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Faits divers
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-05-2025 23:00:09


PRESIDENTIELLE EN POLOGNE - A une semaine du second tour, les deux camps bombent le torse

En Pologne, des dizaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue, hier à Varsovie, à la faveur de deux grandes manifestations rivales avant le second tour de l’élection présidentielle de dimanche prochain, qui oppose un candidat pro-européen à un nationaliste. Une «grande marche des patriotes» a convergé vers la place de la Constitution, avec le maire pro-UE de la capitale, Rafal Trzaskowski (53 ans), soutenu par le gouvernement centriste de Donald Tusk et qui est arrivé en tête au premier tour. «Ces élections sont l’occasion de construire, de créer et non de détruire», a-t-il lancé à ses partisans. La «marche pour la Pologne» de Karol Nawrocki (42 ans) devait, elle, se terminer sur la place du Château, dans la vieille ville de Varsovie, les manifestants scandant des chants patriotiques ou religieux et brandissant notamment des pancartes demandant l’arrêt de l’immigration. «Le changement arrive. Nous allons gagner!», a assuré l’historien. Selon ses organisateurs, la marche du candidat nationaliste a réuni environ 200.000 personnes, tandis que, selon le Premier ministre Donald Tusk, les pro-Trzaskowski étaient 500’000. Des chiffres toutefois largement nuancés par le site polonais Onet, qui parle respectivement de 70.000 personnes et 160.000 manifestants. Rafal Trzaskowski a viré en tête d’un cheveu, dimanche dernier, au premier tour de la présidentielle, obtenant 31% contre 30% pour Karol Nawrocki. Pour le second tour, les sondages prévoient une égalité parfaite, avec les deux candidats à 46,3%. Un succès du premier permettrait de mettre fin à une cohabitation difficile du gouvernement pro-européen du Premier ministre Donald Tusk avec le chef de l’Etat sortant Andrzej Duda, alors que le succès de son adversaire nationaliste pourrait la compliquer davantage. En effet, une victoire de Karol Nawrocki, un partisan du président américain Donald Trump, pourrait aussi ébranler le soutien indéfectible de la Pologne à l’Ukraine voisine: il s’oppose en effet à l’adhésion de Kiev à l’OTAN et a dénoncé les avantages accordés au million de réfugiés ukrainiens en Pologne. «Je suis polonais et donc je vote pour un candidat qui garantira notre avenir et agira comme un contrepoids au gouvernement actuel», explique Piotr Slaby, venu participer à la «marche pour la Pologne». «Notre gouvernement veut introduire l’euro, nous allons perdre notre souveraineté», renchérit Piotr Nowak. De nombreux drapeaux de l’UE et LGBT flottaient au-dessus de la «grande marche des patriotes» de Rafal Trzaskowski. Olivia, une étudiante de 20 ans, dit le soutenir «avant tout parce qu’il veut protéger les personnes LGBT et les droits des femmes sur la question de l’avortement». Kurnik Irek, un homme d’affaires de 52 ans, a déclaré qu’un vote pour lui était «le seul moyen d’aller vers l’Europe» plutôt que la Russie.
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-05-2025 23:38:29


25 mai 1720 : Le retour de la peste à Marseille ............

Le 25 mai 1720, le Grand-Saint-Antoine entre dans le port de Marseille avec un passager clandestin venu de Syrie, le bacille de la peste. A bord, une dizaine de personnes ont déjà succombé au mal.

Les propriétaires du navire, discrètement prévenus par le capitaine, font jouer leurs relations pour éviter une quarantaine brutale qui empêcherait le débarquement de la cargaison.

Les médecins du port prennent l'affaire avec détachement et décident une quarantaine «douce» : les marins sont débarqués et enfermés dans un dispensaire. Mais les hommes, une fois à terre, n'entendent plus s'occuper de leur linge sale. Ils en font des ballots qu'ils confient à des lavandières...

Le 20 juin, une lavandière meurt après quelques jours d'agonie sans que quiconque prenne garde au «charbon» apparu sur ses lèvres. C'est seulement le 9 juillet, après quelques autres décès, que deux médecins venus au chevet d'un adolescent donnent enfin l'alerte. La peste !

L'épidémie va bientôt faire un millier de morts par jour dans la ville. L'évêque, Monseigneur Belsunce, parcourt les rues au mépris de la mort, assiste et secourt les malades. Le chevalier Roze libère des bagnards et, avec eux, incinère les cadavres qui par milliers pourrissent dans les rues. Tâche indispensable et ô combien dangereuse ! Sur 200 forçats, 12 sont encore en vie cinq jours plus tard.

En deux mois, Marseille va perdre la moitié de ses 100 000 habitants et la peste va tuer dans l'ensemble de la région pas moins de 220 000 personnes...
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-05-2025 23:41:49


25 mai 1864 : La loi Ollivier instaure le droit de grève......

Le droit de grève a été interdit en France, ainsi que le droit de coalition, par la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, au début de la Révolution. Cette interdiction est maintenue par tous les régimes jusqu'au début du Second Empire. L'industrialisation rapide du pays conduit à ce moment à l'émergence d’une classe ouvrière relativement nombreuse et de premières grèves sont organisées dans les années 1862-64.

18 - 20 octobre 1898 - En grève (Bulletin de La Feuille)Dans les années 1860, Napoléon III, qui rêve d'un rapprochement avec les ouvriers et d'une libéralisation maîtrisée du régime, subventionne une délégation d'ouvriers français qui se rend à l'Exposition universelle de Londres en 1862 pour débattre de la fondation de l'Association Internationale des Travailleurs.

La loi du 25 mai 1864, dont le député républicain Émile Ollivier est le rapporteur, supprime enfin le délit de coalition tout en maintenant la grève dans d'étroites limites. Il s'agit de ne pas empêcher le travail des non-grévistes et ne pas commettre d’acte de violences.

L' « atteinte au libre exercice de l'industrie et du travail » peut être poursuivie, mais, dans la pratique, le pouvoir pousse les patrons à céder aux revendications ouvrières, ce qui entraîne une multiplication des grèves dans les années qui suivent.

Le droit de réunion n’est toutefois pas reconnu, ce qui complique l’organisation des ouvriers. Il ne sera reconnu que vingt ans plus tard, sous la IIIe République, par la loi Waldeck-Rousseau du 21 mars 1884 qui légalisera les syndicats.
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-05-2025 23:44:05


25 mai 2020 : George Floyd meurt des suites de violences policières

Le 25 mai 2020, à Minneapolis (Minnesota, États-Unis), un homme noir de 46 ans meurt des suites d’une violente interpellation par les forces de l’ordre américaines.

« Je ne peux pas respirer », protestait-il alors qu’un policier le maintenait à terre, un genou sur le cou. La scène, filmée par un badaud, suscite l’indignation aux États-Unis et bien au-delà, entraînant des émeutes violentes dans diverses villes. Elle relance le mouvement Black Lives Matter (« La vie des noirs compte »), fondé par trois femmes en 2013 après le meurtre de l’adolescent noir Trayvon Martin.

Les manifestations s’étendent dans la foulée aux pays occidentaux qui ont accueilli une importante immigration africaine dans les dernières années.

À Bristol (Angleterre), le 7 juin 2020, la foule déboulonne et jette à l’eau la statue d’un certain Edward Colston, qui a bâti sa fortune avec la traite négrière. À Fort-de-France (Martinique), le 22 mai, des trublions abattent la statue de Victor Schoelcher, dont le seul crime est d’avoir aboli l’esclavage dans les colonies françaises ! D’aucuns réclament aussi le déboulonnage des statues de Colbert ou de Napoléon.

Dans les campus étasuniens s’amplifie la cancel culture, qui rejette la culture occidentale au prétexte que les noirs et d’autres minorités raciales auraient des difficultés à l’assimiler. Le romancier Philip Roth avait déjà dénoncé en 2000 le caractère insensé de ce mouvement
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-05-2025 23:47:04


GAZA - «Neuf enfants étaient brûlés, je n’ai pas pu les reconnaître».....

°°° À Gaza, la maison d’un couple de médecins a été ciblée par une frappe israélienne. La mère travaillait et seuls le père et un des dix enfants ont survécu.

En pleine garde à l’hôpital Nasser de Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, la Dr Alaa al-Najjar a appris que sa maison avait été visée par une frappe israélienne. Elle s’y est aussitôt rendue pour découvrir les corps carbonisés de ses enfants extraits des décombres. Sous une tente de deuil dressée le lendemain à proximité de sa maison détruite, la pédiatre était encore en état de choc. Autour d’elle, des femmes en larmes, tandis que le bruit des explosions résonnait encore dans le territoire palestinien ravagé par la guerre. «J’ai couru jusqu’à la maison et je l’ai trouvée complètement effondrée, réduite en un tas de pierres sur les têtes de ses enfants et de son mari, a raconté sa sœur, Sahar al-Najjar. Neuf enfants étaient brûlés, je n’ai pas pu les reconnaître dans les linceuls, leurs traits avaient disparu. La Défense civile de la bande de Gaza, organisme de secours, avait annoncé, samedi, la mort de neuf enfants d’un couple de médecins palestiniens dans un raid israélien. L’armée israélienne a indiqué qu’un de ses appareils avait «frappé plusieurs individus soupçonnés d’opérer depuis une structure» se trouvant à proximité de ses soldats dans cette zone. «L’affirmation concernant les dommages causés à des civils non impliqués est en cours d’examen», a-t-elle ajouté. La frappe aérienne, selon les proches, a été menée sans avertissement, vendredi dans l’après-midi, contre la maison familiale où se trouvaient les dix enfants et leur père, Hamdi al-Najjar, également médecin. Gravement blessé, il est hospitalisé avec son fils Adam, 10 ans – seul survivant parmi les enfants –, en soins intensifs à l’hôpital Nasser. «Mon frère était au sol, la tête en sang, la main arrachée, enseveli sous les gravats», raconte Ali al-Najjar, le frère de Hamdi. «J’ai sorti Adam, brûlé, et je l’ai conduit à l’hôpital. Les secouristes ont transporté Hamdi.» Ali explique avoir ensuite tenté de fouiller les décombres à mains nues, avec les ambulanciers, pour retrouver les autres enfants. «Alaa est arrivée en courant, il n’y avait pas de véhicule. Quand elle a vu les corps carbonisés, elle s’est mise à crier», dit-il. «Elle a reconnu sa fille Nibal et hurlé son prénom.» Selon des sources médicales, Hamdi al-Najjar a subi de multiples opérations à l’hôpital de campagne jordanien, où les médecins ont dû lui retirer une grande partie du poumon droit. Dix-sept poches de sang lui ont été administrées. Son fils Adam a été amputé d’une main et souffre de brûlures sur tout le corps. Ali al-Najjar redoute désormais le réveil de son frère. «Je ne sais pas comment lui dire. Dois-je lui annoncer que ses enfants sont morts? Je les ai enterrés dans deux tombes.» «Il n’y a pas d’endroit sûr à Gaza», conclut-il. «La mort est plus douce que ce supplice.»
Auteur : Mel_C  
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Date :    25-05-2025 23:49:27


Commonwealth : La visite de Charles III au Canada sera particulièrement scrutée

Le roi Charles III se rend au Canada en début de semaine prochaine sera éclair. Elle devrait cependant être «significative», selon un terme choisi par Buckingham, dans une période où Donald Trump rêve de faire de son voisin du nord le 51ᵉ État américain. Car le souverain de 76 ans est aussi chef d’État du Canada, pays membre du Commonwealth. Tenu à une stricte neutralité politique, Charles III n’a jusqu'ici jamais fait le moindre commentaire public sur les velléités du président américain, par ailleurs grand admirateur de la famille royale.
Alors qu’il souffre d’un cancer depuis plus d’un an, Charles III a accepté, à l’invitation du nouveau Premier ministre canadien Mark Carney, de venir lire le 27 mai le discours du trône, à la réouverture du Parlement canadien. Ce discours, point fort de la visite royale de 24 heures dans la capitale Ottawa, détaillera les priorités du nouveau gouvernement de centre-gauche de M. Carney. «Le roi et la reine se réjouissent vivement du programme, conscients qu’il s’agit d’une courte visite, mais ils espèrent qu’elle sera significative», a déclaré un porte-parole de Buckingham palace en rendant publiques cette semaine les grandes lignes de leur programme des 26 et 27 mai. Le discours du trône sera donc particulièrement scruté.
Charles III «présentera le plan de notre gouvernement pour rendre le Canada plus fort», a déclaré mercredi soir le Premier ministre canadien. Il avait auparavant salué son déplacement «comme un honneur historique qui reflète la gravité de notre époque».Habituellement, les discours du trône sont lus par la gouverneure générale, qui représente au Canada la Couronne britannique. La dernière fois qu’un monarque britannique est venu lire le discours du trône au Canada remonte à 1977, avec la reine Elizabeth. Mark Carney, Premier ministre depuis la mi-mars, a remporté les législatives du 28 avril en plaçant la défense de la souveraineté du Canada au cœur de sa campagne.
Il a déclaré à Donald Trump le 6 mai à la Maison-Blanche que le Canada «ne sera jamais à vendre», en réponse au président américain qui lui faisait la liste des «formidables avantages» pour les Canadiens d’un «merveilleux mariage». La visite de Charles est sa 20ᵉ au Canada, mais la première depuis son couronnement en septembre 2022. C’est la 6ᵉ pour Camilla, et aussi la première en tant que reine. Elle commencera lundi en début d’après-midi par une rencontre communautaire célébrant en musique et à travers son artisanat la diversité et le patrimoine culturel du Canada, au parc Lansdowne. Le roi s’entretiendra également avec la gouverneure générale Mary Simon et le Premier ministre. À Rideau Hall, résidence officielle de la gouverneure générale, le roi participera à la plantation d’un arbre, avant une courte réception prévue avec les lieutenants-gouverneurs des dix provinces canadiennes et commissaires territoriaux des trois territoires. Le 27 mai, le roi et la reine se rendront en carrosse tiré par 28 chevaux jusqu’au Sénat pour le discours du trône prévu vers 17h00 (heure suisse). Le roi y recevra les honneurs militaires.
La visite royale se terminera par le dépôt d’une couronne devant le tombeau du Soldat inconnu. Un médecin canadien a été mis à disposition du roi, traité chaque semaine pour un cancer dont le type n’a jamais été précisé.
Auteur : Mel_C  
5303/6070

Date :    25-05-2025 23:50:50


ROLAND-GARROS

Il y aura deux Suissesses au deuxième tour de Roland-Garros. Quelques heures après la qualification de Viktorija Golubic, Jil Teichmann (WTA 97) a imité sa compatriote. La Biennoise n’avait plus gagné à Paris depuis 2022, année où elle s’était brillamment hissée jusqu’en huitièmes de finale. Dimanche, elle s’est imposée contre l’Italienne Lucrezia Stefanini (WTA 153) en deux petits sets (6-4, 6-4). Si le tirage au sort était favorable à la gauchère de 27 ans, les conditions dans lesquelles se sont déroulées cette partie l’étaient beaucoup moins. Les deux joueuses ont dû rentrer aux vestiaires à cause de la pluie alors que l’échauffement touchait à sa fin. Ensuite, il a fallu faire avec du bruit constant en raison de l’ambiance bouillante sur le Court Suzanne-Lenglen, situé à quelques mètres, et avec deux spectateurs qui criaient «forza» sur les fautes directes de Teichmann durant la première manche. Mais la Suissesse a été plus forte que tout ça. Contre une adversaire au style atypique (coup droit à deux mains), Jil Teichmann a fait parler sa plus grande puissance. C’est notamment sur un puissant coup droit gagnant qu’elle a conclu le premier set. Et surtout, elle a été un brin plus solide mentalement. Lors du dernier jeu, elle a manqué deux balles de match, puis a sauvé deux balles de débreak avant de classer l’affaire sur un énième coup droit le long de la ligne. La tâche sera bien plus difficile au deuxième tour puisque Jil Teichmann sera opposée à la n°1 mondiale, Aryna Sabalenka. La Biélorusse a remporté, à Doha en 2022, le seul affrontement entre les deux femmes.
Auteur : Mel_C  
5304/6070

Date :    25-05-2025 23:52:56


Excuses de Kanye West :

Kanye West a présenté ses excuses après avoir suscité l'indignation avec nombre de commentaires et actes antisémites. Au cours des derniers mois, le rappeur de 47 ans s'est lancé dans plusieurs diatribes à caractère — entre autres — raciste et antisémite, faisant l'apologie du nazisme au travers d'images, de produits de sa marque Yeezy et d'une chanson intitulée «Heil Hitler». Cette semaine, Kanye West s'est engagé sur X à ne plus poster ses messages de haine. «J'en ai fini avec l'antisémitisme, a-t-il écrit. J'aime tous les peuples. Que Dieu me pardonne pour la douleur que j'ai causée. Je pardonne à ceux qui m'ont fait souffrir. Merci Dieu.» La progéniture qu'il partage avec son ex-femme Kim Kardashian serait à l'origine de cette rédemption. «J'ai reçu un FaceTime de mes enfants et je veux à nouveau sauver le monde… » a-t-il ajouté. «La Terre elle-même est dans le royaume de Dieu.» Il a poursuivi avec d'autres messages demandant la paix et l'amour. Ce n'est pas la première fois que Kanye West présente ses excuses à la communauté juive à la suite de messages antisémites publiés sur les réseaux sociaux. Au fil des ans, ces propos lui ont valu la perte de nombreux contrats, tandis que sa chanson faisant l'éloge d'Adolf Hitler a été bannie de toutes les principales plateformes de streaming à sa sortie ce mois-ci.

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