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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:23:37


PROCES DES VIOLS DE MAZAN : les deux facettes d’un prédateur autocentré :
La personnalité du principal accusé a été disséquée… en son absence. Malade, Dominique Pélicot a été hospitalisé. Le procès pourrait être suspendu pour plusieurs jours.
Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:25:02


REVIREMENT EN APPEL : Tariq Ramadan est condamné pour viol ;
L’islamologue suisse est jugé coupable du viol de « Brigitte » en 2008. Il est condamné à trois ans de prison, dont un ferme. Son avocat a annoncé qu’il allait recourir au Tribunal fédéral suisse. Avec LéNA, découvrez le meilleur du journalisme européen.
Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:35:00


INDRE-ET-LOIRE - 5 personnes en réanimation après avoir ingéré du pesto, 600 bocaux recherchés :
Cinq personnes sont en réanimation au centre hospitalier de Tours pour une suspicion de botulisme après avoir ingéré des conserves de pesto à l’ail des ours, a annoncé mardi le préfet d’Indre-et-Loire, estimant que « 600 bocaux » étaient recherchés à travers la France. « Deux couples se sont présentés aux urgences samedi » et une cinquième personne dimanche après avoir participé à un même « repas d’anniversaire », a indiqué Patrice Latron lors d’un point-presse. Les patients, tous majeurs, « sont actuellement en réanimation, conscientes, intubées, ventilées » au centre hospitalier de Tours, a-t-il précisé. « Sur la base d’indices convergents », les autorités sanitaires suspectent des cas de botulisme liés à l’ingestion « d’un produit qui s’appelle +Ô p’tits Oignons+, qui est un pesto à l’ail des ours, produit en Touraine », a ajouté le préfet. Ce produit est « fortement suspecté d’être à l’origine de cette contamination », qui peut être mortelle, a-t-il souligné. La priorité est désormais de « valider scientifiquement l’hypothèse du botulisme et puis de leur assurer le meilleur traitement possible » ainsi que de faire de « la prévention pour éviter que d’autres personnes ne consomment le produit » suspecté.
« C’est 600 bocaux que nous cherchons » sur toute la France, et « les personnes qui (les) ont achetés doivent les jeter, les détruire », a-t-il estimé. Ces conserves ont été commercialisées à l’occasion de quatre fêtes ou foires organisées dans le département entre fin mars et septembre, a rappelé le préfet. « Une enquête alimentaire a immédiatement été diligentée, organisée entre l’ARS (l’Agence régionale de santé, NDLR) du Centre-Val de Loire et les services de la Direction départementale de la Protection des Populations », a indiqué M. Latron, confirmant également l’ouverture d’une enquête judiciaire. Le botulisme est une affection neurologique rare et grave, mortelle dans 5 à 10 % des cas, provoquée par une toxine très puissante produite par une bactérie qui se développe notamment dans les aliments mal conservés, faute de stérilisation suffisante. En septembre 2023, seize clients, dont une femme qui en est décédée, ont été identifiés comme « cas suspects de botulisme » après avoir mangé des sardines en conserve de fabrication artisanale dans un restaurant touristique du centre de Bordeaux.
> En France, le botulisme est rare : l’incidence moyenne s’est stabilisée depuis 1980 autour de 20-30 foyers par an, impliquant le plus souvent chacun un à trois malades.

Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 18:41:51


ABBE PIERRE : des documents révèlent que l’Eglise et Emmaüs étaient au courant des abus sexuels
Des documents publiés par la cellule investigation de Radio France ce lundi viennent confirmer ce qu’avançaient en juillet dernier les membres de la Commission indépendante sur les abus sexuels dans l’Eglise (Ciase) chargés d’enquêter sur les agissements de l’abbé Pierre. « Depuis 1954-1955, des informations reviennent aux oreilles épiscopales sur [le] comportement » du religieux, écrivaient alors les quatre chercheurs dans une tribune au Monde. L’équipe met en lumière plusieurs mises à l’écart de l’abbé Pierre : les évêques informés lui imposent une cure médicale, puis psychiatrique en Suisse (1957-1958). Puis une retraite spirituelle à Béni Abbès (1961), qui « suit la logique de réforme comportementale appliquée par l’Eglise aux prêtres déviants et agresseurs sexuels ».
L’Eglise savait, notent les chercheurs qui ont reçu et analysé pas moins de 1.300 témoignages leur permettant, une première fois en juillet, puis la semaine passée, de mettre en lumière une vingtaine d’abus au total. Le dernier rapport, rendu public le 6 septembre, tient compte de nouveaux témoignages qui font état de contacts « non sollicités sur les seins », de « baisers forcés », de « fellations forcées », de « contacts sexuels répétés sur une personne vulnérable », « d’actes répétés de pénétration sexuelle » ou encore de « contacts sexuels sur une enfant ».
En juillet déjà, les chercheurs de la Ciase pointaient l’immense responsabilité de l’Eglise, mais aussi celle de la hiérarchie du mouvement Emmaüs : « Ce charisme lui a assuré une protection car ceux qui savaient n’ont pas pu ou voulu le mettre en cause publiquement – ses victimes par sidération souvent, les autres par logique institutionnelle. En effet, les évêques informés et les responsables d’Emmaüs ont étouffé les affaires. L’occultation créait un secret partagé, au détriment des agressées, jamais prises en compte. Banale logique de protection de l’institution : la mise en cause publique du charisme risquait de remettre en cause ce qu’il avait permis et permettait de faire. »
Ce lundi, Radio France a publié des lettres manuscrites rédigées par le prêtre, décédé en 2007, dans lesquelles il menace diverses personnes de son entourage mettant en cause son comportement et ses abus. L’une de ces lettres est rédigée en 1955 à l’attention d’un étudiant américain qui a mis en garde un proche de l’abbé des agissements de ce dernier suite à un séjour aux Etats-Unis. Le religieux tente d’impressionner l’étudiant et se montre menaçant : « Tu promettais de ne plus te mêler de cette multitude de choses où tu ne sais accumuler que des ravages, chaos et infection. Sache que pas une récidive ne restera sans réponse, et s’il le faut [mes réponses seront] brutales, chirurgicales. »
Aucune sanction canonique n’a été prise à l’époque par l’Eglise qui avait pourtant été alertée des agissements de l’abbé. La hiérarchie du mouvement Emmaüs n’a pas non plus cherché à alerter les autorités de l’époque ou se mettre en lien avec les victimes. L’équipe de chercheurs poursuit, dans sa tribune : « Les témoignages de la Ciase ont conduit l’un d’entre nous à interroger le diocèse de Grenoble, dont dépendait l’abbé Pierre. Il a reconnu disposer de données, sans les avoir communiquées. Les dirigeants d’Emmaüs se sont contentés de mettre en garde de manière officieuse et elliptique des femmes travaillant pour Emmaüs. »
Ce lundi, Emmaüs International a annoncé – via son directeur général – « réfléchir » à une forme d’indemnisation des victimes du religieux. La fondation Abbé Pierre a quant à elle émis le souhait de changer de nom.

Auteur : Mel_C  
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Date :    10-09-2024 19:27:28


PROCES DES VIOLS DE MAZAN - Quel est le risque à partager la liste des accusés sur les réseaux sociaux ?

Nouveau rebondissement dans le cadre du procès de Mazan. Lundi 9 septembre, plusieurs avocats de la défense ont annoncé avoir déposé plainte en raison de la diffusion d'informations concernant leurs clients.

Isabelle Crépin-Dehaene, l'une des avocates de la défense, a dénoncé la violence subit par les familles : "Des enfants d'accusés ont été pris à partie au sein de leur établissement scolaire, des épouses et proches d'accusés ont été insultés, des appels téléphoniques malveillants reçus par des accusés, avec tentatives d'intrusion à leur domicile."
L'avocate a ajouté qu'une "quinzaine de plaintes seront déposées" et que "d'autres suivront dans les semaines à venir". Dans les faits, que risquent les personnes ayant partagé les listes des accusées du procès des viols de Mazan ?
Contactée par RTL.fr, Évelyne Sire-Marin, magistrate honoraire, rappelle : "Pour la diffusion du nom des hommes accusés, l'un des principes dans ce cas, c'est la présomption d'innocence. Cela pose un problème de divulguer le nom d'une personne si elle n'est pas encore condamnée."

La magistrate poursuit et nuance : "Dans le même temps, les audiences sont publiques, ce qui implique que les citoyens sont en droit de connaître les détails des affaires. Le problème, c'est que le grand public a tendance à faire des raccourcis. 'Elle a été violée par un tel', par exemple. Là, on tombe dans de la diffamation."
L'article 29 de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse définit la diffamation comme : "Toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération de la personne ou du corps auquel le fait est imputé est une diffamation."
Ce délit est condamné par une amende de 12.000 euros. S'il y a un motif discriminatoire en plus, la sanction peut s'élever jusqu'à un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende.

Depuis le lancement du procès, les internautes et en particulier des collectifs féministes ont fait circuler la liste des prévenus. Au micro de nos confrères de Franceinfo, Blandine du collectif les Amazones d'Avignon a défendu la publication des listes : "L'information doit circuler [mais] il ne faut pas participer au harcèlement contre ces familles qui n'y sont pour rien."
La militante conclut : "Nous considérons les familles comme des co-victimes de ces criminels", assène Blandine. Au-delà de la diffamation, les avocats des 51 personnes accusées pourraient utiliser l'article 223-1-1 du code pénal. Ce dernier renvoie au fait de "diffuser ou de transmettre [...] des informations relatives à la vie privée [...] d'une personne, permettant de l'identifier ou de le localiser".
Ce délit est puni, au maximum, de 3 ans de prison et 45.000 euros d'amende. Pour la magistrate Évelyne Sire-Marin, lorsque les listes ne présentent pas de mention diffamatoire, l'enjeu sera aussi de "montrer qu'il y a eu une volonté de nuire en publiant les listes".
Auteur : Mel_C  
166/1205

Date :    10-09-2024 19:50:53


En état de récidive de violences conjugales, il mord et brûle sa compagne :
Un prévenu qui aurait mordu sa compagne selon l'enquête, il l'aurait également brûlée avec une cigarette, sans oublier des coups portés avec un ventilateur ! "Ce n'est pas la réalité, estime cet homme, nous étions dans une relation toxique avec beaucoup d'alcool et de drogue au milieu. De plus j'ai appris qu'elle était mariée alors qu'elle vivait chez moi depuis 3 mois", poursuit le prévenu sans s'expliquer sur les scènes de violences. Un homme qui écope de trois ans dont une année avec un sursis probaroire, mais aussi la révocation de son précédent sursis. Il devra au total purger 3 ans de prison ferme avec une incarcération immédiate.
Auteur : Aigle 
167/1205

Date :    11-09-2024 07:18:08


Epidémie de bronchiolite : l
es autorités sont-elles prêtes pour la campagne d'immunité
qui débute le 15 septembre ?
Durant la saison 2023-2024, le Beyfortus, traitement préventif utilisé contre la bronchiolite, a très vite été réservé aux maternités, faute de doses disponibles.
Cette année, près de 600 000 doses ont été commandées et un nouveau vaccin sera également proposé aux femmes enceintes.
Auteur : Aigle 
168/1205

Date :    11-09-2024 07:24:34


Procès de MAZAN
"Il y a viol et viol" :
au procès de Dominique Pelicot et de ses 50 co-accusés, la défense déclenche la colère de la victime et de sa famille
Un VIOL c'est quand la femme N'EST PAS consentante...... comment Madame PELICOT, droguée, pouvait-elle être consentante ??
Les actes non-assumés des accusés

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