Auteur : Mel_C  

Deux bébés secoués, deux condamnations :

Deux affaires distinctes de bébés secoués ont été jugées ces dernières heures au tribunal correctionnel de Nîmes...

Un père de famille a été sanctionné dans un premier dossier jugé mardi 3 septembre à 15 mois de prison. Dans une seconde affaire, le 4 septembre, le compagnon de la maman a été puni de 2 ans de prison dont une année ferme qu'il effectuera sous bracelet électronique
Mardi après-midi, le tribunal correctionnel de Nîmes a évoqué un terrible dossier d'enfant secoué, un nourrisson de deux mois qui avait un hématome sous-dural à son arrivée aux urgences pédiatriques en 2020. C'est un neurochirurgien d'un hôpital de Montpellier qui a alerté les services du procureur de la République de Nîmes concernant les violences présumées sur cet enfant. Des violences niées par le père de famille qui est le seul renvoyé devant la Justice, alors qu'au départ lui et son épouse étaient dans l'oeil des enquêteurs. Près de 4 ans après les faits, le père a rendez-vous au tribunal. Tous les médecins qui ont pris en charge ce bébé évoquent "des lésions traumatiques récentes", "un épisode récent de traumatisme crânien", "non accidentel". Un père de famille qui écope de 15 mois de prison.
Dans l'autre affaire qui date de juillet 2019, la maman quitte le domicile familial le matin alors que son nouveau-né, âgé de 5 semaines, ne présente aucun signe inquiétant. Quelques minutes plus tard, alors que le bébé se retouve seul avec le compagnon de la maman, le bébé "que l'on n'entendait jamais, qui n'était pas difficile", présente des troubles médicaux nécessitant une hospitalisation urgente.
"Il est toujours délicat de trouver la vérité dans un huis clos familial, mais pour moi le doute ne peut pas profiter au prévenu pour plusieurs raisons", estime le procureur. "D'abord trois expertises médicales évoquent le syndrôme du bébé secoué. Ensuite, cette maman quitte son domicile alors qu'il n'y a aucun problème et à son retour il y a des blessures graves. Au départ, le pronostic vital de cet enfant évacué vers un hôpital de Montpellier a été engagé", poursuit le représentant du ministère public. "De plus, monsieur est mal à l'aise avec ses explications et il a changé plusieurs fois de version", complète le procureur qui demande une condamnation.
Un homme de 49 ans, au casier judiciaire vierge jusqu'à ce dossier, qui a été condamné à 2 ans de prison dont un avec sursis. Sa peine ferme a été immédiatement aménagée.
"Ma fille a beaucoup de retard, elle ne peut pas aller à l'école comme un enfant normal", témoigne avec émotion cette mère de famille dont l'enquête a prouvé qu'elle était une maman aimante et proche de ses enfants.

Le mouvement EMMAUS
publie de nouveaux témoignages contre l’Abbé PIERRE,
Au moins trois victimes étaient mineures.
Dix-sept nouveaux témoignages font état de violences sexuelles commises par le prêtre entre le début des années 1950 et les années 2000.
Des révélations qui s’ajoutent à celles rendues publiques mi-juillet par le mouvement Emmaüs. La Fondation a annoncé plusieurs décisions, dont le changement de son nom.

Mazan :
Gisèle PELICOT demande la fermeture des cagnottes de soutien
L’influenceuse Nabilla Benattia avait ouvert une cagnotte dont les dons ont approché 40 000 euros. « Après avoir échangé avec les avocats de Mme Pelicot », l’ancienne star de télé-réalité a décidé de la clore pour « respect[er] sa décision ».

Virus du Nil occidental :
le Gard identifie ses deux premiers cas autochtones de l'année,
15 cas identifiés en France en 2024
Deux habitants de Vauvert ont contracté le virus du Nil occidental.
C'est pendant un dépistage pour le don du sang que le virus a été détecté,

A Vauvert, un cas équin a aussi été identifié,
le cheval est mort de la maladie.

Auteur : Mel_C  

Violences conjugales à Nîmes : La dame "victime" revient sur ses déclarations accablantes :
En ce début août 2024, la police nationale est appelée dans le centre-ville de Nîmes par des éducateurs qui constatent qu'une femme est blessée au visage, la lèvre fendue, le visage marqué. Une dame d'une vingtaine d'années "en état de panique", indique la présidente du tribunal correctionnel de Nîmes.
Cette mère de famille, qui a trois enfants âgés de 2 à 9 ans, incrimine immédiatement son compagnon. C'est ce dernier qui sera arrêté par les enquêteurs et renvoyé devant le tribunal correctionnel ce jeudi 5 septembre pour des "violences conjugales", et " menaces de mort de la part d'un partenaire". Il a été constaté des blessures sur la jeune femme et des messages sur le portable de cette dernière démontrent que monsieur la menace...
Mais revirement à l'audience d'hier car la victime avoue avoir menti et "totalement inventé l'ensemble des choses !" Elle explique même que c'est elle qui a écrit "les messages signés par son compagnon sur son portable et envoyés des messages vocaux ! "
Monsieur, lui, nie tout. Au moment des faits, il était sous contrôle judiciaire dans un dossier de tentative de meurtre à Marseille. La jeune femme avait même indiqué se prostituer pour son compagnon. Là aussi, changement de position, elle dit qu'elle se prostitue bien mais que son compagnon "n'intervient pas". Devant autant de revirements, le tribunal a relaxé le prévenu.

Auteur : Mel_C  

Suicide d'une policière de 25 ans avec son arme de service ... moins d’un an après sa sortie de l'école de police : :
Elle avait 25 ans. Une jeune policière s’est suicidée à son domicile de Chennevières-sur-Marne, dans le Val-de-Marne, a révélé Actu17 vendredi 30 août. La jeune femme, affectée à la 31e compagnie d’intervention de la Direction de l’ordre public et de la circulation de la préfecture de police, s’est donné la mort avec son arme de service. Elle était sortie de l’école de police il y a moins d’un an.

> “Les circonstances du drame ne sont pas connues et une enquête a été ouverte, précisent nos confrères. Une cellule psychologique a été ouverte pour ses collègues qui sont sous le choc.”

> “Le 15 août dernier, un policier affecté à la Brigade de la criminalité financière (BCF) de la police judiciaire de Versailles s’est suicidé dans les Yvelines, rappelle L’Indépendant. Un policier affecté au commissariat de Rouen en Seine-Maritime s’était lui aussi suicidé le 9 août dernier.”

Auteur : Mel_C  

MONTPELLIER - Rodéo urbain :
Et une motocross de plus remisée à la fourrière municipale. À CROIRE QUE CERTAINS N'ONT TOUJOURS PAS COMPRIS ... que les rodéos urbains étaient réprimés par la loi. Ce jeudi 05 septembre, aux alentours de 20 heures, c’est un Montpelliérain âgé de 20 ans qui en a fait les frais. Ce dernier faisait des "roues arrière" et slalomait dangereusement rue de Salaison, quartier de la Pompignane, quand il a été surpris par un équipage de policiers municipaux qui venaient d’être avisés par des riverains excédés par les crissements des pneus de sa motocross. Sauf que lorsque le mis en cause a vu la voiture sérigraphiée et les policiers accélérer pour se porter à sa hauteur et le contrôler, il a refusé d’obtempérer et a pris la fuite en mettant les gaz. Mais dans la précipitation, il a perdu le contrôle de son engin et est tombé, un peu plus loin, dans un rond-point. Une chute sans gravité puisqu’il tentait de redémarrer sa moto, rue de Pinville, lorsque les fonctionnaires lui ont mis la main dessus. Il a été conduit au poste pour audition.

LA banque alimentaire de la SOMME
dans une situation préoccupante
"Les stocks sont réduits, on est à flux tendu" : étagères vides, manque de dons,
alors que les bénéficiaires sont toujours plus nombreux dans le département.