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réchauffement climatique
Auteur : Aigle  
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Date :    05-12-2023 08:00:35


L 'objectif de 1,5°C de l'Accord de Paris est désormais inatteignable
D'après une étude du Global Carbon Budget publiée mardi, l’action mondiale visant à réduire les combustibles fossiles n’est pas assez rapide pour empêcher un changement climatique dangereux.

Les émissions de CO2 fossile diminuent, de 7,4 % en Union européenne,
et de 3 % aux États-Unis.
A l'inverse, elles sont en hausse de 8,2 % en Inde et de 4 % en Chine.
Auteur : Aigle  
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Date :    06-12-2023 07:05:29


L'année 2023 est la plus chaude jamais enregistrée,
selon le programme européen Copernicus
L'année n'est même pas terminée qu'il est déjà établi selon Copernicus, un programme de l'Union européenne, que 2023 est l'année la plus chaude. Elle bat de 0,13°C l'année 2016 qui détenait le record de chaleur.
Auteur : Aigle  
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Date :    07-12-2023 06:33:40


Christophe Béchu épinglé
par une revue angevine pour ses déplacements en avion d’affaires
Le ministre de la transition écologique a une empreinte carbone de près de 23 tonnes de CO₂ pour six trajets en avion, selon les informations du journal « La Topette ».
Auteur : Jade30 
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Date :    07-12-2023 17:31:29


La finance verte passe la marche arrière :

Trois ans à peine après avoir annoncé leur conversion, les fonds durables sont en train d’abandonner toute référence aux critères environnementaux et sociaux. Certains ont même décidé de fermer. Motif ? Ils ne rapportent pas assez et sont devenus des repoussoirs pour les clients.
Auteur : Jade30 
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Date :    07-12-2023 17:32:09


CLIMAT - Saint-Domingue réinvente des façons de vivre et de produire :

Alors que la saison des pluies se fait de plus en plus meurtrière dans l’île des Caraïbes, reportage à Nueva Barquita, quartier de maisons « en dur » qui répond à des normes environnementales. Une expérience qui semble une goutte d’eau face aux défis que le pays doit affronter.
Auteur : Jade30 
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Date :    07-12-2023 18:01:02


LA COP28 SOUS PRESSION - Des températures mondiales records en 2023 :

L’année 2023 sera la «plus chaude» de l’histoire après un mois de novembre «extraordinaire» devenu le sixième mois d’affilée à battre des records de température, a annoncé mercredi le service européen Copernicus, mettant la pression sur les négociations de la COP28.

Avec une moyenne de 14,22 °C à la surface du globe, le mois écoulé dépasse le record précédent de novembre 2020 de 0,32 °C. Le mois de novembre 2023 est par ailleurs 1,75 °C plus chaud que la moyenne d’un mois de novembre pour la période 1850-1900, qui correspond à l’ère préindustrielle. L’automne boréal (dans l’hémisphère Nord) est ainsi le plus chaud de l’histoire «avec une marge large», puisqu’il est 0,88 °C au-dessus de la moyenne, selon Copernicus.

«2023 a maintenant six mois et deux saisons records. Ce mois de novembre extraordinaire, comprenant notamment deux jours avec des températures supérieures de 2 degrés à l’ère préindustrielle, signifie que 2023 est l’année la plus chaude jamais enregistrée dans l’histoire», a déclaré Samantha Burgess, cheffe adjointe du service changement climatique (C3S) de Copernicus, dans un communiqué.

Depuis janvier, la température moyenne est la plus chaude jamais mesurée sur les onze premiers mois de l’année: 1,46 °C au-dessus de la moyenne du climat de la période 1850-1900, et 0,13 °C au-dessus des onze premiers mois de 2016, l’année la plus chaude jusqu’à maintenant.

Cela montre à quel point le monde est inconfortablement proche de 1,5 °C au-dessus des températures de l’ère préindustrielle pendant une seule année. Ce seuil est central dans l’accord de Paris de 2015 sur le climat, même si pour dépasser cette limite, il faudra un réchauffement à ce niveau sur plusieurs décennies.

«Tant que les concentrations de gaz à effet de serre continueront d’augmenter, il ne faut pas s’attendre à des résultats différents de ceux observés cette année. La température continuera d’augmenter, de même que les effets des vagues de chaleur et des sécheresses», a souligné Carlo Buontempo, directeur du C3S, cité dans le communiqué. «Atteindre le net zéro (en termes d’émissions) le plus tôt possible est un moyen efficace de gérer les risques liés au climat», a-t-il ajouté, dans une allusion à peine voilée aux négociations climatiques en cours à la COP28.

Mardi soir, les négociateurs de près de 200 pays ont débattu pied à pied du nœud gordien du projet d’accord final: le sort du pétrole, du gaz et du charbon, principales causes du réchauffement climatique. Plusieurs options sont sur la table, notamment l’objectif d’une «sortie ordonnée et juste des énergies fossiles».

L’apparition de cette formulation préfigure un éventuel consensus qui fixerait un objectif universel tout en permettant un échéancier différent pour les pays selon leur degré de développement ou de dépendance aux hydrocarbures. Mais cette option est en balance avec une possibilité plus radicale: ne rien décider sur les énergies fossiles, reflet de l’opposition à ce stade de l’Arabie saoudite et de la Chine, selon plusieurs observateurs qui assistent aux réunions à huis clos.

En l’état, le texte ne propose pas d’objectif à court terme pour les trois énergies fossiles alors que les experts du climat estiment qu’il faut réduire les émissions de 43% d’ici à 2030 par rapport à 2019 pour espérer tenir la limite de 1,5 °C.

Seule une «sortie rapide de l’électricité issue du charbon sans captage du carbone et un arrêt immédiat» de la construction de nouvelles centrales est évoquée dans le texte, citant le besoin de réduire de 75% l’usage du charbon d’ici à 2030 par rapport à 2019 selon les experts de l’ONU du climat (Giec). Mais là encore l’autre option est d’effacer l’entièreté du paragraphe, très embarrassant pour des gros consommateurs de charbon comme la Chine, l’Afrique du Sud ou le Vietnam.

Une nouvelle version du texte est attendue mercredi matin, qui doit ensuite être portée dans une grande réunion plénière faisant le bilan de la première semaine de travaux entre les experts des pays. Avant une journée de repos jeudi et l’arrivée ce week-end des ministres, censés reprendre la main au niveau politique pour la dernière ligne droite.

Auteur : Jade30 
63/95

Date :    07-12-2023 18:05:00


ENVIRONNEMENT - La menace "sans précédent" des points de basculement climatique :

Une menace «sans précédent»: l’humanité est face à plus de deux douzaines de points de basculement sur Terre qui, s’ils sont franchis, pourraient déclencher un effet domino de catastrophes en cascade, souvent irréversibles, ont averti des chercheurs mercredi.

Cette étude, la plus complète jamais réalisée sur ces seuils irréversibles, est publiée alors que les dirigeants du monde entier sont réunis à Dubaï pour de cruciales négociations climatiques lors de la COP28, à l’issue d’une année qui devrait battre tous les records de chaleur.

Les 26 points de basculement identifiés pourraient pousser les écosystèmes de la planète au bord du gouffre. Parmi eux, cinq sont à la limite du point de non-retour, qu’il s’agisse de la fonte des nappes glaciaires, qui menace d’une élévation catastrophique du niveau de la mer, ou de la disparition massive des récifs coralliens tropicaux, indique l’étude. Certains ont peut-être déjà commencé à se transformer de manière irrémédiable.

Une fois qu’un seul de ces points de basculement sera franchi, la gestion des catastrophes qui pourraient en découler pourrait détourner l’attention des autres points critiques, créant ainsi un «cercle vicieux» contribuant à la faim, aux déplacements de population et aux conflits de masse, selon le rapport.

Pour Tim Lenton, spécialiste du système terrestre à l’université d’Exeter et auteur principal du rapport, ces points de basculement constituent une «menace d’une ampleur sans précédent pour l’humanité», a-t-il déclaré à l’AFP.

Mais il n’y a pas que des mauvaises nouvelles. Le rapport met également en évidence une série de points de basculement positifs, tels que les véhicules électriques, les énergies renouvelables et l’adoption d’un régime alimentaire à base de plantes, qui pourraient rapidement prendre de l’ampleur et faire basculer les choses dans l’autre sens.

«Imaginez que vous vous appuyiez sur une chaise jusqu’au point d’équilibre où un petit coup de pouce peut faire une grande différence», explique Tim Lenton. «Vous pourriez vous retrouver sur le dos, par terre, ou, si vous avez de la chance, à la verticale».

Malgré tout, la plupart des seuils critiques présentent des conséquences funestes. Ainsi, la fonte des calottes glaciaires de l’Antarctique occidental et du Groenland qui, si elle franchit un certain seuil, pourrait faire augmenter le niveau des mers de deux mètres d’ici 2100, exposant près d’un demi-milliard de personnes à de fréquentes inondations côtières, est-il souligné.

Pour le Groenland, il est peut-être déjà trop tard. «Le point de basculement est-il dépassé ou bien est-il encore possible d’inverser la tendance? Personne n’en est tout à fait sûr», déclare Tim Lenton.

Les trois autres points de basculement les plus critiques sont la disparition des récifs coralliens tropicaux, la fonte du pergélisol et un courant océanique appelé gyre subpolaire de l’Atlantique Nord. Ce dernier fait partie de la «circulation méridienne de retournement atlantique» (AMOC), système complexe de courants océaniques qui permettent de réguler la chaleur entre les tropiques et l’hémisphère Nord. Le nouveau rapport indique qu’il est plausible – bien que peu probable – que l’AMOC s’effondre au cours de ce siècle.

Le risque d’effondrement de l’AMOC est comparable à la détection d’un élément susceptible de faire «tomber l’avion du ciel», estime Tim Lenton. Il pourrait entraîner une diminution considérable des précipitations dans de vastes régions, ce qui pourrait réduire de moitié la superficie mondiale où l’on peut cultiver du blé et du maïs.

Pour Manjana Milkoreit, de l’université d’Oslo, coauteur de l’étude, «notre système de gouvernance mondiale est inadapté pour faire face aux menaces à venir et mettre en œuvre les solutions requises d’urgence».

Les auteurs réclament que les points de basculement soient inclus dans le bilan mondial débattu lors des négociations de la COP28, ainsi que dans les objectifs nationaux de lutte contre le changement climatique.

Les données scientifiques sont désormais «claires comme de l’eau de roche», estime Sarah Das, scientifique à la Woods Hole Oceanographic Institution (États-Unis) qui n’a pas participé à l’élaboration du rapport. «Les risques pour l’humanité de franchir les points de basculement (…) sont terribles, et l’impact sur les vies humaines potentiellement horrible».
Auteur : Aigle  
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Date :    08-12-2023 06:41:57


Journée Mondiale du CLIMAT .....
en pleine COP 28... elle tombe bien ....

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