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Faits divers
Auteur : Mel_C  
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Date :    18-01-2025 04:05:22


MEUSE - Un homme retrouvé mort dans son lit, tué par balles :

Un homme a été découvert mort par balle jeudi à Bréhéville, dans la Meuse, a-t-on appris vendredi auprès de la gendarmerie et du parquet de Verdun.
Il s'agit d'un homme de 34 ans retrouvé vers 18 heures dans son lit, selon la gendarmerie. Il présentait plusieurs plaies par balles.
Les gendarmes avaient été alertés par le père de la victime, qui était sans nouvelles de son fils.
La procureure de la République de Verdun Delphine Moncuit a confirmé «la découverte de la victime, qui est décédée des suites de deux plaies par balles». Une enquête a été ouverte pour homicide.
Auteur : Mel_C  
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Date :    18-01-2025 04:07:00


FAUX BRAD PITT - une enquête pour escroquerie ouverte :

Une enquête a été ouverte sur l’île de La Réunion pour tenter d’identifier les auteurs d’une escroquerie qui a permis de soutirer 830願 euros à une Française convaincue d’aider financièrement l’acteur américain Brad Pitt, a-t-on appris vendredi de source policière.
À ce stade, aucun suspect n’est identifié et les policiers de la brigade financière, chargée de l’enquête, cherchent à localiser les comptes ayant reçu les virements de cette femme qui a porté plainte à La Réunion, département français de l’océan Indien.
Dans l’émission «Sept à huit» diffusée dimanche sur la chaîne privée TF1, une femme, prénommée Anne et âgée d’une cinquantaine d’années, a raconté avoir versé 830願 euros à des escrocs se faisant passer pour la star américaine en lui envoyant de faux selfies, des documents d’identité falsifiés et en recourant à l’intelligence artificielle pour dissiper ses doutes.
Prétextant avoir besoin d’argent pour payer une opération pour un cancer du rein, le faux Brad Pitt a réussi à soutirer cette somme importante à cette femme, qui est aujourd’hui ruinée et a fait trois tentatives de suicide.
Depuis la diffusion de l’émission, elle fait l’objet de railleries de la part d’internautes moquant sa supposée crédulité. Le reportage a depuis été retiré de toutes les plateformes par TF1, après une «vague de harcèlement à l’encontre d’un témoin».
L’affaire est parvenue jusqu’à l’entourage de l’acteur, qui a mis en garde ses fans contre les escrocs utilisant son image.
«C’est terrible que des escrocs profitent de la forte connexion des fans avec des célébrités», a déclaré mardi un porte-parole de l’acteur au média Entertainment Weekly.
Des escroqueries jouant sur les sentiments existent depuis le début des courriers électroniques, mais l’arrivée de l’intelligence artificielle a augmenté le risque de vol d’identité, canulars et fraude en ligne, selon les experts.
Auteur : Mel_C  
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Date :    18-01-2025 04:09:09


AFFAIRE "LE GRÊLE" - François Vérove, le tueur en série «Le Grêlé», suspecté d'un autre meurtre :

Le 22 septembre 2021, François Vérove, 59 ans et ancien gendarme, se suicide. Il était sur le point d'être démasqué comme étant «Le Grêlé», un tueur en série recherché pour une série de meurtres et de viols commis dans les années 1980 et 1990. Il laisse une lettre dans laquelle il avoue des crimes, sans donner le nom de ses victimes. Il doit son surnom à des portraits robots, qui font état de cicatrices dues à des boutons sur son visage. L'homme avait vécu des années en toute tranquillité, participant même au jeu télé «Tout le monde veut prendre sa place».
Plus d'une quinzaine de victimes lui sont attribuées, dont des fillettes, violées et tuées. Mais on le suspecte d'avoir commis davantage de crimes. La police vient d'en ajouter un à sa liste, selon une information de BFMTV.
Le pôle crimes sériels ou non élucidés de Nanterre, surnommé le pôle «cold cases», s'intéresse à la mort d'un homme en juin 1990. Son cadavre avait été retrouvé attaché à un arbre dans les bois de Saint-Aubin, en région parisienne, tué d'une balle dans la tête. Une balle PA MAC 50 est retrouvée sur les lieux du crime, comme la munition utilisée par les gendarmes avec leur arme de service. Aucun suspect n'avait été découvert.
Mais «Le Grêlé» était un gendarme. Et dans l'affaire de 1990, il n'y a pas que la balle qui mène vers un militaire. Le chéquier de la victime avait été volé et utilisé dès le lendemain pour divers achats en région parisienne, dont un magnétoscope. Le vendeur avait déclaré à l'époque avoir vu une carte tricolore dans le portefeuille de l'acheteur. François Vérove avait en outre acheté une moto à un particulier en Seine-et-Marne en utilisant un chèque volé. On ne sait pas encore s'il venait du chéquier de la victime de Saint-Aubin. L'analyse de l'écriture sur les chèques retrouvés est en cours.
Autre indice qui a mis les enquêteurs sur la piste du Grêlé, les nœuds ayant servi à attacher l'homme à l'arbre sont similaires à ceux retrouvés sur les corps ligotés d'autres de ses victimes.
L'enquête a été rouverte en novembre 2024.
Auteur : Mel_C  
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Date :    18-01-2025 04:13:05


ILE DE FRANCE - Un «Zouave» condamné pour l'agression de militants antiracistes :
L’ex-dirigeant du groupuscule d’ultradroite les «Zouaves Paris» Marc de Cacqueray-Valmenier a été condamné jeudi à Bobigny à neuf mois de prison ferme aménageables en détention à domicile sous bracelet, pour violences contre des militants de SOS Racisme lors d’un meeting d’Eric Zemmour en 2021.
Le tribunal correctionnel de Bobigny a retenu que les «Zouaves Paris» avaient agi comme «un service d’ordre officieux» de la réunion publique de promotion du président du parti Reconquête!, alors candidat d’extrême droite à la présidentielle de 2022.
Ayant visionné l’ensemble des vidéos, il a constaté que les membres du groupe avaient été remerciés, à la fin du meeting, pour «avoir fait le job» et qu’ils étaient partis en scandant «tout le monde déteste les antifas».
Marc de Cacqueray-Valmenier, 26 ans, avait admis sa présence au meeting, tout en affirmant n’avoir pas participé aux violences.
«Malgré vos dénégations, les faits (sont) établis», lui a déclaré le président Jean-Baptiste Acchiardi. Le condamné a dix jours pour faire appel. Ses avocats n’ont souhaité faire aucune déclaration.
Le tribunal a appuyé sa décision sur l'«identification initiale par les services de renseignement» de Marc de Cacqueray-Valmenier parmi les agresseurs, ainsi que sur sa «reconnaissance formelle» par plusieurs victimes.
Le président a glissé que le prévenu avait «ôté à plusieurs reprises le cache cou» qui dissimulait son visage.
Le 5 décembre 2021, lors du premier meeting de campagne d’Éric Zemmour à Villepinte (Seine-Saint-Denis), douze militants de SOS Racisme étaient montés sur des chaises pour exhiber sur leur tee-shirt chacun une lettre de la phrase «non au racisme», également scandée. Ils avaient alors été agressés à coups de poing, de pied ou de mobilier jeté sur eux.
Dans la foulée, le gouvernement avait annoncé en janvier 2022 la dissolution des «Zouaves Paris», groupe informel apparu en 2017, accusé d’être à l’origine de nombreux «agissements violents» ou de diffuser «régulièrement des images reprenant les symboles de l’idéologie nazie».
Conformément aux réquisitions, Marc de Cacqueray-Valmenier a été condamné à 18 mois d’emprisonnement dont neuf avec sursis probatoire pendant deux ans. Pour la partie ferme de neuf mois, il pourra solliciter un aménagement en détention à domicile sous surveillance électronique.
Un deuxième prévenu pour violence en réunion, un apprenti âgé de 18 ans au moment des faits, a été condamné à neuf mois d’emprisonnement avec sursis.
Il leur est interdit de détenir une arme pendant cinq ans.
Le tribunal a estimé que le «mobile politique des violences» était corroboré par de nombreux éléments.
«C’est une affaire importante car il s’agit de violence politique. Les paroles de haine mènent à des actes de violence», a ensuite insisté auprès de l’AFP l’avocat des parties civiles Sacha Ghozlan.
Le président de l’association, Dominique Sopo, s’est dit «satisfait», tout en soulignant que le banc des prévenus avait été «assez vide» alors que le déferlement de violences était le fait de dizaines d’agresseurs. Pour lui, «l’enquête n’a pas été à la hauteur, car de nombreux visages filmés par les nombreuses caméras étaient parfaitement identifiables».
«Ça nous inquiète que des gens comme ça soient encore dans la rue», a commenté Sacha, 21 ans, qui avait eu «une côte fêlée, une épaule luxée». Lucie, 29 ans, qui avait reçu «une chaise sur la tête et de nombreux coups de ceinture», a conclu: «J’espère qu’il ne va plus recommencer ce genre de choses».
Marc de Cacqueray-Valmenier avait été condamné, en janvier 2022 à Paris, à un an de prison ferme aménagée en détention à domicile sous bracelet électronique pour violence en réunion sans incapacité, lors d’une expédition dans un bar de la mouvance antifasciste à Paris.
Auteur : Mel_C  
4821/5858

Date :    18-01-2025 04:15:14


EDUCATION ET ENSEIGNEMENT SUPERIEUR :
Borne détricote doucement mais sûrement le plan Attal pour l’école ... Devant les parlementaires mardi, les syndicats et des élèves d’un lycée parisien vendredi, la ministre de l’éducation nationale savoure sa victoire sur les postes maintenus. Elle attaque aussi, sans le dire, certaines des marottes de celui qui l’avait remplacée à Matignon, Gabriel Attal.
Auteur : Mel_C  
4822/5858

Date :    18-01-2025 04:20:32


Egalité des sexes aux Etats-Unis « En conformité avec mon serment et mon devoir envers la Constitution et le pays, j’affirme ce que je crois et ce que trois-quarts des Etats ont ratifié : le 28e amendement fait force de loi dans le pays », a affirmé dans un communiqué le président américain.
Une annonce en forme de pied-de-nez à son successeur, à trois jours du retour à la Maison Blanche de Donald Trump.
Le Congrès américain avait adopté en 1972 l’Equal Rights Amendment (ERA), qui visait à modifier la Constitution pour entériner l’égalité des droits entre les sexes.
Aux Etats-Unis, un amendement constitutionnel doit être ratifié par les trois-quarts des Etats, soit 38 sur 50.
Arguant que l’ERA ouvrait la voie aux toilettes unisexes, au mariage homosexuel, ou encore à la conscription des femmes dans l’armée, des organisations conservatrices avaient mené campagne pendant des années contre le texte et avaient ainsi ralenti sa ratification au niveau des Etats.
Ce n’est qu’en 2020 qu’un 38e Etat, la Virginie, a ratifié l’amendement et c’est sur cette base que Joe Biden affirme qu’il doit être inscrit dès à présent dans la Constitution.
Cependant, le Congrès avait ajouté au texte une date limite pour atteindre ce seuil de trois-quarts des Etats, une date dépassée depuis près de quarante ans au moment de la ratification par la Virginie.
L’inscription formelle d’un amendement dans la Constitution est effectuée par le service des Archives nationales. Toutefois, sa directrice, Colleen Shagan, a assuré à plusieurs reprises qu’elle n’inscrirait pas l’ERA dans le texte fondamental, en raison de décisions de justice réaffirmant la validité de la date limite.
Selon plusieurs médias américains citant des conseillers de Joe Biden, le président démocrate ne va pas instruire l’Archiviste nationale de publier l’amendement.
Son annonce de vendredi viserait donc principalement à ajouter un certain poids dans une future bataille juridique, car certains juristes arguent que la date limite a toujours été caduque.
Selon le New York Times, Joe Biden souhaiterait ainsi forcer l’administration de son successeur Donald Trump à argumenter contre la validité de l’amendement devant les tribunaux, et donc in fine, contre la reconnaissance de l’égalité des sexes.
En 2020, lors du premier mandat du républicain, l’administration Trump s’était déjà opposée à l’inscription de l’amendement dans la Constitution.
Joe Biden a affirmé vendredi que l’égalité femmes-hommes était dès à présent inscrite dans la Constitution des Etats-Unis, une interprétation juridique discutée, qui ouvre la voie à une bataille devant les tribunaux.
Auteur : Mel_C  
4823/5858

Date :    18-01-2025 04:21:50


VERGÈZE - Agression au couteau d’une joggeuse :
C’est l’enquête prioritaire des gendarmes gardois depuis samedi dernier... L’agression d’une mère de famille sur le parcours de santé de la commune de Vergèze, samedi 11 janvier en fin de matinée, nécessite une attention extrême de la Justice et de la Gendarmerie en charge des investigations. Et pour cause les autorités craignent un éventuel risque de récidive sur une autre victime.
Pour rappel samedi dernier vers 11h, une mère de famille âgée d’une quarantaine d’années, a été attaquée et poignardée par un inconnu. Depuis une course contre la montre est engagée par les enquêteurs de la Section de Recherches de Nîmes dans le but d’appréhender l’auteur de cette sauvage agression. La joggeuse grièvement blessée a été immédiatement hospitalisée et opérée.
Au niveau des investigations de nombreux prélèvements de police scientifique ont été réalisés par les techniciens en identification criminelle du groupement de gendarmerie du Gard. Sur le terrain, les gendarmes du groupement et de la SR ont multiplié les récoltes d’indices, mais aussi des témoignages de personnes présentes à proximité du lieu de l’agression. Une tenue vestimentaire et un profil ont été enregistrés par les militaires qui cherchent et fouillent depuis. Un minutieux travail d’enquête qui a fini par payer car selon nos renseignements un suspect a été interpellé ce vendredi en soirée, c’est la première garde à vue dans ce dossier criminel ouvert pour « tentative d’homicide ».
Le suspect, âgé d'une vingtaine d'années est actuellement interrogé par les enquêteurs de la Section de Recherches de Nîmes. Il a été interpellé vendredi en fin d'après-midi dans une commune gardoise proche de Vergèze, mais à ce stade il faut être prudent comme toujours en pareille circonstance. La garde à vue de cet homme ne fait que commencer et il reste bien entendu présumé innocent.
Auteur : Mel_C  
4824/5858

Date :    18-01-2025 04:25:11


GARD - France 2 ouvre samedi le dossier criminel de Luc Tangorre :
France 2 est venu réaliser, il y a quelques mois, un grand reportage à Nîmes. La journaliste réalisatrice Hélène Gautier s'intéressait à Luc Tangorre. Elle a filmé avec son équipe dans le Gard, mais aussi à Marseille et dans la région lyonnaise. Les deux épisodes des documentaires, présentés dans l'émission de Marie Drucker "Au bout de l'enquête", seront diffusés demain samedi 18 janvier, à partir de 14h sur France 2. Les docus sont intitutés "Luc Tangorre la force du déni".
Une plongée dans la vie criminelle du violeur en série des quartiers sud de Marseille à la fin des années 70 et début des années 80. Une série d'abus sur des jeunes femmes avec un mode opératoire similaire. Après des mois d'enquête, Luc Tangorre, dont le principal trait de caractère est de toujours nier, a été arrêté puis condamné en 1983 par la cour d'assises des Bouches-du-Rhône. Un comité de soutien très efficace est parvenu à lui faire bénéficier d'une grâce présidentielle partielle. Une fois dehors, en 1987, il va rapidement refaire parler de lui dans la rubrique des faits divers. Il a été mis en cause puis condamné par la cour d'assises du Gard pour le viol de deux touristes américaines lors de la feria de Pentecôte 1988... C'est la Section de recherches de Nîmes qui a confondu le violeur des touristes américaines, avec comme pilote du dossier un rédoutable juge d'instruction, Christian Lernould, qui a marqué pour toujours la juridiction nîmoise. Des viols que Luc Tangorre a constesté et conteste toujours d'ailleurs malgré les deux sanctions criminelles successives.
Tangorre a purgé sa peine après sa condamnation aux assises du Gard et a été libéré au début des années 2000. Il a ensuite été mis en cause et sanctionné pour des agressions sexuelles sur des mineures alors qu'il était en vacances au Grau-du-Roi.
Pendant près de deux heures, les documentaires de France 2 vont décortiquer "les affaires" Tangorre avec des enquêteurs de l'époque, des avocats....

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