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Economie, finances, travail, carrière.
Auteur : Aigle 
393/678

Date :    12-02-2025 07:43:08


Le PRIX de l’EAU
augmente partout en France, en raison du changement climatique et de coûts croissants de dépollution
Pour sécuriser l’approvisionnement et garantir la qualité de la ressource, les collectivités doivent interconnecter les réseaux, réparer les fuites et investir dans des techniques de traitement plus coûteuses.
Auteur : Aigle 
394/678

Date :    12-02-2025 07:47:52


Ligue 1
Un conseil d’administration convoqué en urgence à la Ligue de football professionnel,
alors que DAZN MENACE de ne pas payer une partie des droits télévisuels
Le diffuseur doit verser sous peu la quatrième échéance prévue dans le contrat qu’il a conclu, cet été, avec le football français,
mais menace de ne pas le faire, invoquant des conditions d’exploitation difficiles, en partie liées au piratage.
Auteur : Aigle 
395/678

Date :    12-02-2025 07:50:42


PAPREC paie 17,5 millions d’euros
pour sortir d’une procédure mêlant soupçons de corruption, d’entente
et de favoritisme
Le groupe de collecte et traitement de déchets a obtenu une convention judiciaire éteignant les poursuites contre lui dans un dossier de corruption et de favoritisme, dont l’enquête se poursuit.
Auteur : Aigle 
396/678

Date :    13-02-2025 06:25:16


Fraude « CumCum » :
l’intense campagne des banques pour empêcher les parlementaires de corriger la loi
Face aux parlementaires décidés à mettre fin à cette fraude fiscale sophistiquée, dans le cadre du budget 2025, le lobby bancaire a tenté jusqu’au bout de torpiller la mesure.
Petits attangements entreamis ... M Macron n'était-il pas 'dans la Banque' ? ?
Auteur : Aigle 
397/678

Date :    14-02-2025 06:47:46


US A / INDE
Le président américain a annoncé que les Etats-Unis allaient augmenter leurs ventes militaires à l’Inde « à partir de cette année »,
et que Washington allait « ouvrir la voie » à la vente d’avions de combat F-35.
Mais sur les droits de douane, Donald Trump a prévenu :
« Ce que l’Inde nous fait payer, on lui fait payer aussi ! » ... Donc, agissons de même : on lui fera payer ce qu'il nous fait payer ....
Auteur : Mel_C  
398/678

Date :    14-02-2025 13:20:46


POLITIQUE - « Cela ne vous questionne pas ? » :
Éric Woerth à la peine sur les espèces de la campagne Sarkozy ..... Du cash non déclaré a bien circulé pendant la campagne présidentielle de 2007. Son trésorier a expliqué à la barre du procès des financements libyens que l’argent liquide provenait de dons envoyés anonymement par la poste ou déposés furtivement au siège de campagne.
Auteur : Mel_C  
399/678

Date :    14-02-2025 18:44:59


DETTE PUBLIQUE - La Cour des Comptes met en garde contre des dépenses "en roue libre" :

>>> Le budget tout juste adopté, la Cour des comptes a mis en garde sur la trajectoire de réduction du déficit public. Elle doit être respectée sous peine de voir la France durablement décrocher des autres pays européens.

Les dépenses publiques sont à la dérive selon la Cour des comptes. En 2024, le déficit atteint 6% du PIB. Cela représente presque 175 milliards d'euros, soit une quinzaine de Jeux olympiques à Paris avec cet argent. Et la dégradation est de taille. En six ans, le déficit de la France a triplé.

La Cour des comptes se pose la question de l'origine de ce déficit. Car l'an dernier, il n'y avait rien d'anormal pour l'économie française. La France n'était pas en récession, pas de crise majeure. Les cicatrices de la période Covid se sont résorbées, et pourtant, le déficit a filé de 5,5 % du PIB à 6 %. En fait, il y a deux explications. Déjà, plusieurs impôts ont rapporté moins que prévu à l'État. C'est le cas de la TVA et de l'impôt sur les sociétés. Également, il y a trop de dépenses. Les hôpitaux et l'Assurance chômage ont dépassé les limites fixées par leur budget. Mais le problème est surtout structurel. Il faut réduire les dépenses, selon la Cour des comptes.

Sinon, la France risque de se faire taper sur les doigts par la Commission européenne. En fait, en Europe, chaque pays a des objectifs chiffrés de déficit. On doit être au maximum à 3 %. La France est bien au-delà et a été placée en procédure de déficit public excessif. En théorie, elle risque une amende, jamais mise en place dans les faits. Le vrai risque, c'est que dans les prochaines années, on doit consacrer de plus en plus d'argent au remboursement de notre dette. Et le risque est qu'on perde aussi notre crédibilité à l'international, et donc qu'on attire moins d'entreprises et qu'on emprunte plus cher sur les marchés financiers.

La plus grosse crainte est la course par rapport aux voisins européens, notamment vis-à-vis de l'Allemagne, notre plus gros concurrent. Elle a un déficit de 2,5 % du PIB seulement. La France en est loin. Plus globalement, ce qui inquiète, c'est que tous nos voisins européens arrivent à réduire leur déficit après les années de crise Covid, pas la France.
Auteur : Mel_C  
400/678

Date :    14-02-2025 18:47:57


DERAPAGE DU DEFICIT - "On s'est trompé sur tout", estime Pierre Moscovici :

>>> Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-Public Sénat, Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes, a regretté les nombreuses erreurs de prévisions du déficit et propose des solutions pour éviter les mêmes problèmes à l'avenir.

Initialement prévu à 4,4 % du Produit intérieur brut (PIB) à l'automne 2023, le déficit public devrait finalement s'établir à 6,1 %, un chiffre qui sera confirmé fin mars, largement au-dessus des 3 % tolérés par Bruxelles.

"Certaines mauvaises surprises étaient difficiles à prévoir. Incontestablement [...]. Mais il est impossible, je répète, impossible de prétendre en toute conscience que personne ne connaissait la fragilité répétée des prévisions pendant cette période", a estimé Pierre Moscovici, premier président de la Cour des comptes et président du Haut Conseil des finances publiques, devant les députés de la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, mardi 21 janvier.

Invité du Grand Jury RTL-Le Figaro-Public Sénat, Pierre Moscovici, estime que l'on s'est "trompé sur tout en 2023 et 2024. On s'est trompé sur les prévisions macroéconomiques, on s'est trompé sur les prévisions de dépenses, on s'est trompé sur les prévisions de recettes", énumère-t-il.

Pour autant, il refuse d'attaquer une certaine "insincérité" de Bruno Le Maire, alors ministre de l'Économie. "Il n'y a pas eu volonté de tromper", estime-t-il, interrogé sur ses récentes critiques à son encontre, qu'il dit dues "à la qualité des prévisions", poursuit Pierre Moscovici.

Cependant, il regrette que la série d'alertes circonstanciées et précises donnée à chacun des rapports du Haut Conseil des Finances Publiques n'ait pas été écoutée. "Ce que j'ai voulu montrer, c'est que nous avions donné une série d'alertes circonstanciées, précises, à chacun de nos rapports, à chacun de nos avis, qui n'ont pas été écoutés. Nous les faisons. Et après, on dit qu'ils ne sont pas assez forts parce que le gouvernement ne les suit pas."

"C'est pour ça que je fais une proposition très précise : c'est en quelque sorte de soustraire la validation des prévisions macroéconomiques et des finances publiques uniquement à l'administration et aux politiques et de les faire valider en lien avec une institution indépendante qui serait ce Conseil des Finances Publiques", développe le premier président de la Cour des comptes.

Pour lui, il n'existe que deux solutions : "Soit on transfère les prévisions au Conseil des Finances Publiques. Soit, on demande au Conseil des Finances Publiques de valider les prévisions préparées par l'administration et donc d'éviter ce biais qui peut être, effectivement, un biais d'optimisme."

Pierre Moscovici affirme que le plus important est d'avoir "des prévisions réalistes qui soient établies de manière sereine avec un tiers de confiance et de manière indépendante". Il critique notamment "un système qui pousse toujours vers le haut", résultant par un "biais systématique de volontarisme et d'optimisme". "Et après, on a toujours des mauvaises surprises. Les mauvaises surprises, ce sont les Français qui les payent à travers le déficit et la façon de le financer", conclut-il.

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