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Protection humaine
Auteur : Mel_C  
177/1205

Date :    13-09-2024 11:29:57


Fillette de 3 ans frappée par sa maîtresse - L'avocat de l’enseignante évoque un "craquage" et juge l'affaire "anecdotique"
Le 3 septembre, une maîtresse était surprise en train de frapper son élève âgée de 3 ans dans une école du XVe arrondissement à Paris. Ses parents avaient alors porté plainte. Depuis, l’affaire a été largement relayée dans la presse et ce jeudi 12 septembre, l’avocat de l’enseignante a pris la parole pour la première fois sur les antennes de BFMTV. Ce dernier évoque un "craquage" de sa cliente qui n’en serait pas à son coup d’essai. En effet, en 2012, la mère d’un enfant aurait déjà effectué un signalement au rectorat contre l’enseignante pour une gifle donnée à son fils, selon BFMTV. Une accusation que l’institutrice a "démenti". À ce sujet, l’avocat rappelle que le signalement "n’a donné suite à rien". "Il n’y a pas eu de plainte pénale, il n’y a pas eu d’enquête administrative interne, absolument rien".
Concernant la récente affaire, Me Laurent Hazan détaille : "C’est une affaire anecdotique, tristement banale au regard de la réalité des conditions de travail de bon nombre d’enseignants dans ce pays. Ce qui est anecdotique, c’est le craquage d’une enseignante, d’une fonctionnaire qui aujourd’hui ne peut plus travailler dans des conditions sereines." Ce dernier parle d’un "geste malheureux" qu’a commis la professeure "sous l’effet de la pression". Cette dernière serait "dans un état de choc terrible. Elle craint pour elle et sa famille". La ministre de l’Éducation Nicole Belloubet est également visée par l’avocat : "Elle a jeté en pâture sa fonctionnaire, qui est seule aujourd’hui". Toujours au micro de nos confrères, il explique que cette enseignante a été "suspendue quatre mois" mais qu’elle continuera à toucher son salaire.
Auteur : Aigle 
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Date :    14-09-2024 07:03:54


Pays-Bas :
le gouvernement conservateur dévoile des mesures drastiques en matière d'asile
La coalition de droite et d'extrême droite veut notamment déclarer "une crise de l'asile" pour contourner certaines lois.
Auteur : Aigle 
179/1205

Date :    14-09-2024 07:13:37


VIOLS de Mazan :
une manifestation en soutien à Gisèle Pelicot a réuni plusieurs dizaines de personnes à Avignon
Le rassemblement s'est tenu vendredi devant le palais de justice où se déroule le procès du mari de Gisèle Pelicot et de 50 hommes,
jugés pour l'avoir violée alors qu'elle était inconsciente.
Un VIOL est un VIOL et la honte est sur le (les) violeur(s)
Auteur : Aigle 
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Date :    15-09-2024 07:20:43


En écho au procès des viols de Mazan,
des rassemblements féministes dans toute la France
A Paris, Bordeaux ou encore Strasbourg, des milliers de personnes ont apporté samedi leur soutien à Gisèle Pelicot et à toutes les victimes de viols.
Le leitmotiv de cette mobilisation : « La honte doit changer de camp. »
Auteur : Aigle 
181/1205

Date :    15-09-2024 07:32:15


Gaza,
la défense civile fait état de onze morts dans une frappe israélienne sur une maison

Le gouvernement du Hamas fait état de
41 182 morts dans le territoire palestinien
et 95 280 blesses
suite à leur attaque du 7 octobre 2023.
Auteur : Aigle 
182/1205

Date :    15-09-2024 07:47:10


Migrants :
200 personnes ont été secourues en mer samedi dans le secteur du Pas-de-Calais ET APRES ?? ils reprennent la mer ?...
Les 200 naufragés secourus étaient dans quatre embarcations différentes.
Auteur : Aigle 
183/1205

Date :    15-09-2024 08:02:46


FEMINICIDE
Une femme de 46 ans,
qui vivait à Cormontreuil, près de Reims, a été tuée par arme blanche par son conjoint, ce samedi.
Une autre, âgée de 43 ans, est décédée après avoir été poignardée par son compagnon dans le Pas-de-Calais.
Ce sont les 99e et 100e victimes de l’année en France.
Auteur : Mel_C  
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Date :    15-09-2024 20:39:13


IRAN - Deux ans après la mort d’Amini, ... les persécutions et esprit de révolte perdurent
Exécutions à grande échelle, impunité pour les auteurs, persécution des proches endeuillés: le bilan est sombre en Iran, deux ans après une révolte populaire dont beaucoup espéraient qu’elle marquerait un tournant dans l’histoire de la République islamique. Qu’ils se trouvent en exil ou derrière les barreaux, les militants antirégime veulent pourtant croire que le mouvement de contestation né après la mort en détention de Mahsa Amini – une Iranienne de 22 ans arrêtée en septembre 2022 pour ne pas avoir respecté le strict code vestimentaire islamique – n’aura pas été vain.
Dénonçant le port obligatoire du voile et le conservatisme religieux, les manifestants, menés par des femmes, avaient défié le pouvoir iranien pendant des mois, au prix d’une lourde répression: au moins 551 personnes avaient été tuées, et des milliers d’autres arrêtées, selon des ONG de défense des droits humains.
Si les protestations sont aujourd’hui limitées et sporadiques, le pouvoir les écrase toujours aussi méthodiquement: l’Iran a exécuté dix hommes condamnés à la peine capitale dans des affaires liées au mouvement, dont le dernier, Gholamreza Rasaei, 34 ans, a été pendu en août, quelques jours après la prise de fonctions du nouveau président, Massoud Pezeshkian.
Les groupes de défense des droits humains dénoncent aussi la multiplication des exécutions pour tous types d’infractions, destinées à créer la peur et dissuader les opposants de toute velléité contestataire.
Selon l’organisation Iran Human Rights (IHR), basée en Norvège, au moins 402 personnes ont été exécutées au cours des huit premiers mois de l’année.
«D’innombrables personnes en Iran continuent de subir les conséquences de la répression brutale des autorités», affirme Diana Eltahawy, d’Amnesty International.
Selon Human Rights Watch (HRW), les proches de dizaines de personnes tuées, exécutées ou emprisonnées pendant les manifestations, ont été menacés, harcelés, voire eux-mêmes arrêtés sur la base de fausses accusations.
«Les autorités iraniennes brutalisent les gens deux fois: elles exécutent ou tuent un membre de leur famille, puis arrêtent leurs proches pour avoir demandé des comptes», déplore Nahid Naghshbandi, chercheuse sur l’Iran à HRW.
Parmi les personnes emprisonnées figure Mashallah Karami, le père de Mohammad Mehdi Karami, exécuté en janvier 2023 à l’âge de 22 ans dans une affaire liée aux manifestations. M. Karami, qui avait mené une campagne pour sauver la vie de son fils, a été condamné à six ans de prison en mai, puis à neuf ans en août.
Pendant ce temps, les autorités s’acharnent à faire respecter la réglementation sur le port obligatoire du hijab, dont l’abolition était une revendication clé des manifestants. Amnesty note une «augmentation visible des patrouilles à pied, à moto, en voiture et en fourgons de police dans les espaces publics».
Pour renforcer ce dispositif, le Parlement devrait adopter sous peu un projet de loi visant à «soutenir la culture de la chasteté et du hijab».
Alors que les véhicules personnels ont longtemps constitué un espace sécurisé pour les Iraniennes, elles sont désormais ciblées dans leurs voitures, souvent à l’aide de technologies de reconnaissance.
Des experts onusiens accusent l’Iran d'«intensifier» la répression contre les femmes, via notamment le recours récurrent à la violence, «coups» ou «gifles» en guise de sanctions.
Amnesty a dénoncé le sort d’Arezou Badri, une femme de 31 ans restée paralysée après s’être fait tirer dessus en juillet par la police alors qu’elle se trouvait en voiture dans le nord de l’Iran lors d’un contrôle en lien avec la réglementation vestimentaire.
Une mission d’enquête de l’ONU a conclu en mars que la répression des manifestations par les autorités équivalait à des «crimes contre l’humanité», mais aucun responsable n’a jamais eu à rendre de comptes.
«Deux ans après les manifestations, les dirigeants de la République islamique n’ont ni rétabli le statu quo ante ni retrouvé leur légitimité perdue», affirme Roya Boroumand, cofondatrice du Centre Abdorrahman Boroumand, basé aux Etats-Unis. Et «de nombreuses jeunes femmes restent contestataires», poursuit-elle.
Si le mouvement de contestation a secoué le régime, il a également souligné les divisions au sein d’une opposition hétéroclite, incapable de s’entendre, en Iran comme à l’étranger.
Le mouvement de protestation «a montré la faillite absolue des alternatives d’opposition au régime», observe le chercheur Arash Azizi, auteur du livre «Ce que veulent les Iraniens».
Mais d’ajouter : «Je continue de croire que l’Iran ne reviendra pas à la situation d’avant 2022. Dans les prochaines années, la République islamique connaîtra probablement des bouleversements fondamentaux».

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