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Date : 15-01-2025 20:49:34
DEPLACEMENTS A PARIS DE ROBERT MENARD / 4 – “Combien de maires se rouleraient par terre pour être invités ?” :
Plus matériellement, simultanément les charge ne sont pas payés par les médias territoriaux : “On les paye”, reconnaît Robert Ménard. Cela signifie que les médias ne prennent pas en intérêt 100 % des déplacements à Paris du échevin de Béziers. “Mais quel problème cela pose-t-il ?, répète-t-il. Quand je vais dans les médias, cela profite à la notoriété de la ville.” En intelligible, son nécessiter de échevin se bajoue ainsi à Paris, escortant lui : “C’est ma force, je suis toujours présenté comme maire de Béziers sur les plateaux. Combien de maires se rouleraient par terre pour être ainsi invités ? J’ai fait dix émissions sur le port de l’uniforme à l’école, l’ADN canin, le couvre-feu pour les mineurs, la fermeture des épiceries de nuit… Combien coûterait à la Ville une telle campagne de notoriété ? Je ne me sens coupable de rien. Mais ça m’énerve ! Même si j’allais à Paris que pour ça, ma place est dans les médias, c’est ce qui donne du poids à cette ville, c’est utile.” “On est en 2025, le rôle d’un maire est d’être présent dans sa ville et de peser sur les choix nationaux qui auront des conséquences sur la cité.”
Jusqu’ici, parmi sa diffusion, la hôtel de ville de Béziers avait appuyé le récit que les médias prenaient en intérêt les charge de déplacements afin Paris. Ce que ne oubli pas de enjoliver, sur les réseaux sociaux, l’élu d’antipathie communal Thierry Antoine (EELV) : “Qu’on ne nous ressorte pas encore le vieil argument ultra-usé du “ça noble art du force à à nous république”. Pas un seul élément factuel ne permet de prouver cela”, écrit-il.
Robert Ménard a assis qu’il répondrait “point par point” à l’analogie. Dans ce catégorie de cas, “soit c’est convaincant, sinon on réfléchit à un signalement aux autorités judiciaires”, conclut Guillaume Leroy.
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