Auteur : Mel_C  

Féminicide à Saint-Héand (Loire) :
Dans le cadre de l’enquête ouverte par le parquet de Saint-Étienne pour féminicide, après la découverte des corps d’un couple de personnes âgées de 84 ans dans leur domicile de Saint-Héand le 16 août, on apprend que les autopsies seront réalisées ce lundi 19 août.
Elles permettront de déterminer avec précision les circonstances dans lesquelles les octogénaires ont perdu la vie et valider l’hypothèse d’un féminicide suivi d’un suicide.
Vendredi, le corps de la victime a été trouvé dans la chambre à coucher, poignardé à de nombreuses reprises avec un couteau de cuisine, tandis que le corps de son mari était au sol devant le garage de la maison.
On ne sait pas ce qui a causé son décès. Les analyses toxicologiques qui devraient éclairer ce point ne seront pas connues avant plusieurs jours.

CANCER
Aux Etats-Unis, de nombreux cancers sont de plus en plus fréquents chez les jeunes
Selon une vaste étude américaine, les générations nées dans les années 1980 et 1990 ont une probabilité d’avoir un cancer supérieure à leurs aînés. La hausse de ces maladies n’est donc pas seulement due au vieillissement de la population.
L’incidence des tumeurs liées au tabac baisse, contrairement à celle des cancers liés à la pollution et l’alimentation.

Auteur : Mel_C  

ATLANTA (USA) : L’hôpital perd un morceau de son crâne lors d’une opération au cerveau : près de 20 000 dollars lui sont facturés pour le remplacer
Il s’appelle Fernando Cluster et est entré à l’hôpital universitaire Emory Midtown d’Atlanta en septembre 2022 alors qu’il souffrait d’une hémorragie cérébrale. Afin de réduire la pression au cerveau, les médecins décident de lui retirer une partie de son crâne. Après guérison de cette opération, le personnel hospitalier ne retrouve pas le morceau de crâne qui devait lui être réimplanté, rapporte la chaîne américaine CNN. Fernando Cluster et son épouse ont décidé de poursuivre l’établissement de santé en portant plainte.
Si cela peut sembler surréaliste, la mésaventure de ce patient est pourtant bien réelle. "Lorsque le personnel d’Emory est allé récupérer le lambeau osseux, il y avait plusieurs lambeaux osseux avec une identification du patient incomplète ou manquante et par conséquent, Emory ne pouvait pas être certain lequel d’entre eux appartenait à M. Cluster", est-il noté dans la plainte déposée le 8 août dernier auprès du tribunal d’État du comté de DeKalb, ville située dans l’Illinois.
Mais l’état de Fernando Cluster se dégrade ensuite, en raison de ce morceau manquant. "En raison de la négligence d’Emory, M. Cluster a ensuite souffert d’une infection du lambeau synthétique, nécessitant ainsi une intervention chirurgicale supplémentaire", est-il écrit.
De ce fait, le patient a dû être à nouveau hospitalisé, s’est fait implanter un lambeau osseux synthétique mais s’est également vu facturer l’opération ainsi que les soins supplémentaires, rapporte la chaîne américaine. Au total, il aura déboursé pas moins de 146 800 dollars (plus de 132 000 euros), dont les 19 000 (soit un peu plus de 17 000 euros) correspondants
"Il est choquant qu’un prestataire de soins comme Emory perde une partie du crâne d’un de ses patients et refuse ensuite d’en assumer la responsabilité. Nous devons maintenant vivre avec les conséquences de la négligence d’Emory, notamment la peur quotidienne d’une nouvelle infection de la tête et des frais médicaux", a indiqué le couple Cluster dans un communiqué.
De son côté, l’hôpital "s’engage à fournir des soins de qualité et empreints de compassion aux patients et à ceux que nous servons dans nos communautés", sans faire de commentaires sur l’affaire en cours.

Le Royaume-Uni
annonce de nouvelles mesures pour lutter contre l’immigration illégale
La ministre britannique de l’intérieur, Yvette Cooper, dit vouloir d’abord s’attaquer aux passeurs, viser les employeurs qui font travailler des migrants en situation irrégulière, et augmenter les expulsions.

Nouvelle-Calédonie :
des experts de l'ONU se disent alarmés par la situation des Kanaks
Le projet de réforme électorale, suspendu après la dissolution, "menace de démanteler les autres acquis majeurs de l'accord de Nouméa liés à la reconnaissance de l'identité autochtone kanak", ont alerté les quatre experts indépendants de l'ONU.

HOPITAUX
Les services d'urgence d'une cinquantaine d'hôpitaux
sont "actuellement en tension", déclare Frédéric Valletoux
Le ministre délégué à la Santé démissionnaire, estime que les tensions de cet été "ne sont pas aussi fortes qu'au cours de celui de 2022".

Crise de l'hôpital :
le "mur de la honte" du CHU de Brest
agrandi avec les noms des personnes âgées qui ont attendu plus de 12 heures aux urgences
Selon la CGT, depuis le 10 juillet, plus de 130 patients ont passé plus de 12 heures aux urgences, dont une quarantaine ont patienté plus de 20 heures.

Auteur : Mel_C  

Il se fait harceler par son ex-compagne : elle le suit et l’appelle plus de 2.000 fois :
“Je ne te lâcherai jamais”, “si je te vois avec une autre fille, je t’éclate”, “je vais te péter la gueule”... Voici le genre de messages qu’un homme de 37 ans a reçu de la part de son ex-conjointe. Après 18 ans de vie commune, le couple se sépare en 2023. Cette dernière va lui envoyer plus de 2 000 messages et l’appeler des milliers de fois sans recevoir aucune réponse. Elle ne va pas s'arrêter là, car elle va le suivre jusqu'à son lieu de travail, dans un garage automobile. “Elle pouvait rester de 14 heures à 17 heures, en face de mon bureau à me regarder”, explique la victime devant le tribunal correctionnel de Nîmes.
La prévenue cherchait en permanence où son ancien compagnon habitait jusqu’à son placement sous contrôle judiciaire, le 12 juin dernier. Elle postait aussi des photos d’elle et de son ex-conjoint sur les réseaux sociaux. “J’ai toujours cette crainte de la croiser. Je ne sais pas ce qu’elle est capable de faire. Parfois, elle me disait qu’elle allait faire des tentatives de suicide pour que je fasse attention à elle. Je veux que son bonheur, mais je veux qu’elle me laisse tranquille”, confie l’homme de 37 ans. Lors de son audition, la prévenue donnait des déclarations peu objectives. “On ne comprend pas très bien ce qu’elle raconte”, affirme le président du tribunal.
> La femme de 37 ans a été condamnée à six mois de prison avec sursis avec une obligation de soins, de travail et l’interdiction de rentrer en contact avec la victime et de paraître aux abords de son domicile.