◄ Autres villes

Le site des sorties entre amis et rencontres amicales dans ta ville.
         
Vacances inter OVS ►
Forums > Débats
Autres forums sur des centres d'intérêt précis :
Grâce à ton aide, le site restera sympathique comme tu l'aimes !

Quel problème veux-tu soumettre à la communauté ?






◄◄6061626364656667686970►►

Bric à brac
Auteur : Jade30 
513/819

Date :    17-12-2023 15:36:12


RUSSIE - Inquiétudes sur le sort et la santé d’un opposant emprisonné :

«Les avocats d’Alexeï Gorinov ont essayé toute la semaine d’avoir des informations certaines sur sa santé et sa localisation. Nous pouvons dire qu’Alexeï n’est pas dans la colonie pénitentiaire n° 2 de Pokrov», a déclaré son groupe de soutien. «Nous supposons et espérons qu’Alexeï Gorinov a été transféré à l’hôpital car il doit impérativement recevoir des soins en milieu hospitalier», a poursuivi ce groupe, dans un message sur Telegram.

Alexeï Gorinov, 62 ans, purge sa peine à Pokrov, dans la région de Vladimir, à environ 200 km à l’est de Moscou. Le 8 décembre, toujours selon ses soutiens, l’un de ses avocats avait pu lui rendre visite et avait constaté qu’il était dans un «très mauvais état de santé» et n’avait même plus la force de «se tenir sur une chaise et de parler».

Ses soutiens soulignent qu’il souffrait alors d’une bronchite, avait «du mal à respirer» et était privé de ses médicaments et de soins, alors qu’il a des difficultés pulmonaires chroniques depuis l’ablation d’une partie d’un de ses poumons au cours d’une opération en 2016.

En juillet 2022, Alexeï Gorinov était devenu le premier opposant à être condamné pour «diffusion de fausses informations» sur l’armée russe, en vertu d’une nouvelle loi votée quelques semaines plus tôt pour punir ceux dénonçant le conflit. Depuis, des centaines d’autres personnes, militants reconnus ou anonymes, ont été emprisonnées pour ce même motif. Les principales figures de l’opposition russe sont en prison ou en exil à l’étranger.

Juriste de formation, Alexeï Gorinov avait été arrêté pour avoir condamné l’«agression» de la Russie contre l’Ukraine où «des enfants meurent chaque jour» pendant une réunion de son assemblée municipale de quartier, en mars 2022. Il est visé depuis cet automne par une autre affaire pénale, passible de cinq ans de prison, dans laquelle il est accusé d’avoir voulu «justifier des actes terroristes» pendant une conversation avec d’autres détenus en prison.
Auteur : Jade30 
514/819

Date :    17-12-2023 15:37:50


UKRAINE - Un homme lance des grenades lors d’une réunion municipale :

Un responsable local a fait exploser vendredi des grenades lors d’une réunion municipale dans la région de Zakarpattia, dans l’ouest de l’Ukraine, faisant 26 blessés, selon la police nationale.

Des images, publiées par les autorités, montrent un homme entrant dans une petite salle où se trouvent déjà plusieurs personnes, assises.

Après une courte conversation, il sort de ses poches et lance au sol ce qui semble être des grenades. S’ensuivent plusieurs fortes explosions et des cris paniqués, avant que la vidéo ne soit coupée.

La police nationale a affirmé qu’un responsable local avait «fait exploser des grenades» lors d’une réunion municipale à Keretsky, un village de la région.

Vingt-six personnes ont été blessées, dont six sont dans un état grave, a-t-elle précisé, ajoutant que les médecins tentaient de réanimer l’auteur des faits.

Aucun motif n’a à ce stade été évoqué par les autorités ukrainiennes.

De nombreux Ukrainiens ont eu accès à des armes depuis le début de l’invasion russe, en février 2022.
Auteur : Jade30 
515/819

Date :    17-12-2023 15:40:47


PEKIN - Un accident dans le métro fait au moins 102 blessés

Un accident survenu dans le métro de Pékin a fait au moins 102 blessés, victimes de fractures, après une collision entre des wagons sur un tronçon en surface, a rapporté vendredi un média d’État.
La capitale chinoise, où ce type d’incident est rare, a été touchée ces derniers jours par de fortes chutes de neige qui ont entraîné des perturbations dans les transports.
L’incident dans le métro s’est produit jeudi soir à 18h57 (11h57 heure suisse), à l’heure de pointe, lorsque deux trains sont entrés en collision, a indiqué la télévision publique CCTV.
«515 personnes ont été transportées à l’hôpital pour y être examinées, 102 d’entre elles présentaient des fractures. Aucun décès n’est à déplorer», a indiqué la chaîne, selon laquelle «67 personnes restent hospitalisées».
Un précédent bilan des autorités municipales jeudi soir faisait état de plus de 30 blessés.

Des médias ont diffusé des images montrant des usagers au sol, d’autres gardant leur calme dans un wagon partiellement plongé dans le noir, ou certains utilisant des marteaux de secours pour briser une vitre et sortir du train.
D’autres vidéos montraient une foule de voyageurs en train d’évacuer les lieux en marchant sur la neige, tombée abondamment jeudi, ou des pompiers aidant une personne âgée à se déplacer.
Selon les premiers éléments, l’accident a été causé par la neige qui a rendu les rails glissants et entraîné une dégradation du signal et un freinage d’urgence, selon CCTV.

«Un train situé à l’arrière se trouvait dans une section descendante, il a donc glissé sur les rails et n’a pu freiner efficacement, ce qui a causé une collision avec un train situé à l’avant», a précisé la chaîne.
L’accident ne s’est pas produit dans un tunnel mais dans une section en surface, près de la station Xi’erqi. Il se dirigeait vers Changping, un district situé dans le Nord de la capitale chinoise.
L’opérateur du métro pékinois avait présenté jeudi ses «profondes excuses» pour l’accident.
Ce type d’incidents en Chine est inhabituel dans les métros, ceux des grandes villes étant pour la grande majorité relativement récents, modernes et sûrs.
Auteur : Jade30 
516/819

Date :    17-12-2023 15:43:03


Aux Pays-Bas, Début d’une expérimentation de cannabis légal :

Les Néerlandais peuvent vendredi, pour la première fois, consommer du cannabis légalement dans deux villes du sud des Pays-Bas, les autorités lançant une expérimentation sur plusieurs années décriminalisant la production et l’approvisionnement de l’herbe aux coffeeshops.
Contrairement à l’idée abondamment véhiculée à l’étranger, la vente et la consommation de haschich, d’herbe et de leurs dérivés, qui attirent depuis des décennies des fumeurs de cannabis du monde entier, n’est pas légale aux Pays-Bas.
Depuis les années 1970, les drogues dites douces y sont «tolérées», et «les autorités choisissent de ne pas poursuivre les contrevenants», selon le site internet du gouvernement. Il était en effet jusqu’ici totalement illégal de cultiver du cannabis aux Pays-Bas et d’approvisionner les populaires établissements de vente. L’intégralité de la chaîne d’approvisionnement en cannabis des quelque 570 coffeeshops a opéré dans la clandestinité durant des décennies.
L’expérimentation visant à éliminer cette «zone grise» juridique débute vendredi pour quatre ans dans les villes méridionales de Bréda et Tilbourg, et devrait ensuite être étendue à d’autres régions du pays. Dix producteurs ont été sélectionnés, et le cannabis fourni aux coffeeshops sera étroitement surveillé.
L’objectif de l’expérience, dont les résultats seront analysés par des experts, est double: déterminer s’il est possible de réguler la chaîne d’approvisionnement et si la petite délinquance et les comportements antisociaux reculent. L’impact sur la santé publique sera également examiné.
«J’appelle cela un moment historique pour le cannabis aux Pays-Bas», a déclaré Ashwin Matai, responsable des cultures de «Hollandse Hoogtes», un des producteurs sélectionnés pour l’expérience. «Le produit sera propre, testé, sans pesticides, nous savons exactement ce qui entre, ce qui sort. Donc le consommateur bénéficiera d’un produit beaucoup plus sûr», s’est-il félicité auprès de l’AFP.
L’expérience néerlandaise s’inscrit dans une tendance plus globale. L’Allemagne voisine a approuvé une loi légalisant l’achat et la possession de cannabis à des fins récréatives. La drogue douce est disponible dans certaines pharmacies en Suisse, qui flirte également avec la dépénalisation de son usage récréatif. L’usage récréatif du cannabis par les adultes est déjà légal dans une vingtaine d’États américains.
Toutefois, la victoire électorale du leader d’extrême droite Geert Wilders, le mois dernier aux législatives des Pays-Bas, risque de peser sur l’issue de cette expérience néerlandaise. Son Parti pour la liberté, le PVV, veut abandonner définitivement la politique de «tolérance» à l’égard du cannabis, fermer les coffeeshops et faire pression pour des «Pays-Bas sans drogue».
Auteur : Jade30 
517/819

Date :    17-12-2023 15:45:06


Guyana et Venezuela n’auront pas recours «à la force» :

Le Guyana et le Venezuela sont tombés d’accord pour ne pas utiliser «la force l’un contre l’autre» dans le cadre de leur différend historique sur le territoire de l’Essequibo, campant toutefois sur leurs positions, lors du sommet entre leurs chefs d’État jeudi à Saint-Vincent-et-les-Grenadines.
«Le Guyana et le Venezuela s’accordent pour ne pas se menacer ou utiliser la force l’un contre l’autre sous aucun prétexte», selon la déclaration commune lue à la presse, à l’issue de la rencontre entre les présidents guyanien Irfaan Ali et vénézuélien Nicolas Maduro. Les deux pays se sont aussi engagés à «s’abstenir en paroles, en actes, d’intensifier tout conflit» entre eux.
La tension était montée entre les deux pays depuis le lancement en septembre d’appels d’offres pétroliers par le Guyana, puis le référendum organisé en réaction le 3 décembre au Venezuela sur un rattachement de l’Essequibo, territoire de 160’000 km2 riche en pétrole et ressources naturelles, administré par Georgetown et revendiqué par Caracas.
Ce sommet visait à faire retomber cette tension après des déclarations vigoureuses de part et d’autre. Une nouvelle réunion aura lieu «dans les trois mois» au Brésil, selon l’accord. Celso Amorim, un conseiller du président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva, participait à la réunion.
Les deux présidents se sont serré la main devant les caméras avant et après la réunion mais ils ne se sont pas présentés devant la presse. Les deux chefs d’État ont campé sur leurs positions à l’image du président Irfaan Ali qui portait un bracelet avec la carte de son pays comprenant l’Essequibo.
Dans la déclaration commune lue par le Premier ministre du pays hôte, Ralph Gonsalves, président tournant de la Communauté des États latino-américains et des Caraïbes (Celac), les deux pays s’accordent pour résoudre leur différend en «accord avec le droit international y compris l’accord de Genève», qui est la principale revendication vénézuélienne.
Le Venezuela soutient que le fleuve Essequibo devrait être la frontière naturelle, comme en 1777 à l’époque de l’empire espagnol. Caracas estime que l’accord de Genève signé en 1966 – avant l’indépendance du Guyana – jette les bases d’un règlement négocié qui doit se poursuivre. Le Guyana estime que la frontière entre les deux pays date de l’époque coloniale anglaise et que celle-ci a été entérinée en 1899 par une Cour d’arbitrage à Paris. C’est cette frontière qui est en vigueur.
Mais, la déclaration «note que le Guyana veut continuer la procédure en cours devant la Cour internationale de justice» (CIJ) de La Haye, la plus haute juridiction de l’ONU, et «note que le Venezuela ne reconnaît pas sa compétence».
Le président Irfaan Ali, qui a parlé aux journalistes avant la lecture de la déclaration commune, avait réaffirmé «la défense de notre intégrité territoriale et de notre souveraineté». «Le Guyana a tout le droit (…) de faciliter tout investissement, tout partenariat (…), de délivrer toute licence, d’octroyer toute concession dans notre espace souverain», a-t-il lancé. «Le Guyana n’est pas l’agresseur, le Guyana ne cherche pas la guerre, mais le Guyana se réserve le droit de travailler avec tous ses partenaires pour assurer la défense de notre pays», a-t-il aussi lancé, alors que Caracas a accusé à maintes reprises le Guyana d’être aux ordres des États-Unis et de la compagnie pétrolière ExxonMobil.
À son arrivée dans l’archipel, le président Maduro avait indiqué: «Je viens avec un mandat du peuple vénézuélien, avec une parole de dialogue, avec une parole de paix, mais pour défendre nos droits».
La non-reconnaissance de la CIJ était une des cinq questions que le pouvoir avait fait figurer dans le référendum. Plus de 95% des Vénézuéliens, selon les résultats contestés du scrutin, ont soutenu cette position.
Quelque 125’000 personnes, soit un cinquième de la population du Guyana, vivent dans ce territoire couvrant les deux tiers de sa superficie.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken, qui a remercié le Brésil pour son «leadership», a réaffirmé jeudi la position des États-Unis, selon laquelle, «la frontière terrestre entre le Venezuela et le Guyana doit être respectée à moins que – ou jusqu’à ce que – les parties parviennent à un nouvel accord – ou qu’un organe juridique compétent en décide autrement».
Auteur : Jade30 
518/819

Date :    17-12-2023 15:46:30


Contamination radioactive d’un ouvrier de Fukushima :

Un ouvrier sur le chantier de démantèlement de la centrale nucléaire dévastée de Fukushima Daiichi (nord-est du Japon) a été victime d’une contamination radioactive au visage, selon l’opérateur de la centrale, où un incident similaire était déjà survenu en octobre.
Le dernier incident en date a dû se produire lundi quand cet ouvrier a retiré après son travail le masque intégral qui le protégeait et sur lequel des matières radioactives s’étaient déposées, a expliqué Tepco jeudi dans un communiqué.
Des examens sur l’ensemble de son corps ont montré que sa contamination interne ne dépassait pas les normes de sécurité internationales en la matière, et l’état de santé de l’employé était stable dans l’immédiat, a assuré Tepco. Des résultats d’analyses complémentaires seront connus en janvier. Le groupe a rappelé à ses employés à Fukushima de toujours nettoyer très soigneusement leurs masques avant de les retirer.
Fin octobre, quatre autres ouvriers sur le site avaient été éclaboussés par de l’eau contenant des substances radioactives et deux d’entre eux avaient été hospitalisés par précaution.
Des examens médicaux ont montré que l’exposition aux radiations de ces deux personnes hospitalisées n’avait pas dépassé les normes de sécurité en vigueur sur le site de la centrale, a aussi annoncé jeudi Tepco. «Aucun problème de santé» n’a été détecté pour ces deux employés, selon le groupe.

>>> Crise diplomatique : Les cœurs de trois réacteurs de la centrale de Fukushima Daiichi étaient entrés en fusion après le tsunami géant de mars 2011 qui a ravagé le site, provoquant la pire catastrophe nucléaire au monde depuis Tchernobyl en 1986. Plusieurs milliers de personnes travaillent toujours quotidiennement à Fukushima Daiichi pour mener des opérations complexes de nettoyage et de démantèlement qui devraient prendre encore plusieurs décennies.
Tepco et le gouvernement japonais ont commencé fin août le rejet très graduel en mer de 1,3 million de m3 d’eau traitée de la centrale, qui avait notamment été utilisée pour refroidir les cœurs des trois réacteurs entrés en fusion après la catastrophe.
Ce processus a été validé par l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA), mais il a provoqué une crise diplomatique entre le Japon et la Chine, qui a suspendu depuis fin août toutes ses importations de produits de la mer japonais, suivie par la Russie.
Auteur : Jade30 
519/819

Date :    17-12-2023 15:48:24


Meta lance Threads, rival de X, dans l’Union européenne :

Le groupe Meta (Facebook, Instagram) a lancé jeudi en Europe son réseau social Threads, rival direct de X (ex-Twitter), qui était jusqu’ici indisponible dans l’Union européenne. Meta l’avait mis en ligne dans le reste du monde en juillet mais avait préféré retarder son arrivée dans l’UE afin de se laisser le temps d’étudier l’implication des règlements européens.
Auteur : Jade30 
520/819

Date :    17-12-2023 15:54:24


LOIRE-ATLANTIQUE : Quarante personnes intoxiquées par des huîtres à une semaine de Noël : des coquillages interdits à la vente

Vente, pêche et ramassage interdit concernant les huîtres de la baie de Bourgneuf en Loire-Atlantique, rapporte France bleu. À la suite d'une quarantaine d'intoxications alimentaires, le préfet prend des mesures à une semaine de Noël.
Une quarantaine de personnes auraient été concernées par des intoxications alimentaires après avoir ingéré des huîtres en provenance de la baie de Bourgneuf.
Les victimes auraient participé à un même repas à l'occasion de la Sainte-Barbe, note TF1 Info. La tablée réunissait pompiers, familles et anciens sapeurs. Ils se sont plaints de maux de ventre, et de douleurs assez vives pour nécessiter un examen médical concernant l'une des personnes.


"La pêche, le ramassage, le transport, le stockage et la commercialisation des coquillages, à titre professionnel ou de loisir, en provenance d'une partie du littoral sud du département" sont proscrits par la préfecture de Loire-Atlantique depuis vendredi.

◄◄6061626364656667686970►►



Retour à l'index du Forum

« Voir les autres
Viens discuter sur le forum
Pros : créez & placez votre annonce ici »