Auteur : Mel_C  

DRÔME --- Un fou du volant pincé à 256 km/h !?!?......

L'affolant excès de vitesse a été mesuré dans la Drôme. La Lamborghini a fini à la fourrière.

Effrayant excès de vitesse dans la Drôme, sur l’autoroute A7. Jeudi dans la soirée, vers 22h30, un automobiliste a été flashé à 256 km/h.
Après cette mesure ahurissante, les gendarmes de l'Escadron départemental de sécurité routière ont intercepté vers Pont-de-l'Isère le fou du volant, qui fonçait au volant d’une Lamborghini Urus, relate ici Drôme Ardèche.
La vitesse retenue est de 237 km/h. Le chauffard, 36 ans, filait vers le sud, voulant rejoindre Cannes, sur la Côte d'Azur. Mais son permis a été saisi et son bolide emporté à fourrière, en attendant la suite de la procédure.
«Le Dauphiné» ajoute que lors de cette même soirée, 15 autres excès de vitesse ont été constatés, donc un conducteur de BMW mesuré à 191 km/h.

Auteur : Mel_C  

HISTOIRE --- Un rugbyman du crash de 1972 dans les Andes est décédé

°°° Daniel Fernandez Strauch faisait partie des 16 survivants de l'accident qui avaient dû manger leurs camarades morts pour survivre.

L’Uruguayen Daniel Fernandez Strauch, l’un des survivants de la tragédie andine racontée dans les film «Les disparus» et «Le Cercle des neiges», est décédé jeudi à Montevideo à 79 ans, ont annoncé ses proches. Il fut l’un des protagonistes de l’odyssée vécue par 16 Uruguayens pour survivre à un accident d’avion au milieu de la cordillère des Andes en 1972, jusqu’à ce qu’ils soient secourus après avoir enduré 72 jours de froid extrême. Une histoire qui a passionné le monde entier.
«Daniel est parti, mais pas avant de s’être battu, comme il l’a fait toute sa vie, en donnant l’exemple», a écrit le réalisateur du «Cercle des neiges», l’Espagnol Juan Antonio Bayona, en annonçant la mort de l’Uruguayen sur ses réseaux sociaux.
À Montevideo, Pablo Vierci, auteur du livre du même nom, a confirmé à l’AFP la mort de son ami. «Il était malade depuis longtemps», a-t-il déclaré, sans donner davantage de détails.
Les 17 survivants photographiés en 2002. Daniel Fernandez Strauch est l'avant-dernier, à droite, de la rangée des hommes debout.
Juan Antonio Bayona, dont le film sur la tragédie devenue mondialement célèbre sous le nom de «Miracle des Andes» a été nommé pour l’Oscar du meilleur film international, a décrit M. Fernandez Strauch comme un homme au «cœur de géant». «Dans les montagnes, il a dû assumer un rôle très difficile», a rappelé le cinéaste.
Daniel Fernandez Strauch, qui avait 26 ans lorsqu’il s’est retrouvé bloqué dans la montagne, a été l’un de ceux qui ont organisé et distribué la nourriture à ses compagnons, avec ses cousins Eduardo et Adolfo Strauch. Ce fut «la tâche la plus horrible de toutes», avait-il reconnu dans une interview accordée à l’AFP en 2023.
Les survivants, pour la plupart des jeunes joueurs d’une équipe de rugby amateur uruguayenne, ont dû se nourrir de la chair des défunts pour survivre, l’un des aspects les plus douloureux du drame, qui a fait 29 morts. Ingénieur agronome de profession, Daniel Fernandez Strauch est le quatrième survivant du «Miracle des Andes» à décéder, après Alvaro Mangino (2025), José Luis Inciarte (2023) et Javier Methol (2015).
Enm 1993, Frank Marshal avait également réalisé un film sur cette tragédie, «Les survivants», avec Ethan Hawke et Vincent Spanno.

Auteur : Mel_C  

ANGLETERRE --- Jugés coupables pour avoir abattu un arbre emblématique :

°°° Deux hommes ont tronçonné le légendaire Sycamore Gap tree près du mur d'Hadrien, dans un acte de pur vandalisme.

Deux hommes ont été reconnus coupables vendredi par un tribunal britannique d’avoir abattu le Sycamore Gap tree, arbre légendaire jouxtant le mur d’Hadrien dans le nord de l’Angleterre, un acte qui avait provoqué une grande émotion dans le pays.
Daniel Graham, 39 ans, et Adam Carruthers, 32 ans, étaient jugés pour avoir pris le volant en pleine nuit fin septembre 2023, avoir marché 20 minutes jusqu’au site avant de se filmer en train d’abattre et d’emporter un morceau du tronc comme trophée dans leur coffre.
Cet érable majestueux, vieux de près de deux siècles, a apparu dans de nombreux films et séries TV, dont «Robin des Bois: Prince des voleurs» avec Kevin Costner en 1991.
Les deux hommes n’ont montré aucune émotion à l’annonce de la décision du tribunal de Newcastle. Ils seront fixés sur leur peine le 15 juillet. Ils niaient tous les deux avoir pris part à l’abattage du Sycamore Gap tree et se renvoyaient la responsabilité.
Selon le procureur Richard Wright, les deux hommes se sont «délectés» de la couverture médiatique de l’abattage, s’envoyant des messages pour se féliciter d’une histoire devenue «virale», tant cet arbre isolé entre deux collines dans un paysage spectaculaire de Northumbrie, était aimé du grand public. Dénonçant une «mission débile» menée par les deux amis, il avait fait diffuser au tribunal une vidéo de deux minutes et 41 secondes, retrouvée dans le téléphone de Daniel Graham et immortalisant selon lui le moment où l’arbre est abattu à la tronçonneuse.
Les dommages causés à cet arbre sont estimés à plus de 622願 livres, et ceux subis par le mur d’Hadrien voisin, un site romain classé par l’Unesco, à 1260 €.
Daniel Graham est en détention provisoire depuis décembre «pour sa propre sécurité» selon la juge, et le restera jusqu’au prononcé de la peine. Une décision similaire a été prise vendredi pour Adam Carruthers, dont la compagne a notamment dit avoir été suivie jusqu’à son domicile.
Les deux hommes avaient d’ailleurs caché leur visage derrière des cagoules en arrivant au tribunal lors d’une précédente audience il y a un an.
Un mois après l’abattage, le Sycamore Gap tree a été découpé et enlevé par les autorités.
Depuis, le National Trust, l’organisme gérant de nombreux lieux du patrimoine britannique, dont l’endroit où se trouvait l’érable, a indiqué que de nouvelles pousses étaient apparues sur la souche de l’arbre.
Le National Trust a également récupéré des graines et obtenu 49 jeunes plants, objets de tous les soins, qui seront donnés à terme à des particuliers et des organisations dans tout le Royaume-Uni, pour être plantés dans des hôpitaux, des jardins et des écoles...

Auteur : Mel_C  

VALENCE (DRÔME) --- Un homme se juche sur le soufflet d'un TGV et survit :

Un homme de 42 ans est monté sur le toit, à l'extérieur d'un TGV à Paris. Il a voyagé entre deux voitures du train à grande vitesse sur plus de 500 kilomètres avant d'être repéré ce jeudi en gare de Valence, dans la Drôme, a appris «ici Drôme Ardèche» (ex France Bleu) auprès de la gendarmerie. Il a été hospitalisé.
L'homme a voyagé au-dessus d'un soufflet, entre la motrice de queue et la dernière voiture, selon des témoins. Il est resté ainsi juché sur plus de 500 kilomètres sans arrêts et à plus de 300 km/h. Selon France Bleu, il a été retrouvé «transi de froid, mais vivant» par les contrôleurs, «évidemment très surpris», lors de l'arrivée en gare.
La gendarmerie a confirmé à France 3, qui rapporte aussi l'incident, être intervenu en fin de matinée en gare de Valence et avoir constaté la situation. «L'homme a réussi à s'installer dans une sorte d'anfractuosité, particulièrement inconfortable. Pour l'instant, on ne sait pas comment il a tenu.».
Ce passager clandestin a apparemment échappé aux contrôles en gare de Lyon à Paris en se cachant dans un dépôt qui sert de garage aux rames entre deux voyages. L'homme n'a pas voulu décliner son identité avant son hospitalisation. La destination finale du train était Barcelone.

Auteur : Mel_C  

AUSTRALIE --- L'empoisonneuse au Wellington avait envoyé ses enfants au cinéma :

L’Australienne accusée d’avoir tué trois personnes, dont ses beaux-parents, en leur servant un «repas spécial» aux champignons vénéneux a envoyé deux de ses enfants au cinéma pour qu’ils n’y assistent pas, a déclaré sa jeudi fille, en tant que témoin au procès de sa mère.
Erin Patterson, 50 ans, est accusée de trois meurtres dont le mobile est inconnu, en juillet 2023, lors de ce procès très suivi par les médias et qui doit durer six semaines dans l’État australien de Victoria. Elle doit répondre également d’une tentative de meurtre sur le pasteur Ian Wilkinson, seul survivant du repas.
Ian et Heather Wilkinson avaient été invités par Erin Patterson à un déjeuner dans le village de Leongatha, dans le sud-est de l’Australie. Elle leur avait servi un bœuf Wellington, une spécialité de la cuisine anglaise à base de viande de bœuf et de pâte feuilletée, mais avec des champignons vénéneux.
«Ma mère m’a dit qu’elle voulait déjeuner avec mes grands-parents», a confié la jeune fille à la justice, dont le nom ne peut être donné pour des raisons légales. «Elle a dit qu’elle voulait leur parler de trucs d’adultes et qu’on allait aller au cinéma», a poursuivi l’enfant.
La fille d'Erin Patterson raconte qu’elle et un de ses frères et sœurs ont été déposés dans un restaurant McDonald’s pour le déjeuner, avant d’aller au cinéma pour regarder un film d’animation. Elle a précisé que sa mère avait commencé à se sentir mal après le déjeuner, dont les enfants ont ensuite mangé une partie des restes.
«Je ne me souviens pas quand elle a commencé à se sentir malade. Mais je pense qu’elle a commencé à se sentir malade le lendemain», a déclaré la fille à la police. Erin Patterson s’était, elle aussi, rendue à l’hôpital deux jours après son déjeuner, disant ne pas se sentir bien. Elle s’était montrée réticente à laisser les médecins examiner ses enfants, affirmant qu’elle avait enlevé les champignons de leurs repas parce qu’ils étaient difficiles en ce qui concerne la nourriture.
Le mari de l’accusée, Simon Patterson était séparé d’elle depuis 2015 et avait décliné l’invitation au repas. À l’ouverture du procès la semaine dernière, la quinquagénaire a plaidé non coupable de tous les chefs d’accusation, sa défense affirmant qu’il s’agissait d’un «terrible accident».
Le parquet considère qu’Erin Patterson a délibérément empoisonné ses invités et qu’elle a veillé à ce que ni elle ni ses enfants ne consomment les champignons mortels.

Auteur : Mel_C  

JAPON --- Trois Chinois arrêtés avec des milliers de bernard-l’ermite :

Trois Chinois ont été arrêtés mercredi au Japon après que leurs valises eurent alerté le personnel d’un hôtel sur les «milliers» de bernard-l’ermite protégés qu’elles contenaient, a annoncé la police jeudi.
Un employé d’hôtel d’Amami, au sud-ouest du Japon, a signalé les trois individus aux autorités environnementales mardi. Les clients «avaient demandé à l’hôtel de surveiller leurs valises, et les valises ont fait du bruit», car une partie des animaux étaient encore vivants, a déclaré à l’AFP un responsable de la police locale.
Lorsque deux des trois clients sont retournés à l’hôtel, la police leur a demandé de révéler le contenu de leurs bagages. À l’intérieur de leurs trois valises se trouvaient environ 95 kilos de bernard-l’ermite à coquille spiralée.
L’enquête a conduit la police au troisième homme, qui, selon elle, détenait 65 kilos de ces crustacés dans un autre lot de trois valises. Au total, les Chinois étaient en possession de «milliers» de spécimens, selon le porte-parole de la police.
Les médias locaux ont indiqué que chaque bernard-l’ermite peut se vendre jusqu’à 20願 yens (environ 115 Euros). Ces bernard-l’ermite protégés appartiendraient à un groupe d’espèces classées en raison de leur valeur culturelle et scientifique.
La police a indiqué poursuivre son enquête afin de déterminer si les trois hommes avaient pour objectif de «les vendre, les garder comme animaux de compagnie ou les manger».

Auteur : Mel_C  

KENYA --- Les deux Belges voleurs de fourmis ont été condamnés :

Un tribunal kényan a condamné mercredi quatre personnes, dont deux jeunes belges, à verser une amende de plus de 7000 dollars pour avoir tenté de faire sortir clandestinement des milliers de fourmis vivantes du pays.
L’affaire a défrayé la chronique dans ce pays d’Afrique de l’Est où le Kenyan Wildlife Service (KWS), l’agence nationale de conservation, a accusé les quatre individus de se livrer à de la «biopiraterie».
Les Belges David Lornoy et Seppe Lodewijckx, âgés de 18 ans, le Vietnamien Duh Hung Nguyen et le Kényan Dennis Nganga ont tous plaidé coupables de possession de fourmis, mais ont nié avoir cherché à faire le trafic de ces insectes.
Selon l’acte d’accusation consulté par l’AFP, les suspects belges ont été interpellés le 5 avril dans une pension bordant le lac Naivasha, dans le centre du Kenya, en possession de 5000 fourmis reines — dont l’espèce Messor cephalotes, originaire de la région, donc chacune peut valoir une centaine d’euros – insérées dans 2.244 tubes d’essai.
Un document judiciaire indique que les fourmis, d’une valeur marchande estimée à environ 7700 dollars, peuvent survivre au moins deux mois dans les contenants.
David Lornoy a été présenté comme un passionné de fourmis, qui gardait des colonies chez lui en Belgique et faisait partie d’un groupe Facebook consacré à ces insectes.
MM. Nganga et Nguyen, selon leur acte d’accusation, ont été arrêtés le 5 avril également, dans les comtés de Nairobi et de Machakos avec plusieurs centaines de fourmis dans quelque 140 seringues. Ils ont aussi plaidé coupable.
Les deux affaires étaient distinctes, mais les quatre accusés ont été jugés ensemble.
La magistrate principale, Njeri Thuku, a fait allusion à la traite des esclaves lors de l’énoncé du verdict.
«Imaginez être violemment expulsé de chez vous et entassé dans un conteneur avec de nombreuses autres personnes comme vous. Imaginez ensuite être isolé et coincé dans un petit espace où la seule source de nourriture pour un avenir proche est de l’eau avec du glucose», a-t-elle écrit.
«On dirait presque une référence» à la «traite des esclaves». «Pourtant, il ne s’agit pas de traite des esclaves, mais de commerce illégal d’espèces sauvages», a-t-elle ajouté.
La possession de tout spécimen ou trophée d’animal sauvage sans permis est une infraction pénale au Kenya, passible d’une amende minimale d’environ 10願 dollars et/ou d’une peine de prison potentielle d’au moins cinq ans.
Le tribunal a déclaré mercredi que les suspects pouvaient soit passer un an en prison ou bien payer une amende d’un million de shillings (7740 dollars), soit la valeur estimée par la police des fourmis saisies.
La juridiction a ajouté que les deux Belges «ne ressemblaient pas à des braconniers typiques» et qu’ils ignoraient la loi, estimant toutefois que l’affaire reflète un scénario «qui s’est déjà produit au cours des siècles passés (...) quand l’Afrique possédait des ressources pillées par l’Ouest et maintenant par l’Est».
KWS a porté plainte contre les quatre jeunes hommes, affirmant qu’il s’agissait non seulement d’un «crime contre la faune sauvage, mais aussi d’un acte de biopiraterie».
Les suspects «avaient l’intention de faire passer les fourmis en contrebande vers des marchés d’animaux exotiques de grande valeur en Europe et en Asie, où la demande d’espèces d’insectes rares est en hausse», a-t-elle ajouté dans un communiqué.

Auteur : Mel_C  

HAUTS-DE-SEINE --- Un adolescent de 17 ans tue son frère jumeau :

Un adolescent de 17 ans est mort mardi à Villeneuve-la-Garenne, dans les Hauts-de-Seine, en région parisienne. Il a été tué par son frère jumeau, manifestement lors d’une dispute.
Le drame a eu lieu mardi en début d’après-midi, vers 13h30. Le tout jeune homme s’est écroulé dans une rue, près de barres d'immeubles, «une plaie béante à la gorge», rapporte «Le Parisien». Il est décédé peu après, malgré l’intervention des secours.
Selon les premiers éléments de l’enquête, l’ado a été tué par son frère jumeau, d’un coup porté avec une arme blanche. Ce serait l’issue tragique d’une dispute entre les deux frères, dont on ne connaît pas le motif pour l’instant.
Le tueur présumé a été arrêté peu après. Il était avec son père. Le parquet de Nanterre a ouvert une enquête pour homicide volontaire.
Ce quartier est dépeint comme calme et les deux frères décrits comme tranquilles, sans problème. C’est évidemment la stupéfaction parmi les riverains. «Déjà, on a du mal à imaginer un crime, mais entre jumeaux, cela semble encore plus aberrant», lâche dans le quotidien français une habitante choquée.