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Faits divers
Auteur : Mel_C  
729/6232

Date :    17-09-2024 16:16:17


TUPPERWARE – Chronique d’une mort annoncée :
Le personnel de Tupperware à Alost ((Flandre-Orientale, Belgique) a réagi mardi avec résignation aux rumeurs de faillite de la maison-mère, connue pour ses contenants alimentaires en plastique. Cela fait plusieurs années que la production au sein de l’usine belge tourne au ralenti, selon des sources syndicales indiquant que l’usine tourne à moins de la moitié de sa capacité de production. Celle-ci emploie 240 personnes.Le personnel ne se préoccupe pas uniquement d’une éventuelle fermeture de l’usine. « Une faillite, c’est le pire pour les travailleurs. Il s’agit de personnes avec une très grande ancienneté. Si l’usine fait faillite, ils devront se contenter de l’allocation du fonds de fermeture d’entreprises (FFE). Ce n’est pas grand-chose, avec un plafond fixé à 30.500 euros brut », a indiqué M. Holtyzer.
Auteur : Mel_C  
730/6232

Date :    17-09-2024 16:19:01


SUISSE :
Les naturalisés doivent bel et bien payer la taxe militaire.S’estimant lésés par un changement de loi, ces hommes naturalisés ont fait recours devant la justice pour ne pas s’acquitter de la taxe militaire. En vain.
Auteur : Mel_C  
731/6232

Date :    17-09-2024 16:21:09


USA - IMPLOSION DU SUBMERSIBLE TITAN / 1 :
Les garde-côtes américains ont commencé lundi à livrer quelques éléments d’enquête sur l’implosion en juin 2023, dans l’Atlantique Nord près de l’épave du Titanic, du submersible Titan, qui avait fait cinq morts.
Ce petit submersible de 6,5 mètres de long, de l’entreprise américaine OceanGate Expeditions, avait plongé le 18 juin 2023 pour aller observer l’épave du Titanic et devait refaire surface sept heures plus tard, mais le contact avait été perdu moins de deux heures après son départ.
Une vaste opération de secours ultra-médiatisée avait été engagée pour sauver les cinq passagers de l’engin, censé disposer de réserves d’oxygène pour environ quatre jours. Mais le submersible avait, peu après sa plongée, été détruit par une «implosion catastrophique» tuant les cinq hommes sur le coup, dont le scientifique français de 77 ans Pierre-Henri Nargeolet, surnommé «M. Titanic».
Les autres personnes décédées à 400 miles au large du Canada sont le patron d’OceanGate Expeditions, Stockton Rush, 61 ans, Shahzada Dawood, homme d’affaires pakistano-britannique de 48 ans et son fils de 19 ans Suleman, ainsi qu’un explorateur britannique de 68 ans, Hamish Harding.
Des «restes humains présumés» avaient été découverts quelques jours après parmi les débris du Titan, par 4000 mètres de fond et à 500 mètres du Titanic, selon les garde-côtes américains qui ont ensuite enquêté pendant 15 mois sur cet accident hors normes.
Auteur : Mel_C  
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Date :    17-09-2024 16:21:35


USA - IMPLOSION DU SUBMERSIBLE TITAN / 2 :
Cette enquête a pour «objectif d’identifier toute preuve d’erreurs matérielles (dans la construction ou le design) qui auraient pu causer l’accident, afin d’en tirer des recommandations adéquates et d’éviter que de tels accidents ne se reproduisent», ont écrit les garde-côtes dans un dossier de presse dimanche.
Ils ont tenu une conférence à Charleston, en Caroline du Sud, à la veille de l’ouverture lundi de deux semaines d’audiences publiques de leur commission d’enquête dans un tribunal de cet État du sud-est. Ce sont des audiences techniques et non un procès pénal ou civil.
D’après le New York Times, qui a assisté aux premiers débats, un ingénieur licencié d’OceanGate en 2019, Tony Nissen, a témoigné qu’il était à l’époque sous pression du patron de l’entreprise, Stockton Rush, pour mentir et affirmer que le submersible était totalement sûr malgré des essais inquiétants.
«Ce sera OK», lui aurait répondu Stockton Rush à propos de la solidité de la coque.
Dans la foulée de l’accident, une polémique avait éclaté sur de possibles négligences d’OceanGate Expeditions, relevées par l’ingénieur Nissen, notamment sur le hublot qui ne pouvait techniquement pas résister à de telles profondeurs.
Auteur : Mel_C  
733/6232

Date :    17-09-2024 16:23:08


SUISSE - Excès de zèle à Fribourg ?
Pour une amende, la police débarque chez lui le soir : Les agents ont sonné à la porte du domicile de Pierre à Domdidier, un jour de semaine à 22 h 15. Ils étaient venus l’arrêter pour une contravention non payée.
Auteur : Mel_C  
734/6232

Date :    17-09-2024 16:26:53


VIOLS DE MAZAN - «Je suis un violeur, comme les coaccusés dans cette salle» / 1 :
«Je suis un violeur, comme ceux qui sont dans cette salle», a affirmé mardi Dominique Pelicot, accusé comme 50 autres hommes de viols sur son ex-femme Gisèle, à qui il a demandé pardon.
«Elle ne méritait pas ça, je le reconnais», a dit depuis le box des accusés le septuagénaire au sujet de son ancienne compagne, dont il a fait la connaissance en 1971 et qu’il est accusé d’avoir droguée pour lui faire subir des viols au domicile familial de Mazan (Vaucluse) durant dix ans.
De retour après près d’une semaine d’absence pour raison de santé, l’accusé principal s’exprimait pour la première fois sur le fond depuis l’ouverture de ce procès emblématique des violences sexuelles et de la soumission chimique à Avignon le 2 septembre.
Gisèle Pelicot, devenue une icône féministe pour avoir accepté que le procès soit public afin que «la honte change de camp», est restée stoïque tout le long de sa prise de parole avant d’elle-même se rendre à la barre pour brièvement témoigner.
«Pas une seule seconde je ne pouvais douter de cet homme» en qui «j’avais toute confiance», a-t-elle expliqué. «J’ai aimé cet homme pendant cinquante ans, je lui aurais donné mes deux mains à couper», a confié cette femme qui a reçu le soutien de milliers de manifestants en France le week-end dernier.
Invité par la Ccour à réagir, Dominique Pelicot a alors dit: «Je suis coupable de ce que j’ai fait. Je prie ma femme, mes enfants, mes petits-enfants, madame M. (ndlr: l’épouse d’un coaccusé que Dominique Pelicot est accusé d’avoir violée), de bien vouloir accepter mes excuses. Je demande pardon, même si ce n’est pas acceptable.»
Auteur : Mel_C  
735/6232

Date :    17-09-2024 16:27:29


VIOLS DE MAZAN - «Je suis un violeur, comme les coaccusés dans cette salle» / 2 :
«Elle était merveilleuse et moi j’étais à côté de la plaque», a-t-il déclaré pendant que Gisèle le fixait, ajoutant: «Je l’ai bien aimée quarante ans et mal aimée dix ans. Je n’aurais jamais dû faire ça. J’ai tout gâché, j’ai tout perdu. Je dois payer.»
Auparavant, il avait détaillé son enfance et deux événements traumatiques qu’il dit avoir subis pendant sa jeunesse: un viol par un infirmier à l’âge de 9 ans, puis, sur un chantier quand il avait 14 ans, où il a selon lui été forcé de participer au viol collectif d’une jeune femme handicapée.
«De ma jeunesse, je ne retiens que des chocs et traumatismes. En 1971, il y a eu cette belle rencontre [avec Gisèle]. C’était trop lourd à porter», a-t-il expliqué d’une voix lente et en sanglotant.
«J’ai tenu quarante ans, j’étais très heureux avec elle, c’était le contraire de ma mère, elle était totalement insoumise. J’avais trois enfants, que je n’ai jamais touchés. Elle ne méritait pas ça, je le reconnais», a-t-il ajouté.
Selon l’enquête, des photos de sa fille et de ses deux belles-filles, prises à leur insu et les montrant pour certaines nues, ont été retrouvées dans son ordinateur.
Auteur : Mel_C  
736/6232

Date :    17-09-2024 16:28:09


VIOLS DE MAZAN - «Je suis un violeur, comme les coaccusés dans cette salle» / 3 :
Dominique Pelicot, qui documentait tous les viols, filmés et photographiés, dans des dossiers classés sur son ordinateur, avait déjà reconnu les faits, commis entre 2011 et 2020, mais il ne s’était encore jamais expliqué en détail depuis l’ouverture du procès.
Sur cet archivage, il a expliqué: «Il y a une part de plaisir, mais également une mesure d’assurance. Aujourd’hui, grâce à ça, on peut retrouver ceux qui ont participé à tout ça». À l’écoute de ces propos, certains accusés dans la salle ont levé les yeux et d’autres affiché des sourires crispés.
Et il a affirmé de nouveau clairement que les 50 hommes jugés à ses côtés, qu’il avait rencontrés par internet, savaient l’état d’inconscience de sa femme Gisèle qu’il droguait avec de puissants anxiolytiques. «Ils savaient tous, ils ne peuvent pas dire le contraire», a déclaré le retraité de 71 ans.
Cinquante hommes âgés de 26 à 74 ans, pompier, infirmier, journaliste, etc. originaires de villes et villages de la région pour la plupart et pour certains en couple, sont jugés dans cette affaire.
Certains nient les accusations de viols et affirment avoir pensé participer à un jeu sexuel d’un couple libertin.
Après avoir été exempté d’audience la semaine dernière, Dominique Pelicot a reçu le feu vert des médecins pour faire son retour mardi devant la Cour criminelle de Vaucluse.
Aidé d’une canne et vêtu d’une veste grise, il est entré lentement dans le box des accusés. Des pauses régulières ont lieu pour lui permettre de suivre désormais les audiences.
Les faits visant M. Pelicot avaient éclaté au grand jour après son interpellation en septembre 2020 en train de filmer sous les jupes de trois femmes dans un centre commercial du sud-est de la France.

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