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Date : 19-01-2025 18:27:37
ATTAQUE SAUVAGE DE LA JOGGEUSE A VERGEZE / 3 - L’agresseur a-t-il laissé de l’ADN sur le joggeur ?
Dans l’affaire Vergèze, la violence de l’agression et la proximité de l’agresseur avec la victime au moment de l’attaque à l’arme blanche laissent penser que le suspect a laissé des traces biologiques sur le joggeur ou sur les lieux de l’agression voire sur des vêtements lui appartenant. comme sa doudoune ou son manteau. Car si le suspect a pu laisser du matériel génétique sur la victime, l’ADN de la joggeuse pourrait également être retrouvé sur ses propres vêtements. Selon les cas, les techniciens en identification criminelle prélèvent des échantillons sur les vêtements de la victime mais aussi sur l’agresseur présumé. Ce qui serait possible dans l’affaire Vergèze.
Selon toute vraisemblance, les gendarmes pourraient avoir des traces ADN concordantes dans cette affaire. Mais cette information n’est pas officiellement confirmée. Ainsi que les accusations qui ont conduit et permis le placement en garde à vue de cet individu. “Il s’agit d’un homme de 25 ans, résidant dans le secteur où les faits ont été commis”, a précisé Cécile Gensac, la procureure de la République de Nîmes dans un communiqué diffusé samedi 18 janvier.
> Ce dimanche, le substitut du procureur de la République, Frédéric Kocher, devrait organiser une conférence de presse pour livrer les éléments objectifs recueillis lors de l’enquête Nîmes SR.
> Toute personne est présumée innocente jusqu’à ce que justice soit enfin rendue.
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