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Instruments de musique
Auteur : Mel_C  
65/88

Date :    12-12-2024 21:01:01


Vuvuzela

La vuvuzela est une corne d'environ 70 centimètres de long, popularisée dans les années 1990 par les supporters des deux clubs de football de Soweto en Afrique du Sud : les Kaizer Chiefs (équipés du modèle jaune) et les Orlando Pirates (équipés du modèle noir et blanc). Elle a acquis une renommée internationale lors de la Coupe des Confédérations 2009 et est omniprésente lors de la Coupe du Monde de Football de 2010, organisées toutes les deux par l'Afrique du Sud, et devenant un symbole de la Coupe du monde 2010, en même temps qu'un sujet de controverses à cause du bourdonnement incessant qu'elle génère pendant les matchs et leur retransmission.
L'étymologie du nom est imprécise, soit du mot zoulou pour « faire du bruit », soit d'une onomatopée (« vou-vou ») imitant le son produit.
Fabriquée à l'origine en étain, la vuvuzela est apparue en Afrique du Sud dans les années 1960 ; en 2001, l'entreprise sud-africaine Masincedane Sport a commencé à commercialiser des modèles en matière plastique.
Bien que n'ayant pas été conçue en tant qu'instrument de musique à la base, la vuvuzela a une fondamentale en si bémol et peut parfois être utilisée comme un instrument de musique, notamment avec la technique du call and response, c'est-à-dire avec des instruments qui se répondent. Elle peut être intégrée à une fanfare. Il existe même un orchestre composé de 60 vuvuzelas regroupées par groupe de dix.
Sa pratique nécessite un souffle puissant qui permet d'émettre un son monotone qui s'apparente à celui d'une corne de brume, d'un barrissement d'éléphant ou d'un bourdonnement d'essaim d'abeilles.
Au Québec, cet instrument a fait sa première apparition au Carnaval de Québec en 1968, comme on peut le voir par exemple dans le film Les Canots de glace, de Jean-Claude Labrecque. Lors des commentaires sur la vuvuzela lors du Coupe du monde de football de 2010, certains Québécois prétendirent que cet instrument n'était pas nouveau, et que ce n'était qu'une trompette de carnaval.
Néanmoins son utilisation a suscité la controverse et est proscrite dans certains stades (notamment dans le championnat de France), car son son assourdissant aurait tendance à perturber les joueurs et les entraîneurs. De même, le son de cet instrument est tellement fort qu'il peut provoquer des troubles auditifs chez la personne qui y est exposée durablement.
La FIFA envisageait d'interdire son utilisation pour les grandes rencontres internationales, mais la South African Football Association (SAFA) a défendu son utilisation comme une composante essentielle de l'ambiance dans les stades. La FIFA a finalement accepté l'argument en juillet 2008, permettant son utilisation pour la Coupe des Confédérations 2009 et la Coupe du Monde de Football de 2010 au nom de la « culture du bruit ». Outre que le règlement de la FIFA ne permet d'interdire que les objets pouvant servir d'armes, un des arguments a été de considérer que la vuvuzela est une coutume locale des supporters. Il a donc simplement été demandé à ces derniers de ne pas utiliser les vuvuzelas pendant les cérémonies, les hymnes et les discours.
Vendues aux alentours de 150 rands (environ 15 euros) aux abords des stades et de 3 euros dans les marchés, les vuvuzelas ont été accusées, selon une étude publiée avant la Coupe du monde par le fabricant de prothèses auditives Phonak, d'être la cause de l'événement sportif le plus bruyant de l'histoire, ce qui aurait entraîné une rupture de stock chez les commerçants vendeurs de bouchons d'oreilles achetés en grand nombre par les spectateurs.
Sur le plan sportif, le bruit des vuvuzelas rend très difficile la communication vocale entre les joueurs ou avec leur entraîneur, ce dernier pouvant néanmoins bien sûr communiquer par gestes.
L'usage de la vuvuzela a entraîné des modifications dans les dispositifs habituels entourant la Coupe du monde : ainsi, certains journalistes et commentateurs sportifs ont été équipés de microphones spéciaux censés atténuer le vacarme, ou sont équipés de casques utilisés pour les retransmissions de formule 1. Une chaîne de télévision française a mis en place un filtrage du son des vuvuzelas afin d'améliorer le confort des téléspectateurs tout en conservant l'ambiance sonore générale du stade. De même, des modèles de vuvuzelas moins bruyants ont été proposés par les fabricants afin d'atténuer le bruit de 20 Db.
Du côté du public, on assiste de plus en plus aux port de casque antibruit, qui sont vendus depuis à proximité des stades. Un tutoriel pour atténuer les tonalités de l'instrument sur ordinateur a été publié.
Les vuvuzelas sont par la suite présentes lors des CAN 2017, 2019, 2021 et 2023

W
Auteur : Mel_C  
66/88

Date :    14-12-2024 00:19:53


Wankara

Le wankara est un instrument de musique andin qui fait partie de la famille des percussions membranophones. C'est une sorte de grand tambour plus large que haut au contraire de son voisin le bombo.

X
Auteur : Boobles30 
67/88

Date :    06-01-2025 13:45:06


Xaphoon *
* Instrument à vent à anche simple en bambou. Inventé dans les années 1970 par un facteur amateur, Brian Wittman, le Xaphoon organique est fabriqué artisanalement à Hawaii.

Y
Auteur : Mel_C  
68/88

Date :    06-01-2025 22:03:56


Yangqin (*)

(*) Le yangqin (chinois simplifié : 扬琴 ; chinois traditionnel : 揚琴 ; pinyin : yángqín ; Wade : yang ch'in, [réf. nécessaire] ou 洋琴, yángqín, « instrument de musique à corde étranger », translittéré en yōkin en japonais), également tympanon chinois en français, est un instrument de musique chinois à cordes frappées, faisant partie de la famille des cithares sur table.
Cet instrument existe également dans différents pays voisins, comme le yochin de Mongolie, le yaukin (夜雨琴 de Ryukyu, le rgyud-mang tibétain, le yanggum de Corée, le khim de Thaïlande et du Laos, le khom du Cambodge, le đàn tam thập lục du Viêt Nam et le tchang d'Ouzbékistan.
Il ressemble au tympanon médiéval français.
Il s'agit certainement d'un descendant du santûr ou du salterio. Il est possible qu'il ait été discrètement introduit par la route de la soie et le Turkestan par les Ouïghours, tout comme il est possible que les missionnaires (Matteo Ricci en 1581 ?) l'aient apporté en Chine par mer au XVIe siècle, à la fin de la dynastie Ming, à Canton, d'où il s'est propagé très vite. On peut aussi penser qu'il est arrivé par la Russie, en partant d'Europe de l'Est. D'autres enfin imaginent une origine nationale.
Comme ses ancêtres occidentaux, le yangqin est une cithare à la caisse de résonance trapézoïdale avec ses chevilles d'accord sur le dessus, dont les centaines de cordes (jusqu'à 242) sont frappées manuellement au moyen de marteaux. Il est similaire au cymbalum ou au hackbrett par sa taille, sa variété de chevalets (joués des deux côtés) et la position des fixations des cordes et des chevilles, mais il en diffère par sa caisse bombée, stylisée, laquée, et ses marteaux en bambou.
L'instrument est toutefois fort différent des autres cithares orientales (guzheng ou koto, où les cordes sont pincées) qui ont toutes des chevalets amovibles très hauts et des cordes simples, en soie, peu tendues afin de pouvoir exercer une pression sur elles.

Z

Auteur : Mel_C  
69/88

Date :    10-01-2025 22:26:55


Zampogna (*)

(*) La zampogna est un antique instrument de musique de la famille des cornemuses dont l'usage est encore répandu en Italie. Le terme désigne tout autant une cornemuse particulière qu'une famille de cornemuses ayant indifféremment une anche simple ou double. Son nom dérive probablement du grec symphonia (symphonie, en italien sinfonia) qui, d'un point de vue purement étymologique, désigne des sons émis simultanément. Sa polyphonie continue s'entend en Italie centrale, méridionale, en Calabre et en Sicile.
Elle mesure environ 120 cm de long et a la particularité d'avoir deux tuyaux coniques de jeu mélodique (chanter) et entre un et quatre tuyaux de bourdon (note fixe), le tout étant raccordé à un morceau de bois avant d'être accolé à un sac en peau servant de réservoir d'air. Le sac (outre) est réalisé en peau de chèvre, de chevreau ou de brebis (utricolo) tannée (on peut la trouver remplacée aujourd'hui remplacée par une chambre à air en caoutchouc), dans laquelle le joueur (suonatore) souffle de l'air à travers un insufflateur (cannetta ou soffietto) qui met en vibration les anches, traditionnellement réalisées en roseaux, fixées sur les deux tuyaux mélodiques, celui de droite jouant la mélodie, celui de gauche l'accompagnement, et sur les bourdons dits basso et scantillo.
Malgré son suréquipement, le son est doux et mélodieux. Elle se joue en solo ou en duo avec un tamburello, un organetto ou un hautbois, ou en trio ou encore en bandas. La vocation pastorale des suonatori (sonneurs) s'est peu à peu estompée au profit de l'accompagnement des danses et des fêtes de Noël. On la retrouve au sein de l'office religieux où elle accompagne la voix.

A
Auteur : Mel_C  
70/88

Date :    13-01-2025 22:10:00


Angklung (*)

(*) L’angklung est à la fois un instrument de musique en bambou et un ensemble de musiciens l'utilisant. Il s'agit d'un hochet complexe d'Indonésie populaire dans toute l’Asie du Sud-Est.

Il se retrouve au sein du gamelan angklung ou angklung klentangan. Ces gamelans populaires sont destinés aux rites funéraires joués avec 18 musiciens. Seules des variations d'accords différencient les instruments selon les pays d'origine.

« L’Angklung indonésien » a été inscrit en 2010 par l'UNESCO sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité. on peut jouer de l'angklung sous forme d'orchestre ou en musique traditionnelle ou encore sous forme de musique temporelle (actuelle) et il peut être sous plusieurs formes.

On obtient de la musique de l'angklung en le secouant, faisant ainsi claquer les résonateurs de bambou sur les montants. Chaque instrument produit ainsi deux ou trois notes. Il est souvent disposé en série croissante si bien qu'au lieu d'avoir un ou deux instruments par musicien, ce dernier pourra en manipuler plusieurs dizaines. Généralement, trois personnes ou plus ont un angklung dans leurs mains, qui produisent des sons sur différents tons. De cette façon, il est possible de jouer une mélodie pentatonique complète.

Dans un ensemble musical, l'anklung est souvent associé à d'autres instruments tels que le kulintang afin de créer une musique sur laquelle on danse.

B
Auteur : Boobles30 
71/88

Date :    15-01-2025 18:48:53


Bandola *
* Petit instrument de musique à quatre cordes utilisé au Venezuela, en Colombie. C'est une petite guitare en forme typique de poire qui dérive de la guitare baroque espagnole.

C
Auteur : Boobles30 
72/88

Date :    21-01-2025 13:23:29


Çakta *
* Adepte du çaktisme (Doctrine religieuse hindoue vouant un culte aux divinités féminines (çakti), considérées comme incarnations de la force divine)

D

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