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Faits divers
Auteur : Mel_C  
5401/5582

Date :    24-01-2025 21:33:13


TEMPÊTE - Pourquoi la tempête Floris, attendue dimanche en France, a-t-elle été renommée Herminia ?

Ne l’appelez plus « Floris ». La nouvelle dépression attendue dimanche sur les côtes françaises a changé de nom ce vendredi 24 janvier 2025, alors que la tempête Éowyn souffle sur une partie de l’Écosse, l’Irlande et l’Irlande du Nord. Il faut désormais la nommer « Herminia ».
« La dépression de dimanche a été baptisée Herminia par le service météorologique espagnol », a indiqué l’agence de météorologie britannique Met Office, dans un bulletin publié en milieu d’après-midi. C’est elle qui, plus tôt dans la journée, avait baptisé pourtant cette tempête à venir « Floris ». Comment expliquer ce revirement au cours de la journée ? Ouest-France vous dit tout.
Il faut savoir que depuis 2017, l’Europe est divisée en cinq zones, au sein desquelles les services météorologiques s’associent pour nommer conjointement un phénomène. Pour le reste du monde, c’est l’organisation météorologique mondiale (OMM) qui se charge de nommer les tempêtes, ouragans, etc. Le but poursuivi est le même : « aider à identifier rapidement les tempêtes dans les messages d’alertes, car les noms sont beaucoup plus simples à retenir que des nombres ou des termes techniques », indique l’OMM sur son site.
Les dépressions sont nommées selon certains critères. « Une dépression est nommée seulement si elle risque de provoquer une vigilance vent au moins de niveau orange sur l’un des cinq » services météorologiques français (Météo France), espagnol (AEMET), portugais (IPMA), belge (IRM) et luxembourgeois (METEOLUX), explique Météo France sur son site. « Le service météorologique qui prévoit d’émettre le premier l’alerte de couleur orange ou rouge attribue un nom à cette dépression tempétueuse à partir de la liste pré-établie et en informe les autres », précise le prévisionniste.
Au Royaume-Uni, les tempêtes sont nommées selon le même mode, par le Met Office (Grande-Bretagne), Met Eireann (Irlande) et KNMI (Pays-Bas), selon une liste de noms établie par ordre alphabétique chaque année. C’est dans cette logique que la tempête qui succédera à Éowyn (E) dans la région devra s’appeler Floris (F). Mais le Met Office a finalement expliqué que la dépression attendue « ne répond pas aux critères pour être nommée » par lui et ses partenaires.
> Autrement dit, elle ne devrait pas entraîner d’alerte rouge ou orange vent, dimanche, sur cette zone géographique. « La dépression de dimanche n’a pas la même force qu’Éowyn », a anticipé le Met Office dans son bulletin, le Royaume-Uni n’étant placé qu’en vigilance jaune dimanche. Le service météorologique précise par ailleurs qu’elle aura « des impacts plus importants » en Espagne. Notamment sur la cote galicienne, à l’est du pays, déjà placée en vigilance orange caractérisée par des « rafales de vent très fortes, voire de force ouragan (plus de 120 km/h) », et des « pluies abondantes », indique ce soir l’AEMET.
Dans ce cas, il revenait donc au service météorologique espagnol de rebaptiser ce phénomène. Herminia succède ainsi à la tempête Garoé qui, en début de semaine, a soufflé sur le Portugal et l’est de l’Espagne.
> La tempête Herminia n’épargnera pas les côtes françaises dimanche. « Elle sera encore sur la partie ouest de l’Irlande, mais cette fois, le centre de la dépression se trouvera un peu plus au sud », relève Yann Amice, météorologue à Weather & Co auprès d’ Ouest-France . Ce qui la fera concerner davantage de régions en termes de précipitations et de vents.
D’ailleurs, à qui revient-il de nommer une dépression qui touche plusieurs zones météorologiques en Europe ? « Lorsqu’il est prévu qu’une tempête affecte d’abord le territoire d’Irlande, de Grande-Bretagne ou des Pays-Bas, c’est le nom choisi par ces services météorologiques qui est retenu – et la réciproque s’applique également », fait savoir Météo France.
Auteur : Mel_C  
5402/5582

Date :    24-01-2025 21:37:46


ASSISES DE L'HERAULT - verdict implacable pour la mère d’Amandine
Le verdict a été rendu après environ trois heures de délibéré par la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, ce vendredi 24 janvier 2025 après-midi : Sandrine Pissara, 54 ans, la mère d’Amandine morte de faim à l’âge de 13 ans dans un cagibi de la maison familiale de Montblanc, en août 2020 a été condamnée à la réclusion criminelle à perpétuité avec une peine de sûreté de vingt ans.
Pour Jean-Michel Cros, son concubin, beau-père de la collégienne qui pesait 28kg pour 1,55m le jour où elle a été retrouvée morte, la cour et les jurés sont allés au-delà du réquisitoire de l’avocat général qui avait demandé une peine de 18 ans : il écope de 20 ans de réclusion criminelle. Le procès s’était ouvert lundi 20 janvier 2025. Après les parties civiles, l’avocat général Jean-Marie Beney avait comparé les maltraitantes et les souffrances de l’adolescente « à celles infligées dans un régime totalitaire », qualifiant l’accusée de « tyran domestique et de dictateur de l’intérieur ».
L’avocat général a été implacable. Fixant Sandrine Pissara, tête baissée dans le box, il a lancé : « Vous avez depuis cinq jours pénétré dans l’enfer, dans l’impensable, dans l’indicible. Vous avez pénétré dans le système Pissara, dans la dictature familiale, vous avez pénétré dans un monde inimaginable », avant de se tourner vers le second accusé, le beau-père d’Amandine : « Dans tout système totalitaire, il y a des collabos, et j’en vois un dans le box, c’est vous, monsieur Cros. Si on a une once d’humanité, on réagit. Vous n’avez pas empêché ce crime ».
Jean-Marie Beney a assuré « ne pas croire en la défense de la mère qui a expliqué reproduire les violences, dont elle a dit avoir été victime lors du procès ». Jamais lors de l’enquête, ni durant l’instruction, Sandrine Pissara avait fait état de violences de sa mère quand elle était très jeune. Les avocats de la partie-civile ont également fortement douté de ces déclarations et ont longuement insisté sur le martyre, la lente descente aux enfers jusqu’à une mort horrible d’Amandine.
« Comment peut on la défendre ? Mais elle n’est pas indéfendable et c’est un honneur de la défendre. Défendre n’est pas cautionner. Il ne faut pas être contaminés par la dictature de l’émotion, je défends une femme qui a libéré sa parole. Qui a avoué les faits. Comment expliquer la trajectoire de cette femme? y a forcément des choses. Ces violences maternelles, elles ne tombent pas du ciel », a notamment plaidé en défense Me Louis Dolez, un des deux avocats des accusés, qui ont dix jours pour interjeter appel du verdict.
Auteur : Mel_C  
5403/5582

Date :    24-01-2025 21:40:15


ASSISES DE L'HERAULT - le procès de la mère et du beau-père d'Amandine, 13 ans, morte affamée :
L’affaire effrayante jugée depuis ce lundi 20 janvier 2025 devant la cour d’assises de l’Hérault, à Montpellier, avec un verdict prévu vendredi soir avait ému la France entière, lorsqu’elle avait été révélée en été 2020 : la mort de faim d’une adolescente âgée de 13 ans, morte affamée et assoiffée dans le huis clos familial de Montblanc, entre Béziers et Pézenas.
Le procès de l’horreur s’est ouvert ce lundi après-midi avec dans le box des accusés la maman de la victime, Amandine, Sandra Pissara qui est âgée de 54 ans et son compagnon de l’époque âgé de 49 ans, Jean-Michel Cros. Elle est poursuivie pour actes de torture et de barbarie ayant entraîné la mort sans intention de la donner : elle encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Lui, doit répondre de privation volontaire de soins ou d’aliments et de n’avoir rien fait pour sauver sa belle-fille d’une mort certaine, ce qui peut lui valoir trente ans de réclusion criminelle. Les accusés seront fixés sur leur sort, vendredi soir, après le réquisitoire de l’avocat général, les plaidoiries de la partie civile et de la défense, l’appel à la barre des nombreux témoins et experts.
Le 6 août 2020, quand on découvre Amandine beaucoup trop tard, sans vie, une adolescente chétive à l’état de santé très dégradée, puisqu’elle ne pèse que 28 kg pour 1,55 m, c’est la stupeur, l’incompréhension, la colère. Les experts qui l’examinent longuement concluent à des conséquences d’un état « cachectique », à savoir un amaigrissement extrême, associé à une septicémie et à un possible syndrome de renutrition inappropriée, ajoutent les médecins légistes de l’hôpital Lapeyronie, à Montpellier qui ont réalisé l’autopsie.
Lors de l’examen médico-légal, il ressort qu’Amandine a perdu des dents et a eu les cheveux arrachés. Sa mère, Sandrine Pissarra était placée en garde à vue rapidement, assurant qu’Amandine souffrait de troubles alimentaires, une version qui a toujours été remise en cause.
En mai 2021, la mère de l’adolescente était mise en examen et incarcérée, présumée accusée de l’avoir notamment « affamé ». Ancienne serveuse de bar, mère de huit enfants nés de trois unions, elle est jugé par ailleurs pour violences volontaires habituelles sur Amandine entre 2014 et 2020.
Depuis 2016, elle avait trouvé un nouveau concubin, qu’elle hébergeait à Montblanc, Jean-Michel Cros, « Il ne fait aucun doute qu’Amandine a enduré de la part de (sa mère) des violences destructrices et paroxystiques, dont le seul dessein a été la volonté de l’entraîner dans une agonie honteuse et humiliante« , selon l’ordonnance de renvoi devant les assises du juge d’instruction du tribunal judiciaire de Béziers.
L’enquête de gendarmerie a établi que depuis son plus jeune âge, Amandine était la souffre-douleur de sa mère, multipliant les vexations, les humiliations, les coups, la privant de nourriture, l’abreuvant de punitions d’écriture, comme le sont des « colles » à l’école, l’enfermait dans un débarras digne d’un cachot, où elle surveillait ses faits et gestes grâce à une caméra de surveillance, une webcam…
Aujourd’hui quinquagénaire, elle a assisté à la déchéance et à la mort lente de sa fille, sous les yeux de son nouveau compagnon, qui a gardé le silence. Les experts psychiatriques décrivent Sandrine Pissarra comme colérique et violente, ayant pu transposer sa haine du père d’Amandine sur le corps de sa fille.
L’instruction a révélé que les faits présumés les plus violents qui n’ont plus cessé ont éclaté en mars 2020, lors du premier confinement dû à la Covid : à cette époque et durant de longs mois, Amandine n’avait plus mis les pieds au collège. Elle était interne et quand le confinement a été mis en pieuvre en mars 2020, elle est venue vivre avec sa mère et son beau-père à Montblanc. Pendant le confinement, dans son cachot où elle était affamée et assoiffée, sa sœur de 15 ans et son frère de 11 ans vivaient tranquillement à l’étage de la maison avec la mère et le beau-père.
Sa mère et son concubin la cachait, la privait de sorties, ce qui n’avait pas éveillé l’attention et les soupçons des proches et des voisins. Qui aurait pensé qu’une adolescente de 13 ans pouvait mourir de faim, volontairement affamée par sa mère, dans les années 2000 quelque part en France ? Après le verdict, le père biologique d’Amandine qui s’attend à entendre des horreurs durant la semaine au procès tentera de récupérer son corps pour organiser une inhumation digne : depuis quatre ans, elle est enterrée dans le caveau familial de son ex-femme, ce qui est pour lui insupportable.
Auteur : Mel_C  
5404/5582

Date :    24-01-2025 21:44:11


Enlèvement de David Balland :
Lors de leur garde à vue, les suspects interpellés ont déclaré avoir été payés à la tâche pour le rapt ultra-violent du patron de l’entreprise de cryptomonnaie Ledger, sans tous se connaître entre eux. Alors que sept sont présentés à la justice ce vendredi, les enquêteurs cherchent à identifier le commanditaire de l’organisation.
Auteur : Mel_C  
5405/5582

Date :    24-01-2025 21:46:21


Enlèvement de David Balland - pourquoi le discret entrepreneur en crypto a-t-il été pris pour cible ?

Finalement libéré. Mercredi 22 janvier, David Balland, cofondateur de Ledger, société spécialisée dans la sécurisation des cryptoactifs, a été libéré grâce à une intervention du GIGN. La veille, dans la matinée, l’entrepreneur et sa compagne avaient été enlevés à leur domicile dans le Cher avant d’être séquestrés. David Balland a été enfermé à Châteauroux, tandis que sa compagne a été transportée dans plusieurs lieux. Les ravisseurs réclamaient une rançon en cryptomonnaie.
L’alerte a été donnée par Eric Larchevêque, également cofondateur de Ledger, connu pour sa participation à l’émission Qui veut être mon associé sur M6. Eric Larchevêque avait reçu une vidéo montrant un doigt mutilé de David Balland, accompagnée d’une demande de rançon «importante», selon le parquet. Une partie de cette rançon a été versée durant les négociations avec les forces de l’ordre, mais «la majorité des cryptomonnaies ont été saisies et gelées», a indiqué la procureure de Paris lors d’une conférence de presse tenue le 23 janvier. Mais, pourquoi les ravisseurs ont-ils ciblé David Balland ?
David Balland a été libéré mercredi avant d’être hospitalisé pour sa mutilation. Pendant ce temps, les forces de l’ordre ont interpellé trois suspects entre mercredi et jeudi. Sa compagne a été retrouvée dans une commune de l’Essonne, «ligotée dans le coffre d’un véhicule». Six autres suspects ont été arrêtés par la suite, portant le nombre total d’interpellations à dix. Une information judiciaire a été ouverte le vendredi 24 janvier pour neuf chefs d’accusation, dont «enlèvement et séquestration en bande organisée», accompagnés «d’actes de torture ou de barbarie» et «d’extorsion avec arme». Finalement, sept suspects ont été placés en détention provisoire, tandis que trois autres ont été relâchés sans poursuite. Les investigations se poursuivent pour identifier d’éventuels commanditaires, y compris à l’étranger.
Une figure emblématique de la tech française. David Balland, 36 ans, originaire de Vierzon, a d’abord cofondé la plateforme Chronocoin.fr avec deux associés, Joël Pobeda et Vanessa Rabesandratana. Ils ont ensuite été rejoints par Nicolas Vacca, fondateur de BTChip. Ces deux sociétés ont fusionné avec la Maison du Bitcoin, créée par Eric Larchevêque et Thomas France, pour donner naissance à Ledger en 2014, réunissant un total de huit associés. L’entreprise, aujourd’hui valorisée à 1,3 milliard d’euros, est le leader mondial de la conception de portefeuilles physiques de cryptomonnaies. Ledger a vendu plus de sept millions d’appareils dans plus de 180 pays, traduits en 10 langues. Elle sécurise environ 20% des actifs numériques mondiaux et compte plus de 100 clients institutionnels.
Cette affaire d’enlèvement liée aux cryptomonnaies fait écho à celle d’un homme de 56 ans, retrouvé début janvier dans le coffre d’une voiture près du Mans, à plusieurs centaines de kilomètres de son domicile situé dans l’Ain. Selon plusieurs médias, il s’agissait d’un influenceur en cryptomonnaies basé à Dubaï, qui publie régulièrement des vidéos sur ses gains. Là encore, les ravisseurs avaient formulé une demande de rançon. Interrogé, le parquet de Paris n’a toutefois établi aucun lien entre les deux affaires.
A l’étranger, des cas similaires ont également été recensés. En Belgique, en décembre 2024, la compagne de Stéphane Winkel a été victime d’un enlèvement avec demande de rançon en cryptomonnaies. Son mari, se présentant comme «cryptomillionnaire», est à la tête d’une chaîne YouTube où il conseille ses abonnés. De l’autre côté de l’Atlantique, à Toronto, Dean Skurka, PDG de la société de cryptomonnaies WonderFi, a été kidnappé par des ravisseurs puis libéré en novembre 2024 après le versement d’une rançon d’un million de dollars. Un mois auparavant, à Montréal, Kevin Mirshahi, un influenceur en cryptomonnaies, a été retrouvé mort après avoir été enlevé et séquestré en juin 2024. Mirshahi conseillait sa communauté via un groupe Telegram privé et payant. Le tribunal administratif des marchés financiers québécois lui avait ordonné d’arrêter ses activités dès 2021. L’enquête est toujours en cours.
Il faut dire que les cryptomonnaies offrent une facilité et une discrétion de transfert bien supérieures à celles des monnaies classiques, ce qui les rend particulièrement attractives pour ce type d’extorsion. Par ailleurs, leur valeur a fortement progressé ces dernières années. En décembre 2024, par exemple, le Bitcoin a franchi la barre symbolique des 100 000 dollars l’unité, contre seulement 15 000 dollars en novembre 2022. L’Ethereum, deuxième cryptomonnaie en termes de capitalisation, continue également de croître.
En Europe, le règlement sur les marchés de cryptoactifs (MiCA), en vigueur depuis le 30 décembre 2023, impose désormais de fournir davantage d’informations sur l’origine et la destination des cryptoactifs transférés. Cette mesure vise à renforcer la traçabilité des transactions et à limiter leur usage frauduleux.
Auteur : Mel_C  
5406/5582

Date :    24-01-2025 21:48:20


MARSEILLE - Attaque d’un chauffeur de bus :
Les faits ont lieu en début de soirée, sur la ligne 91 du réseau de transports marseillais. Aux alentours de 19 heures ce jeudi, un chauffeur de bus a été violemment agressé par un usager.
D’après une source proche du dossier, cet homme serait monté dans le bus peu avant l’agression, équipé d’une barre d’environ un mètre. L’altercation avec l’employé de la Régie des transports métropolitains (RTM) – le réseau qui officie dans la cité phocéenne – aurait débuté quelques minutes plus tard.
Selon cette même source, les caméras de surveillance montrent que l’agresseur présumé était en train de fumer à l’intérieur du bus lorsque l’échange avec le conducteur a débuté. Le chauffeur se serait arrêté pour lui rappeler le règlement. « Tu vas pas me casser les couilles, je vais descendre en face, il me reste deux taffes », aurait rétorqué le passager. L’homme se serait ensuite rapproché de la cabine du chauffeur et lui aurait donné « deux coups de poing et neuf coups de bâton », selon cette même source.
L’agresseur présumé aurait ensuite pris la fuite en marchant.
Ce vendredi, une enquête a été ouverte afin d’appréhender l’auteur de cette violente agression, a fait savoir la RTM. Il s’agirait d’un individu de 1m85 et d’environ 100 kg. Au moment des faits, il portait un bonnet noir, un gant rouge et noir à la main gauche et un gant beige et blanc à la main droite, indique la même source au Parisien. L’homme serait également barbu.
De son côté, le chauffeur a subi un traumatisme crânien sévère.
Choqués par cette agression, les employés de la RTM ont exercé jeudi soir leur droit de retrait, interrompant la circulation des transports marseillais. Le trafic a repris ce vendredi.
Auteur : Mel_C  
5407/5582

Date :    24-01-2025 21:51:25


U.S.A. - Documents déclassifiés par Trump :

Donald Trump a promulgué, le 23 janvier, un décret exécutif ordonnant la déclassification totale des archives du gouvernement américain sur les assassinats du président John Fitzgerald Kennedy (JFK), en 1963, de son frère le sénateur Robert F. Kennedy, en 1968, ainsi que du leader du mouvement pour les droits civiques, Martin Luther King, la même année.
“Beaucoup de gens attendent ça depuis des années, des décennies”, a déclaré le président américain au moment de signer ce décret dans le Bureau ovale de la Maison-Blanche, ajoutant que “tout sera[it] révélé”, rapporte le quotidien USA Today.
Ces assassinats politiques soulèvent, depuis des décennies, d’innombrables spéculations aux États-Unis. Donald Trump lui-même “a colporté des théories du complot, notamment sur l’assassinat, en 1963, de JFK”, souligne The New York Times. Le quotidien new-yorkais rapporte également que Robert F. Kennedy Jr. – neveu de JFK et fils du sénateur Robert F. Kennedy – nommé par Trump pour diriger le ministère de la Santé, a fait état dans le passé de “preuves accablantes de l’implication de la CIA” dans l’assassinat de son oncle JFK. Il a aussi évoqué des indices “très convaincants” de l’implication supposée de la même CIA dans celui de son père.
Robert Kennedy Jr., qui avait 14 ans lorsque, en juin 1968, son père est mort après s’être fait tirer dessus dans un hôtel de Los Angeles dans la foulée d’un meeting, a notamment déclaré qu’“il pensait qu’un deuxième tireur était impliqué et que l’assassin condamné, Sirhan B. Sirhan, n’était pas celui qui avait tué son père”.
Concernant l’assassinat de JFK, la commission d’enquête officielle avait conclu en 1964 que Lee Harvey Oswald, un ancien marine américain qui avait vécu en Union soviétique, avait agi seul.
Le texte du décret exécutif de Donald Trump stipule que “les familles et le peuple américain méritent la transparence et la vérité”. Et qu’il est “dans l’intérêt national de rendre publiques toutes les archives liées à ces assassinats sans délai”.
Par ce décret, le locataire de la Maison-Blanche ordonne notamment au ministre de la Justice et au directeur du renseignement national de présenter un plan dans les quinze jours “pour la divulgation complète des documents relatifs à l’assassinat du président John F. Kennedy”. Ces mêmes responsables ont quarante-cinq jours pour présenter un plan “pour la divulgation complète et intégrale” des documents relatifs aux assassinats du sénateur Kennedy et de Martin Luther King, poursuit le quotidien new-yorkais.
Auteur : Mel_C  
5408/5582

Date :    24-01-2025 21:54:13


CULTURE - Le musée du Louvre en danger :
Avarie, dégradations… Le Louvre en péril, la présidente du musée tire la sonnette d’alarme. Dans une note confidentielle, révélée mercredi 22 janvier par Le Parisien, la présidente du Louvre alerte sur les dangers qui menacent le plus grand musée d'art du monde.

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