◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄   1234567 ►►

Effondrement écologique, biologique.
Auteur : Aigle  
17/50

Date :    31-10-2023 06:55:05


Environnement :
la France veut réduire l'usage des pesticides de moitié entre 2015-2017 et 2030
En plus des 250 millions d'euros déjà prévus à cet effet dans le projet de loi de finances 2024, de nouveaux crédits doivent être annoncés par la Première ministre.
Auteur : Aigle  
18/50

Date :    06-11-2023 06:35:07


Journée Internationale pour la préservation de l'environnement en temps de guerre

A l’occasion de la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit, le 6 novembre, le secrétaire général des Nations Unies a souhaité faire connaître son message :

"Depuis que la guerre existe, l’environnement et les ressources naturelles en sont les victimes silencieuses. Les récoltes sont incendiées, les puits pollués, les sols empoisonnés et les animaux tués. Les objectifs ne sont pas toujours les mêmes : on peut vouloir se procurer un avantage stratégique, démoraliser des populations locales, venir à bout d’une résistance ou tout simplement nourrir ses soldats. Mais, même lorsqu’elles ne sont pas intentionnelles, les conséquences sont toujours catastrophiques. Nous assistons à des actes de destruction purs et simples, notamment le rejet de polluants et de substances dangereuses. Nous sommes témoins de bouleversements sociaux, comme la création de populations de réfugiés qui, à leur tour, mettent plus rudement les ressources à contribution. Et puisque la plupart des conflits se déroulent dans les pays pauvres, nous constatons les ravages économiques infligés par les guerres à des populations vulnérables qui sont les moins outillées pour faire face aux dégâts subis par leur environnement et pour surmonter un ralentissement du développement."

Dégâts collatéraux
Pendant la guerre du Golfe de 1991, les puits de pétrole du Koweït ont été délibérément incendiés et des millions de litres de pétrole brut ont été déversés dans les voies d’eau. Au Cambodge, 35 % de la couverture forestière a été détruite pendant les 20 ans qu’ont duré la guerre civile et les troubles. Au cours du conflit en Angola, le nombre des animaux sauvages a diminué de 90 % et, pendant la guerre du Viet Nam, des millions de tonnes d’agent orange ont été pulvérisées au-dessus des jungles de ce pays, ce qui a eu pour effet de dépouiller de toute végétation de vastes zones dont certaines ne peuvent toujours pas être cultivées aujourd’hui.

L’environnement est protégé en temps de guerre par un certain nombre d’instruments juridiques, notamment la Convention sur l’interdiction d’utiliser des techniques de modification de l’environnement à des fins militaires ou toutes autres fins hostiles (1976), la Convention sur les armes chimiques et la Convention sur la prohibition des mines antipersonnel (1997). En outre, le Protocole additionnel I aux Conventions de Genève interdit l’utilisation de " méthodes ou moyens de guerre qui sont conçus pour causer, ou dont on peut attendre qu’ils causeront, des dommages étendus, durables et graves à l’environnement naturel " et dispose que " la guerre sera conduite en veillant à protéger l’environnement naturel contre des dommages étendus, durables et graves ". Mais ce qui fait cruellement défaut, ce sont les mécanismes voulus pour assurer l’application de ces conventions. De fait, il faudra peut-être que nous renforcions le chapitre " vert " des règles du droit humanitaire international.

Une convention pour protéger l'environnement
Au niveau pratique, l’ONU réagit de plus en plus activement lorsqu’une guerre entraîne une dégradation de l’environnement : elle s’efforce d’évaluer les dégâts, de nettoyer les zones contaminées et d’aider les pays à se doter des moyens voulus pour gérer leur environnement après le conflit. C’est ce que le Programme des Nations Unies pour l’environnement a fait dans les Balkans et c’est ce qu’il fait aujourd’hui en Afghanistan, en Iraq, au Libéria et dans le territoire palestinien occupé.

Les technologies guerrières et armements modernes continuent à se développer rapidement, ce qui pourrait avoir des conséquences catastrophiques sur l’environnement. En même temps, on laisse trop de conflits s’envenimer pendant des années, voire des décennies, et épuiser petit à petit les ressources naturelles. Au moment où nous célébrons la Journée internationale pour la prévention de l’exploitation de l’environnement en temps de guerre et de conflit armé, prenons conscience du fait qu’aucune guerre et aucun conflit ne se déroule trop loin de nous pour avoir un effet sur notre environnement, quel que soit l’endroit où nous habitons. Et prenons l’engagement de faire ce que nous pourrons pour lutter contre cette menace commune et pourtant souvent oubliée qui met en péril nos vies et notre bien-être.

Un site à visiter : www.un.org
Auteur : Aigle  
19/50

Date :    07-11-2023 07:01:24


A la frontière entre le Pérou et la Bolivie,
le lac Titicaca en proie à une sécheresse historique
Le lac transfrontalier, plus haute étendue d’eau douce au monde, dont dépendent trois millions d’habitants, a reculé par endroits jusqu’à deux kilomètres. En cause : un déficit de pluie exceptionnel, et les effets de la déforestation de l’Amazonie.
Auteur : Aigle  
20/50

Date :    16-11-2023 06:42:12


Frappé par la sécheresse,
le fleuve Mississippi est envahi par le sel et la pollution
Le débit du quatrième fleuve le plus long du monde est devenu si faible que les eaux salées du golfe du Mexique remontent son lit. Le trafic des barges est entravé et l’économie menacée.
Auteur : Aigle  
21/50

Date :    16-11-2023 06:50:06


Inondations dans le Pas-de-Calais :
stocker l'eau des crues en vue de la sécheresse
est "extrêmement complexe", selon l'hydrogéologue Alain Dupuy
Auteur : Aigle  
22/50

Date :    19-11-2023 07:09:01


NAPLES
Faut-il craindre une forte éruption volcanique autour de Naples ?
Des signes spécifiques laissent à penser que les volcans autour de Naples pourraient bientôt entrer en éruption.

Le niveau d'alerte pourrait passer du niveau jaune au niveau orange. *Ce qui veut dire que ces volcans pourraient peut-être, selon certains scientifiques, à nouveau entrer en activité et là cela risquerait d'être la catastrophe des catastrophes.
Parce que nous sommes dans l'une des zones les plus densément peuplées

La dernière grande éruption des Champs Phlégréens, cette région volcanique, remonte au XVIᵉ siècle.
Auteur : Jade30 
23/50

Date :    20-11-2023 08:06:41


Aucun accord trouvé pour réduire la pollution plastique /

Les négociateurs de 175 pays ont passé une semaine au siège du Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) à Nairobi pour tenter de trouver un terrain d’entente sur un projet de traité visant à résoudre le problème croissant de la pollution plastique. L’enjeu de ces négociations était de taille car le plastique, issu de la pétrochimie, est partout: des déchets de toutes tailles se retrouvent déjà au fond des océans et au sommet des montagnes. Des microplastiques ont été détectés dans le sang ou le lait maternel.

Si les différentes parties se rejoignent sur la nécessité d’un traité, le fond diverge entre les ONG qui plaident pour la réduction de 75% de la production d’ici 2040 et des pays producteurs de pétrole et les lobbys des industries plastiques qui militent davantage en faveur du recyclage.
Progrès «substantiels»

Après la clôture des discussions, le PNUE s’est félicité des progrès «substantiels» réalisés grâce à la présence de près de 2000 délégués. Durant cette semaine de négociations, les délégations ont mis «davantage d’idées sur la table, comblant les lacunes (…) nous disposons (maintenant) d’un document, d’un projet de texte, qui englobe beaucoup plus l’éventail d’idées», se félicite auprès de l’AFP le porte-parole de l’International Council of Chemical Associations, un important lobby qui défend les intérêts de l’industrie du plastique, Stewart Harris.

Son de cloche différent pour plusieurs ONG de défense de l’environnement qui ont accusé certains pays, notamment l’Iran, l’Arabie saoudite et la Russie, d’avoir fait de «l’obstruction». «Sans surprise, certains pays bloquent les avancées, jouant de l’obstruction et de manœuvres procédurales», assure à l’AFP Carroll Muffett, directeur du Center for international environmental law (CIEL).

Pour les ONG, le temps presse et un traité contraignant est nécessaire car la pollution plastique devrait s’aggraver: la production annuelle a plus que doublé en vingt ans pour atteindre 460 millions de tonnes. Elle pourrait tripler d’ici à 2060 si rien n’est fait. Or, seulement 9% des plastiques sont recyclés. Le plastique joue aussi un rôle dans le réchauffement climatique: il représentait 3,4% des émissions mondiales en 2019, chiffre qui pourrait plus que doubler d’ici à 2060, selon l’OCDE.
Auteur : Boobles30 
24/50

Date :    20-11-2023 14:18:48


Quelle étrange sensation que de se faire piquer par un moustique un matin de novembre au bord de la Bièvre en banlieue parisienne. De se prélasser au soleil sur une plage méditerranéenne française, sous 25 degrés, vous faisant hésiter sur l'opportunité de la pose d'une crème protectrice. Hésiter aussi sur une baignade, le thermomètre affichant dans la matinée du 15 novembre les 18 degrés, température de l'eau en Normandie en période estivale.
La Normandie, région où on hésite encore à allumer le chauffage. Où seules quelques cheminées fument pour réchauffer de grandes pièces mal isolées et dont la vieille architecture en font des passoires thermiques.
Ou pour faire cuire une pièce de viande qui sera accompagnée d'une nouvelle / dernière cueillette de champignons dont on ne sait plus trop à quelle période ils poussent. La chasse aux girolles en janvier fera sans doute des heureux.

Profiter inlassablement depuis septembre des derniers rayons de soleil, et des dernières vagues de chaleur. Attendre la précoce baisse de température polaire annoncée.
La planète fond comme une boule de glace sur le bitume en période caniculaire. La glace fond au pôle Nord et ne se régénère pas au pôle Sud.
Le mois d'octobre a pulvérisé des records de chaleur. En France d'abord, ou les températures ont par endroit dépassé les 35 degrés. Et sur la surface du globe ou le précédent record de 2019 a été pulvérisé de 0,4 degrés, faisant monter la température moyenne à la surface de la terre à 15,3 degrés.
Une anomalie de +0,8 degrés par rapport à la moyenne de la période 1991 - 2020 ainsi qu'une anomalie de +1,4 degrés par rapport à la période pré-industrielle.

Le mois de novembre ne s'annonce guère mieux. Au moment où nous écrivons ces lignes, le site Climate Reanalyser de l'institut du changement climatique de l'université de Maine, annonce une anomalie de +1,3 degrés par rapport à la moyenne des températures de la période 1979 - 2000 sur les journées du 16 au 19 novembre.
Une anomalie encore plus conséquente que celle du mois d'octobre.

Si dans les prochains jours les températures vont baisser, la planète elle, continue de se réchauffer et le climat de se dérégler, provoquant avec lui nombre de cataclysmes.
Les plages ou nous nous prélassons seront mangées par la mer. Nos baignades se feront directement dans notre salon au rythme des crues comme c'était le cas la semaine dernière dans le nord du pays.
La cueillette de champignons se fera désormais en regardant sous les souches et les troncs d'arbre déracinés par les tempêtes successives. Les cueillettes se feront à manches longues et en pantalon. Peut-être même encagoulés, pour ne pas attraper de maladies transmises par les nuées de moustiques qui tenteront de faire de nous leur goûter.

Tout le monde sait l'urgence dans laquelle nous sommes. Jusque dans les plus grandes mascarades bureaucratiques de ce monde.
La COP28 débutera à la fin du mois de novembre le plus chaud de l'histoire et et se terminera à la moitié du mois de décembre le plus chaud de l'histoire, à Dubaï en Arabie Saoudite.
Or qu'apprenions nous en ce début de mois de novembre ? Que l'Arabie Saoudite organiserait sans doute la coupe du monde 2034.
Le tout un an après le scandale écologique et social de son voisin le Qatar, et sa Coupe du monde climatisée.
À ce niveau d'absurdité, nous préconisons que l'ensemble des activistes de ce monde investissent rapidement dans la crypto-monnaie actuellement en vogue, pour s'offrir des billets d'avions et envahir et/ou détruire la cité du désert de béton.

Sauvons la planète, réduisons le vieux monde en cendres.

« Un matin de novembre nargué par un suçon
Ils ont repris la vie de n'importe quelle façon
De l'accumulation, naît la révolution.
Une étincelle brille entre deux explosions.

Odezenne

◄◄   1234567 ►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »