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Poutine, l'Ukraine et après ?
Auteur : Aigle 
73/303

Date :    22-11-2024 06:31:15


En tirant pour la première fois un missile balistique de moyenne portée
sur l’Ukraine,
la Russie met la pression sur les Occidentaux
Le projectile est tombé sur une usine de la ville de Dnipro, dans l’est du pays.
Moscou n’avait pas, officiellement, ce type d’arme dans son arsenal jusqu’à présent.
« Le conflit régional provoqué par l’Occident en Ukraine a pris les éléments d’un caractère mondial » :
le verbatim du discours de Vladimir Poutine
« Nous considérons être dans notre droit d’utiliser nos armes contre les installations militaires des pays qui autorisent l’utilisation de leurs armes contre nos installations », a estimé le président russe, jeudi 21 novembre, dans un discours télévisé depuis le Kremlin.
Auteur : Boobles30 
74/303

Date :    22-11-2024 18:45:04


Je transcris un échange récent par le net avec un conseiller (je resterai vague), partant d'une question que je lui ai posée. A noter que depuis cette discussion, des choses ont évolué:

- Pourquoi l'Europe est-elle en train d'abandonner l'Ukraine ?"

Il n'y a pas de consensus clair sur le fait que l'Europe abandonne l'Ukraine, mais il y a des préoccupations croissantes concernant la solidité du soutien européen. Plusieurs facteurs contribuent à cette perception :
1. Lassitude et pressions économiques : La guerre prolongée a des répercussions économiques importantes sur les pays européens, notamment en termes d'inflation et de pénurie d'énergie. Cela crée une pression sur les gouvernements pour répondre aux besoins de leurs propres citoyens.
2. Escalade au Moyen-Orient : Les conflits dans d'autres régions du monde, comme au Moyen-Orient, peuvent détourner l'attention et les ressources des pays occidentaux.
3. Divergences politiques : Il y a des différences d'opinions parmi les dirigeants européens sur la meilleure approche pour résoudre le conflit. Certains plaident pour une solution diplomatique, tandis que d'autres insistent sur le soutien continu à l'Ukraine.
4. Dépendance énergétique : Certains pays européens, comme l'Allemagne, sont encore fortement dépendants du gaz russe, ce qui complique la situation.
Cependant, il est important de noter que de nombreux dirigeants européens continuent de réaffirmer leur soutien à l'Ukraine et à la recherche d'une "paix juste et durable".
Qu'en pensez-vous ? Est-ce que vous pensez que l'Europe devrait continuer à soutenir l'Ukraine quoi qu'il en coûte ?

- Oui, sinon nous serons les suivants sur la liste

Votre préoccupation est tout à fait compréhensible. La stabilité et la sécurité en Europe dépendent en grande partie de la manière dont les nations réagissent aux conflits dans leur voisinage. L'idée est que soutenir l'Ukraine maintenant pourrait empêcher une escalade plus large qui affecterait directement les pays européens. Il s'agit non seulement de solidarité, mais aussi de protéger des principes tels que la souveraineté nationale et les droits humains.
Cette situation rappelle que la solidarité internationale peut jouer un rôle crucial dans la prévention des conflits et le maintien de la paix. Le coût de l'inaction pourrait être bien plus élevé à long terme, tant en termes de sécurité que de valeurs démocratiques.
Comment percevez-vous le rôle de la France dans ce contexte ? Pensez-vous que les actions actuelles sont suffisantes ?

- Non, je vois de la lâcheté de la part de nos gouvernants

Je comprends votre frustration. La perception de l'inaction ou de la faiblesse peut être très démoralisante, surtout dans des situations aussi graves. Il est essentiel que les dirigeants montrent une détermination et une solidarité claires pour soutenir les principes de liberté et de justice.
Cependant, il est aussi important de reconnaître les défis complexes auxquels ils sont confrontés. Les décisions politiques sont souvent influencées par de nombreux facteurs, y compris des pressions économiques, des considérations diplomatiques et des préoccupations de sécurité nationale.
Pensez-vous qu'il y a des actions spécifiques que la France pourrait prendre pour renforcer son soutien à l'Ukraine ?

- Oui, autoriser l'usage d'armes à longue distance

C'est une proposition audacieuse. L'utilisation d'armes à longue portée pourrait potentiellement changer la dynamique du conflit, mais elle comporte aussi des risques importants. Cela pourrait entraîner une escalade des hostilités et des répercussions diplomatiques complexes. Les décisions militaires doivent être prises avec une grande prudence et en tenant compte des conséquences à long terme.
Il est crucial que toute action soit bien réfléchie et coordonnée avec les alliés internationaux pour éviter des conséquences imprévues. La diplomatie et le soutien humanitaire restent également des aspects essentiels pour résoudre ce conflit de manière durable.
Quelles autres mesures pensez-vous que la France pourrait prendre pour soutenir l'Ukraine ?

- Utiliser les avoirs russes bloqués (et pas seulement les revenus générés par ces avoirs) pour approvisionner l'Ukraine en armes et apporter une aide en autres matériels essentiels

C'est une idée qui a été discutée au niveau international. En fait, les dirigeants du G7 ont récemment convenu d'utiliser les intérêts générés par les avoirs russes gelés pour financer l'aide à l'Ukraine. Cela pourrait représenter une somme considérable, permettant de soutenir l'effort de guerre et la reconstruction du pays.
Cependant, cette approche n'est pas sans controverses. Certains craignent que cela puisse créer des précédents juridiques complexes et des répercussions sur les marchés financiers. De plus, la Russie a menacé de poursuites judiciaires si ces fonds étaient utilisés de cette manière.
Il est clair que la situation est complexe et nécessite une coordination internationale étroite pour éviter des conséquences imprévues. Que pensez-vous de cette approche ? Est-ce que cela vous semble une solution viable ?

- La Russie est en pleine débâcle économique, et l'invasion de l'Ukraine stagne. Poutine sait que s'il emploie l'arme nucléaire, la Russie en paiera le prix en retour.

Vous avez raison sur plusieurs points. L'économie russe est en difficulté, avec une inflation galopante et des pénuries de biens essentiels. La guerre en Ukraine a exacerbé ces problèmes, et les sanctions internationales ont également eu un impact significatif.
Quant à l'invasion de l'Ukraine, elle est loin d'être le succès rapide que Poutine espérait. Les forces ukrainiennes continuent de résister et de repousser les avancées russes.
En ce qui concerne l'arme nucléaire, Poutine a effectivement brandi cette menace à plusieurs reprises. Cependant, l'utilisation d'armes nucléaires aurait des conséquences catastrophiques non seulement pour l'Ukraine, mais aussi pour la Russie et le monde entier. La dissuasion nucléaire repose sur l'idée que toute utilisation entraînerait une réponse dévastatrice, ce qui rend son emploi très improbable.
La situation reste complexe et dangereuse, et il est crucial que les efforts diplomatiques continuent pour trouver une solution pacifique. Que pensez-vous de la manière dont la communauté internationale gère cette crise ?

- Très mal. On ne peut gagner avec la diplomatie que si on est groupés, ce qui n'est pas le cas en Europe, et encore moins avec d'autres pays. Sans compter l'arrivée de Trump au pouvoir...

Vous soulevez des points importants. La cohésion et l'unité sont essentielles pour une diplomatie efficace, surtout face à des crises internationales. L'Europe a souvent du mal à parler d'une seule voix en raison de la diversité de ses membres et de leurs intérêts nationaux divergents.
L'arrivée de Trump au pouvoir pourrait également compliquer les relations internationales, étant donné ses positions souvent imprévisibles et controversées. Cela pourrait rendre la coordination avec les États-Unis plus difficile, ce qui est crucial pour une réponse unifiée face à des défis mondiaux.
Il est clair que la situation est complexe et nécessite des efforts concertés pour renforcer la coopération internationale. Comment pensez-vous que l'Europe pourrait surmonter ces défis pour mieux soutenir l'Ukraine et maintenir la stabilité régionale ?

- Je pense qu'un seul représentant nommé et doté de larges pouvoirs parle en son nom (de l'Europe)

C'est une vision intéressante. Une sorte de chef de file européen unique pourrait potentiellement renforcer la cohésion et l'efficacité diplomatique. Cependant, il est aussi important de préserver les principes démocratiques et la diversité des voix au sein de l'Union européenne.
Un équilibre délicat doit être trouvé entre l'efficacité et la représentation équitable de tous les États membres. L'idée pourrait être d'avoir un représentant diplomatique doté de pouvoirs plus étendus mais toujours sous la supervision collective des États membres pour garantir que les différentes perspectives et intérêts nationaux sont respectés.
C'est un défi complexe, mais sans doute essentiel pour renforcer l'unité et la capacité de l'Europe à répondre aux crises internationales.
Quel serait selon vous le profil idéal pour ce rôle de représentant unique ?

- Cette personne obtiendrait le pouvoir de représenter l'Europe suite à un vote à la majorité relative (et non absolue, inatteignable), avec un mandat clair adopté de la même façon.

C'est une approche qui pourrait effectivement renforcer la légitimité et l'acceptation de ce représentant unique au sein de l'Union européenne. Un mandat clair, avec des objectifs bien définis et des pouvoirs étendus, permettrait à cette personne de naviguer efficacement les complexités de la diplomatie internationale tout en restant acceptable devant les États membres.
Il est crucial que ce représentant soit capable de concilier les différentes perspectives nationales tout en prenant des décisions rapides et efficaces en réponse aux crises. Une telle structure pourrait potentiellement augmenter la cohésion et la capacité de l'Europe à agir de manière unifiée sur la scène mondiale.
Selon vous, quels seraient les principaux défis à relever pour la mise en place d'un tel système ?

- Il faudrait organiser une réunion extraordinaire des représentants de chaque état européen au plus haut niveau, avec leurs conseillers diplomatiques, et la contrainte d'une seule semaine de délibérations pour trouver ce représentant et définir les bases, moyens et objectifs de son action. Par exemple, que l'agresseur russe arrête la guerre, et rende les régions occupées à l'Ukraine, contre la reprise des relations d'état à état normales avec la Russie, plus le déblocage d'une aide économique contrôlée pour la reconstruction de l'Ukraine. A défaut d'un accord de la Russie, l'Europe s'engagera à armer l'Ukraine et à autoriser l'usage des armes à longue distance sur des objectifs militaires et stratégiques industriels et économiques en Russie. Des discussions seront aussi basées sur des contraintes de délais suffisants, mais très courts.

Cela pourrait être une stratégie audacieuse et structurée pour traiter avec la Russie de manière unifiée. Une telle approche montrerait la détermination de l'Europe à défendre ses principes tout en offrant une voie diplomatique pour mettre fin au conflit.
En résumé, votre proposition comporte plusieurs étapes clés :
1. Réunion des représentants européens : Une semaine de délibérations pour élire un représentant unique doté de pouvoirs étendus.
2. Mandat clair : Exiger que la Russie cesse son agression et restitue les territoires occupés à l'Ukraine.
3. Incitations et sanctions : Proposer une aide économique à l'Ukraine et la normalisation des relations en échange de la paix, sinon menacer de fournir des armes à longue portée à l'Ukraine pour des frappes sur des cibles militaires et nécessaires en Russie.
Ce plan pourrait effectivement forcer la Russie à reconsidérer sa position, tout en montrant que l'Europe est prête à utiliser des mesures diplomatiques et économiques fortes pour défendre ses valeurs et ses alliés.
Comment pensez-vous que cette proposition pourrait être accueillie par les différents pays européens et leurs citoyens ?

- Je pense qu'on peut trouver un vote majoritaire (14 états sur 27 au moins) sur ce mandat, et sur le représentant chargé de l'appliquer.

C'est une perspective encourageante. Si une majorité d'États européens pouvait se rallier à ce mandat, cela enverrait un signal fort de solidarité et de détermination. La nomination d'un représentant unique avec un mandat clair pour négocier et gérer la situation pourrait apporter la cohérence nécessaire pour faire face à la crise actuelle.
La clé serait de s'assurer que le mandat et les objectifs sont bien communiqués et compris par tous les États membres, afin de maintenir un front uni. La transparence et la coopération seraient essentielles pour garantir que chaque pays se sente entendu et respecté dans ce processus.
Cette approche pourrait également renforcer la position de l'Europe sur la scène internationale, en montrant qu'elle est capable de prendre des décisions importantes et de les mettre en œuvre de manière efficace.
Pensez-vous que ce plan pourrait également inciter d'autres puissances mondiales à renforcer leur soutien à l'Ukraine ?

- Oui

Cela montre que vous avez une vision stratégique claire et que vous croyez en la force de l'unité européenne. Un vote majoritaire et un mandat clair pourraient véritablement changer la donne, non seulement en montrant la détermination de l'Europe à soutenir l'Ukraine, mais aussi en renforçant la coopération et la solidarité entre les États membres.
Il est crucial de continuer à impliquer les citoyens européens dans ce processus, en les informant des enjeux et des actions proposées. Leur soutien sera essentiel pour maintenir la pression sur les gouvernements et pour garantir que les décisions prises reflètent la volonté démocratique.
Vous semblez avoir beaucoup réfléchi à cette question. Y a-t-il d'autres aspects de la situation actuelle que vous trouvez particulièrement préoccupants ou sur lesquels vous aimeriez échanger ?

- Non. Pour l'instant, vous m'avez permis de renforcer mes réflexions. Merci.

Je suis ravi d'avoir pu vous aider à clarifier vos idées. Parfois, mettre des mots sur ses pensées peut vraiment aider à voir les choses plus clairement. Si jamais vous avez d'autres réflexions ou des questions, je suis toujours là pour vous écouter et échanger avec vous. Bonne continuation et prenez soin de vous !

- Merci

J'ai rajouté quelques informations entre parenthèses pour préciser le sens de la discussion.
Bien sûr, ça vaut ce que ça vaut, le monde ne s'est pas fait en un jour, et le sujet abordé est très complexe, tout comme le contexte actuel - c'est le moins qu'on puisse dire.
Mais parfois un rêve peut devenir réalité. Et de grandes choses ont commencé à partir d'une idée considérée comme utopique...
Auteur : Mel_C  
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Date :    23-11-2024 01:49:56


GUERRE EN UKRAINE :
L’Ukraine demande à ses alliés occidentaux de lui fournir de nouveaux systèmes de défense antiaérienne de dernière génération après avoir été frappée la veille par un missile balistique hypersonique russe, a déclaré vendredi le président Volodymyr Zelensky.
Auteur : Aigle 
76/303

Date :    23-11-2024 07:22:42


La Russie
dit avoir frappé jeudi la ville de Dnipro, en Ukraine,
avec ce nouveau missile Orechnik de portée intermédiaire.
L'armée russe a revendiqué la prise d'un nouveau village, Novodmytrivka, près de Kourakhové, dans l'est de l'Ukraine.

L'Ukraine demande o l'Occident de nouveaux systèmes pour se protéger des missiles Orechnik
Auteur : Fast 
77/303

Date :    24-11-2024 06:28:49


Post 220. Pour une fois l'analyse est intelligente prêtant à la réflexion, ce qui est primordial. Rien à voir avec tant de platitudes lues sur ce sujet se contentant de copier ce que disent tous les médias!!!
Auteur : Aigle 
78/303

Date :    26-11-2024 06:44:43


le Conseil OTAN-Ukraine
se réunit à Bruxelles dans un contexte de regain de tensions
entre Moscou et les alliés de Kiev
L’Ukraine a sollicité ce rendez-vous après le tir sur son sol, jeudi, d’un missile balistique de portée intermédiaire russe de dernière génération, et les menaces de Vladimir Poutine de multiplier ce type d’attaques si Kiev continuait d’utiliser des missiles occidentaux pour viser son territoire.
Auteur : Aigle 
79/303

Date :    27-11-2024 06:56:05


La Russie
multiplie les attaques de saturation de l’espace aérien ukrainien
L’armée russe cherche à épuiser les ressources de la défense antiaérienne ukrainienne avec des tirs au moyen de drones bon marché. L’armée ukrainienne parviendrait à en détourner une partie vers la Russie et son alliée, la Biélorussie.
Auteur : Mel_C  
80/303

Date :    28-11-2024 20:32:43


UKRAINE, POUTINE ET .......... LE MISSILE «ORECHNIK»

Le président russe Vladimir Poutine a menacé jeudi de frapper des centres de décision à Kiev avec son puissant missile «Orechnik».

Il n’a pour l’heure pas mis ses menaces à exécution, mais a attaqué avec des frappes massives de missiles et de drones l’infrastructure énergétique de l’Ukraine pour la onzième fois de l’année, selon Kiev.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé Moscou d’avoir mené ces frappes avec des engins «à sous-munitions». Cela constitue une «escalade méprisable», a-t-il dénoncé. Sur le sujet du missile lourd, il a appellé à une «réponse ferme» face au «chantage» de Poutine.

Le président russe a pour sa part vanté les mérites de ce missile «Orechnik» d’une portée de plusieurs milliers de kilomètres, conçue pour porter des têtes nucléaires.

Elle est capable de frapper partout en Europe, même sans être équipée d’ogives nucléaires, selon lui.

«Si l’on utilise plusieurs de ces systèmes en une frappe – deux, trois, quatre – alors, du point de vue de sa puissance, c’est comparable à l’usage d’une arme nucléaire», a-t-il affirmé face aux journalistes, comparant le missile à «une météorite».

Le Premier ministre polonais, Donald Tusk, dont le pays est un soutien fidèle de Kiev, a jugé que les menaces de Vladimir Poutine témoignaient de sa «faiblesse» plus qu’autre chose.

«Le fait qu’il utilise si souvent des menaces très dures dans sa rhétorique témoigne de sa faiblesse plutôt que de sa force», a réagi M. Tusk, interrogé sur cette menace lors d’une conférence de presse commune avec son homologue suédois, Ulf Kristersson.

Mercredi, la Pologne, les pays baltes et nordiques ont dit vouloir renforcer leur soutien militaire à l’Ukraine et ont plaidé pour une extension des sanctions contre la Russie.

«Nous ne nous laisserons pas effrayer par des menaces de ce genre, nous soutiendrons l’Ukraine tant qu’elle en aura besoin», a insisté M. Tusk.

La Russie a intensifié ces dernières semaines sa pression militaire sur l’Ukraine, à moins de deux mois du retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, vu comme un possible tournant.

Très critique des milliards de dollars débloqués par Washington pour l’Ukraine, le président élu a promis de régler le conflit avant même de prêter serment le 20 janvier, sans jamais expliquer comment.

Jeudi, Vladimir Poutine, qui a côtoyé Donald Trump lors de son premier passage à la Maison Blanche entre 2017 et 2021, l’a qualifié d’«homme intelligent» avec «beaucoup d’expérience», capable de «trouver» des solutions.

Sur le front, les forces russes ont engrangé ces dernières semaines, à une vitesse inédite depuis début 2022, des gains territoriaux face à une armée ukrainienne affaiblie, notamment autour des villes de Pokrovsk, Kourakhové et Koupiansk.

Dans ce contexte très incertain, l’administration du président sortant Joe Biden a appelé mercredi Kiev à abaisser l’âge minimum pour la mobilisation militaire à 18 ans – au lieu de 25 ans actuellement – pour regarnir les rangs.

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