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PENSEES POSITIVES

Auteur : Aigle  
41/156

Date :    28-10-2023 11:06:01


ce qui compte ce n''est pas l'énormité de la tâche,
mais la magnitude du courage
Auteur : Boobles30 
42/156

Date :    31-10-2023 08:38:02


Si étrange que semble le moment présent, quelque mauvaise apparence qu'il ait, aucune âme sérieuse ne doit désespérer.
Les surfaces sont ce qu'elles sont, mais il y a une loi morale dans la destinée, et les courants sous-marins existent.
Pendant que le flot s'agite, eux, ils travaillent. On ne les voit pas, mais ce qu'ils font, finit toujours par sortir tout à coup de l'ombre, l'inaperçu construit l'imprévu.
Sachons comprendre l'inattendu de l'histoire.
C'est au moment où le mal croit triompher qu'il s'effondre; son entassement fait son écroulement.

Victor Hugo - Actes et Paroles, Depuis l'exil, Paris, juillet 1876.
Auteur : Aigle  
43/156

Date :    03-11-2023 07:49:56


Ce n'est pas ce que nous avons,
mais ce que nous apprécions,
qui fait le bonheur.
Ch Spurgeon
Auteur : Boobles30 
44/156

Date :    03-11-2023 11:58:02


Voici les phrases à éviter pour ne pas entacher l’estime de soi de nos enfants. Cap sur la communication bienveillante !

Le parent parfait n’existe pas; mais nous sommes courageux, aimants. Nous apprenons à être parents avec nos enfants. Parfois, nous nous exprimons trop, mal, ou avec dureté. Pas de panique ni de culpabilisation ! Analysons ces quelques phrases qu’il serait bon d’éviter.

“Si tu ne t’habilles pas, je pars sans toi”

La menace est une arme féroce pour obtenir la coopération de nos enfants. Il est facile de l’utiliser dans des situations classiques comme l’habillement, par exemple. Cependant, attention à certaines dérives qui suggèrent dans l’imaginaire de l’enfant la crainte de l’abandon. Dire à un enfant : « Si tu ne coopères pas je pars sans toi” ou encore “Si tu continues je ne t’aimerai plus” sont des phrases toxiques ! L’enfant va les éprouver comme des situations critiques et va se construire en lui une peur de l’abandon et du désamour qui peut être plus traumatisante que l’on ne l’imagine.

L’alternative vertueuse : Exprimez la situation à votre enfant. “Il serait bien qu’on s’habille maintenant, sinon on va arriver très très en retard à ce déjeuner, nos amis seront gênés et toi tu auras moins de temps pour jouer”.

“Arrête de pleurer ! C’est pas grave”

Le second écueil à éviter est le fameux “c’est pas grave” et son alter ego maléfique : “arrête ton cinéma” ! Ne minimisez pas ses émotions ! Votre enfant expérimente les émotions. Lorsque vous lui dîtes par exemple : “on ne pleure pas pour ça !” , vous lui faites ainsi croire qu’il y a des raisons préétablies pour pleurer et au contraire des situations où il est interdit de pleurer, ce qui est très nocif pour sa compréhension des émotions.

Il doit comprendre qu’il a le droit de pleurer, d’être triste, d’avoir peur. Votre enfant tombe, se fait mal et pleure instantanément de peur plus que de mal ? Inutile de lui dire que ce n’est pas grave car finalement il va s’en rendre compte rapidement. Ce qu’il attend à ce moment précis c’est de la compassion : “Comment te sens-tu ? Où as-tu mal ? Tu as eu peur, je le comprends. Voyons si ton poignet va bien”. N’oubliez pas que votre rôle est de le rassurer en permanence. C’est le principe de ce que les professionnels appellent “la figure d’attachement”. Vous êtes sa figure de référence pour la sécurité, l’attachement. En d’autres termes, sa personne préférée pour chercher du réconfort.

L’alternative vertueuse : Formulez avec lui ses émotions. Vous l’aiderez davantage à relativiser en lui apprenant à accueillir ses émotions et non à les nier, car il a besoin d’une extrême sécurité émotionnelle pour se construire, s’affirmer avec sérénité.

“Tu as gagné, je suis en colère”

Face à un petit être insupportable, il est parfois hautement difficile de garder son calme. Alors, de colère, on pourrait tout envoyer balader, et la première munition que nous avons , ce sont les mots : “Voilà, tu as gagné je suis en colère à cause de toi”, “ Tu as vu comme tu me rends triste ? Je pleure à cause de toi”. Sur le moment, ce sont quelques mots qui sortent car vous aimeriez que votre enfant prenne conscience qu’il va trop loin, qu’il aurait dû s’arrêter avant qu’on soit à bout, et c’est tout à fait normal. Cependant, ce sont des phrases très culpabilisantes. La prise de conscience ne se fera donc pas où vous l’espérez et vous allez générer une angoisse de culpabilité chez votre enfant. Cela mène également à des situations d’inversion des rôles.

L’alternative vertueuse : Isolez-vous le temps d’évacuer votre colère, ou, si c’est impossible, cessez toute parole. Un silence assumé peut permettre à l’enfant de se calmer rapidement.

“Avec toi, c’est toujours pareil”

Un enfant à qui on répète plusieurs fois qu’il est ingérable, finit par y croire, tout comme un enfant à qui on répète plusieurs fois qu’il est adorable va finir par… y croire. L’enfant est en pleine construction ! Et vous êtes un de ses grands bâtisseurs ! Le regard que vous posez sur lui en tant que parent est essentiel pour lui. Or, en tant que parent nous avons souvent tendance à focaliser sur le négatif et répéter des centaines de fois les erreurs et défauts de nos enfants. Rabâche-t-on autant leurs qualités ? De même, lorsqu’on s’acharne à exprimer notre mécontentement à un enfant qui est déjà dans une posture débordante, on obtient souvent l’aggravation de son attitude.

L’alternative vertueuse : Rembobinez et essayez l’inverse : danse de la joie à la moindre action positive de votre enfant, même banale, et ignorance face à son comportement débordant.

Enfin, écoutez-vous ! Si vous ressentez des émotions négatives envers vos enfants, prenez une pause, discutez avec votre conjoint ou encore un psychologue. Vous pourrez ainsi sortir d’un éventuel cercle vicieuse de la communication négative.

Source: psychologies.com, par Olivia Bokhobza, le 03/11/2023
Auteur : Boobles30 
45/156

Date :    08-11-2023 17:18:39


L'amour est l'activité la plus stimulante dans laquelle les humains s'impliquent. Vous savez, quand nous avons le sentiment que nous ne pouvons pas vivre sans amour... Cette vie a peu de sens sans l'amour.
Les années passent et nous perdons tous tellement de temps à nous demander si nous osons faire ceci ou cela. L’essentiel est de sauter, d’essayer, de tenter sa chance.

Leonard Cohen
Auteur : Boobles30 
46/156

Date :    09-11-2023 17:56:45


Qu’est-ce que la littérature ? C’est la mise en marche de l’esprit humain. Qu’est-ce que la civilisation ? C’est la perpétuelle découverte que fait à chaque pas l’esprit humain en marche ; de là le mot Progrès. On peut dire que littérature et civilisation sont identiques.

Les peuples se mesurent à leur littérature. Une armée de deux millions d’hommes passe, une Iliade reste ; Xercès a l’armée, l’épopée lui manque, Xercès s’évanouit. La Grèce est petite par le territoire et grande par Eschyle. Rome n’est qu’une ville ; mais par Tacite, Lucrèce, Virgile, Horace et Juvénal, cette ville emplit le monde. Si vous évoquez l’Espagne, Cervantes surgit ; si vous parlez de l’Italie, Dante se dresse ; si vous nommez l’Angleterre, Shakespeare apparaît. À de certains moments, la France se résume dans un génie, et le resplendissement de Paris se confond avec la clarté de Voltaire.

Le livre, comme livre, appartient à l’auteur, mais comme pensée, il appartient — le mot n’est pas trop vaste — au genre humain. Toutes les intelligences y ont droit.(...)

Ah ! la lumière ! la lumière toujours ! la lumière partout ! Le besoin de tout c’est la lumière. La lumière est dans le livre. Ouvrez le livre tout grand. Laissez-le rayonner, laissez-le faire. Qui que vous soyez qui voulez cultiver, vivifier, édifier, attendrir, apaiser, mettez des livres partout ; enseignez, montrez, démontrez ; multipliez les écoles ; les écoles sont les points lumineux de la civilisation.

Vous avez soin de vos villes, vous voulez être en sûreté dans vos demeures, vous êtes préoccupés de ce péril, laisser la rue obscure ; songez à ce péril plus grand encore, laisser obscur l’esprit humain. Les intelligences sont des routes ouvertes ; elles ont des allants et venants, elles ont des visiteurs, bien ou mal intentionnés, elles peuvent avoir des passants funestes ; une mauvaise pensée est identique à un voleur de nuit, l’âme a des malfaiteurs ; faites le jour partout ; ne laissez pas dans l’intelligence humaine de ces coins ténébreux où peut se blottir la superstition, où peut se cacher l’erreur, où peut s’embusquer le mensonge. L’ignorance est un crépuscule ; le mal y rôde. Songez à l’éclairage des rues, soit ; mais songez aussi, songez surtout, à l’éclairage des esprits.

Victor Hugo - Discours d’ouverture du Congrès littéraire international, 7 juin 1878.
Auteur : Boobles30 
47/156

Date :    09-11-2023 18:05:41


Les lucioles de l'espoir

Enfant, né et élevé dans un petit village perdu au fin fond de la Kabylie, je révisais mes cours à la lueur d’une bougie car le réseau électrique de l’État n’était pas arrivé chez nous. La nuit, l’été, ma mère m’autorisait à jouer au stade avec mes copains jusqu’à 23 heures. C’est grâce aux lucioles que j’arrivais à lire l’heure sur ma montre et à emprunter sans risque le sentier du retour. J’étais tellement fasciné par ces bestioles qu’une nuit j’en ai enfermé une dans un pot. Ma déception fut grande de découvrir le lendemain un insecte volant, presque insignifiant, éteint le jour et qui ne diffusait sa petite lumière que la nuit.

C’est plus tard que j’ai tiré la morale de cette histoire : quelle que soit l’épaisseur des ténèbres que l'être humain traverse, il y aura toujours une luciole cachée pour lui servir de phare. Elle lui montrera le temps exact et la route à suivre.

Les lucioles sont partout dans le monde. Le jour, elles disparaissent ; la nuit, elles dissipent le doute et la peur et orientent les humains.
Voici ma conviction : la révolte dépourvue de tout désir de paix n’est qu’un vacarme de train rouillé en partance pour le néant. Si tout au long de mes écrits j’ai jappé comme un tigre ivre, c’est dans le but de faire naître un monde meilleur, non pas parfait, mais moins laid que celui d’hier, non pas froid, mais plus chaleureux que celui que l’on nous propose. Et j’ai beaucoup de raisons d’y croire. L’histoire regorge d’exemples démentant le fatalisme qui nous habite comme une tumeur. Le nazisme, par exemple, que l’on croyait éternel, a fini par être terrassé par un sursaut de dignité, lequel a donné naissance à un grand rêve européen.

L'être humain est comme un ballon, plus il tombe de haut, mieux il rebondit. Face aux horreurs, il sait trouver en lui l’étincelle divine pour se surpasser...

Karim Akouche
Auteur : Aigle  
48/156

Date :    13-11-2023 07:27:06


Une hirondelle ne fait pas le printemps
mais cette année... on aimerait qu'une Colombe fasse la Paix

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