur : Mel_C  
4206/4727

Date :    02-11-2024 18:54:23


SAINT-CYR-L'ECOLE (Yvelines) :
Moins d’une semaine après ce drame survenu à Saint-Cyr-l’École (Yvelines), un homme, âgé de 28 ans, a été mis en examen pour meurtre, jeudi à Versailles, avant d’être écroué. Il est soupçonné d’avoir poignardé son amant, Hector, de trente-cinq coups de couteau le 24 octobre dernier dans un appartement de la rue Ernest Bizet.
Il est 19 heures ce jeudi soir quand, « Abdel » prévient les secours après avoir fait une macabre découverte. Une patrouille se rend sur place, suivie des policiers de la « crime ». Ce premier témoin explique qu’il n’avait pas de nouvelle d’Hector, son ex-colocataire. Il a décidé d’aller voir comment il se portait, précise une source proche du dossier. Et il est entré sans difficulté parce qu’il avait gardé un double des clés ». Et a alors découvert la victime, à demi dénudée, couchée en chien de fusil dans le bac à douche.Son corps est lardé de coups de lames. La dépouille de cet homme brun de petite taille, âgé de 55 ans, est conduite à l’institut médico-légal de Garches (Hauts-de-Seine), pour y subir une autopsie. Le médecin conclut que plusieurs plaies ont causé son décès. La lame a perforé l’aorte, le cœur, les poumons et la trachée. Selon les premières constatations, le logement est en grand désordre et d’importantes traces de sang maculent la chambre à coucher. L’arme du crime ne s’y trouve pas et le meurtrier a fermé la porte en quittant les lieux avec les clés.
Les enquêteurs de la brigade criminelle se penchent alors sur l’entourage du quinquagénaire. Hector est né au Guatemala mais il était de nationalité espagnole. Il était au chômage. Mais les premières recherches montrent qu’il a été, autrefois, le gérant d’une entreprise d’informatique, installée dans la commune. Une société aujourd’hui fermée. Hector souffrait de dépression, depuis qu’il avait appris, deux ans plus tôt, qu’il avait contracté le sida. « Son ex-colocataire, confirme qu’il aimait s’habiller avec des vêtements de femme », précise une source proche de l’affaire.
Il confirme avoir été son amant mais nie l’avoir tué
Il partageait son quotidien avec un jeune homme qui vit pas très loin de là. Ce garçon est rapidement identifié. L’enquête de voisinage permet de confirmer que le petit ami se trouvait dans le secteur à l’heure du crime. Il est interpellé mardi 29 octobre chez lui à Plaisir. Ce ressortissant algérien, en situation irrégulière, est inconnu des services de police. Placé en garde à vue à Versailles, lors des auditions, il confirme qu’il était parfois l’amant d’Hector, mais nie l’avoir tué.
Auteur : Mel_C  
4207/4727

Date :    02-11-2024 19:02:18


FUSILLADE DE POITIERS / 1 - Décès de Anis, le mineur de 15 ans touché par une balle à la tête :

[i]>>> Dans la nuit du 31 octobre au 1ᵉʳ novembre, une fusillade a éclaté dans le quartier des Couronneries, à Poitiers. La rixe, sur fond de trafic de drogue, a fait cinq victimes, dont un mineur de 15 ans, au pronostic vital engagé. Transporté en urgence absolue à l’hôpital, il a succombé à ses blessures ce samedi 2 novembre.[/i]

Anis, 15 ans, touché par une balle à la tête lors d’une fusillade place Coïmbra, dans le quartier des Couronneries à Poitiers, jeudi 31 octobre, A SUCCOMBÉ A SES BLESSURES SAMEDI 2 NOVEMBRE, a annoncé, à la mi-journée, Cyril Lacombe, procureur de la République. Quatre autres mineurs, de 15 et 16 ans, ont également été blessés à l'épaule et à la cheville.
Dans un communiqué publié à la mi-journée, la ville de Poitiers adresse ses "condoléances à la famille, aux proches et aux habitantes et habitants du quartier".
"La mort d’un jeune, dans une situation aussi tragique, doit nourrir notre détermination à lutter contre toutes les formes de violence, en particulier liées au narcotrafic, dans tous les quartiers de Poitiers", ajoute Léonore Moncond’huy, maire de Poitiers, qui réitère son appel à "l’apaisement", "pour qu’aucun épisode de violence ne soit à déplorer dans les jours à venir".
La tante de l'adolescent, rencontrée, hier, devant le CHU de Poitiers par une équipe de France Télévisions, décrit un enfant "intégré", "scolarisé", qui "joue au foot, fait de la natation en club". Elle évoque un "enfant lambda", "quelqu'un de très serviable, aimant, un gentil garçon", sans lien avec le trafic de drogue.
Selon la tante, le jeune garçon était "avec des amis" lorsque la rixe a éclaté. "Ils sont dans le même cadre que lui. Ils vont à l'école, ils ont des activités", précise-t-elle. La victime, elle, "allait s'acheter un sandwich. Il savait qu'il ne fallait pas dépasser les horaires, même en vacances", explique cette tante. "Et nous, on nous appelle vers 23h (...) et ma fille me dit : Anis est par terre, il a pris une balle. On m'a montré la flaque de sang et mon petit neveu allongé place Coïmbra".

Auteur : Mel_C  
4208/4727

Date :    02-11-2024 19:04:44


FUSILLADE DE POITIERS / 2 - Homme activement recherché :

[i]>>> Dans la nuit du 31 octobre au 1ᵉʳ novembre, une fusillade a éclaté dans le quartier des Couronneries, à Poitiers. La rixe, sur fond de trafic de drogue, a fait cinq victimes, dont un mineur de 15 ans, au pronostic vital engagé. Transporté en urgence absolue à l’hôpital, il a succombé à ses blessures ce samedi 2 novembre.[/i]

Selon les informations du parquet, vendredi 1ᵉʳ novembre, l’auteur des tirs se serait “livré à la vente de produits stupéfiants” dans le secteur, “au cours des jours précédents”. Il n'était présent à Poitiers que depuis quelques semaines. Les forces de l’ordre n’ayant pas encore réussi à l’appréhender, il est activement recherché par les enquêteurs. Une enquête a été ouverte, dès hier, pour homicide volontaire. Les images de caméra de surveillance sont en cours d'analyses par les forces de police.
Ce vendredi, lors d’une perquisition au sein d’un logement qu’il aurait occupé, les policiers ont découvert sept munitions de type 22 Long Rifle, qui correspondent aux onze étuis, retrouvés sur la scène de crime. Les enquêteurs ont également retrouvé “des éléments partiels d’une arme démontée”, indiquait, hier, Cyril Lacombe.
Dans ce quartier de Poitiers où la présence policière a été renforcée dès hier soir, l’onde de choc est omniprésente depuis cette nuit violente.
Le préfet de la Vienne, Jean-Marie Girier, a précisé que “deux ou trois points de deal importants”, dans le quartier, mobilisaient la police nationale au quotidien. Pour autant, à l’instar de la députée de la circonscription, Lisa Belluco, il a tenu à rappeler que le quartier était “relativement calme”.

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