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Faits divers
Auteur : Aigle  
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Date :    21-01-2025 18:15:45


Hier, lundi 20 janvier le réalisateur Bertrand BLIER est décédé à 85 ans
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:06:42


"PLUS BELLE LA VIE" - Une plainte déposée par une actrice de « Plus belle la vie » contre un ostéopathe pour agression sexuelle
D’après les informations du Parisien, une actrice de la série « Plus belle la vie », diffusée sur TF1 (anciennement sur France 3), a déposé plainte lundi soir, à Paris, pour agression sexuelle par un ostéopathe. Dépôt de plainte confirmé par le parquet de Paris, expliquant que l’enquête a été confiée au 1er district de la police judiciaire.
Les faits se seraient produits dans un cabinet du XVIIe arrondissement de Paris, alors que l’actrice était venue consulter en raison d’« un problème aux côtes ». Dès la première séance, elle affirme avoir subi des attouchements, notamment « au clitoris, par-dessus sa culotte », apprend-on de source proche du dossier.
Bien que le médecin assure que ces manipulations sont nécessaires pour « atténuer la douleur », la comédienne prend conscience que « quelque chose d’anormal » s’est produit et prend la décision d’enregistrer audiovisuellement le prochain rendez-vous.
Lors de cette seconde séance, l’ostéopathe lui aurait à nouveau touché « la poitrine et le clitoris à travers les sous-vêtements ». Là encore, il aurait avancé un besoin de la « décontracter et d’apaiser les tensions ». La victime, elle, dit avoir été « tétanisée ».
Le praticien se serait ensuite déshabillé et lui aurait demandé de le toucher à son tour, « ce qu’elle a refusé catégoriquement ». Ne prenant pas en compte ce refus, l’ostéopathe lui aurait « retiré son string et pratiqué un cunnilingus ». Il aurait également essayé de « pénétrer » la victime, qui a finalement réussi à quitter les lieux.
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:10:06


AIRBAGS TAKATA - l’UFC-Que Choisir dépose plainte contre Citroën

Nouvelle déflagration dans l’affaire des airbags Takata qui, ces dernières années, ont causé des décès, notamment en France dans les Pyrénées ou les Antilles, en projetant des pièces dangereuses au visage de conducteurs, à cause d’un gaz qui vieillit mal dans les climats chauds et humides. Selon nos informations, l’association de défense des consommateurs UFC-Que choisir a déposé plainte contre Citroën, ce mardi, auprès de la Procureure de la République de Versailles. Les motifs sont lourds : « Pratiques commerciales trompeuses, tromperie aggravée et mise en danger délibérée de la vie d’autrui. »
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:12:14


Kartalkaya (Turquie) :
Des dizaines de morts, et une enquête qui sera menée par six procureurs. Un incendie survenu en pleine nuit dans un hôtel turc au sein d’une station de ski a fait de nombreuses victimes ce mardi, nécessitant la mobilisation de plusieurs centaines de pompiers sur place, et poussant le gouvernement turc à réagir. Voici ce que l’on sait du drame.
Soixante-seize personnes sont mortes et au moins 51 ont été blessées dans l’incendie de l’hôtel Grand Kartal, situé à Kartalkaya, station de ski à 170 km à l’est d’Ankara. Le sinistre bilan a été mis à jour dans la soirée par le ministre de l’Intérieur, Ali Yerlikaya, qui s’était rendu sur place.
Dans l’après-midi, le ministre a d’ailleurs annoncé que le foyer était enfin éteint. L’incendie s’était déclaré « à 3h27 du matin (0h27 GMT) », a confirmé le ministre, ajoutant que 238 clients étaient alors enregistrés dans l’établissement de luxe de douze étages.
Les flammes se sont rapidement propagées au reste du bâtiment en raison du bardage extérieur en bois, ont rapporté les médias turcs dont les images ont montré de grandes flammes s’échappant des fenêtres supérieures et du toit, ainsi que des panaches de fumée noire.
Les images prises par drone témoignent des ravages dans la toiture et dans les étages supérieurs de l’établissement, installé au sommet d’une falaise pour disposer d’une vue panoramique, ce qui a compliqué l’intervention des 428 pompiers mobilisés et arrivés sur les lieux à 4h15, a précisé le ministre de l’Intérieur.
Quatre personnes, dont le propriétaire de l’hôtel, ont été arrêtées après l’incendie. La cause du sinistre n’est pas encore connue mais déjà la polémique et la colère enflent parmi les rescapés qui dénoncent des négligences
Les employés de l’hôtel ont aidé à l’évacuation des clients, mais les témoins et les médias sur place dénoncent l’absence d’alarme et de détecteurs de fumée.
« Aucune alarme ne s’est déclenchée, aucun détecteur de fumée ni escalier de secours alors qu’il y avait de la fumée jusqu’au dixième étage », a dénoncé sur les télévisions un quinquagénaire en pleurs, qui se trouvait en famille depuis dimanche dans l’établissement.
« Les gens appelaient à l’aide, ils demandaient des couvertures pour pouvoir sortir par les fenêtres », a témoigné Baris Salgur, employé d’un hôtel voisin. « On leur a apporté ce qu’on trouvait, des cordes, des oreillers, et même un canapé… Quand les flammes se sont approchées d’eux, certains se sont jetés dans le vide ».
Selon la chaîne de télévision privée NTV, trois personnes au moins ont trouvé la mort en sautant par les fenêtres. Une vidéo d’IHA montre des clients aux fenêtres dans la nuit, appelant à l’aide : « Où sont les pompiers! aidez nous ».
Le ministre de la Justice Yilmaz Tunc, qui s’est également rendu sur place, a annoncé l’ouverture d’une enquête confiée à « six procureurs » et la formation d’un comité d’experts pour les appuyer. Ali Yerlikaya a promis que « toutes les mesures seront prises si l’enquête montre qu’il y a eu négligence ou que des fautes ont été commises ».
Devant son parti AKP, réuni en congrès, le président turc Recep Tayyip Erdogan a également assuré que « tout sera mis en œuvre pour faire la lumière sur tous les aspects du drame et pour demander des comptes aux responsables ». Il a également annoncé une journée de deuil national mercredi.
Mardi soir, les familles étaient rassemblées devant l’hôpital de Bolu, la capitale régionale, dont la morgue accueille les corps des victimes. Dix-neuf personnes restaient hospitalisées, dont une dans un état grave, selon le ministre de l’Intérieur.
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:14:59


INTERNATIONAL - Mexique, Canada, Groenland… les pays ciblés par Donald Trump préparent la « riposte » :
Un « ennemi » commun. Qu’est-ce qui relie désormais le Mexique, le Canada et le Groenland sur la carte du monde ? Pas l’océan Atlantique mais bien Donald Trump… Car le désormais 47e président des États-Unis, avant même de prêter serment ce lundi à Washington, avait fait de ces trois pays une cible pour étendre la zone d’influence américaine : le Mexique pour limiter l’immigration, le Canada et le Groenland pour évoquer carrément une possible annexion !
Et au lendemain de l’investiture du nouveau pensionnaire de la Maison-Blanche, qui a précédé la signature très médiatisée d’une multitude de décrets, les cibles de Donald Trump ont décidé de répliquer ce mardi.
Ainsi, la présidente du Mexique, Claudia Sheinbaum, a lancé un appel à garder « la tête froide » face aux premières décisions du président américain Donald Trump qui affecte directement son pays, l’un des premiers partenaires des États-Unis.
« Il est important d’avoir toujours la tête froide et nous en tenir aux décrets signés, par-delà le discours », a déclaré la présidente de gauche nationaliste pendant son habituelle conférence de presse matinale. Elle a estimé que les premières mesures migratoires de Trump sont semblables à celles de son premier mandat (2017-2021).
Une mesure que Justin Trudeau, dont le Canada est menacé par une guerre commerciale, n’a pas voulu faire sienne puisqu’il a annoncé que son pays « ripostera » fermement si les États-Unis imposent des droits de douane.
« Tout est sur la table et je soutiens le principe de droits de douane équivalents au dollar près », a déclaré le Premier ministre démissionnaire lors d’une conférence de presse, précisant que cela « aura un coût pour les Canadiens ». En ligne de mire, la menace Trumpienne d’une augmentation des droits de douane de 25 % le dès le 1er février.
« Nous sommes prêts à faire face à tous les scénarios » et « nous protégerons nos intérêts nationaux », a encore indiqué Trudeau, qui a présenté sa démission début janvier, mais dont le remplaçant ne sera connu que le 9 mars prochain. Il a toutefois précisé qu’il espérait toujours convaincre l’administration Trump de ne pas imposer de droits de douane.
Même fermeté de la part du Groenland, qui part la voix de son Premier ministre a réaffirmé : « Nous sommes Groenlandais, nous ne voulons pas être Américains », alors que Donald Trump qui convoite l’immense territoire autonome danois.
« L’avenir du Groenland doit être décidé au Groenland », a redit lors d’une conférence de presse Mute Egede, reconnaissant que la situation était « difficile ».
Si Trump n’a pas cité le territoire danois dans son discours d’investiture mais il a estimé ensuite auprès de journalistes que le Danemark finirait par céder sur cette question. « Le Groenland est un endroit merveilleux, nous en avons besoin pour la sécurité internationale. Je suis sûr que le Danemark va se faire à l’idée » de le céder aux Etats-Unis", a dit Donald Trump.
Il avait menacé début janvier de taxer fortement les produits danois si le Danemark ne cédait pas à sa demande.
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:17:35


ECONOMIE - Taxer les "retraités qui le peuvent" pour financer le budget de la Sécu ?
Comment combler le déficit de la Sécurité sociale ? Faire travailler les Français sept heures par an sans être rémunéré serait l’une des pistes sur la table, a confirmé ce mardi, la ministre du Travail et de l’Emploi. Interrogée sur TF1, Astrid Panosyan-Bouvet a estimé que « ces 7 heures devaient financer, dans la proposition du Sénat, la branche autonomie » de la Sécurité sociale.
Mais d’autres pistes peuvent être « regardées » pour contribuer à ce financement, afin que « l’effort ne porte pas que sur les actifs ». « Cela peut porter sur les personnes qui travaillent, mais aussi sur les retraités qui peuvent se le permettre », a indiqué la ministre. En clair, « différentes taxes et cotisations pourraient être envisagées sur les retraités, en fonction de leur niveau de pension », a-t-elle poursuivi.
Qui pourrait être concerné par cet « effort national du financement pour la dépendance et la branche autonomie » ? « Cela peut être 40 % des retraités », a jugé Astrid Panosyan-Bouvet, tout en précisant que ces modalités doivent faire l’objet de discussions avec les parlementaires. « Il faut arrêter de voir les retraités comme un groupe homogène », a-t-elle insisté. « Il y a la solidarité intergénérationnelle, il peut aussi y avoir de la solidarité entre aînés, pour ceux qui peuvent se le permettre ».
Après cette sortie très commentée, l’entourage de la ministre glisse qu’il s’agit « d’une position personnelle », rappelant que « les retraités ne peuvent pas être traités un groupe homogène ».
Selon nos informations, François Bayrou n’a pas appelé Astrid Panosyan-Bouvet, considérant que ses ministres peuvent « mettre des idées sur la place publique ». En coulisses, un conseiller de l’exécutif estime, que « sur le fond elle a raison. La protection sociale ne doit pas seulement peser sur les travailleurs. Quand Wauquiez tope sur les retraités, il considère que les retraités n’est pas un groupe homogène ».
Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, Catherine Vautrin avait par ailleurs évoqué l’idée de faire travailler les Français sept heures par an sans être rémunéré, afin de financer la Sécurité sociale.
Cette mesure provient d’un amendement au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, présenté en novembre dernier par la commission des Affaires sociales du Sénat. Elle avait finalement été retirée du projet par Michel Barnier, avant la censure de son gouvernement.
Décriée à gauche, la proposition avait aussi créé des réticences au sein du camp gouvernemental. Michel Barnier s’était lui-même dit « très réservé sur cette idée ». En plus de la trouver « complexe à mettre en œuvre », l’ex-Premier ministre émettait même des doutes sur ses bienfaits pour le déficit de la Sécu.
Auteur : Mel_C  
5335/5610

Date :    21-01-2025 22:21:31


TRAVAILLER 7 h 00 "GRATUITEMENT" PAR AN ..... qu’est-ce que cette idée du gouvernement ?
La censure avait eu raison d’elle. Deux mois plus tard, Catherine Vautrin a décidé de la remettre au goût du jour. Dans un entretien accordé au JDD dimanche, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités a de nouveau évoqué l’idée de faire travailler les Français sept heures par an sans être rémunéré, afin de financer la Sécurité sociale. « C’est une piste qui est sur la table », a confirmé la ministre déléguée chargée des comptes publics Amélie de Montchalin sur France 3. On fait le point sur cette proposition, déjà évoquée en novembre dernier et décriée par la gauche.
Cette idée provient d’un amendement au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, présenté en novembre dernier par la commission des Affaires sociales du Sénat. La mesure, comparable à la journée de solidarité déjà pratiquée, avait été baptisée « contribution de solidarité par le travail ».
Elle avait finalement été retirée du projet de budget de la Sécurité sociale par Michel Barnier, avant la censure de son gouvernement.
« Les sénateurs, dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale qu’ils ont voté, proposent de travailler sept heures de plus dans l’année, soit dix minutes de plus chaque semaine », rappelle Catherine Vautrin dans le JDD.
« En échange du bénéfice de ces heures de travail non rémunérées », les employeurs verraient le taux de l’actuelle contribution de solidarité pour l’autonomie « passer de 0,3 % à 0,6 % », expliquait par ailleurs la commission des Affaires sociales en novembre dernier. Une contribution des actifs qui permettrait de « générer deux milliards d’euros de recettes », selon la ministre du Travail. Ces dernières pourraient ainsi être « fléchées vers les dépenses sociales. »
« En fonction des entreprises, en fonction des branches, ça peut se traduire par une journée » ou bien par un étalement sur l’année, précisait en novembre dernier Philippe Mouiller, président de la commission des Affaires sociales du Sénat. « L’idée, c’est vraiment qu’il y ait un débat avec les partenaires sociaux sur la mise en application du principe », a-t-il précisé.
Un jour férié pourrait alors être supprimé, comme la journée de solidarité, que les entreprises fixent généralement au lundi de Pentecôte. Mais le gouvernement, qui craint que l’idée soit mal reçue, pourrait aussi décider d’éparpiller ces sept heures sous plusieurs formes : 1h40 par mois, dix minutes par semaine, comme évoqué par Catherine Vautrin dans le JDD, ou encore deux minutes par jour.
Plusieurs personnalités politiques de gauche s’étaient dressées contre cette proposition, François Ruffin la qualifiant par exemple de « scandaleuse ». La mesure avait fait tiquer sur la forme, y compris au sein du camp gouvernemental.
Michel Barnier s’était lui-même dit « très réservé sur cette idée ». En plus de la trouver « complexe à mettre en œuvre », l’ex-Premier ministre émettait même des doutes sur ses bienfaits pour le déficit de la Sécu. « Je ne suis pas sûr qu’elle rapporte ce que certains prétendent », glissait-il.
« C’est une piste qui est sur la table, mais c’est aux parlementaires de voir s’ils veulent avancer ensemble sur ce sujet », a lancé Amélie de Montchalin sur le plateau de France 3 dimanche midi. « Le gouvernement respectera le débat parlementaire à venir sur le sujet », a assuré de son côté Catherine Vautrin dans son entretien au journal hebdomadaire. Les discussions sur cette mesure risquent de revenir dans l’hémicycle.
D’autres pistes peuvent être « regardées » pour contribuer à financer la branche autonomie de la Sécurité sociale, a insisté mardi la ministre du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet. Ainsi, « différentes taxes et cotisations pourraient être envisagées sur les retraités, en fonction de leur niveau de pension », a-t-elle indiqué. Qui pourrait être concerné par cet effort ? « Ceux qui peuvent se le permettre, cela peut être 40 % des retraités », a-t-elle jugé, tout en précisant que ces modalités doivent faire l’objet de discussions avec les parlementaires.
Auteur : Mel_C  
5336/5610

Date :    21-01-2025 22:24:27


GROUPE GALERIES LAFAYETTES :
Le groupe Galeries Lafayette prévoit de fermer d’ici la fin de l’année 2025 ses deux magasins à Marseille qui « enregistrent des pertes récurrentes depuis plusieurs années », et promet d’« encourager le reclassement des 145 salariés concernés ».
Les deux magasins sont situés à Centre Bourse et dans le centre commercial Prado, tout près du stade Vélodrome. Leur situation n’est « plus tenable pour ne pas déséquilibrer les performances du reste du réseau français Galeries Lafayette », dit le groupe dans un communiqué publié mardi. L’enseigne basée boulevard Haussmann à Paris compte 57 magasins en France, dont 19 détenus en propre.
..... Et pourtant, l’enseigne emblématique des centres-villes, Galeries Lafayette, a choisi La Coupole de Nîmes pour y implanter son nouveau magasin, poursuivant une collaboration fructueuse avec Socri Limited (qui gère la Coupole des Halles) et le groupe Planet Indigo, initiée par la reprise du magasin Galeries Lafayette à Béziers en 2016 et consolidée en 2022 avec la reprise du magasin Galeries Lafayette en Avignon !!!.....

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