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Economie, finances, travail, carrière.
Auteur : Aigle  
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Date :    20-01-2025 07:07:28


Stream for Humanity
réunit plus de 3,4 millions d’euros
au profit de Médecins sans frontières

Ce marathon caritatif, organisé durant trois jours sur la plateforme Twitch, a réuni des stars de YouTube comme Squeezie ou Inoxtag.
Les dons doivent permettre d’aider les victimes de conflit armé, notamment en « Palestine, au Congo, au Soudan et au Liban ».
Auteur : Aigle  
482/516

Date :    21-01-2025 07:38:05


La ministre Catherine Vautrin
RELANCE le débat sur les 7 heures de travail supplémentaires non rémunérées pour les salariés
Le gouvernement espère, avec cette mesure dont la gauche ne veut pas entendre parler, générer 2 milliards d’euros de recettes, qui "pourraient" être fléchées vers les dépenses sociales.... et on a l'habiude de les voir finir ailleurs ...!!!
Auteur : Aigle  
483/516

Date :    21-01-2025 07:47:07


Une année noire pour le tissu économique français :
La plupart des secteurs d'activité sont touchés.
Jamais les tribunaux de commerce n'avaient connu une telle affluence en une seule année. Le nombre d'entreprises en situation de défaillance a explosé en 2024 : plus de 67 000 sociétés ont atterri dans les prétoires des juges consulaires dans le cadre de procédures de liquidation, de redressement judiciaire ou de sauvegarde.
plus de 250 000 emplois menacés
Auteur : Aigle  
484/516

Date :    21-01-2025 07:49:25


L'Union européenne
se dit "prête à défendre ses intérêts"
en cas de nouveaux droits de douane introduits par Donald Trump
Juste après avoir prêté serment au Capitole, à Washington, le nouveau président américain a promis d'imposer des "droits de douane et des taxes aux pays étrangers" sans détailler d'éventuelles mesures.

Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:17:18


ECONOMIE - Taxer les "retraités qui le peuvent" pour financer le budget de la Sécu ?
Comment combler le déficit de la Sécurité sociale ? Faire travailler les Français sept heures par an sans être rémunéré serait l’une des pistes sur la table, a confirmé ce mardi, la ministre du Travail et de l’Emploi. Interrogée sur TF1, Astrid Panosyan-Bouvet a estimé que « ces 7 heures devaient financer, dans la proposition du Sénat, la branche autonomie » de la Sécurité sociale.
Mais d’autres pistes peuvent être « regardées » pour contribuer à ce financement, afin que « l’effort ne porte pas que sur les actifs ». « Cela peut porter sur les personnes qui travaillent, mais aussi sur les retraités qui peuvent se le permettre », a indiqué la ministre. En clair, « différentes taxes et cotisations pourraient être envisagées sur les retraités, en fonction de leur niveau de pension », a-t-elle poursuivi.
Qui pourrait être concerné par cet « effort national du financement pour la dépendance et la branche autonomie » ? « Cela peut être 40 % des retraités », a jugé Astrid Panosyan-Bouvet, tout en précisant que ces modalités doivent faire l’objet de discussions avec les parlementaires. « Il faut arrêter de voir les retraités comme un groupe homogène », a-t-elle insisté. « Il y a la solidarité intergénérationnelle, il peut aussi y avoir de la solidarité entre aînés, pour ceux qui peuvent se le permettre ».
Après cette sortie très commentée, l’entourage de la ministre glisse qu’il s’agit « d’une position personnelle », rappelant que « les retraités ne peuvent pas être traités un groupe homogène ».
Selon nos informations, François Bayrou n’a pas appelé Astrid Panosyan-Bouvet, considérant que ses ministres peuvent « mettre des idées sur la place publique ». En coulisses, un conseiller de l’exécutif estime, que « sur le fond elle a raison. La protection sociale ne doit pas seulement peser sur les travailleurs. Quand Wauquiez tope sur les retraités, il considère que les retraités n’est pas un groupe homogène ».
Dans un entretien accordé au Journal du Dimanche, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités, Catherine Vautrin avait par ailleurs évoqué l’idée de faire travailler les Français sept heures par an sans être rémunéré, afin de financer la Sécurité sociale.
Cette mesure provient d’un amendement au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, présenté en novembre dernier par la commission des Affaires sociales du Sénat. Elle avait finalement été retirée du projet par Michel Barnier, avant la censure de son gouvernement.
Décriée à gauche, la proposition avait aussi créé des réticences au sein du camp gouvernemental. Michel Barnier s’était lui-même dit « très réservé sur cette idée ». En plus de la trouver « complexe à mettre en œuvre », l’ex-Premier ministre émettait même des doutes sur ses bienfaits pour le déficit de la Sécu.
Auteur : Mel_C  
486/516

Date :    21-01-2025 22:19:47


POLITIQUE - Travailler 7 heures "gratuitement" par an : qu’est-ce que cette idée du gouvernement ?

La censure avait eu raison d’elle. Deux mois plus tard, Catherine Vautrin a décidé de la remettre au goût du jour. Dans un entretien accordé au JDD dimanche, la ministre du Travail, de la Santé et des Solidarités a de nouveau évoqué l’idée de faire travailler les Français sept heures par an sans être rémunéré, afin de financer la Sécurité sociale. « C’est une piste qui est sur la table », a confirmé la ministre déléguée chargée des comptes publics Amélie de Montchalin sur France 3. On fait le point sur cette proposition, déjà évoquée en novembre dernier et décriée par la gauche.

>>> D’où vient cette proposition ?

Cette idée provient d’un amendement au projet de budget de la Sécurité sociale pour 2025, présenté en novembre dernier par la commission des Affaires sociales du Sénat. La mesure, comparable à la journée de solidarité déjà pratiquée, avait été baptisée « contribution de solidarité par le travail ».
Elle avait finalement été retirée du projet de budget de la Sécurité sociale par Michel Barnier, avant la censure de son gouvernement.

>>> En quoi consiste-t-elle ?

« Les sénateurs, dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale qu’ils ont voté, proposent de travailler sept heures de plus dans l’année, soit dix minutes de plus chaque semaine », rappelle Catherine Vautrin dans le JDD.
« En échange du bénéfice de ces heures de travail non rémunérées », les employeurs verraient le taux de l’actuelle contribution de solidarité pour l’autonomie « passer de 0,3 % à 0,6 % », expliquait par ailleurs la commission des Affaires sociales en novembre dernier. Une contribution des actifs qui permettrait de « générer deux milliards d’euros de recettes », selon la ministre du Travail. Ces dernières pourraient ainsi être « fléchées vers les dépenses sociales. »

>>> Comment pourrait-elle être appliquée pour les travailleurs ?

« En fonction des entreprises, en fonction des branches, ça peut se traduire par une journée » ou bien par un étalement sur l’année, précisait en novembre dernier Philippe Mouiller, président de la commission des Affaires sociales du Sénat. « L’idée, c’est vraiment qu’il y ait un débat avec les partenaires sociaux sur la mise en application du principe », a-t-il précisé.
Un jour férié pourrait alors être supprimé, comme la journée de solidarité, que les entreprises fixent généralement au lundi de Pentecôte. Mais le gouvernement, qui craint que l’idée soit mal reçue, pourrait aussi décider d’éparpiller ces sept heures sous plusieurs formes : 1h40 par mois, dix minutes par semaine, comme évoqué par Catherine Vautrin dans le JDD, ou encore deux minutes par jour.

>>> Comment la proposition avait été reçue ?

Plusieurs personnalités politiques de gauche s’étaient dressées contre cette proposition, François Ruffin la qualifiant par exemple de « scandaleuse ». La mesure avait fait tiquer sur la forme, y compris au sein du camp gouvernemental.
Michel Barnier s’était lui-même dit « très réservé sur cette idée ». En plus de la trouver « complexe à mettre en œuvre », l’ex-Premier ministre émettait même des doutes sur ses bienfaits pour le déficit de la Sécu. « Je ne suis pas sûr qu’elle rapporte ce que certains prétendent », glissait-il.

>>> Et maintenant ?

« C’est une piste qui est sur la table, mais c’est aux parlementaires de voir s’ils veulent avancer ensemble sur ce sujet », a lancé Amélie de Montchalin sur le plateau de France 3 dimanche midi. « Le gouvernement respectera le débat parlementaire à venir sur le sujet », a assuré de son côté Catherine Vautrin dans son entretien au journal hebdomadaire. Les discussions sur cette mesure risquent de revenir dans l’hémicycle.
D’autres pistes peuvent être « regardées » pour contribuer à financer la branche autonomie de la Sécurité sociale, a insisté mardi la ministre du Travail et de l’Emploi, Astrid Panosyan-Bouvet. Ainsi, « différentes taxes et cotisations pourraient être envisagées sur les retraités, en fonction de leur niveau de pension », a-t-elle indiqué. Qui pourrait être concerné par cet effort ? « Ceux qui peuvent se le permettre, cela peut être 40 % des retraités », a-t-elle jugé, tout en précisant que ces modalités doivent faire l’objet de discussions avec les parlementaires.
Auteur : Mel_C  
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Date :    21-01-2025 22:24:51


GROUPE GALERIES LAFAYETTES :

Le groupe Galeries Lafayette prévoit de fermer d’ici la fin de l’année 2025 ses deux magasins à Marseille qui « enregistrent des pertes récurrentes depuis plusieurs années », et promet d’« encourager le reclassement des 145 salariés concernés ».
Les deux magasins sont situés à Centre Bourse et dans le centre commercial Prado, tout près du stade Vélodrome. Leur situation n’est « plus tenable pour ne pas déséquilibrer les performances du reste du réseau français Galeries Lafayette », dit le groupe dans un communiqué publié mardi. L’enseigne basée boulevard Haussmann à Paris compte 57 magasins en France, dont 19 détenus en propre.

..... Et pourtant, l’enseigne emblématique des centres-villes, Galeries Lafayette, a choisi La Coupole de Nîmes pour y implanter son nouveau magasin, poursuivant une collaboration fructueuse avec Socri Limited (qui gère la Coupole des Halles) et le groupe Planet Indigo, initiée par la reprise du magasin Galeries Lafayette à Béziers en 2016 et consolidée en 2022 avec la reprise du magasin Galeries Lafayette en Avignon !!!.....
Auteur : Mel_C  
488/516

Date :    21-01-2025 22:38:12


WEF - À Davos, la Commission Européenne tend la main à la Chine :
Face au retour de Donald Trump, la présidente de la Commission européenne a affiché mardi à Davos sa volonté de coopérer avec de nouveaux alliés, tendant notamment la main à la Chine qui a mis en garde contre des guerres commerciales ne faisant «pas de vainqueur».
«Nous nous montrerons pragmatiques» vis-à-vis de la nouvelle administration américaine, «mais nous ne renoncerons pas à nos principes» et veillerons à «protéger nos intérêts», a déclaré Ursula von der Leyen, qui tenait l’un des discours d’ouverture à la réunion annuelle du Forum économique mondial en Suisse.
Elle n’a pas cité nommément Donald Trump, qui doit intervenir jeudi en visioconférence à Davos, pas plus que le vice-Premier ministre chinois Ding Xuexiang qui lui a succédé à la tribune. Mais elle a notamment pris la défense de l’accord de Paris sur le climat, qui «demeure le meilleur espoir de l’humanité toute entière».
Tout juste de retour à la Maison-Blanche, Donald Trump a enclenché la sortie des États-Unis de cet accord, remettant en péril les efforts mondiaux pour ralentir le réchauffement de la planète.
En attendant de savoir comment évolue la relation avec M. Trump, Ursula von der Leyen a annoncé la couleur: «l’Europe continuera à prôner la coopération, pas seulement avec nos amis de longue date (...) mais aussi avec tous les pays avec qui nous avons des intérêts communs.»
«Le message que nous adressons au reste du monde est simple: nous sommes prêts à engager un dialogue avec vous si cela peut conduire à des avantages réciproques», a-t-elle encore souligné.
Elle a en particulier annoncé un voyage en Inde, et assuré que l’UE était prête à «tendre la main» à la Chine et «approfondir» sa relation avec Pékin.
Après elle, le chancelier allemand Olaf Scholz a appelé à «défendre le libre-échange», «fondement de prospérité», contre le principe de «l’isolement» commercial».
Ding Xuexiang n’a pas directement répondu aux propositions d’Ursula von der Leyen. Mais dans son discours, il a défendu le multilatéralisme, appelant à «résoudre les disputes et les différends par le dialogue».
«Le protectionnisme ne mène nulle part, et il n’y a pas de vainqueur dans les guerres commerciales», a-t-il affirmé.
Des guerres commerciales dans lesquelles Donald Trump a ouvert un nouveau front lundi en promettant des surtaxes «de l’ordre de 25%» pour les produits mexicains et canadiens, précisant qu’il pensait à une entrée en vigueur au 1ᵉʳ février.
M. Trump avait envisagé pendant la campagne d’appliquer aux Chinois des droits de douane de 60%, voire davantage. Il a toutefois dit lundi qu’il n’était pas «encore prêt» à prendre de telles dispositions et qu’il échangerait avec le président chinois Xi Jinping.
Les relations commerciales sont aussi tendues entre l’UE et la Chine, la dernière emblématique ayant été l’an dernier l’imposition par Bruxelles de surtaxes sur les voitures fabriquées en Chine.
Si l’Europe et la Chine sont parmi ceux qui ont le plus à perdre face à la politique isolationniste proclamée par Trump, son positionnement sur la scène internationale aura aussi un impact important pour l’Ukraine qui s’approche de trois ans de guerre avec la Russie.
Alors que Washington fournit un soutien militaire et économique vital à Kiev, Donald Trump a critiqué cette aide et promis de résoudre rapidement le conflit. Mais le gouvernement ukrainien craint d’être forcé à des concessions majeures.
«Nous avons besoin d’une politique européenne de sécurité et de défense unie», a martelé le président ukrainien Volodymyr Zelensky à Davos mardi, affirmant que «l’Europe doit savoir se défendre seule», et tout en qualifiant les États-Unis d'«allié indispensable».
Interrogé en marge du forum par des journalistes, M. Zelensly a affirmé par l’intermédiaire d’un interprète que Kiev et Washington travaillaient à une réunion avec Donald Trump, mais «pour l’instant nous n’avons pas de date».
Les conflits au Moyen-Orient, à l’heure où une trêve vient d’entrer en vigueur à Gaza, ont aussi été abordés par Premier ministre qatari Mohammed ben Abdelrahmane al-Thani déclarant qu’Israël et le Hamas devraient faire preuve de «bonne foi» pour une paix durable, au troisième jour d’une trêve fragile dans la bande de Gaza.

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