Origine
L'expression désigne une femme, une jeune fille ou un enfant. Comme nombre de termes dérivés de noms d'animaux et d'oiseaux, il s'agit d'une appellation affectueuse, familière et éventuellement méprisante. Ses origines remontent à l'ancien français, attestées dès 1240.
Origine
Cette expression datant du XVIIIe siècle est un parallèle entre le ciel chargé d'électricité lorsqu'il y a de l'orage, et l'atmosphère tendue lorsque des personnes se disputent. On comprend que le bruit du tonnerre et des éclairs est semblable à la colère.
Origine
Cette expression fait référence au jugement en tant que capacité liée à l'intelligence, faculté de l'esprit permettant de raisonner. Employée à la forme négative, c'est affirmer qu'une personne est si imbécile qu'on ne lui donnerait même pas deux sous pour avoir une information !.
Origine
L'origine de cette expression est très incertaine, mais on sait néanmoins qu'elle n'est pas liée au pied d'appel. Le lien le plus envisageable serait faire du pied, pratique à laquelle les hommes et les femmes s'adonnent depuis qu'ils s'assoient ensemble autour d'une table.
Origine
Cette expression comporte le mot moindre qui vient du mot latin minor signifiant plus petit. Ainsi, dans le langage courant, c'est la moindre des choses est utilisée pour expliquer qu'il s'agit là d'un minimum à faire pour se comporter de manière normale.
Signification
Affronter un adversaire ou une difficulté.
Origine
Au XVe siècle, cette expression se rencontrait sous la forme "à bon braz le corps". Le "corps" représentant le torse, c'est surtout dans la lutte que l'on employait ce terme pour figurer qu'un des combattants attrapait son rival par le torse, donc entièrement. On trouve également dans cette formulation une certaine idée de volonté et de détermination. C'est pourquoi on l'utilise de nos jours pour figurer qu'une personne fait face à un ennemi ou à des difficultés, qu'elle ne les évite pas.
Origine
Cette expression date de 1930. Elle provient du jeu de bridge dans lequel les joueurs annoncent une des quatre couleurs qu’ils souhaitent poser comme atout. On dit alors d’une personne qui exprime clairement ses intentions qu’elle "annonce la couleur", tel qu’un joueur de carte pourrait le faire.
Origine
Une parabole biblique raconte qu'un laissé pour mort avait été ignoré par un prêtre et un lévite. Un samaritain avait secouru le blessé, faisant preuve de charité. Dénigré par les juifs, le samaritain devient ainsi bon et charitable.