Auteur : Mel_C  

SAISIE HISTORIQUE DE 40 KG DE COCAÏNE :
L’affaire des 40 kg de cocaïne et des interpellations réalisées jeudi 29 août à Nîmes a connu de nouveaux développements avec les transferts des suspects qui, après plusieurs jours de garde à vue dans les locaux de la police judiciaire, ont été transférés vers la juridiction interrégionale de Marseille. Le parquet de Nîmes par la voix de la procureure de la République, Cécile Gensac, avait confirmé vendredi la saisie d’une quantité historique de cocaïne.
En effet, plus de 40 kg de coke ont été saisis par les enquêteurs de la police judiciaire de Montpellier et de Nîmes et notamment l’antenne montpelliéraine de l’Ofast (l’office anti-stupéfiants) à l’occasion d’une opération lancée dans un quartier excentré de Nîmes. Plusieurs suspects, cinq ou six personnes, ont été interpellés, a-t-on appris de source non confirmée officiellement. Les rôles des différents protagonistes n’ont pas été précisés à ce stade des investigations. Selon nos informations, le dispositif d’arrestation aurait mobilisé des enquêteurs de la police judiciaire, appuyés par des policiers de la BRI (brigade de recherche et d’intervention) de Montpellier.
Néanmoins, il semble que la saisie de drogue a été réalisée concomitamment aux arrestations. Il semble que certains suspects seraient domiciliés dans le Gard. D’autres personnes habiteraient dans les Bouches-du-Rhône. La piste d’un lien avec Marseille n’est donc pas à exclure.
À cet égard, l’importance de l’affaire et son rayonnement ont conduit au transfert de la procédure vers la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs), sous la conduite du parquet de Marseille et des magistrats instructeurs de la Jirs. Ce lundi 2 septembre, le parquet de Marseille a confirmé "l’ouverture d’une information judiciaire au sujet de laquelle il ne souhaite pas communiquer davantage à ce stade".

> Les investigations vont donc se poursuivre sous la conduite d’un ou plusieurs juges d’instruction. La valeur marchande des produits stupéfiants saisis pourrait atteindre 1,4 million d’euros.

Auteur : Mel_C  

Enquête après l’agression à Pissevin d’un adolescent de 13 ans originaire de l’Ardèche, frappé et dénudé :
Des investigations sont en cours depuis l’agression d’un adolescent dans le secteur de Pissevin vendredi 28 août dans la soirée. En effet, la police a ouvert une enquête après l’agression vendredi soir d’un ado originaire de l’Ardèche. Il a fait l’objet d’une agression apparemment de plusieurs individus. Sa présence à Nîmes serait liée à un rendez-vous. Son téléphone portable lui aurait été dérobé.
Le jeune homme aurait été déshabillé par ses agresseurs et frappé. Les pompiers sont intervenus pour transporter la victime au CHU de Nîmes. Il aurait subi des violences de plusieurs individus. Son état était sérieux sans être préoccupant. Deux suspects ont été interpellés dans la foulée de l’agression. Mais les éléments de l’enquête ont conduit à leur remise en liberté. Les policiers de Nîmes vont poursuivre les investigations pour tenter d’identifier les auteurs et déterminer dans quelles circonstances, un adolescent de 13 ans serait venu dans le Gard depuis le département de l’Ardèche.

Auteur : Mel_C  

A Toulouse, une fillette de 3 ans chute du 4e étage d’un immeuble à Toulouse ... pendant que son père se reposait et que sa mère était sortie momentanément :
Le drame s’est déroulé ce lundi matin, aux alentours de 9 h 30. Une petite fille âgée de 3 ans, a chuté du 4e étage d’un immeuble situé avenue de Lombez dans le secteur des Arènes à Toulouse, rapportent nos confrères de La Dépêche. Les secours se sont rapidement rendus sur les lieux de l’accident afin de prendre en charge la jeune victime. Le quotidien local indique que le pronostic vital de la fillette n’est pas engagé et qu’elle était consciente à l’arrivée du Samu pédiatrique. Elle a ensuite été prise en charge et transportée à l’hôpital.
> Une enquête a été ouverte par le parquet de Toulouse afin de déterminer les circonstances exactes du drame survenu dans la matinée. Selon les premiers éléments, la victime, la petite fille de 3 ans était seule au moment des faits. Son père se reposait après avoir fini le travail, et la mère était sortie momentanément, détaille La Dépêche du Midi.
> Pour le moment, la thèse accidentelle est privilégiée par les policiers, mais les investigations se poursuivent afin de mettre la lumière sur ce drame.

Auteur : Mel_C  

Une adolescente disparue depuis plus de deux mois retrouvée à Nîmes :
Une adolescente dont la famille vit dans le secteur de Montpellier était recherchée depuis plus de deux mois, depuis la mi-juin précisément. La piste d'une fugue a été immédiatement privilégiée par les enquêteurs, mais la jeune femme restait introuvable malgré les recherches entreprises. Elle a finalement été contrôlée et retrouvée, samedi dans le centre-ville de Nîmes par un équipage de la Police Nationale. Une jeune femme qui a été remise à sa famille sans connaître à ce stade son périple précis durant cette fugue.

ARGENTINE
Rugbymen français accusés de viol :
le parquet de Mendoza recommande le retour en France des deux joueurs
En parallèle, lundi, les avocats de la plaignante ont demandé la récusation des procureurs, qu'ils accusent d'un "manque d'objectivité".

Epidémie de MPOX :
pas d'élargissement de la vaccination en France
mais un rappel recommandé pour certaines personnes à risques
La Haute Autorité de santé "considère que les cibles de cette vaccination restent inchangées depuis ses précédentes recommandations".

VIOLS de Mazan
Ils sont issus de tous les milieux sociaux, pompier, maçon, militaire ou journaliste. Ils ont aujourd’hui entre 26 et 73 ans. Beaucoup ont une épouse ou une compagne, certains des enfants.
Pendant 10 ans, Dominique P. a recruté des inconnus sur internet pour violer son épouse, après l’avoir droguée avec des anxiolytiques

Auteur : Mel_C  

A Alès, la rentrée des élèves avec autisme, sous le regard de la rectrice Sophie Béjean :

Une rentrée pas comme les autres. Ce mardi 3 septembre, l'école des Promelles d’Alès a accueilli une visite inattendue. Rectrice de l’académie de Montpellier depuis 2020, Sophie Béjean s’est rendue sur place, accompagnée du préfet Jérôme Bonet et de plusieurs élus locaux, dont Max Roustan, maire d’Alès, et Christophe Rivenq, président de l'Agglomération. Entre autres. « Parce que c'est une école qui est exemplaire de l'engagement pour l'école inclusive, c'est-à-dire de l'accueil d'enfants en situation de handicap, avec des troubles spécifiques qui sont les troubles de l'autisme, » a justifié Sophie Béjean.
L'école élémentaire des Promelles, qui accueille depuis plus de dix ans une Unité localisée pour l’inclusion scolaire (ULIS) dédiée aux troubles du spectre autistique (TSA), a vu plusieurs élèves bénéficier de ce dispositif pour la rentrée. Chacun d'eux bénéficie d’un emploi du temps personnalisé, conçu pour répondre à leurs besoins spécifiques, ainsi que d’un soutien renforcé assuré par une équipe spécialisée composée d’une enseignante et de plusieurs accompagnants d’élèves en situation de handicap. Dans le but d'offrir un cadre scolaire adapté au mieux, en étroite collaboration avec des structures de soins, afin d’assurer un soutien optimal aux enfants.
Lors de sa visite, Sophie Béjean en a profité pour rappeler que l’inclusion scolaire demeure une priorité pour l’académie de Montpellier en mettant en avant les efforts significatifs dédiés à l’éducation inclusive. Notamment à travers la création de 13 nouveaux dispositifs Ulis cette année, portant leur nombre total à 472 au sein de l’académie. D'autant que l’académie de Montpellier a, toujours selon sa rectrice, également renforcé ses effectifs en recrutant 120 AESH supplémentaires, pour un total de 7 000. Ces accompagnants, désormais formés et considérés comme membres à part entière de la communauté éducative, jouent un rôle essentiel dans l’accompagnement de ces élèves en situation de handicap. Leur formation spécifique, axée sur les troubles autistiques, mais aussi d’autres particularités, permet un soutien adapté.
La visite de la rectrice s'est poursuivie dans une classe dite « ordinaire », regroupant des élèves de CE2, CM1 et CM2 – une configuration à trois niveaux –, où un élève présentant des troubles du spectre autistique est intégré au groupe. Ce choix illustre concrètement la manière dont l’école des Promelles inclut les élèves en situation de handicap dans un environnement éducatif classique, tout en respectant leurs besoins et leur rythme. « Le plan de classe est minutieusement pensé : par exemple, un élève assis au fond et tourné de dos n’est pas isolé par punition, mais parce qu’il a besoin de moments de concentration en solitaire, » explique le DASEN, Christophe Mauny, lors de la visite ce matin.
Les enfants participaient lors de la venue surprise de la rectrice dans leur salle de classe, à un atelier d’arts plastiques pour personnaliser leurs porte-manteaux. L'occasion d’un échange informel avec les élèves. Le préfet Jérôme Bonet a d'ailleurs attiré l'attention des jeunes en leur montrant son uniforme de cérémonie, ce qui a déclenché un débat sur l’éventualité de porter un uniforme à l’école, débat initié par la rectrice, alors que certains établissements en France, comme à Châteaurenard dans le Vaucluse, expérimentent cette option depuis hier. Tandis que certains élèves se sont montrés réticents à l’idée, préférant maintenir leur liberté vestimentaire, d’autres ont trouvé le concept intéressant. La visite ce mardi matin de Sophie Béjean à l’école des Promelles d’Alès revêt un caractère particulier. Aucun recteur n’avait visité une école alésienne depuis de nombreuses années, comme l’a rappelé le service de communication de la ville ce matin. Et d'après Christophe Rivenq, Sophie Béjean devrait revenir dans la sous-préfecture gardoise le 1er octobre prochain pour, selon nos informations, une grande consultation autour de la jeunesse dans les semaines qui arrivent...