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Protection humaine
Auteur : Aigle 
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Date :    03-10-2024 06:53:09


Cueillette des champignons :
l'Anses alerte sur les risques d'intoxications
Les centres antipoison ont déjà recensé 400 cas depuis le 1er juillet 2024.
Auteur : Aigle 
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Date :    04-10-2024 06:51:46


Liban :
les premiers ressortissants français qui fuient le conflit de retour
dans l'Hexagone
Jeudi 3 octobre à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, un des quatre vols en provenance de Beyrouth s'est posé,
marquant le retour de plusieurs ressortissants français installés au Liban.

Dans ce contexte de guerre, les compagnies aériennes desservant Beyrouth se font de plus en plus rares. Air France a suspendu ses vols jusqu'au 8 octobre au minimum
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 19:41:12


BELGIQUE - Une action collective en débaptisation suite aux propos du pape sur l’IVG :
La visite du pape en Belgique, et surtout les propos qu’il a tenus, sur les femmes et sur l’avortement, ont profondément choqué l’ancien ministre socialiste Rudy Demotte. "Intolérable", assène-t-il. Il a demandé à se faire débaptiser et appelle les autres citoyens à faire de même.
Dans un post sur Facebook, celui qui fut aussi bourgmestre de Flobecq et de Tournai évoque les propos "absolument infâmes et profondément réactionnaires" du souverain pontife, et il explique sa démarche : "Rester sans agir reviendrait à cautionner une attitude qui ne correspond plus à mes valeurs. C’est pour cette raison que j’ai décidé de demander officiellement mon débaptême."
Pourquoi en faire une déclaration publique ? Rudy Demotte nous explique qu’en tant que personnalité publique, il ressentait le devoir de parler. "Je pense qu’entendre cette voix-là peut être utile à des gens qui attendent d’être réconfortés par rapport au malaise éprouvé face à ces propos."
Il assure pour autant ne pas partir en croisade contre l’Église, dont il perçoit aussi les courants plus progressistes. Une Église dont il s’était par ailleurs, il le reconnaît, déjà distancié depuis longtemps. "Je suis un agnostique militant. J’ai toujours prôné le libre examen, je suis issu de l’ULB. Je suis aujourd’hui quelqu’un d’engagé dans la cause laïque, mais ça n’empêche que j’étais aussi l’héritier, par ma mère, de cette partie positive des valeurs héritées de l’Église catholique et de ces courants progressistes."
Rudy Demotte ne s’arrête pas là. Dans son texte, il lance un appel à ceux qui, comme lui, "ne peuvent plus tolérer les dérives actuelles de l’Église" : "Je vous invite à vous débaptiser." Et il propose même un modèle de lettre de débaptisation.
Il sait que la débaptisation n’est que symbolique. L’Église ne débaptise pas, elle considère cet acte comme irréversible. Il s’agit simplement d’une sorte de mention de contestation dans le registre des baptêmes. Mais pour l’homme politique aujourd’hui retraité, cet acte symbolique pourrait avoir un impact très concret. "En Belgique, les cultes sont financés par les pouvoirs publics. En vous débaptisant, vous créez un débat sur la légitimité de ce financement. […] Chaque débaptême pourra avoir un impact direct sur une institution qui perpétue des discours inacceptables."
"La démarche de débaptisation ne sert qu’à une seule chose, c’est satisfaire la personne qui l’entreprend. Elle n’a aucun autre impact" réagit Caroline Sagesser, historienne, chargée de recherches au sein du secteur sociopolitique du CRISP (Centre de recherche et d’information socio-politiques), et spécialiste notamment du financement des cultes.
Le financement des cultes n’est pas lié au nombre de croyants qui y adhèrent. "Il dépend surtout du nombre de prêtres. Le financement du SPF Justice va diminuer au fur et à mesure que les prêtres décèdent ou atteignent l’âge de la retraite." L’autre volet du financement, essentiellement via les communes et les provinces, concerne les églises au sens des bâtiments, il dépend donc là du nombre d’églises reconnues.
Le débaptême n’a même aucun impact sur une quelconque statistique, affirme encore Caroline Sagesser, "puisque nous ne disposons pas en Belgique d’un décompte de toutes les personnes qui sont baptisées. La seule chose que l’on a, c’est le nombre de baptêmes administrés sur une année, mais nous ignorons aujourd’hui combien de personnes sont baptisées en Belgique."
Cela n’empêche pas que cette démarche soit régulièrement remise en lumière, comme à la suite de LA DIFFUSION DU DOCUMENTAIRE "GODVERGETEN", SUR LES ABUS SEXUELS AU SEIN DE L’ÉGLISE, QUI AVAIT SECOUE LA FLANDRE. "Je me souviens même que LORS DE LA VISITE EN BELGIQUE DU PAPE JEAN-PAUL II EN 1985, il y a eu une première vague de démarches de ce type-là, raconte l’historienne. Ce sont les propos du pape condamnant l’usage du préservatif au moment de l’épidémie de sida qui a généré cette opposition. Donc, il y avait eu une première vague au milieu des années 80, puis ça s’était un peu calmé. Et ensuite, effectivement, périodiquement, ça revient."

> Chaque année, on dénombre un peu plus de mille débaptêmes. En 2021, le nombre de Belges qui ont demandé à être " débaptisés " a même atteint 5.237.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 19:53:23


GISELE PELICOT - Des vidéos des viols de Mazan ont été montrées au public pour la première fois :
Le procès emblématique des violences faites aux femmes se poursuit. Pour la première fois ce vendredi, des vidéos et des photos des viols de Mazan ont été diffusées dans le tribunal d’Avignon. Elles n’ont pas fait évoluer la position des accusés. Ils ont presque tous maintenu qu’ils pensaient participer au «scénario» libertin d’un couple échangiste.
A la mi-journée, après un débat de près de deux heures entre les parties, la cour criminelle de Vaucluse a décidé de revenir sur la décision initiale de son président, Roger Arata, et de diffuser les vidéos des viols, soigneusement archivées par Dominique Pelicot, en présence de la presse et du public.
Neuf vidéos et quelques photos ont donc été montrées. Toutes concernaient les sept accusés dont les cas étaient examinés cette semaine. Au total, 51 hommes sont jugés, parmi lesquels Dominique Pelicot, le mari de Gisèle, qui a reconnu avoir drogué son épouse à son insu à de nombreuses reprises entre 2011 à 2020, afin de la violer et de la faire violer par des dizaines d’hommes qu’il avait recrutés sur internet.
Pendant près d’une heure et demie, ces images ont été diffusées sur les écrans de la salle d’audience, où tout le monde retenait son souffle, et sur ceux d’une salle annexe où une soixantaine de membres du public avaient pris place.
Sur le banc des parties civiles, Gisèle Pelicot est restée la plupart du temps penchée sur son téléphone portable. En face d’elle, dans le box des accusés, son ex-mari se cachait les yeux d’une main ou détournait le regard.
Les autres accusés ont adopté des attitudes variées: sans broncher, certains se sont regardé s’affairer autour de la victime qui gisait sur le lit de la chambre conjugale à Mazan, dans le Vaucluse. D’autres ont préféré regarder le sol.
Brièvement interrogés, tous ont toutefois maintenu leur ligne de défense. Jean, 52 ans, affirme qu’il n’a «toujours aucun souvenir» de cette soirée. Redouane assure qu’il était «terrorisé» par Dominique Pelicot, même si «ça ne se voit pas». Un troisième explique ne pas avoir entendu les ronflements de Gisèle Pelicot ou avoir «espéré qu’elle se réveille à la fin».
Le 20 septembre, après la diffusion de premières vidéos et photos, le magistrat avait décidé d’exclure la presse et le public pour les projections ultérieures, en raison de leur caractère «indécent et choquant». Gisèle Pelicot et ses avocats avaient alors décidé de contester cette mesure. Ce vendredi matin, ils ont reçu le soutien du ministère public. Après le revirement de la cour, ils ont immédiatement parlé de «victoire».
«Pour Gisèle Pelicot, il est trop tard, le mal est fait. Les 200 viols qu’elle a subis par ces dizaines d’hommes qui sont venus la violer dans sa chambre à coucher alors qu’elle était inconsciente, la brutalité des débats qui se tiennent dans cette salle, elle devra vivre avec pour le restant de sa vie», a déclaré Me Babonneau.
Pour son autre avocat, Me Antoine Camus, ces vidéos «font s’écrouler la thèse du viol accidentel» et montrent qu’il «était en réalité question de haine de la femme»: «Aucun n’a dénoncé les faits, chacun a contribué à sa petite échelle à cette banalité du viol, à cette banalité du mal».
> «La justice n’a pas besoin de ça pour passer, à quoi bon ces projections nauséabondes?», avait en revanche plaidé Me Olivier Lantelme, l’un des avocats de la défense, opposé, comme plusieurs de ses collègues, à ces diffusions. L’audience rependra lundi avec l’examen d’un nouveau groupe de cinq accusés. Le verdict est attendu à la mi-décembre;
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:08:09


NORD
Humiliations, travail forcé et violences : des « familles d’accueil » illégales ont abusé de dizaines d’enfants pendant sept ans. Des violences de toutes sortes, dont sexuelles : c’est ce que révèlent avoir vécu des dizaines d’enfants placés par l’aide sociale à l’enfance du Nord chez des familles d’accueil qui ne disposaient pas d’agrément. Dix-neuf personnes doivent être jugées pour ces faits prochainement.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:08:56


MIGRATIONS :
Bruno Retailleau veut prolonger la rétention administrative : une idée populiste contredite par les chiffres. Le ministre de l’intérieur souhaite doubler la durée d’enfermement des étrangers en situation irrégulière dans les centres de rétention administrative. Sa position est pourtant démentie par la réalité : la durée de rétention n’a pas d’impact sur le taux d’éloignement.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:26:14


NIMES - Les travaux d’extension ont débuté le 30 septembre et dureront environ deux ans. :
Pendant cette période, des adaptations des conditions de circulation sur le site seront mises en œuvre. La voie d’accès principale au site de Carémeau restera à double sens, mais sera réduite dans sa longueur. Un marquage routier de couleur jaune est mis en place devant les travaux.
Par ailleurs, l’accès au dépose-minute du Hall principal de Carémeau sud sera accessible par une circulation alternée. Les usagers, les taxis et ambulances sont encouragés à privilégier l’aire de dépose minute située à proximité de l’entrée « Carémeau Nord » ou à utiliser le parking Indigo « CHU Carémeau » (les 30 premières minutes sont gratuites), situé à l’entrée du campus hospitalo-universitaire, place Robert-Debré.Début des travaux d'extension du centre d’endoscopie diagnostique et interventionnelle au CHU.
Auteur : Mel_C  
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Date :    04-10-2024 20:35:09


PROPOSITION DE LOI SUR LES "PEINES PLANCHERS" déposée par la députée RN Pascale Bordes :
Les peines planchers, le retour ? Instaurées en 2007 sous la présidence de Nicolas Sarkozy et de sa ministre à la Justice, Rachida Dati, les peines planchers fixaient un seuil minimal de prison pour certains délits comme les atteintes aux personnes dépositaires de l’autorité publique. La volonté politique était alors de réduire le décalage entre la peine prévue par la loi et celle qui était prononcée par le juge. Finalement, sept ans plus tard, avec l’arrivée de François Hollande au pouvoir, les peines planchers ont été supprimées.

> Que dit la proposition RN ?

Le 31 octobre, le groupe RN à l’Assemblée nationale bénéficiera d’une niche parlementaire. C’est-à-dire que l’extrême-droite aura le choix de fixer l’ordre du jour. Pour l’heure, la première proposition de loi soumise sera sur l’abrogation de la réforme des retraites fixant l’âge de départ à 64 ans. Le deuxième texte sera celui de Pascale Bordes, députée RN de la 3ᵉ circonscription du Gard. « Marine Le Pen m’a proposé de présenter une loi sur le rétablissement des peines planchers », indique la Bagnolaise, avocate de profession.
Le nom de sa proposition, « Instauration de peines planchers pour certains crimes et délits ». Ainsi des peines minimales de prison ferme seront prévues pour les crimes et délits en état de récidive ; les crimes et délits liés au trafic de stupéfiants, mais aussi, comme c’était le cas précédemment, les crimes et délits commis « sur une personne dépositaire de l’autorité publique » : forces de l’ordre, communauté éducative publique et privée, communauté des soignants.

> Une loi réellement applicable ?

La France qui, manque de place de prison, a-t-elle les moyens d’appliquer ces peines planchers ? « Les prisons sont pleines, il faut les vider », réagit Pascale Bordes. Comment ? « D’abord, il y a des gens qui n’ont rien à faire en prison. Il faut réamorcer d’urgence les discussions avec les pays du pourtour méditerranéen afin qu’ils reprennent leurs ressortissants ». Autre proposition : « Il faut instaurer des peines plus courtes dans certains cas, mettre les gens en prison moins longtemps. » Enfin, « certains prisonniers devraient plutôt être pris en charge dans des établissements psychiatriques qu’être mis en prison ».
Certaines mesures nécessitent un coût financier. Alors que le Gouvernement Barnier a annoncé 60 Mds de coupes et de hausses d’impôts, cette politique est-elle vraiment envisageable ? « Après, c'est une question de responsabilité politique… Aujourd’hui, on arrive au bout d’un processus », réagit Pascale Bordes. Pour que son texte passe, il faut a minima que la Droite vote pour, ainsi qu’une partie de la majorité présidentielle. « Certains membres de la majorité ont déjà proposé le retour des peines planchers. Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau en a déjà parlé… », poursuit la députée. Avant de conclure : « Cette mesure est un marqueur pour dire que l’on inverse la vapeur. Si on avait pris la réelle mesure des choses, on n’en serait pas là. »

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