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Faits divers
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:02:48


INDE :
Une douzaine de mineurs sont piégés lundi dans une mine de charbon en proie à une inondation dans l’État d’Assam, dans le nord-est de l’Inde, a annoncé la police indienne.
«La mine de charbon est dans un lieu très reculé», a souligné un responsable de la police locale, Mayank Jha, confirmant que la mine avait subi une inondation et que plusieurs hommes avaient été surpris par la montée de l’eau, à Umrangshu, dans la région de Dima Hasao.
Selon des témoignages de riverains, au moins 27 mineurs sont entrés sur ce site lundi matin, parmi lesquels plusieurs ont réussi à s’enfuir à mesure que l’eau envahissait les puits.
Des équipes de secours gouvernementales et l’armée ont été appelées en renfort par les autorités locales. «Mauvaises nouvelles d’Umrangshu où des travailleurs sont prisonniers d’une mine de charbon», a déclaré le chef du gouvernement de l’État d’Assam, Himanta Biswa Sarma, précisant que le nombre exact des mineurs portés disparus n’était pas confirmé. «Nous prions pour la sécurité de chacun», a-t-il ajouté, dans un communiqué.
Près de 70% de l’électricité indienne est fournie par des centrales à charbon. Selon le gouvernement indien de Narendra Modi, le pays le plus peuplé du monde, avec 1,4 milliard d’habitants, ne peut pas se sevrer des combustibles fossiles en raison de ses besoins énergétiques croissants et de sa grande pauvreté.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:04:59


FRANCE - «Brûler vif, tuer, violer»: un influenceur sera jugé lundi :

>>> L'homme arrêté vendredi près de Grenoble devra répondre de «provocation directe à un acte de terrorisme».

Un influenceur algérien connu sous le nom d’Imad Tintin, soutien d’un autre Algérien déjà poursuivi à Brest pour apologie de terrorisme, a été présenté à un juge dimanche en vue d’une comparution immédiate lundi pour «provocation directe à un acte de terrorisme», a indiqué le parquet de Grenoble.
Imad Tintin a été interpellé vendredi soir à Echirolles, près de Grenoble, après avoir publié une vidéo, retirée depuis, appelant à «brûler vif, tuer et violer sur le sol français», selon une capture d’images reprise par le ministre de l’Intérieur, Bruno Retailleau, qui a dénoncé des propos «ignobles».
Contrairement aux réquisitions du parquet, qui avait demandé la détention provisoire, le juge des libertés et de la détention a décidé dimanche de placer l’influenceur sous un simple contrôle judiciaire, a indiqué le parquet de Grenoble. Sa comparution immédiate est cependant confirmée pour lundi 13h30.
Âgé de 31 ans, il a soutenu Youcef A., alias Zazou Youssef, autre influenceur algérien vivant en France, placé en détention provisoire jusqu’à son procès le 24 février par le tribunal de Brest pour apologie d’un acte de terrorisme, après avoir appelé à des actes violents via des vidéos.

> Vidéo aux plus de 800願 vues

Imad Tintin est entré en France en décembre 2021 et a demandé en août 2023, sans succès, un titre de séjour après son mariage avec une Française. Il est, comme Zazou Youssef, sous le coup d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français).
Il a été interpellé avec son frère jumeau, selon une source policière qui précise qu’une perquisition de leur domicile a permis de retrouver les décors utilisés pour la vidéo aux plus de 800願 vues. Le parquet de Grenoble n’a pas précisé la situation du frère jumeau.
De leur côté, le maire de Montpellier Michaël Delafosse (PS) et le préfet de l’Hérault François-Xavier Lauch ont signalé samedi «au procureur de la République la publication sur le réseau social TikTok d’une vidéo émanant d’un influenceur résidant à Montpellier», a indiqué dimanche le parquet de Montpellier à l’AFP.
«Tuez-le, laissez-le souffrir», lance notamment cet influenceur algérien, évoquant un manifestant algérien anti-régime. Le parquet a immédiatement saisi «le commissariat de Montpellier d’une enquête du chef de provocation publique et directe et non suivie d’effet à commettre un crime».
«Les investigations sont en cours», a précisé le parquet de Montpellier.

> «Guerre menée en France»

Michaël Delafosse avait rappelé samedi sur X que «l’incitation à la haine est un délit» et qu’à ce titre «cette vidéo ne fait aucun doute». Vidéo qualifiée par le préfet de l’Hérault, sur le même réseau social, d'«intolérable».
La préfecture de l’Hérault a par ailleurs fait savoir à l’AFP qu’elle étudiait la possibilité de retirer son titre de séjour à cet influenceur et de prendre à son encontre une OQTF.
«Les services de renseignement étudient ces affaires de très près», a pour sa part déclaré l’entourage du ministre de l’Intérieur.
Zazou Youssef et Imad Tintin ont rejoint «la guerre menée en France par le régime algérien» qui mobilise un nombre «important» d’influenceurs appelant à «la violence», a estimé auprès de l’AFP Chawki Benzehra, opposant algérien réfugié en France après avoir pris part aux manifestations prodémocratiques contre le pouvoir en 2019. Chawki Benzehra a dit avoir porté plainte vendredi à Lyon pour des menaces proférées contre lui par Imad Tintin.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:07:34


IRAN :
Les autorités iraniennes ont exécuté au moins 31 femmes en 2024, selon Iran Human Rights, un chiffre record depuis que cette organisation non gouvernementale a commencé en 2008 à recenser l’application de la peine capitale dans la république islamique.
«L’exécution de femmes en Iran révèle le caractère brutal et inhumain de la peine de mort, et démontre à quel point la discrimination et l’inégalité entre les sexes sont enracinées dans le système judiciaire» iranien, a déclaré le directeur de l’IHR, Mahmoud Amiry-Moghaddam.
L’IHR, dont le siège est en Norvège, a recensé au total 241 femmes exécutées entre 2010 et 2024, dont 114 pour meurtre et 107 pour des affaires de drogue. «De nombreuses femmes exécutées pour meurtre étaient des victimes de violences domestiques ou d’abus sexuels agissant par désespoir», a déclaré l’IHR.
La loi islamique du talion, appliquée en Iran et connue sous le nom de qisas, stipule qu’un meurtre doit être «payé» par la perte d’une autre vie, sauf si la famille de la victime pardonne ou accepte un paiement compensatoire. Cette règle implique que «le système judiciaire iranien considère rarement (l’existence de violences familiales) comme des circonstances atténuantes» selon Iran Human Rights.
L’IHR cite le cas de Zahra Esmaili, forcée d’épouser son voisin, fonctionnaire au ministère des renseignements, après être tombée enceinte parce qu’il l’avait violée. Cette femme a été accusée d’avoir tué son mari, violent contre elle et ses enfants, en 2007. «La famille de son mari a insisté sur le qisas, sa belle-mère se chargeant personnellement de l’exécution en 2021. Son avocat a révélé par la suite que Mme Esmaili avait été victime d’une crise cardiaque après avoir vu un groupe d’hommes exécutés avant elle. «Ils ont pourtant pendu son corps sans vie», selon l’ONG.
L’une des affaires les plus retentissantes a été la pendaison en octobre 2014 de Reyhaneh Jabbari, 26 ans, reconnue coupable du meurtre d’un ancien agent des services de renseignement qui, selon elle, avait tenté de l’agresser sexuellement. La jeune femme a déclaré avoir été torturée pour lui arracher des aveux. La famille de la victime a insisté sur son exécution parce qu’elle maintenait avoir agi en légitime défense. Son cas a fait l’objet d’un documentaire, «Sept hivers à Téhéran», présenté au festival du film de Berlin en 2023.
Les défenseurs des droits humains s’inquiètent de façon générale du nombre croissant d’exécutions en Iran, soupçonnant les autorités islamiques d’utiliser la peine capitale pour instiller la peur dans la société, en particulier à la suite des manifestations de protestations en 2022-2023
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:08:18


ROYAUME UNI :
Le Premier ministre britannique s'en est pris ce lundi à «ceux qui propagent mensonges et désinformation». «Starmer est totalement méprisable», a répondu Musk.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:11:29


ARGENTINE :
L'une des deux personnes accusées d'avoir fourni de la drogue au chanteur britannique Liam Payne avant sa mort en octobre 2024 dans un hôtel de Buenos Aires a été arrêtée, ont indiqué vendredi à l'AFP des sources policières. L'homme, identifié comme Braian Paiz, 24 ans, est accusé d'avoir livré de la cocaïne à Liam Payne deux jours avant la chute mortelle du chanteur du balcon de sa chambre d'hôtel, et fait partie des cinq personnes poursuivies dans cette affaire.
Le domicile de Paiz, à Budge, dans la province de Buenos Aires, a été perquisitionné par la police et le détenu a été présenté à la justice. Le parquet avait déclaré lundi que Braian Paiz était «accusé d'avoir livré de la cocaïne» à Liam Payne, à qui il avait rendu visite à son hôtel le 14 octobre et qu'il avait «accompagné jusqu'à la chambre No 310, y entrant avec lui». Il y est resté près de cinq heures. «Nous nous sommes défoncés, il s'est passé quelque chose d'intime», a-t-il déclaré à Telefe Noticias. En novembre, Braian Paiz a nié dans une interview avoir fourni de la drogue à Payne, tout en admettant l'avoir rencontré et avoir passé du temps avec lui dans sa chambre.
La justice argentine a, elle, établi qu'il y avait eu «fourniture de drogue contre de l'argent» et a ordonné lundi la détention provisoire de deux des cinq personnes poursuivies, dont Paiz. «Trois des accusés ont été inculpés sans détention provisoire pour homicide involontaire, et les deux autres pour le délit de fourniture de drogue» avec détention provisoire, avait déclaré le parquet. Il s'agit de l'agent de la victime en Argentine, la directrice de l'hôtel et le chef de la réception de l'hôtel. Ils sont passibles d'une peine de un à cinq ans de prison, selon le parquet.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:13:34


PAYS-BAS - Un homme qui tuait «au hasard» a été arrêté :
La police néerlandaise a déclaré vendredi avoir arrêté un homme soupçonné d’avoir tué trois individus par balle dans la ville de Rotterdam au cours des deux dernières semaines.
Ces meurtres présumés, commis a priori «au hasard», ont semé la terreur chez les habitants de la ville portuaire et fait la une des journaux aux Pays-Bas, où la violence armée est généralement liée au crime organisé.
La police a arrêté jeudi soir un homme de 24 ans sans lieu de résidence fixe. Une arme a été trouvée sur les lieux de l’arrestation.
Le procureur général Hugo Hillenaar a déclaré à la presse qu’il n’y avait pas d’indication sur le mobile de l’attaque.
«C’est un cauchemar pour tous les habitants de Rotterdam, mais aussi pour moi personnellement et pour tous les professionnels concernés, car quelqu’un se promenait librement en tirant sur des victimes au hasard», a déclaré M. Hillenaar.
Le procureur a précisé que le suspect était né sur l’île antillaise de Curaçao, et qu’il avait grandi aux Pays-Bas. Il était connu de la police pour des délits mineurs.
Les meurtres présumés ont commencé le 21 décembre, lorsqu’un homme de 63 ans a été abattu d’une balle dans la tête, succombant à ses blessures.
Une semaine plus tard, un homme de 58 ans a été tué dans des circonstances similaires dans le même quartier.
Le chef de la police de Rotterdam, Fred Westerbeke, a déclaré que son équipe avait rapidement établi un lien entre les deux meurtres, mais qu’elle n’avait pas été en mesure d’empêcher le troisième, lorsqu’un homme de 81 ans a été abattu par balle jeudi.
La police avait appréhendé le suspect dans un magasin jeudi soir, mais n’était pas parvenue à l’identifier comme l’individu apparaissant sur une photo de faible qualité prise par une caméra de sécurité, a déclaré M. Westerbeke.
Après avoir pris une photo du suspect et recueilli des informations sur son identité, la police a pu l’arrêter plus tard en soirée, a ajouté le chef de la police.
Les autorités n’ont trouvé aucun lien entre les trois victimes et supposent «qu’elles ont été choisies au hasard», a ajouté M. Westerbeke.
La maire de Rotterdam, Carola Schouten, a déclaré que l’arrestation du suspect avait suscité un «grand soulagement» dans la ville.
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:15:04


LONDRES (ROYAUME-UNI) :

Urfan Sharif, récemment condamné à la prison à vie à Londres pour avoir torturé et tué sa fille Sara, a été attaqué par deux détenus de la prison de Belmarsh, rapporte vendredi le quotidien britannique «The Sun».
Les deux hommes ont agressé Urfan Sharif, 43 ans, le 1er janvier avec le couvercle tranchant d’une conserve de thon, le coupant au visage et dans le cou, précise le tabloïd.Sara, petite fille anglo-pakistanaise de 10 ans, était morte sous les coups en août 2023 après des années de mauvais traitements dont les détails, révélés au procès, ont bouleversé les Britanniques. La police de Londres a confirmé enquêter sur l’agression d’un «prisonnier de 43 ans, dont les blessures ne mettent pas sa vie en danger» à la prison de haute sécurité de Belmarsh, au sud-est de Londres.
Un porte-parole de l’administration pénitentiaire a également confirmé l’agression d’un prisonnier sans l’identifier. Le père et la belle-mère de Sara Sharif, Beinash Batool, âgée de 30 ans, ont été condamnés mi-décembre à la prison à vie à Londres pour le meurtre de la fillette. Le procès de ces tortionnaires a bouleversé le Royaume-Uni, tant à cause des violences infligées à Sara qu’en raison des occasions manquées qui auraient pu la sauver.
«Il n’est pas exagéré de qualifier de torture», ce qu’a enduré la petite fille, avait déclaré le juge, rappelant un à un les sévices insoutenables qui lui ont été infligés.
L’oncle de Sara Faisal Malik, 29 ans, qui vivait avec le couple à Woking (sud-ouest de Londres), a lui été condamné à 16 ans de prison pour avoir «causé ou rendu sa mort possible».
Auteur : Mel_C  
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Date :    06-01-2025 21:18:00


NOUVELLE-CALEDONIE - Attaque de requin :
Un requin a tué jeudi un homme de 40 ans dans le nord de la Nouvelle-Calédonie, a annoncé le procureur de la République.
L’homme, originaire de l’île de Maré, dans l’est du territoire français ultramarin du Pacifique, se trouvait en compagnie de sa famille sur l’îlot Kendek où il pratiquait la pêche sous-marine, selon un communiqué de presse diffusé vendredi.
Grièvement blessé au niveau du bras par un requin et inconscient, le quadragénaire a été transporté par ses proches vers la ville voisine de Koumac, sur la Grande Terre, l’île principale de la Nouvelle-Calédonie, avant d’être pris en charge par les sapeurs-pompiers et des sauveteurs bénévoles.
Le service des urgences de l’hôpital de Koumac étant fermé depuis le 1er janvier, faute de personnel médical, une équipe de médecins d’urgence a été dépêchée depuis Nouméa. Le médecin urgentiste a constaté le décès à 18h40, malgré les tentatives de réanimation.
Le procureur de la République a ouvert une enquête pour déterminer les causes de la mort et tenter d’identifier l’espèce du requin mis en cause.
En juin 2024, une attaque de squale avait eu lieu à Poindimié, dans le nord-est de la Grande Terre. Selon les éléments communiqués par le procureur de la République, un homme, qui pratiquait alors le kitesurf, s’était noyé avant que son corps ne soit attaqué par plusieurs requins.

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